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[RP] Les festivités se terminent toujours par un BAL !

Jason_ludgaresvissac
Il a vue le regard de son Brun et a du mal à comprendre sa réaction quand il est interrompu au moment où il allait lui répondre par Hermance. Il pâlit, ses fils à coup sûr, un accident qui sait... Il se retourne vers Sofja

Vicomtesse veuillez m'excuser je dois sur le champs retourner à mon campement. Je suis désolé pour la danse, mais je dois y aller .

Puis vers Mordred

Un soucis au campement, je dois y aller et je penses que tu vas devoir me suivre.


Un salut à Albin et sa compagne

Albin, Dame veuillez m'excuser mais je dois me retirer

Inquiet, ils quittent les lieux pour retourner au campement. Pourvue qu'il ne leur soit rien arrivé
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Mordred_castelviray
Pas le temps de râler davantage que le Chevalier vit Hermance arriver, la mine pâle et emprunte d'inquiétude. Mauvais augure qui se confirma aux mots de Jason.
Un soucis au campement, pour que le valet s'enquiert auprès des maitres, il fallait que ce soit quelque chose d'important. Et qui avait-il au campement ? Leurs jumeaux encore dans le berceau.
De quoi alarmer le Loup, qui en moins de deux s'inclina vers les amis de son Vicomte en guise de salut.


J'espère avoir l'occasion de vous croiser une autre fois. Bonnes festivités.

Même à la blonde qui avait failli voler le sien l'espace d'un instant et dont il n'ignorait pas la famille, connaissant vaguement l'ancienne cadette, doublé de la politique Savoyarde, ce qui renforçait ses a priori.
Aussi ce fut un soulagement, un court moment, avant de se rappeler la raison de l'alerte et de filer vers le campement au pas de course.

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Zoyah
Toujours accroché au bras montalbanais, la vicomtesse estima à l'aune des réactions « très enthousiastes » de Clichy, qu'elle était arrivée comme un cheveux sur la soupe. Aussi, elle s'imaginait déjà qu'il était venu avec le dessein de faire quelques belles prises. L’œil bleu de Provence louvoie sur les Ravissantes se demandant bien laquelle le grison pourrait mettre à son menu pour la soirée. L'arrivée de Léandra et son cavalier obstruent soudainement la vue qu'elle avait sur une dame à la mise raffinée et cela en est terminé de son tour d'inspection.

« Lou Bonjorn Léandra, vous êtes particulièrement enchanteresse dans cette tenue. Elle vous sied à merveille...  quant à la mienne, bien que sans calcul, je ne doute pas de l'effet qu'elle produit puisque votre parrain en est sans voix !» … un franc sourire étira sa lippe vermeille et son bras se décolla de celui du von Frayner. Zoé tourna un visage diaphane et avenant vers le cavalier de la toute jeune femme qu'elle salua d'une inclinaison du chef avant de revenir vers Léandra... « Oh.. je me suis brisé le poignet.... c'est juste la conséquence d'une chute dans des escaliers trop glissants... à croire que Hadelize les avait passé au savon noir avant... ».. léger rire qui se fana dès qu'elle s'aperçut que Léandra était perdue dans ses pensées. La vicomtesse se sentait bien l'envie de raconter quelques âneries afin de faire réagir la demoiselle, mais le minois pensif de la blonde lui semblait un brin contrit et elle s'abstint.
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Sofja
[Avec Albin&Lysmee puis Jason&son chevalier]


Le regard voguait entre le Vicomte et le Chevalier. Encore un truc de louche dans l'histoire. Surement une histoire comme quant elle avait pu surprendre son frère avec un autre homme dans une situation de rapprochement louche. Oui oui, Sofja avait eu du mal à s'en remettre mais apparemment, il y en a plus qu'elle n'en pensait.
Un homme arriva à leur hauteur, sombre et inquiétant. Chose qui se répercuta sur le Vissac.


    Ce n'est pas grave Vicomte. Ce n'est qu'une danse. Les affaires avant.


L'excuse était elle exacte, ou le Vissac s'était prit un regard assassin de son amant lorsqu'il évoqua une danse avec une femme. Bref, elle n'en savait point, elle regarda Jason quitta les lieux avec son ombre.

