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[RP] Les festivités se terminent toujours par un BAL !

Leandra.
Je me surprends à aimer danser, il faut dire que le Prince est un bon partenaire de danse, chaque pas calculé, chaque appui précieux pour ma main. Le tissu de ma robe bruisse doucement accompagnant mes pas, inclinaison de la tête, puis légère inclinaison du buste, on s’éloigne et on se rapproche, les regards se croisent parfois, les doigts se frôlent avant d’élever ou d’abaisser la main et…ouch ! Douleur intensive zébrant mon corps, remontant du gros orteil directement au cœur qui se vrille intensément. Je me mords la lèvre en réprimant un gémissement plaintif, les émeraudes larmoyantes plantées dans son regard et la main imprimant une légère pression dans la sienne. Je tente de faire bonne figure, et continue les pas de danse alors qu’heureusement la douleur s’estompe laissant quand même encore son empreinte dans mon cœur qui s’était resserré sous la douleur. Pardonner sa maladresse…Non mais…mais…Humpf. Il a de la chance d’être Prince sinon je lui en aurais donné de la maladresse. Comme la fois où il s’amusait à me perturber alors que je rédigeais le registre des joutes, ou quand il dessinait sur un parchemin destiné à l’affichage s’amusant à rectifier des blasons en les agrémentant de têtes de gargouilles ! Ou alors quand il entrait dans le bureau qu’il m’avait cédé, comme une bourrasque en criant « Les joutes ! Les joutes », ou « Donnez-moi le prochain affichage ! », « Faites-voir votre registre ! » ou « On s’impatiente ma Dame ! ». Un vrai tyran, et il m’avait faite esclave chouchoutée à coup de miel qui parfois poissait les parchemins, ainsi que du divin Gaillac, sans oublier la salle des bains exclusivement réservée pour ma détente personnelle. Impitoyablement gentil voir parfois adorable, et pourtant je ne puis lui en faire le reproche et c’est d’un sourire que je lui réponds. Je vous pardonne de m’avoir fait souffrir plus qu’il n’est acceptable, Votre Altesse.
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Thiberian
Il ne put s'empêcher de lâcher un ricanement lorsque sa femme répondit à sa pique de bête blessée :

C'est marrant que tu ne connaisses pas le seul vrai mâle de cette famille atroce que tu te traînes...J'aime bien Iohanes, je sens qu'il cache bien son jeu mais il me comprend et il a su conserver un attachement pour les choses simples de ce monde, comme la bière, le vin et les poitrines. Vous devriez songer à changer le pré-pubère par celui ci.

Un sourire en coin cruellement adressé à sa moitié qui le menait par le bras comme on mène un bagnard à l’échafaud.
Enfin...Il était temps d'arrêter son cirque étant donné qu'ils étaient arrivés et que, même contrarié et sévèrement gonflé, il ne collerait pas la honte à son épouse...Pas intentionnellement en tous cas ! Pour tout ce qui est accidentel et inconscient et bien la blonde avait signé, c'était pour en chier !

Incapable d'un sourire forcé convainquant, il plaqua sur son visage le rictus le plus hypocrite qui lui eut été donné d'imaginer et ils entrèrent dans la salle.
L’œil de faucons, ou de vrai, du militaire eu vite fait le tour de la salle et repéré les têtes connues, il vit la jeune Altesse de Malemort qu'il avait déjà rencontré et une jeune femme un peu plus vieille ressemblant étrangement à la jeune fille ainsi qu'à Nébisa, sans doutes était ce là l’aînée dont il avait entendu parler...Une pensée amusée lui traversa l'esprit tandis qu'il se demandait s'il était possible qu'il en soit le père de celles ci, une pensée qu'il se priva bien sur de verbaliser, il avait déjà assez agacé son épouse et il gardait ça sous le coude pour plus tard si elle le forçait à danser !

Il repéra également Sancte, sa magnifique cousine Leandra en train de danser avec le prince Philippe qui était leur hôte.
Il avait beau abhorrer le père pour ses choix vis à vis de sa province, il avait de la sympathie pour le jeune homme...Il n'était pas de ceux qui croient aveuglement les écris religieux et le couplet sur les "pêchés des pères" avait tendance à sérieusement l’énerver, le gosse n'avait eu aucun mot à dire sur les actes déroulés avant son arrivée après tout.

