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[RP] Les festivités se terminent toujours par un BAL !

Melissandre_malemort
Dupe, la cadette Malemort? Pas vraiment. Mélissandre connaissait trop bien sa soeur et était trop sujette aux élans de la passion pour ne pas reconnaitre un béguin quand elle en voyait un. Il était tentant d'asticoter Blanche quand à la jolie roseur de ses pommettes et le débit saccadé de ses dénégations.

Dénégations trop nombreuses, qui plus est, pour être sincères. La Malemort jette un coup d'oeil intrigué à Philippe, sourit à Sarah en l'invitant à les rejoindre et s'assoit à coté de son ainée, hésitante, encore, quand à la proposition de June de discuter dehors. Et si l'Angevin lui tendait un piege pour l'écorcher vive, comme il le lui promet depuis longtemps? Pour l'heure, la compagnie de Blanche est apaisante, et la chipie qui sommeil en Mélissandre l'oblige à murmurer à sa soeur.

- Respectable? Je crois que tu as du le dire une fois ou deux, oui. Il me semble que tu as un peu chaud, mon Altesse de soeur. Une petite prune?

Elle chippe une coupe et la tend à Blanche, si rayonnante de beauté ce soir, que tout en elle trahie son inclinaison. Il suffit de voir l'éclat de ses yeux couleurs d'acier, la rougeur légère de son teint l’albâtre, le souffle précipité qui soulève sa gorge fabuleusement Malemort pour lire en elle comme dans un livre ouvert. La main de Méli se pose sur celle de Blanche et lui sert les doigts, doucement. Comme pour lui témoigner son infini amour, et plus encore, sa toute nouvelle patience. Blanche ouvrirait bien assez vite les yeux sur ses véritables sentiments. Et ce sera alors une explosion qui transfigurera la plus jolie des princesses et en fera la plus belle des femmes.
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Arnarion
Arnarion s'était éloigné depuis un petit moment pour fumer. Il n'avait pas envie d'empester les gens avec sa fumée. Depuis qu'il avait vu du coin de l’œil sa protégée danser avec une personne qui paraissait la respecter extrieurement, mais qui pourtant suscitait en lui une pure suspicion bien valyrienne, l'Abbé se sentait le besoin de se délasser quelque peu, au calme, loin du tumulte et des froufrous des robes. Il avait ainsi passé un petit temps dehors avec pour seule compagnie la sienne, ce qui n'était pas un mal.
Il s'apprêtait à rejoindre les autres. Tandis qu'il marchait, il prêchait dans son fort intérieur, les yeux rivés sur le sol qui défilait à mesure qu'il avançait. Un éclair, puis plus rien. L'Abbé avait été frappé de plein fouet par une dame rousse sortant à son tour et visiblement peu peinée de quitter cet endroit. Le Saint Livre était à terre, plus poussiéreux qu’abîmé.
Mais enfin, faîtes attention !

Il ramassa son précieux en grognant et rentra. Le décalage entre la fraîcheur de l'extérieur et la moiteur de l'intérieur vint le frapper de plein fouet, et il regrettai un peu de devoir porter son manteau. Un petit regard pour repérer les têtes... Mélissandre parlait avec cette dame avec qui le Prince avait dansé un peu avant et Amarante se tenait à leurs côtés. Il se dirigea vers elle, afin de continuer leurs échanges avant qu'elle se fasse enlever par cet homme. Il se plaça silencieusement à proximité et sourit à Amarante.
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Axel_baccard
Arrête de râler ! Tu vas pas mourir c'est juste un bal !
La prochaine fois pense à te blesser tu pourras éviter ça !