Sofja aperçut la présence d'Aemilia dans un coin de la pièce. A faire la plante verte, autant la faire en famille. Puis elles pourraient se saouler pour oublier les peines. Beau programme en perspective. Se retournant vers Albin et la demoiselle.


    Excusez moi, ma demi soeur est arrivée. Je vais la saluer.



[Avec Aemilia]


La Jagelonette se glissa discrètement vers Aemilia qui semblait perdue dans ses rêves.

    Et bonjour soeurette, comment vas tu ?

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Dicte Mlle Liberté

[Bannière en construction]
Melissandre_malemort
- Révérend père !

Mélissandre, assise à coté d'Amarante adresse à son confesseur un sourire sincère, les yeux brillant de l'affection qu'elle lui porte. Arnarion était de ces hommes qui pouvait vous faire aimer la dévotion. Il était si abnègue, si sage, si malicieux!

- Blanche, si tu as la tête à autre chose qu'à ta danse, j'aimerais te présenter mon confesseur et mon ami, le Père Arnarion. Il a eu la bonté de prendre sur lui mon éducation religieuse et le cheminement de ma vie.

Elle pose une petite main blanche sur le livre des vertues, espérant calmer le coup de sang du Père à l'encontre de son intenable neveu. Non pas qu'elle ai remarqué le baiser, toutes les pensées dirigées vers June qui attendait peutêtre dehors, pressé, ou pas, d'avoir une conversation avec sa détestable amie.
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Thiberian
Axel_baccard a écrit:
Arrête de râler ! Tu vas pas mourir c'est juste un bal !
La prochaine fois pense à te blesser tu pourras éviter ça !


Le vieux loup dauphinois se contenta de répondre à cette tirade par un grondement sombre venu du fond de sa gorge, n'ayant aucune envie de parler ! Que ce soit à sa femme ou à tous les autres !
Il avait revêtu sans mot dire les vêtements qu'elle avait sorti pour lui pour une fois, il était docile certes mais clairement il faisait une gueule de trente pieds de longs et comptait bien traîner un maximum sur la route en freinant des quatre fers.

NON il n'aimait pas les bals et pourquoi donc ? C'était pourtant simple, le gars faisait partie des exceptions qui ont régulièrement arpentées ce monde avec son mètre quatre vingt douze et ses cents cinq bon kilos !
Alors pour ce qui était de dépasser les autres d'une tête il s'en foutait il avait l'habitude et il y avait même des échalas plus grands que lui...Par contre être une bûche massive de cent cinq kilo au milieu de tous ces gens à l'élégance gracieuse et à la taille de guêpe le faisait se sentir comme un éléphant au milieu d'un magasin de porcelaine, l'image étant d'ailleurs d'une exactitude incroyable pour le coup.

Et même s'il n'avait pas peur du ridicule dans les circonstances d'une joutes ou d'une bonne bagarre des familles c'était parce que les circonstances étaient simples : de l'amusement bon enfant.
Tandis qu'un bal...Un soit disant amusement où se déroulait finalement une véritable petite pièce de théâtre dont le thème entier était l'hypocrisie, les courbettes, la politiques, les dessous de tables...Bien qu'il ait un esprit retord et qu'il aurait été capable de jouer à ce jeu, il s'y refusait, il le combattait car il éprouvait de l'affection pour les vertus chevaleresques que sont la droiture, l'honnêteté, la franchise.
Il passait donc souvent pour chiant, moralisateur en plus d'être considéré comme un noble de merde par sa belle famille franco-impériale qui osait parler de "pureté du sang" avec un tel bagage...Donc oui il était un noble de merde qui préférait chanter et s'enivrer avec de vrais hommes que danser et glousser avec des chochottes, il préférait une bonne bagarre et une accolade pour régler un malentendu que des bassesses étalées sur dix ans.