Il regarda sa femme toute aussi sublime, malgré le fait de donner l'impression qu'elle allait perdre les eaux d'un moment à l'autre accompagnées d'un baleineau vu ses mensurations actuelles, et lui sourit :


Bon...Et maintenant ?
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Melissandre_malemort
- Voyez mon cher Abbé? Blanche est la personne la plus sage et la plus modeste du monde.

Partagée entre un rien de jalousie toute Mélissandrienne et une admiration brulante, la Malemort dévore sa soeur des yeux, attentive à chaque expression qu'elle devine sur son petit visage délicat. Plusieurs fois, elle surprend le regard de Blanche posé sur Philippe et éprouve un plaisir sauvage de voir ainsi la douce héritière s'éprendre et lacher un peu de cette retenue qui l'empêche de vivre.

Soucieuse, pour une fois, de se montrer discrète, la princesse se lève discrètement, attrape la main de sa soeur jumelle sauvagement retranchée plus loin, ronchonnant de voir qu'elle la dépasse toujours d'une demi tête et l’entraîne sur la piste avec elle pour démarrer une danse gracieuse, comme lorsqu'elles étaient petites filles. Un tourbillon plus tard, les voici qui tombent nez à nez avec le couple Baccard.

La princesse se trouble, rougie, relache Mélusine et incline la tête, les cheveux légèrement en bataille


- Vos Grasces.
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Philippe.de.cetzes
Comme vous y allez. Plus que ce qu'il n'était acceptable. Bien au contraire. Il avait tout fait pour que les joutes aient le plus grands succès possible et que tout soit parfait ! Et la règle de base pour faire avancer les choses c'est de manier aussi bien la cravache que la douceur. Flatter d'une main et corriger d'une autre. C'est comme ça qu'il faisait avancer le pire des serviteurs : Réginalde. Alors pourquoi pas la Cassel. Avec moins de rudesse cependant, parce que c'était une femme, et qu'une femme ne supporterait pas de se faire taper sur le crâne ! Et au final tout n'avait pas été au mieux ? Tous les participants n'avaient ils pu profiter des festivités ? Et encore, il réservait une petite surprise finale pour clôturer le bal. Seul l'intendant et ceux qui s'activaient à la préparer savaient de quoi il s'agissait. Rien n'avait filtré. Il y avait veillé. J'ai fait de mon mieux ma dame. Si je vous ai fait souffrir, croyez bien que cela me désole. Mais il n'en était rien n'est-ce pas ? Ou alors son Grand-Père avait carrément déteint sur lui et il était devenu un despote d'intérieur. Un despote de la salle de bain qui fait des tempêtes dans son bain en cassant son petit bateau pensant qu'il ne lui obéit pas bien. Non mais c'était pas lui ça. En plus il adorait son petit bateau quand il faisait des pâtés de sables. Puisqu'il devait en faire sur les bords du Tarn. Ahum. On s'égare et Philippe a perdu le rythme de la musique. D'un pas il se replace, reprend la danse et tente de continuer de mener jusqu'à la fin de la musique qui s'annonce par un ralentissement du rythme. Bientôt il rendrait la belle cousine de Thibérian, qu'il appréciait pour la réalisation d'une superbe réalisation de sceau, à son champion à laquelle il l'avait soustraite sans le savoir. La danse semblait être passée bien vite. Trop même pour échanger vraiment. Il espérait avoir l'occasion de la recroiser ce soir pour lui parler. Et avant la fin du bal. Car les remerciements étaient encore insuffisant. Même s'il ne l'avait pas martyrisé !
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Joutes équestres & verbales de Lévis. 20 avril
Axel_baccard
Et bien dansons, maintenant !

Cette réponse de fourmi n'eut pas l'effet escompté par la Blonde , qui eut beau tirer de toute ses forces sur la main de son époux , celui-ci ne bougea pas d'un pouce. Préférant pour l'heure une retraite stratégique, elle se hissa sur la pointe de ses pieds et vient embrasser la pointe de son menton, avant de lui susurrer :

Tu sais , tu es sacrément séduisant avec ce petit air agacé et pincé... peut-être pourrions-nous trouver une autre manière de danser ...

Vos grasces.


Axel sursauta, avisant la mine rougie de Mélissandre , elle crut que celle-ci avait surpris le murmure et s'empourpra. La Précieuse s'inclina alors devant la jeune Malemort autant que faire se pouvait malgré son petit ventre rond.


