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[RP] Cérémonie d'allégeance au duc Vaxilart

Ylalang
Le Héraut chuchota au Seigneur de Chenove pour l'aider un peu, probablement n'avait-il pas l'habitude :

Veuillez je vous prie, tendre les mains vers votre futur suzerain, pour qu'il les prenne, et ensuite promettre d'accomplir vos devoirs de vassal, à savoir l'aide, le conseil, et le soutien militaire.

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Rampa
Le chevalier se releva dans un lent mouvement sans amplitude, il était dès à présent droit comme un i. Il tendit alors sa canne au heraut si attentionné pour qu'elle la tienne le temps de l'allégeance.

Ses paumes marquées par les années de combat et de travail furent à présent au contact du Duc. Étrange sensation que ce moment mais Rampa était maintenant sur de sa décision.


Mon Duc, moi Enguerrand de Pierre Brulée, Ritter de l'Ordre Teutonique, Seigneur d'Etaule vous promets à vous et vos successeurs d'accomplir les devoirs d'un vassal. Je vous promets Aide en toute situation, je vous promets Conseil et Soutien militaire afin de sauvegarder l'intégrité de la Bourgogne. An final je ne fait que continuer ce que je pense avoir toujours fait pour la Bourgogne.


Rampa se racla la gorge avant le moment fatidique...

C'est pour cette raison, cette constance dans ce que je donne et donnerai à la Bourgogne que je refuse la remise de quelconque fief envers ma personne.


Un regard empli de conviction fixa le Duc, pas un mouvement du grand corps habituellement chancelant ne perturba cet instant.

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Vaxilart
Le Duc fut à moitié surpris de la réponse de l’homme. Il avait déjà parlé furtivement de ses intentions, mais d’un autre côté, il n’était pas sûr qu’il irait jusqu’au bout.

-Ainsi messire Rampa, vous refusez ce fief. Refusez-vous par ce geste toute évolution de votre service au sein du Duché? Considérez-vous par ce geste déjà avoir atteint la perfection, que tout pas à l’avant serait désormais une erreur?
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Rampa
Rampa fut surprit de la réponse du Duc, tentait il de le faire changer d'avis ? Il y a des chances ou bien testait il encore une fois ses décisions. Quoi qu'il en soit, d'un ton calme et posé il lui répondit.

Votre Grace, en effet je refuse ce fief même si cela aurait été un honneur pour moi mais mes convictions ont changé. Je pense qu'en tenant compte de mon état de santé et de mon age avancé je ne puisse faire guère plus que ce que je fais actuellement.
De plus je ne pense pas que le fait d'appartenir une fois de plus à la Noblesse de Bourgogne me rende meilleur, bien au contraire. Je constate chaque jour avec déception que le "fleuron" de Bourgogne n'est pas ou n'est plus ce qu'il devrait être.

Je préfère donc, servir notre Duché avec les moyens que j'ai aujourd'hui et rien de plus, ma dévotion restera toujours la même.


Rampa recula alors d'un pas attendant une réponse ou un geste du Duc.
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Vaxilart
À cette réponse, le Duc soupira...

-Si tel est votre décision. Mais sachez que votre plaidoirie ne me convainct pas du tout...

Vous pouvez disposer.


Vers la héraut, il haussa les épaules, puis il appela le prochain avec un léger rictus de dégout...

-Messire Verbam, présentez-vous devant votre Duc.
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Olivier1er
Le Seigneur de Sermages qui s'était un peu assoupit sur sa chaise apres etre rentré discretement pour assister à la cérémonie se reveilla à la forte parole du Duc pour appeler son ami Verbam.

Il reprit une contenance sur son siege et suivit attentivement la suite de la cérémonie.

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Armoria
L'éducation nobiliaire continuait dans le coin des Mortain/Ylfan :

Vous voyez, mes enfants ? Souvenez-vous bien de ceci, parce que votre vie entière sera marquée de la sorte. Quoi que vous fassiez, quoi que vous disiez, le seul fait d'être nobles sera souvent vu comme un reproche, dans cette société décadente. Voilà pourquoi je dis souvent "fais ce que dois, advienne que pourra".
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Emmaline
Emmaline de St Hilaire en Morvans avait aperçu son frere Olivier entrer dans la salle des céremonies ,il y avait peu de monde .Elle s'approcha pour voir ce qui se passait, elle reconnut ceraines personnalités,sans doute était ce la cérémonie d'allégeance pensa t'elle , lorsqu'elle entendit prononcer le nom de Verbam par une voix forte , celle du Duc.
Elle entra discretement au fond de la salle et s'installa aux cotés d'olivier qui était avachi sur une chaise.Elle lui donna un coup de coude en s'asseyant

hé he Olivier! on appelle Verbam,il me semble! regarde!

oh mais tu es fatigué.Qu'as tu encore fait cette nuit pour etre dans cet état!