Axel éclata de rire, son blond mari détestait les bals et autre festivités qui ne se contentaient de remplir les panses des gens de gras et d'alcool. Elle avait choisi pour lui une tenue sobre aux couleurs des baccard, sans fioritures ni trop de fantaisies. Pour se vêtir , elle avait décidé de porter à nouveau la robe qu' elle portait pour le banquet de ses noces. Bien sur quelques modifications avaient dû être apportées au modèle. Le corsage avait été remplacé pour que son ventre et ses seins puissent être contenus dans le tissu. Car oui elle avait des seins !!! Pour la troisième fois de sa vie elle avait une devanture digne d'une Malemort et c'est pas peu dire ! Les Castelmaure auxquels elle était apparentée était bien moins réputées sur ce point précis.
C'est donc de noir et d'argent vêtus que le couple ducal se présenta pour le bal. Les orbes nacrés et le ventre rond précédant Axel qui était toute heureuse de pouvoir sortir un peu en société

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Béanours forever!
Jason_ludgaresvissac
Il devisait tranquillement avec le Caltelviray, savourant ce moment de tranquillité qui venait après l'effervescence de ces derniers jours. Les joutes s'étaient déroulées plus que vite pour lui, mais l'essentiel était de participer.
Voilà maintenant que le temps de la danse arrivait. Petit à petit l'espace s'emplissait de personne connues où non, venant de partout. Les dames avaient sorties leur toilettes qui prouvaient que les ateliers des couturières n'avaient point chômés. C'était étalage de pierreries qui ferraient pâlir d'envie toute une armée de malandrins. Il y en avait pour tous les goûts et toutes les bourses. De la jeune jouvencelle rougissante à la matrone fière de montrer ses attribues sans honte. Les jeunes damoiselles à marier escortées de leurs chaperons espéraient être présentées aux damoiseaux en mal d'alliance plus ou dotée.
Il n'était point friand de ce genre de réunion où les langues se déliées en catimini et où parfois certaines réputations se font ou se défont. Il aperçut à l'entrée son ami depuis longtemps, sa Hersouille baronne d'amour qu'il salua d'un signe de tête avant de se diriger en compagnie de son compagnon vers Sofja, il lui avait donné sa parole de lui accorderait une danse. Non point qu'il fut adepte de cet art, mais simplement parce qu'il avait promis.
Arrivé à la hauteur de la Savoyarde il s'inclina pour la saluer

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Sofja
Tandis que Sofja discutait, ses yeux guettaient les arrivées. Et le Vicomte de Cheylanes ne passa pas incognito avec ces collants roses. Cette couleur sur un homme était surprenante mais l'ensemble de la tenue, sublime. Encore le résultat d'un artiste, faudra qu'elle lui demande l'adresse. Mais cela allait parfaitement à l'homme qui mettait en valeur ses jambes fuselées.
Le Vicomte avait eu la gentillesse de l'invité à une danse lors d'un échange en taverne. Le pauvre homme, il devait avoir plus d'un verre dans le nez pour s'y tenter. Sofja adorait l'idée de danser, j'ai bien dis : l'idée car malheureusement, elle n'était pas très douée. Mais il lui en fallait plus pour la faire reculer. Elle avait l'espoir de réussir parfaitement un de ces jours.


    Ohh Vicomte !


Sofja le salua à son tour. Ne sachant pas s’y ils se connaissaient, elle les présenta comme il se devait.

    Je vous présente des amis, Albin d’Ar Sparfel et son amie Lysmee Ana Di Campiglio.


Se retourne vers le couple.

    Le Vicomte, Jason de Vissac.
    Excusez-moi d’avance mais le Vicomte a eu la gentillesse à m’inviter à une danse. Et je pense que vous devriez en faire autant.


Oui, Sofja avait osé. Elle était persuadée que cela fera grand plaisir à la damoiselle et mesme à Albin. En attendant, elle donna sa main à Jason pour qu’il la conduise au milieu des danseurs.
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Dicte Mlle Liberté

[Bannière en construction]
Jason_ludgaresvissac
Il sourit à l'ancien étudiant de Belrupt et fils de sa Hersouille, devenu Duc depuis peu

Bonjour Albin, où dois je dire Ta Grâce, voilà longtemps que nous ne nous sommes croisés depuis les Quatre Vents.
Enchanté Dame


Puis vers Sofja

Bonjour Vicomtesse, vous êtes en beauté ce soir. Comme promis, je suis prêt à vous servir de cavalier.
Mais permettez moi de vous présenter le Haut Bien Né Mordred de Castelviray, Chevalier de de Waldeck.