Votre Altesse.

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Béanours forever!
Thiberian
Elle était forte quand même...Ca il devait l'admettre, elle était très forte.
Pour une blonde elle avait un sens tactique absolument irréprochable, elle connaissait le blond depuis tant et tant d'années qu'elle savait exactement quoi faire pour le manipuler, elle savait que lorsqu'il avait décidé d'être en mode butor il pouvait chercher à être blessant juste pour échapper à une situation jugée relou par l'Impétueux esprit. Et donc plutôt que s'en vexer, elle répondait avec une froide cruauté, en détournant ses pensées sur un...Tout autre sujet ! Et ainsi foutre à l'eau tous ses projets de retraite stratégique.

Il est souvent dit que derrière chaque grand homme se cache une femme...Et bien c'est faux sachez le ! Car si elle est derrière elle ne peut pas le mener par la qu...bref !!!

Elle avait donc avec ses sous entendu réussi à le dérider quelque peu et il pencha légèrement la tête dans l'intention de l'embrasser mais ils furent interrompu par une double arrivée Malemortienne...Enfin double, les deux l'une sur l'autre devaient à peu près faire la taille de l’aînée mais soyons cool, comptons les pour deux quand même !
Il ne connaissait que la plus petite des deux jeunes filles semblant jumelles, Melissandre, qu'il adorait emmerder dans des endroits moins formels et d'ailleurs cela se vit quand par habitude il commença :


Bonjour gami....

Avant de s'interrompre brutalement sous le regard glacial de son épouse qu'il ne vit pas mais qu'il sentit parfaitement lui fouetter sauvagement la nuque.
Il s'inclina donc légèrement avec toute la grâce d'une clé à molette et ajouta :


Altesses.
C'est un plaisir...Vous êtes venues m'acclamer aux joutes c'est cela ?


Petit sourire en coin, à peine quelques heures plus tard il avait perdu face à une femme minuscule tel un misérable looser mais est ce que cela ferait perdre de sa superbe à un Baccard ? Jamais que Diable !
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Melissandre_malemort
Mine de rien, la bottine de Mélissandre heurte le tibias de Thiberian, sans que jamais son joli petit minois innocent ne trahisse son attaque sournoise.

Un petit lissage de jupe plus tard, elle repousse les boucles qui retombent sur son front derrière ses oreilles et décoche un regard noir au Duc qui semble décidé à lui faire remarquer sa jeunesse et sa hauteur grotesque à chaque rencontre.


- Duchesse, je vois que vous êtes proche de la délivrance. Toutes mes félicitations.

Plus honteuse de sa maladresse que du baiser interrompu, elle continue son babillage.

- Vous êtes rayonnante. Si vous le permettez, je ferais parvenir au petit ange à venir quelques présents. Enfin, une petite douzaine. Un peu moins? Juste de quoi fêter l'arriver d'un nouveau Baccard.

Sur ces mots, elle sourit et tend une main vers Mélusine, paume vers le haut et attaque alors, avec toute l'insolence Malemort.