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Verbam
Verbam avait suivi l’anoblissement de Rampa, il se tenait prêt a applaudire, l’homme méritait cette reconnaissance, une vie au service de la Bourgogne.
Le chevalier semblait usé de toutes ces attaques, menaces, calomnies qu’il avait du subir.

Verbam avait subit les mêmes, mais il ne comprenait pas le refus du chevalier, l’honneur de porter fièrement ses armes Bourguignonne au combat ne se refuse pas.

Beaucoup de questions se bousculaient dans sa tête quand le duc l’appela.
Il regarda tristement s’éloigner le chevalier et s’avança devant le duc, le salua puis le héraut avant de mettre genou a terre.
Vaxilart
Vaxilart suivit l’arrivée de l’homme des yeux. Une fois ce dernier bien à genoux, le Duc se rassit et croisa les jambes, puis il fit signe au domestique de lui emmené à boire. Verre en main, il regarda Verbam une dernière fois, se demandant bien comment il mènerait rondement cette affaire… Puis, il prit la parole.

-Ainsi donc… Je dois vous bailler vicomté?
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Olivier1er
Olivier1er regardait le Duc Vaxilart jouer à humilier son ami Verbam.

Cette demarche le surpris, car le fait qu'il ait été Duc de Bourgogne, lui donnait de plein droit un Fief de retraite.

Qu'il n'apprecie point l'homme c'est une chose, mais qu'il detourne le pouvoir qui lui a été confié pour tenter d'humilier gratuitement un homme risquait de ne point le grandir.

Pourtant, la devise que le Duc Vaxilart se plait à rappeler souvent est Que la Noblesse doit etre un étrier pour....il fait un effort pour se rappeler cette devise que le Duc semblait avoir oublié lui aussi.

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Ylalang
Le Héraut commença à manifester un sérieux agacement. elle prit la parole.

Votre Grasce, ce n'est pas vous qui baillez Vicomté, mais les règlements des institutions royales. Ainsi vous n'avez pas à poser la question si vous devez le faire ou non, mais juste, faites votre devoir, c'est à dire respecter les édits héraldiques.
Je me contrefiche comme de mes premières poulaines de savoir si vous appréciez ou non le sieur Verbam, mais vous n'avez en cet instant pas le choix de vos actes, le Roy ayant pris sa décision à travers l'institution de l'hérauderie.
Alors procédez à l'anoblissement je vous prie, votre procrastination depuis le début devient véritablement lassante.


Elle se tourna vers le futur vassal.

Messire Verbam, veuillez prendre les mains de votre suzerain et faire la promesse de remplir vos devoirs de vassaux.
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Verbam
Verbam était las de toutes ces mesquineries, retard volontaire, pourquoi ?, pour ne pas être toujours d’accord avec d’autres nobles.
Cela avait usé le chevalier Rampa au point qu’il renonce a son du, d’autres ne parlaient plus ou que rarement se contentant de l’allégeance bi mensuelle par missive.
Il avait une autre idée de la noblesse, qu’une noblesse sectaire, renfermée, peut être doucement cela viendra il.

Il écouta le héraut, visiblement aussi agacé, tendit les bras et prit les mains du duc, le regard fixe dans ses yeux il déclara.


Moi Verbam, en pleine conscience par la grâce d’Aristote, de l’honneur que l’éternelle Bourgogne dans le respect des institutions royales me fait.
Déclare, reconnaître Vaxilart mon suzerain, Duc de Bourgogne légitime par la grâce des urnes et la protection du très haut.
Lui doit et lui apporterai, obsequium, auxilium et consilium, le temps de son règne et a ses successeurs par la suite.

Autant dire ce que je fait depuis déjà longtemps, ma vie est au service de la Bourgogne.
J’ai été de tous les combats qui menaçaient notre terre, décoré de la croix de Bourgogne, mon bras et mon épée ont toujours protégés et continueront a protéger notre beau duché tant que j’aurai un souffle de vie.
L’aide, ne l’ai je pas aussi prouvé?, six mandats de conseiller ducal et continuerais a conseiller les ducs et duchesses de Bourgogne si mon avis peut servir.

Pour finir, je jure devant le très haut et ses prophètes, que la seule loi qui serra connu et enseigné sur mon fief, serra celle des ducs de Bourgogne, que nul autre justice n’existera de même; que jamais les armes ne seront levés contre le duché de Bourgogne, mais contre ces ennemis toujours.
si il advenait que je soit parjure a ce serment
Je demande a mes amis de me renier, que mes armes soit sablé et détruite et que le très haut seul juge des hommes, me réduise a la plus misérable poussière.
Vaxilart
Le Duc allait répondre vervement à la Héraut, mais voilà que Verbam souhaitant sans doute en terminer rapidement se lançaient déjà dans sa déclaration. Toujours assis, mains dans les mains (il se faisait courtiser..? Pour sûr il refuserait ce genre de relation que seul les hommes à béret proclamaient), il préféra sur le coup s’attarder immédiatement au futur vassal.