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Sofja
Sofja leva un œil lorsqu'elle entendit le mot "Vostre Grace". Albin avait prit du grade depuis l'époque de Limousin. Elle était ravie pour lui. La réussite avait un toujours un bon goût.

    Félicitation Albin !


Puis son regard se retourne vers le Vicomte qui eut la délicatesse de lui faire un compliment. C'était toujours agréable à recevoir.

    Merci beaucoup Vicomte.


Et les présentations continuèrent avec la présence d'un homme aux côtés du Vissac.

    Enchantée Sieur Mordred de Castelviray, Chevalier de Waldeck.

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Dicte Mlle Liberté

[Bannière en construction]
Anne_blanche
Blanche. De la tête aux pieds, comme d'habitude.
Le manteau vert de l'Académie était une fois de plus resté au vestiaire, ainsi que les colliers honorifiques.

En se préparant pour le bal, auquel elle estimait ne pouvoir décemment échapper, Anne s'était posé une question. A quand remontait son dernier bal ? Sitôt posée, sitôt repoussée.


Je ne veux pas y réfléchir maintenant.

Mais la question était revenue, lancinante, comme ces scies dont on ne peut se débarrasser qu'en les remplaçant par une autre. A quand remonte mon dernier bal ? A quand remonte mon dernier bal ? A quand ? A quand ?
Agacée, elle avait abdiqué, et avait calculé.


Très-haut ! Si loin !

Des années en arrière... Elle avait 13 ans, elle avait laissé un garçon à peine plus âgé qu'elle la courtiser. Le fils de Son Excellence Arielle. Très-haut...
Et quelques semaines plus tard, elle épousait HdB, barbon plus âgé que son propre père, qui s'était empressé de mourir en pleine lune de miel, la laissant enceinte d'enfants qu'elle désirait autant qu'un pendu se languit de sa corde.

Et depuis, le blanc. Le deuil des reines ... et de celles qui n'aiment le noir que sur les autres.

Le plancher provisoire qui recouvrait l'espace naguère occupé par la lice accompagna ses pas. Les conversations qui emplissaient l'air avaient quelque chose de feutré, comme si les mots se heurtaient mollement au plafond de toile.
Qui donc connaîtrait-elle, dans cette foule ? Elle n'avait plus l'habitude. Perdue, elle s'arrêta au deuxième pas.

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Albin.
[Avec Sofja et Lysmee]

Condoléances c'est fait. Albin s'était contenu, pas ce jour pour quelques petits reproches tout gentillet.
La conversation finissait par dérivé sur la sœur reniée de Sofja avant une question dont l'Ar Sparfel se demandait comment il allait s'en sortir cette fois. Botter en touche ou dire la vérité? Prendre un échappatoire?
Un regard à gauche, un regard à droite, un autre vers Melichou l'air de dire "au secours" !

Rien, non Albin voulait s'étrangler, faire le coup d'un incendie qui se déclare, une envie pressante, une fausse excuse vite vite. Le parfois trop plein de sincérité prenait le dessus.
Après un petit raclage de gorge car le sujet reste sensible malgré tout surtout en présence de Lysmee, Albin se contenta d'un.


Oui elle me l'a donné.

Puis la petite explication sur ce que devient Galaad avant.

Une conversation qui se retrouvait détournée fort heureusement par l'arrivé de Jason. Albin salua son ancien camarade de maison à Belrupt.


Bonjour Jason, cela remonte à longtemps l'époque des Quatre mais l'on s'est vu à ton mariage.

Et en désignant Lysmee.

Cette charmante personne m'y avait accompagné d'ailleurs.


Félicitations de rigueur de la part de Soso.

Merci Sofja mais c'est temporaire le temps d'un mandat ducal.

Puis de saluer l'homme qui accompagnait Jason, un certains Mordred mais surtout le nom de Castelviray.

Enchanté chevalier. Breton? Vous avez quel lien avec Fred?