- Permettez moi de vous présenter ma soeur Mélusine de Malemort, qui s'est essayé ici à l'art des joutes. Mes excuses Thibérian, mais c'est elle que j'acclamais. D'ailleurs, quelle jolie chute vous avez fait icilieu! Votre grimace quand vous avez chu le séant dans la poussière était tout à fait cocasse!
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Leandra.
Et le sourire espiègle d’éclairer mon minois alors que je le vois s’insurger à ma réplique. Bien sûr qu’il a été un tyran, oubliant même parfois que je ne faisais pas partie de sa maison, mais je ne m’en suis point offusquée tant il savait se faire pardonner et ce rapidement. Je me suis reconnue parfois en lui, surtout quand il camouflait un caprice sous un ordre. Mais je n’en rajouterais pas plus tellement il m’a fait rire quand il était maladroit et confus comme il y a quelques instants plus tôt. Non vraiment, je garderais à jamais un bon souvenir de ces joutes, car il est rare d’être ainsi invitée quand on est Juge-Diseur. Un pas, deux pas, dos à dos et face à face. Veuillez pardonner mon insolence, mais cela était trop tentant Votre Altesse. Traduisez là : il faut bien que je me venge un petit peu ! D’ailleurs à l’instant me revient en tête qu’il me doit un cadeau du fait que j’ai égalé le nombre de jouteurs du fameux Tournel, nous l’avions même dépassé mais des ennuis d’Hérauderie m’avaient vue contrainte de refuser quelques inscriptions. Un pas, deux pas, la tête s’incline gracieusement. Les émeraudes pétillent, annonciatrices d’un amusement auquel ils aimaient se prêter. Je l’espère bien que vous êtes désolé. Il ne manquerait plus que cela qu’il s’en réjouisse ! Puisque vous désirez tant être pardonné, cela vous fera deux cadeaux dont vous êtes mon débiteur. Et toc. Cassel jusqu’au bout des ongles, nous n’avons pas un Prince détenant une compagnie marchande pour rien dans la famille. Les affaires sont les affaires. C’est comme les promesses, il faut être intransigeant et les tenir ! La musique ralentit, prémices d’une fin annoncée et quelle fin. Pas seulement celle de la danse, mais aussi celle des joutes et de mon séjour en ce lieu, et le moment trop proche de faire ses malles. Mais pour l’heure je ne veux y penser et j’apprécie l’instant partagé à sa juste valeur même s’il j’ai été aussi martyrisée que mon orteil !
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Arnarion
Oh, elle pêche… comme nous tous. Il est vrai que l'excès est un des plus grands péchés, qui peut nous conduire à en commettre, par ricochet, bien d'autres plus ou moins graves. Mais quand la flatterie est véridique, elle ne saurait être peccamineuse.

- Voyez mon cher Abbé? Blanche est la personne la plus sage et la plus modeste du monde.

Regarde Mélissandre, taquin tout en continuant de s'adresser à sa grande sœur Mais, si Votre Altesse me le permet, j'aimerai rajouter ceci : quand on aime, ou bien l'on n'a point de peine, ou bien l'on aime sa peine.
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Thiberian
Un sourire en coin bien moqueur affiché sur le coin des lèvres alors que la jeunette le frappait, plus pour la gloire que pour l'espoir de lui faire mal comme d'habitude, il ressentit bien sur la morsure de la pointe de ces affreuses petites chaussures pointues qu'affectionnent les femmes mais il n'en laissa rien paraître. Le stoïcisme des montagnes marque à vie chacun de ses enfants !

Il broncha à revanche à l'idée de son enfants enseveli sous une profusion de cadeau princiers :


Doucement doucement...Mon fils sera élevé à la dure comme son père ! Au mieux offrez lui une couverture pour l'hiver.
Et que je ne vois pas un seul vêtement à froufrou je vous préviens !


Il regarda sa femme :

Oui oui tu m'as bien entendu, tu me fais déjà subir ces tenues ridicules et ces tentatives de coiffures, j'aimerais que mon fils soit épargné.

Il ne s'emportait pas vraiment, mais il connaissait les femmes et il savait que s'il ne mettait pas le hola tout de suite il retrouverait un jour son fils en robe bleue pâle, tout bien coiffé comme ces enfants de qui il volait le goûter pendant l'enfance et le tout devant une tripotée de gonzesses gloussant comme des dindes.
Grognant ostensiblement il inclina quand même la tête devant la jeune femme ainsi présentée comme une autre Altesse :


Enchanté Altesse, la fortune vous a t-elle sourit plus qu'à moi durant ces joutes ?
Je crains de passer l'âge peu à peu, j'ai un genou qui grince douloureusement et je gagerais en avoir laissé une bonne moitié dans la boue.

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Rosalinde
Distraite de sa lancinante conversation avec le Breton et Zoé, Rosa était ailleurs. Mélancolique, elle observait les danseurs évoluer sur la piste, la plupart ne lui étaient d'ailleurs pas inconnus. Une grimace fut même esquissée lorsqu'elle aperçut le cavalier que Léandra, qui, si sa mémoire était bonne, était le témoin de Finn à leur mariage, et donc l'avait vue vomir dans le bénitier... Peu glorieux instants à se remémorer, elle tâchera de l'éviter autant que faire ce peut tout au long de la soirée.

Et Mélissandre, si pleine de vie, qui semblait être partout à la fois. Elle lui aurait presque donné le tournis. Elle eut également l'amusement d'observer la jeune femme suspendue au bras de Sancte. Son visage ne lui était pas tout à fait inconnu, mais elle n'avaient jamais été présentées. Et elle doutait de pouvoir compter sur ce vieux loup de von Frayner pour ce faire. Tant pis.