Il regarda sa femme et grogna faiblement comme un gamin boudeur :


Je m'en fou j'irais me bourrer la gueule avec Sancte...
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Sancte
Zoyah a écrit:
« Lou Bonjorn Léandra, vous êtes particulièrement enchanteresse dans cette tenue. Elle vous sied à merveille...  quant à la mienne, bien que sans calcul, je ne doute pas de l'effet qu'elle produit puisque votre parrain en est sans voix ! »


« Ce n'est pas que je sois sans voix. J'estime parfaitement logique, d'un point de vue sociologique, que des soldats s'abstiennent de commentaire en des domaines où la quintessence du raffinement se place manifestement au-delà de leur sensibilité immédiate. La mode féminine, tout particulièrement. Alors je souris bêtement. Et accessoirement, je me tais. »

Qu'on ne compte pas sur lui pour abreuver sa filleule ou sa prime maîtresse en titre de commentaires à l'eau de rose sur leur tenue. Les hommes dédaignent ce genre de choses quand elles ne sont pas vers eux spécifiquement dirigées, et encore. Mais il se félicite toutefois d'être formidablement entouré contrairement à la plupart des bals en lequel il a eu le malheur de se trouver. OUI ! Il est quelqu'un de trop grave pour se fondre en ces ambiances enjouées. C'est comme ça. Et ce serait bénin si en ce genre d'occasion, il n'était pas rongé du sentiment d'être quelqu'un de profondément chiant & sans le moindre intérêt.
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Arnarion
[Avec Mélissandre]

Le Malemort était parti avec la capitaine des gardes pour une nuit de souffrances...
Arnarion se tourna à l'appel de son titre et répondit avec bienveillance au sourire que lui adressait une Mélissandre toute enjouée.


Oui, Princesse ?

Sans nommeries, cette petite princesse avait la capacité de canaliser sa colère. Un don du Très-Haut, assurément. D'un simple geste, elle réussit à faire taire son agacement qui commençait à gronder.
Mais voilà qu'elle le présentait à cette dame qui avait accompagné le petit prince dans sa danse ... la sœur de Mélissandre, l'Abbé venait de le découvrir en cette soirée.


Inclinant du chef.

Le bonsoir, Votre Altesse. Loué soit le Très-Haut qui a permit que mon chemin croise ainsi le vôtre... Croyez bien que je suis ravi de rencontrer la parente de la Princesse qui m'a ô combien parlé de vous.
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Leandra.
Une délicate odeur de Lys de Florence, émanant du cou gracieux de Zoyah, me sort de la torpeur douloureuse d’un souvenir qu’il me faut faire abstraction. Les contes de fées n’ont de fins heureuses que pour les enfants mais la réalité en est tout autre. Et je l’ai appris à mes dépends. Les émeraudes se détachent des danseurs et le masque reprend forme orné d’un sourire gêné envers Zoyah n’ayant point entendu sa réponse.

Hum ? Vous devriez faire plus attention Zoyah. J’espère que vous êtes bien soignée.

Un léger frisson effleure mon oreille, le murmure d’Humbert me fait esquisser un sourire ravi bien que ce soir est mon premier bal, n’étant jamais invitée dans les soirées mondaines. Et les seuls pas de danse que j’ai pu esquisser sont ceux d’un professeur à Saint Omer. Je m’apprête à lui répondre quand la voix du Prince Philippe m’interpelle. Léger sursaut de surprise, mon minois se tourne vers celui-ci et je reste sans voix. Hein ? Qui ? Moi ? Mais..Voilà ce que mon esprit sortait à l’instant, et heureusement pas mes lèvres ! Je m’empourpre légèrement, les émeraudes glissant sur Humbert puis sur le Prince. Me voilà bien. Face à un choix entre mon Champion à qui j’ai promis la première danse et le Prince qui me fait l’honneur d’une danse. Réfléchis Léandra, réfléchis ! Mais pas trop longtemps, au risque d’offenser l’un ou l’autre voir les deux. Mon regard se pose sur Iohannès qui doit bien rire dans son for intérieur. J’en ronchonnerais presque ! Bon..Et maintenant ? Je dépose la coupe de Gaillac sur la table, j’en profite pour m’adresser à mon Champion dont je suis toute proche.


Veuillez excuser le fait que j’accepte l’invitation du Prince Philippe. Etant l’organisateur de ces merveilleuses joutes, vous comprenez que je ne puisse refuser.