Au loin, Albin aperçu sa mère adoptive. D'un petit geste de la main il la salua et promis il ira la voir plus tard et qui sait s'il n'invitera pas "la vieille" à danser.
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Gregoire_de_malemort
Gregoire_de_malemort a écrit:
« Je vous accompagne si tel est votre désir, ou plutôt le désir de votre Prince. Quant à la scène je n’y ai vu de déplorable que ma gaucherie et mon ingénu phrasé. Je vous suivrai donc sans porter atteinte à notre intégrité autant physique que morale. »



Elle le regarda, sans aucune colère, elle faisait son devoir, simplement, et qu’importe envers qui, enfin non, avec certains elle aurait mis des gants, elle aurait tenté de calmer la chose sans même sortir du lieu, faisant cela au bras de l’homme conservé pendant une danse. Mais lui, il lui était inconnu, elle n’aurait surement pas osé le faire.

Rien de tout cela n’est mon désir, j’aurai préféré profiter de la soirée au lieu de la passer en votre compagnie dans une geôle ! Je vais abimer ma belle robe en plus ! Vous m’en devrez une, commencez à y réfléchir !

Il affichait un sourire qui déjà agaçait Sa Blancheur, un sourire de victoire malgré qui se faisait sortir du bal. Elle se demandait ce qu’il s’était réellement passé pour que le Prince d’un regard lui ordonne ce qui se déroulait. Elle n’avait pas eu le temps de se poser et de profiter comme tout le monde, non, encore le devoir. Elle tourna légèrement son joli minois avant de le poser sur son Révérend Père, un petit soupire sortit d’entre les vermeilles de la Rosa Bianca.


Amusante soirée, même si celui-ci allait se finir dans une situation des plus alambiquée. Un regard vers le centre de la piste observant les deux tourtereaux improvisés par ses soins, danser dans une certaine grâce. Puis il quitte la piste de danse pour observer plus finement les détails du visage de sa cavalière improvisée et d'une période très courte. Bon d'accord, elle avait du charme.

« Vous pourrez envoyer la note soit à ma tante l'altesse royale Blanche de Malemort, oui oui celle qui danse avec le prince Philippe de Cetzes. Sinon à mon futur suzerain, l'empereur Hadrien Marcus de Sparte. Quoi que ce dernier ne risquerait pas d'apprécié un tel courrier provenant du Royaume Français. »

L'art et la manière d'user des mots dans un plaisir absolu. Grégoire avait vraiment ce talent, l'avait il perçu de sa mère, ou est ce simplement la vie qui le mena à ce lieu, à cet instant avec ce savoir faire d'un candide jeune homme à peine conscient des paroles qu'il use. Non non, il en était bien conscient, et il n'avait nul intention de faire l'un ou l'autre. Mais le sourire sur ses lèvres s'étire d'avantage.

« Vous m'avez dis qu'il fallait être silencieux pour ne point créer de vague ? »

La sortie approchait, et l'instant ne prêterait plus de cette occasion parfaite. Le moment parfait pour l'idée saugrenue et d'avantage provocatrice encore que les mots à peine échangés avec de bien haut noble. Le regard de la blanche se perd au loin, et là Grégoire se penche et vole un baiser à la charmeuse venue poser son bras sous le sien. Après tout, elle avait commencée, et le baiser ne dura que quelque seconde, espérant que la surprise fasse son office pour en savourer chacune des secondes.

Ses émeraudes observaient le Valyria, discrètement car elle aurait aimé passer un peu de temps avec lui, lui en demander pour après les festivités, mais elle fut sortit de cette pensée quand de chaudes charnues se posèrent sur ses pulpeuses la figeant sur place. Un si court instant, ou elle pu sentir la douceur de celles-ci malgré cette petite repousse, que sa destre abrégea d’une gifle mémorable qui malgré la musique se faisait plus forte qu’elle.

Elle était plantée devant lui, la main si chaude qu’elle pouvait sentir le palpitant de son cœur dans celle-ci, son visage se fermant bien plus encore dans une colère noire, sa poitrine se gonflait et dégonflait au rythme de son palpitant.