Eclusant déjà consciencieusement son deuxième verre de vin, elle continuait ainsi son observation de l'assemblée. Lynette et Lexhor étaient arrivés, ainsi qu'une impériale qui, comme tous les Teutons, ressentait le besoin de faire claironner son bon milliers de titres à chaque fois qu'une porte était passée.

Le tour de la salle était pourtant assez rapidement fait, et il lui fallut arriver à une conclusion sans appel : Elle s'emmerdait.

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Vous voulez la même bannière ? Allez vous faire voir au Manoir des Artistes !
Lysmee_ana
[ Avec Sofja et Albin ]



Quand le bras d’Albin se présenta à elle, Lys n’hésita pas à se l’approprier en y glissant le sien tout en saluant la demoiselle qui s’avérait être la tante d’Enguerrand

Ravie de faire connaissance vostre grasce.

Un sourire vers la vicomtesse et se mettre à écouter l’histoire de sa sœur devenue ex sœur donc ex tante du fils d’Albin. Heureusement l’italienne situait plus ou moins les personnages non sans la laisser assez perplexe de la situation

[ Et Jason..]

Quand un homme déjà croisé lors de son mariage s’approcha du trio.
Apparemment il l’avait déjà oublié, pas Lysmée

Heureuse de vous revoir ..

Et de saluer à la suite la personne qui l’accompagnait un certain Mordred de Castelviray
Mais alors qu’une danse était promise à Sofja, Jason se retira suivi de son ami laissant à nouveau le trio qui se convertit en duo lorsque la vicomtesse aperçut sa demi sœur

Oui bien sûr ne vous en faites pas, allez la saluer.

Son regard se tourna alors lentement vers Albin qui déjà avait repéré sa mère

Allons la rejoindre Albin.
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Philippe.de.cetzes
Oh la comédienne ! La tragédienne ! S'apprêtait-elle à pleurer à chaudes larmes ? A se tordre de douleur tel un vers de terre que l'on vient de couper en deux ? Il t'a à peine toucher le bout de l'orteil ! Et encore ! Ah, elle se calme. La musique sans doute, qui appaise les moeurs. Vous savez bien que je vous pardonne. La danse touchait à sa fin. Les derniers pas ralentissent, et cette fois il ne semble pas y avoir de chute programmée. Tout se passe bien. Même si elle réclame des cadeaux ! Mais il y avait pensé. Il n'avait pas oublié cette promesse car il n'en oubliait jamais aucune. Alors ça viendrait au bon moment. Deux cadeaux ? Pourquoi pas mon château ?! Il ne cède jamais, alternant toujours ce genre sérieux, sincère, et celui de la plaisanterie, de la gageure. Style assez propre aux gens de son âge qui n'assume pas encore le sérieux des grands, qui semblent être encore des fâcheux, et l'insouciance des enfants qui cèdent à toutes les joies avec le croyance de ne jamais avoir à le regretter. Vous avez déjà vidé toutes mes réserves ! Vous vous êtes payé en nature plus que de raison. À mes frais ! Et vous voulez un double cadeau en sus ?! Oui, bon, vu le boulot pour les joutes, il en avait largement profité. Mais deux cadeaux ! Deux ! Il en avait prévu un, mais n'en avait pas deux ! Réginaaaaaaalde. Oui Réginalde trouverait bien le 2nd, lui qui avait la main sur tout le domaine il saurait quoi prendre de précieux qui puisse être offert. Trouver Réginalde. Trouver Réginale. Le Prince se mit en tête de pourvoir à la chose au plus vite. Et après avoir salué bien bas la doña, et l'avoir raccompagné auprès de ceux qu'elle fréquentait avant son intervention inopinée, il s'éclipsa de la scène pour trouver l'intendant qui ne devait pas roupiller bien loin.
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Joutes équestres & verbales de Lévis. 20 avril
Leandra.
Comédienne ? Que nenni ! Une femme, juste une femme et une Cassel de surcroit ! Et il apprendra tout au long de sa vie à percer les mystères de mille et une femmes sans pour autant n’en découvrir qu’une infime partie. Pour ma part c’est le jeu qui m’anime, me rend vivante dans ce monde trop étriqué. Des cartes, aux dés, aux combats en passant par les paris. Et ce pari là je l’ai gagné, donc cadeau mérité et mon pauvre gros orteil meurtri vaut bien réparation. Non mais. Son château ? Petit temps d’arrêt de quelques secondes, encore heureux que la musique s’épuise doucement sinon on aurait pu croire à un nouveau faux pas. Vous êtes trop bon Votre Altesse. Bien que mon cœur se soit épris de la beauté de vos terres, je serais fort marrie de vous en priver. Je pouffe discrètement alors que la tête s’incline, la main s’élève doucement, un pas, deux pas. Mrhooo le…le goujat ! Ma bouche s’arrondit d’un « Oh » muet qui en dit long. Je me reprends rapidement et affiche un sourire du genre « tout va bien dans le meilleur des mondes je danse et j’aime ça » mais la tempête tambourine à mes tempes. Il a de la chance que nous soyons en public sinon…sinon…J’aurais boudé. Oui voilà boudé ! Avec un ronchonnement en prime comme la fois ou il a abusé comme à cet instant. Sauf que j’avais l’avantage des joutes que je menaçais de laisser en plan, oui c’est perfide mais on se bat avec les armes que l’on a ! Dites, il me semble que vous n’avez pas laissé votre part au clochard du coin…Il me semble aussi que vous aviez le visage tout collant de miel tout autant que le mien. Sans oublier que vous ne résistez absolument pas à l’ivresse ! Hin hin hin c’est vil d’autant plus que la musique s’achève et ne lui donne guère le temps de répondre. Mais il l’a cherché ! Puis personne n’a pu capter mes murmures, encore heureux car bien des choses alimenterait l’imagination de certains. Et la rumeur que le Prince ne tenait pas l’alcool irait bon train ! Même si cela est avéré. Un pas, deux, pas, une révérence gracieuse et me revoici auprès de mes proches.
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Amarante.
    [ Avec Blanche et Arnarion ]