-Sieur Verbam, vous n’avez point besoin de justifier chaque point de votre serment. Ni même, ne devriez les comparez à vos actes passé car d’expérience, je puis vous dire qu’il n’en est rien.

Vous me pardonnez, mais la héraut mérite réponse de ma part, et je m’excuse d’avance de vous faire languir ainsi, mais pour la bonne tenue de votre anoblissement, permettez que je lui glisse quelques mots…


Le Duc délaissa les mains de l’homme. Il retourna d’abord la tête vers la héraut, puis se décida à se lever.

-Dame. J’aimerais vous rappeler que vous n’agissez ici qu’à titre de remplaçante et que de vous voir plus désagréable de celle que vous remplacez ne plait guère.

Ainsi, comprenez qu’il est tard, et que je n’ai nulle minute à perdre à écouter votre radotage. Je connais mes devoirs de Suzerain, surtout que vous avez déjà répondu à ma question en ce sens.

De même, comprenez qu’ici vous n’êtes pas, mais pas du tout, en Champagne. Alors, pour votre gouverne, sachez que la Bourgogne est vassale et non propriété du Roy de France. Et qu’alors, ses loys, et les loys de ses institutions n’ont valeur ici qu’à la hauteur de la reconnaissance que le Duc accepte de leur donner en ses terres.

Si j’accomplis aujourd’hui l’anoblissement de ce sieur, c’est uniquement puisque je le veux bien et que je juge la demande légitime au vu des traditions et des lois que j’accepte de respecter en tant que Duc. Alors, je vous prierais de ne point prétendre à quelconque mauvaise intention qui serait mienne. Je n’apprécie guère le gueux Verbam, mais j’espère de tout cœur apprécier le noble qu’il sera, et en ce sens l’échange présent entre le futur vassal et le futur suzerain est primordiale.

Je vous demande donc de vous taire et de ne plus m’interrompre pour quelques broutilles. Je suis Bourguignon et de la Mirandole, je ferai cet anoblissement comme il me siéra de le faire selon mes traditions. Et surtout, en posant les questions que j’aurai envie de poser.


Choses dites, et faites, le Duc s’en retourna vers Verbam restant debout, ne s’attendant évidemment à aucun retour de sympathie de la dame, mais il ne s’attendait point à n’en recevoir depuis un bien long moment – malgré le fait qu’il eut tenté d’être agréable et de teinter le cérémonie d’un peu d’humour.

-Messire, prenez en de la graine.

Dit-il pointant du nez la héraut.

-Laissons faire l’empoignade de main et le côté inutile du charabia essentiel mais dont l’heure n’est pas arrivée. L’anoblissement est chose importante dans la vie d’un homme, chose rare pour un gueux, et ce moment ne devrait point être oublié. Ainsi, permettez que je l’engraisse de force s’il le faille.

Avant toute chose, savez-vous ce qu’est la noblesse Verbam?


Il se tu, laissant la parole à l’homme. Un moment de distraction le fit penser à la héraut, c’était fou comment on pouvait le penser de mauvaise foy, et encore, sans doute n’était-elle point la seule à la penser – et au fond sans doute l’eut-il pensé lui-même dans la situation inverse, mais ne l’étant pas, il était des plus insultés.
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Theognis
Cavaliers galopant au centre d'une marée de chiens aux yeux pétillants, lancés à la poursuite d'un sanglier noir comme une tâche de suie....Portrait du Duc Jacknight aux dragons, du Duc Astérius et son sourire moqueur, de la Duchesse Djemilée, dit l'Orientale, qui lui attribuât le fief d'Arquian....Cavaliers à nouveau, mais entourés d'oriflammes et de piques, les bras cousus d'or il tirent sur des rênes d'argent et cabrent leurs chevaux aux sabots d'airain....Cadres rutilants ornés d'entrelacs floraux, énormes châssis de bois sculpté où s'étirent les arbres au feuillage clair, d'élégants personnages frais de visage et des animaux à l'impeccable pelage. Nulle auréole, aucun bréviaire, les compagnons de Saint-Bynaard peuplent les églises et les cathédrales de Bourgogne, point le palais.
Théo baisse le regard. Le bon Duc Vaxilart exprime ses griefs à l'Héraut de passage, dans un discours où perce la fierté bourguignonne. Le Baron approuve. L'insolente aurait mérité une bonne gifle, sur la joue droite pour son mépris affiché à l'égard du Duc, sur la joue gauche pour l'emploi d'un mot trop long pour être compris. Procrastination? Montereau grimace et se protège, par réflexe, les parties génitales.

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Partage des RP
Les Terres d'Arquian
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