    Le parfum de tes lèvres
    Et de ton corps sur moi
    Je te hais, je te hais, je te hais *


Sans grabuge... Tu parles... Voila que tout le monde devait les regarder maintenant. Aucun mot n’arrivait à sortir, et c’est d’un bras beaucoup plus ferme qu’elle finit de sortir ce futur mâle mort.

La saveur des lèvres pulpeuses et délicates enivra les sens de l'homme, au point de lui en faire oublier la raison de tout ceci. Une pensée ailleurs ramenée brutalement à l'instant présent par une sensation fulgurante s'empreignant dans sa chair. La main de la Capitaine de la Garde du Corps venait de s'abattre sur sa joue, faisant apparaître à l'instant même les marques rougeâtre rehaussant son teint albâtre ?

Le rythme de son cœur s'accentuait, alors que l'ombre sur son visage devenait rictus de plaisir, ou est ce une provocation muette. Le prince bâtard pose la main sur la rondeur de son visage qu'il caresse et malaxe en relevant ses onyx sur la cavalière.

« Et maintenant? »

C'est sur ce dernier mot que les deux prirent la direction de l'enfer, de l'enfer pour Grégoire.





[HRP]RP écrit à 4 mains avec Ishtara & Gregoire_de_malemort
[HRP de JD Ishtara] Merci à JD Grégoire pour ce rp qui m’a souvent fait sourire
[HRP de JD Grégoire] Merci à JD Ishtara pour ce rp qui m’a fait grand plaisir.
* Je te hais de Claude Barzotti
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Amarante.
La brune, assise sur son banc, se complaisait à regarder les danseurs évoluer au rythme de la musique. Elle avait dans sa main son gobelet de vin. Elle avait observé le couple Princier quitter la piste et avait sourit en voyant Melissandre rejoindre sa sœur, après sa propre danse ... Elle ne les connaissait pas depuis très longtemps, mais cela se voyait qu'il y avait de la complicité entre les deux jeunes femmes ... Elle eut une petite pensée pour son jumeau trop tôt parti ...

Elle se leva en voyant qu'elles se dirigeaient vers elle. Elle posa son gobelet sur le banc et salua Blanche d'une petite courbette, n'ayant pas trop la place pour s'adonner à l'exercice de la révérence qu'elle était bien incapable d'exécuter comme Blanche l'avait fait devant le Prince ...


Le bonsoir à vous Votre Altesse ... Mais prenez donc place ...

La Bretonne enleva son verre du banc, puis attendit que la jeune femme soit installée pour en faire autant. Elle sourit à Melissandre qu'elle avait déjà vu plus tôt, ainsi qu'à Sarah ? Alors que toutes étaient maintenant installées ...

Vous avez merveilleusement bien dansé toutes deux ... C'était fort plaisant à regarder ...

Elle n'ajouta pas, qu'elle, ne savait pas danser comme cela. Il allait de soit qu'elle n'avait jamais appris, même en étant auprès d'une Marquise et d'une Comtesse durant de nombreuses années ... Les deux femmes en questions n'étant pas vraiment adepte de ce genre de chose ...
Elle était plutôt habituée aux festivités de fin de moisson et aussi a quelques danses Bretonnes qui n'avaient rien à voir avec cela ...

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Arnarion
Un impertinent personnage dégagé par le Prince. Et bien, cela créera de l'animation et des médisances. Arnarion savait qu'au fond de lui, Philippe était doué dans l'art de monter une attraction et d'en tirer les bénéfices. Mais c'était un Malemort qu'on molestait, là... Par le lien qui le reliait à Mélissandre, il se sentait un petit peu concerné... Bon, il ira le visiter plus tard pour l'entendre en confession, ça remplacera la probable torture que le Prince comptait lui infliger.

Déjà Ishtara l'empoignait durement, prête à l'emmener en sa demeure nocturne. Elle lui jeta un regard, l'Abbé lui sourit. Un mouvement soudain, inattendu et si rapide que personne n'aurait pu l'empêcher, et surtout pas sa victime. Arnarion, en première ligne de ce coup d'estoc eu le visage figé dans une expression de totale stupeur, qui devait à peu près ressembler à celle-là.