Je vous remercie, bien que je doive confesser ne pas mériter de louanges, j'ai manqué plusieurs pas et sans le soutien de Son Altesse Royale, j'aurais put trébucher !

La brune ne voyait pas cela de la même façon. Elle qui ne savait pas danser ce genre de chose, trouvait cela bien joli et une telle maîtrise devait, avoir derrière des heures de travail, même s'il y avait quelques imperfections qu'elle n'aurait su déceler, oui elle trouvait cela très beau ... A part ce petit incident qui là, était bien visible ... Elle lui sourit en faisant un petit geste de la main comme si de rien n'était ...

Ne soyez pas si modeste, même si vous pensez ne pas avoir été parfaite, je peux vous dire que quelqu'un comme moi vous a trouvé très bien ... D'ailleurs, vous êtes vous fait mal ? J'ai eu peur un moment que vous n'ayez marché sur votre robe ?

Elle, n'avait pas fait attention au bruit de la gifle qu'avait reçu le jeune Malemort qu'elle ne connaissait pas ... Et même si elle l'avait entendu, elle n'y aurait pas forcément porté plus d'attention ... Peut-être, juste un regard curieux ... Melissandre fit ensuite venir près d'elle le Révérend Père et elle se tut, ne voulant interrompre leur aparté ... Elle les écouta, plus ou moins distraitement ... Ensuite, Melissandre partit danser avec à son bras sa sœur Mélusine et cela la fit sourire ... Elle les suivit un petit moment du regard puis se concentra sur le Père et sur Blanche s'adressant enfin à cette dernière ...

Dites-moi Altesse ? Y a-t-il d'autres membres de la famille venu avec vous ? J'ai croisé votre sœur Melissandre lors de mon voyage en Normandie et j'ai fait la connaissance de Mélusine tout comme vous lorsque que j'étais à Limoges ...

Elle réfléchit un moment ... Melissandre avait dit qu'elle était accompagnée d'un oncle lorsqu'elle l'avait vu à Avranches, mais elle ne se souvenait plus du tout du nom ... Oncle, d'ailleurs qui faisait parler de lui si elle se souvenait bien puisqu'il y avait un peu de tension dans leur groupe ...

Je dois dire, que je ne connais pas vraiment votre côté de la famille ... Arga n'étant pas vraiment très bavard et moi pas très curieuse non plus ...

Puis, regardant le Père toujours debout ...

Prenez donc place Mon Père ... À moins que vous ne vouliez remettre quelque Brebis sur le droit chemin ?

Elle regrettait vraiment qu'Ysil n'ait pu venir. Elle aurait trouvé l'échange très intéressant ...
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