Un baiser léger comme une plume se dépose furtivement sur la joue du Chevalier. Tant pis pour le « qu’en dira t-on », les rumeurs sont ce qu’elles sont et autant jouer avec ! Enfin je fais face au Prince, le visage rayonnant, fière d’être invitée à danser avec lui. D’un geste lent je dépose mes doigts fins dans la main tendue et incline mon corps en une révérence gracieuse.


L’honneur est pour moi Votre Altesse, autant d’avoir jugé et dit vos joutes que d’accepter votre invitation à danser.

Si vous n’avez point peur pour vos royaux petons.. Aurais-je pu ajouter.
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Blanche_de_malemort
Remerciant Amarante d'un sourire, la Princesse prend place sur la banquette. Pouvoir reposer ses jambes était un réel soulagement, après la danse et les émotions qu'elle avait dut encourir. Blanche aimait les bals, autant pour les danses que pour les moments de sociabilisation à converser et le retrait de son neveu semblait lui garantir quelques moments de paix, bien qu'il eu encore jugé bon, au regard de ce qu'elle pouvait entendre, de ne pas quitter la place sans un dernier coup d'éclat.


Je vous remercie, bien que je doive confesser ne pas mériter de louanges, j'ai manqué plusieurs pas et sans le soutien de Son Altesse Royale, j'aurais put trébucher !


Accédant, volontiers, à la requête de sa cadette, Blanche ne peut s’empêcher d’avoir quelques curiosités à l'idée de rencontrer celui qui devait veiller à la direction morale de Mélissandre... laquelle n'avait pas toujours eut très à cœur les préceptes d'Aristote et les restrictions que ces dernières imposaient aux gens de la noblesse.