Là c'est était trop. La Sainte fureur montait en lui, digne fils des Valyria. Il ferma d'un coup sec son Saint Bouquin
. MONSIEUR DE MALEMORT !!! gronda-t-il.
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Mordred_castelviray
Le jeune homme avait assisté aux joutes en tant que spectateur. Le voilà aux côtés de son blond aux festivités qui s'en suivait.

Que de monde. Trop de monde pour le jeune homme qui préférait les soirées devant la cheminée.
Et une histoire de danse qui fit hausser un sourcil au brun concernant le Vissac. Peu de temps pour réagir, qu'on l'interpella, un certain Albin d'Ar Sparfel. Après avoir tiqué sur le "Breton" bien sur, haï par la famille.

Fred de Castelviray est mon cousin. Nous sommes d'origine Normande.

Réponse concise qui avait le mérite d'être claire alors que ses azurs, le visage renfrogné, se dirigeaient sur son compagnon, tout son mécontentement non dissimulé. Disons que la surprise n'aidait pas à prendre correctement la chose.

Une danse ? Mais bien sur...

Qu'est-ce qui le retenait à présent de partir ?

édit : orthographe, fatigue
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Philippe.de.cetzes
Revenir sur terre. Dédramatiser. Vite. Se mettre en mode soupape de sécurité, et laisser s'échapper la pression que pourrait occasionner le bruit sec d'une gifle, malgré le départ déjà acté de la cousine et du malotru.

Monsieur de Malemort vient d'être fait Chevalier par notre Cousine ! Oui la claque de l'adoubement quoi ! Buvons à sa santé !

Philippe lança un regard inquiet vers la Princesse du même nom, cherchant à obtenir son approbation, avant d'attraper une coupe au vol sur le plateau d'un serviteur qui passait là, à temps, pour qu'il puisse le lever et joindre le geste à la parole. Un bon coup de Gaillac après un trait d'humour ne pouvait faire de mal. En espérant que le coup passe aussi bien que le vin et que les convives se détournent de l'évènement pour se plonger dans la boisson et la danse. Et profiter de l'occasion pour relancer le bal en invitant une nouvelle personne. Il avait le choix entre sa cousine et le juge-diseur. Il avait promis à la première et s'était promis d'inviter la seconde. Que faire. Droite ? Gauche ? C'est fou comme il faut toujours faire un choix et comme chaque choix implique un renoncement. Qui choisir ? Bon. Léandra, parce que sa cousine comprendrait qu'on honore les autres avant de lui permettre de danser. Elle était si sage cette cousine. Si sage qu'il avait bien peur qu'un jour elle ne lui fasse de la peine.

Ma dame, m'accorderiez vous cette danse que je vous dois pour l'honneur que vous avez fait à ma maison de dire et juger ces joutes qui furent merveilleusement réussies grâce à vous ?

S'il avait su qu'Humbert s'apprêtait à l'inviter il se serait effacé mais la danse qui avait précédé lui avait tourné l'esprit et la claque résonnante avait empêché de s'intéresser à toute autre chose et il n'avait pas analysé l'attitude d'Humbert-aux-quatre-coupes comme un signal pour aller danser donné à la Cassel. Comment l'aurait-il pu de toute manière ?Du coup, il prendrait peut-être bien un gros râteau et se rabattrait sur sa cousine qui devait piaffer d'impatience. Un peu plus loin se trouvait le Prince de Clichy qui l'avait raté à la taverne - et pour cause, et quelle cause ! - et il le salua du chef, s'interrogeant sur la dame qui pendait à son bras. Etait-ce sa femme ? Qu'importe, il la salua aussi.
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Joutes équestres & verbales de Lévis. 20 avril
_hermance_
il pénétra dans le lieux où le bal se donnait, il avait un message de la plus haute importance à donner à son maistre et se faisant discret au possible au milieu de tout se monde, il le chercha des yeux. Il le voit avec un groupe et s'approche le plus discrètement possible et se penche pour lui parler afin de n'être entendu que de lui

Monseigneur, il vous faut revenir au plus vite au campement, il y a un soucis qui requier vostre présence
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Au service de l'Aigle
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