Mon Père, c'est pour moi une grande joie de vous être présentée et de savoir que ma jeune peut bénéficier de l'attention avisée d'un directeur de conscience. J'espère, cependant, que Son Altesse Royale, ma soeur, n'aura pas pécher par trop d'exagération dans ses propos me concernant. Je crains de ne pas être toujours digne de ses louanges et, en vérité, bien plus ordinaire que son affection ne lui permet d'en avoir conscience.
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Philippe.de.cetzes
Philippe fut particulièrement étonné qu’à son invitation réponde un baiser sur la joue de l’homme porteur des quatre coupes. Leandra après ces semaines de préparations et de festivités lui aurait-elle caché qu’elle avait un promis ? Et puis ce chuchotement. Qu’est-ce ? Que dit-elle ? Pourquoi murmure-t-elle ? Y’a une histoire là non ? Oh ! la ! Mère potin, Réveilles-toi. Hum. Bon. Ca suffit. J’attends. Allez. Ah, enfin. Un sourire. Une réponse. Et une acceptation. Pas de contrariété de n’avoir pas été invité la première - les femmes sont si susceptibles. Tant mieux. Mais le Prince retiendra avoir du attendre ! Il déteste attendre. En a la Sainte horreur. Comme son père. L’attente c’est la vision de la mort, comme ces vieillards qui glandouillent en attendant de passer l’arme à gauche. Il aime quand ça réagit, quand ça avance. Pas quand ça stagne. Et là… il avait attendu ! Bien sur il n’était pas sans contradiction pouvant faire preuve lui-même d’hésitation et donc de faire attendre. Mais lui, c’est pas pareil. Il peut faire attendre ! L’inverse n’est pas vrai. Il ne le supporte pas. Ma dame, l’honneur est pour moi. Comme il l’avait été d’avoir une si excellente juge-diseur pour ses joutes. Sa main se leva un peu pour marquer le signal du départ, pour rejoindre le bal des danseurs et s’élancer en musique. En piste ! Sans vous ma dame, ces joutes n’auraient pas été les mêmes. Un pas à gauche, un pas à droite. Une main en haut, une main en bas. La danse médiévale était résolument moderne, sans avoir à dire « un pas à gauche, un pas à droite »… Moderne et élégante donc. Comme le Prince. Comment ça la brosse à s’auto-reluire fonctionne à plein ? Oui ? Bon. Et alors ? Je ne sais si votre désir sera tel, mais je souhaiterais quoi qu’il arrive que vous soyez des nôtres l’année prochaine. Il avait craint qu’elle ne lui marche sur lui pieds. Si, si. Parce qu’il avait bien remarqué qu’outre sa gourmandise insensée pour le miel des ruches de Lévis et le vin de Gaillac, elle était gauche comme pas deux.
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Joutes équestres & verbales de Lévis. 20 avril
Leandra.
La main est soulevée et me voilà emportée dans la danse. Une peu raide au début tant je suis mal à l’aise de danser ainsi en public pour la première fois, comptant mes pas, pensant aux gestes à faire. Un léger sourire espiègle accroché à mes lèvres en repensant à la mine du Prince qui a du capter le baiser tout à fait chaste et amical offert à Humbert de Saint Just. S’il lui avait demandé, elle lui aurait répondu que non, aucun promis puisque le dernier en date s’est fait la malle avec une Princesse Impériale. Et la rumeur insidieuse qu’elle fricote avec le Chevalier Bouillon puisqu’il est son Champion l’a faite enragée au début. Puis maintenant elle en joue, cela fera s’activer les langues de vipères. Baste, au diable les rumeurs, pour l’heure dansons ! Une inclinaison de la tête alors que les mains s’échangent et le compliment de faire légèrement rosir mes joues. Mais Votre Altesse, je n’ai fait que mon devoir de Juge-Diseur, rien de plus. D’autant que vous m’avez été d’une aide précieuse.Un pas à gauche, un pas à droite. Une main qui se lève, une qui se baisse. Les émeraudes qui détaillent du coin de l’œil et en toute discrétion le Prince concentré sur les pas de danse. Mon sourire reste dessiné alors que je repense à ses joutes qui bien qu’épuisantes furent magnifiques. Je capte les paroles du Prince qui me surprennent en ayant pour résultat de me faire manquer un pas que je rattrape de justesse sans lui écraser le moindre peton. Pourvu qu’il ne s’en aperçoive pas ! Car non je ne suis pas gauche mais étourdie ! Le « quoiqu’il arrive » me fait légèrement plisser le nez. Et je laisse s’étirer le temps de réponse. La patience s’apprend sans distinction de rang. La nacre imprime la lèvre d’une pression alors que les pas s’enchaînent. Revenir à Castelnau serait un plaisir tant j’ai apprécié la façon d’être reçue et choyée par le Prince. Après, savoir de quoi l’avenir sera fait est plus qu’incertain. Un pas, deux pas. Et les émeraudes de croiser le regard du Prince qui attend réponse.Si tel est votre désir Votre Altesse, je serais honorée d’être des vôtres.Je lui offre un sourire franc et sincère, témoignant combien je suis ravie d’avoir sa confiance ainsi que de pouvoir faire à nouveau diminuer les stocks de miel et de Gaillac.
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Leanore


Arnarion les laissa et Léanore expliqua à Arnaud qu'en effet le père et elle dirigeraient bientôt ensemble un grand établissement sur les terres du Prince ; lui se chargeant des âmes et elle des corps.

Ils s'approchèrent du buffet afin de prendre un petit rafraichissement car la soirée devenait étrangement chaude. Le monde commneçait à arriver, des têtes connues d'autres moins, d'autres encore complétement inconnues de Léanore. Impossible de saluer tout le monde et puis, elle avait envie de profiter un peu d'Arnaud ce soir. Les toilettes étaient plus jolies les unes que les autres et Léanore buvant doucement son breuvage les admirait ainsi que les dames qui les portaient. Elles étaient éblouissantes de beauté. Elle aperçut Jason arriver et elle eut un petit sourire. C'était un peu grâce à lui qu'Arnaud et elle s'étaient rapprochés. PUis Hoel et une dame que Léanore ne connaissait pas.
Tiens... se dit-elle Ce n'est pas Madeleine qui l'accompagne ?

Et tant d'autres encore et petit à petit des groupes se formaient pour une discussion impromptue au milieu de la musique.

Philippe à qui elle n'avait pas encore eu le temps d'échanger quelques mots depuis le début des joutes, semblait fort embarassé et surtout fronçait les sourcils aux paroles de l'homme à côté de lui. Puis elle le vit s'approcher d'une demoiselle et lui tendre la main pour l'inviter à ouvrir le bal.

Les invités les laissèrent esquisser quelques pas seuls avant de se lancer à leur tour. Le bal était officiellement ouvert.
Elle se tourna alors vers Arnaud et.... au diable les convenances pour une fois, c'est la dame qui inviterait.... Enfin pas ouvertement, vu la réserve de Léanore... Mais elle parla avec ses yeux et glissa sa main dans celle de son promis.

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Joutes équestres & verbales de Lévis. 20 avril
Philippe.de.cetzes
Pas chaloupé, un petit demi-tour, on danse de dos, on s’éloigne, on se rejoint, on se fait à nouveau face. On se touche les mains, et on … se marche sur les pieds. Oups. Juste une petite morsure sur le gros orteil. Rien de méchant. Rien d’écrasant. Pas d’ongle broyé, rien. Même pas vrai. Philippe poursuit en s’excusant d’un regard. Ses cours lui avaient été profitable mais n’en avait pas fait un danseur exemplaire. Il faisait du mieux qu’il pouvait, tant bien que mal. Il aurait voulu épargner ce petit pied qui lui avait semblait bien tendre sous le sien. Quel malhabile, quel goujat, quel vil danseur il était ! Pourtant il était mu par les meilleurs sentiments du monde. Il pliait le genou au moment voulu, s’appliquait à courber le dos de la plus gracieuse des manières, à saluer de la tête quand il le fallait, et à raidir son bras pour offrir l’appui suffisant et nécessaire à sa partenaire de danse. Mais il fallu qu’il lui marche sur le pied. L’avait-il blessé ? Non, c’était impossible. Il ne le voulait pas. Donc ça ne pouvait pas l’être. Car si Cetzes ne veut, Dieu ne veut. Pas vrai l’abbé ? Pardonnez ma maladresse, je ne voulais pas vous blesser. Il anticipait car il l'imaginait déjà lui en faire reproche, comme lorsqu'il avait gribouillé une feuille de joutes pensant qu'il s'agissait d'un brouillon. Quelle tête n'avait-elle fait ! Il avait cru devoir y passer - si ce n'est trépasser. C'est qu'il avait été d'une aide certaine pour les joutes, mais il aurait fallu que vous voyiez comment elle lui ordonnait de faire ceci ou cela. "Donnez moi la liste". "Passez moi le registre". "Pensez à préparer l'annonce du tour suivant". À moins que ce ne soit l'inverse. Non, ça ne se peut pas. Philippe, si gentil, si calme, si patient...
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Joutes équestres & verbales de Lévis. 20 avril
Axel_baccard
Axel leva les yeux aux ciel à la réplique de son mari. Un instant, elle imagina la réponse cinglante qu'elle pouvait lui faire, puis changea de stratégie. La Précieuse lui prit alors le bras, présentant un visage souriant à son Géant. D'un air mutin elle lui répondit en se pendant à son bras comme une adolescente .

Mon amour quelle belle idée, tu n'en danseras que mieux lorsque tu seras saoul ! Je serai ravie que tu me présentes à ce cher Iohanes, je ne crois pas avoir eu le loisir de rencontrer le fameux frère ainé de mon cousin.


Lorsqu'ils pénétrèrent dans la salle de bal, la dauphinoise affichait donc une mine radieuse la main posée sur l'avant bras de son époux. Elle fut ébahie par la décoration de la tente. Mais plus encore les toilettes des dames présentes l'enchantèrent. Ses yeux se promenèrent alors dans la salle afin de repérer des éventuels visages connus. La cousine de Thibérian était déjà en pleine danse avec le jeune prince de Cetze que Jenifael lui avait présenté quelques jours plus tôt ; dans un coin elle repéra également Mélissandre . Peu d'âmes lui étaient donc connues... Ce n'était pas grave, elle espérait s'amuser et n'y manquerait pour rien au monde !
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Béanours forever!
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