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[RP] Cérémonie d'allégeance au duc Vaxilart

Verbam
Décidément pensa t’il, les hérauts et les ducs de Bourgogne une grande histoire.
Puis le duc l’interrogea sur la noblesse.


Ce que j’en sais votre grâce?, peut être pas assez encore car comme il faut forger pour être forgeron, il faut être noble pour acquérir entièrement un comportement noble.
Certain naissent noble, demande t’on au nouveau né ce qu’il sait de la noblesse?, non, il ne sais rien d’ailleurs, il apprendra grâce a l’éducation de ses parents.
Un nouveau noble lui va finir d’apprendre en côtoyant ses pairs.
La noblesse est gardienne de traditions et de valeurs importantes sans lesquelles même le codex le mieux écrit ne tiendrait pas car elle sont les fils invisibles dans la reliure.
Voilà pourquoi pour moi, dans les allégeances il a le respect, le suzerain incarne ces valeurs, l’esprit chevaleresque, l’amour de sa terre, la justice, le service bénévole et volontaire, la générosité…

La noblesse c’est aussi la bravoure et l’honneur sur les champs de batailles, un noble ne fuit pas le combat, porte fièrement ses couleurs.
Comment d’ailleurs pourrait il respecter une autre partie de l’allégeance, le soutiens armée a son suzerain, s’il n’en été point ainsi.

L’autre point des allégeances est le conseil, ce qui pour moi ne veut pas dire acquiescer aux décisions, mais en débattre, ensuite le suzerain fait se qu’il veux du conseil, en tiens compte ou pas, dire amen n’est pas pour moi donner conseil.
Ce qui est sur par contre, est que lorsque décision est prise elle ne soufre plus contestation.
Au delà des conseils, intimistes que donne un vassal a son suzerain souvent au sein de son conseil, la noblesse devrait aussi conseiller la population, enseigner, expliquer.

Voilà en fait la noblesse, est résumer par : respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium), bien sur il y a aussi un changement de façon de vivre, de comportement.
Enfin est surtout tous le monde ne deviens pas noble, que ce soit de naissance ou pas, il y a donc avant toutes choses la volonté divine.
Olivier1er
Sermages un demi sourire aux levres applaudit discretement à la tirade de Verbam. Ses gants étouffant le bruit, son commentaire en était plus sonore.

Belle description...l'inspiration...tout dans l'inspiration de franchir le pas !
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Vaxilart
Le Duc écouta sévèrement Verbam, retenant tout commentaire, et toute expression.

-Humilité. Dans les paroles et non dans les actes. Ne qualifie pas tes actions, laissent aux autres le soin de les juger.

Service. C’est cela d’être noble, être serviteur avant tout chose.


Si tu es prêt à embrasser cette voie, si tu es prêt à changer, réellement changer, alors à genoux fait moi réel serment digne d’un vassal et non d’un pantin.


À cela, il tendit une main vers l'homme.
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Verbam
Verbam remit genou a terre, et serra d’une main ferme celle du duc de Bourgogne.

A toi vaxilart mon duc et suzerain, ceci pour ton règne et ceux a venir, moi verbam en toute humilité, ayant entendu par le questionnement de mon suzerain, ce que l’on attends de moi déclare haut et fort.

Être prêt a assumer, les droits mais surtout les devoirs que m’impose mon nouveau rang, jure devant le très haut de toujours servir la Bourgogne, ceci dans la sagesse et point l’emportement, dans l’honneur et la bravoure et le respect de nos lois.


Il regarda le duc dans les yeux, et conclu

Point besoin de longueur dans la sincérité, alors une fois de plus comme déjà dit trois mots résume le tout.
obsequium, auxilium et consilium, je te le jure et promet a toi vaxilart duc de Bourgogne et suzerain, que si jamais je devenais parjure, que le très haut et les saincts prophètes me terrasse.
Vaxilart
Vaxilart acquiesça du chef. La suite était bien connu, et même que les mots commençaient à lui sonner creux dans la gorge, mais il fit un dernier effort pour bien signifier la signifiance de ces trois mots le temps de son serment.

-Et moi, envers vous, je jure protection, justice et subsistance. Que je finisse comme Gromukus si je devais à ce présent serment faillir.

Cela vous donnera les moyens matériaux d’être noble, vous serez le fonctionnaire. Être noble cependant est bien plus, et c’est à vous de le devenir et de prendre exemple sur ceux qui seront vos pairs.

Pour vous y aider, je n’ai qu’une seule réponse… Je tiens cette devise de mon père qui la tient lui-même de son père, et ainsi va, puisse-t-elle résonner dans vos tripes comme elle résonne dans les miennes : « La noblesse doit être un éperon pour la vertu et non un étrier pour l’orgueil. » Souviens-t’en.

Acceptez-vous ce contrat messire Verbam? Renoncez-vous ici et maintenant à votre liberté?


Voilà, l’affaire était presque conclu, une réponse, et il allait conclure l’affaire – conclusion qu’il attendait avec appréhension – avec une telle appréhension qu’il se questionnait sérieusement à propos de ses motivations profondes…
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Verbam
Toujours genou a terre, il écoutait le Duc, ses conseils et sa devise qu’il connaissait.
Lorsqu’il eut terminé, Verbam déclara.


Oui mon duc, ce jour je renonce a ma liberté et m’enchaîne a mon serment, a l’instar de votre devise, la mienne pourrait être

La noblesse doit être les rênes de la sagesse et non la selle de la suffisance.
Vaxilart
Le Duc évita de montrer quelconque sentiment sinon un petit hochement de tête d’approbation aux dernières paroles de l’homme. À dire vrai, il avait bien aimé cette courte devise, ce n’était point son esprit mal tournée, mais bien le fait que la farce était encore le genre prédominant à l’époque, mais principalement pour le double sens scatophile s’y trouvant… D’ailleurs, il se demandait si ce dernier avait été songé ou si c’était pur maladresse de son auteur…

-Et bien, messire Verbam, puisse-ceci être le dernier coup que vous laisserez sans réponse.

Et finalement, ce petit moment de déchainement que le Duc attendait depuis le début se présentait. Il fit un pas vers l’avant, et reculant son poing de l’avant vers l’arrière, il l’envoya de toutes ses forces dans la tronche de l’homme! Et boule (le narrateur poursuivant aura le soin de définir la suite de l'assaut)! Ah ce que ça pouvait faire du bien parfois! Bien heureux, sourire moquer en coin, il tendit une main à l’homme pour l’aider à se relever.

-Relevez-vous Vicomte de Chamilly, vous voilà frappé de noblesse. Faites-vous connaître de vos pairs désormais.
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Verbam
Verbam après les dernières parole du Duc, s’attendait au traditionnel baiser vassalique ou l’accolade, pensant que le duc n’opterait point pour le baiser.
En fait celui ci opta pour le poing qui vint se loger direct sur son œil gauche.
Il se sentit partir vers l’arrière avec une tendance a verser sur la droite, un bruit comme un craquement, puis comme un rideau rouge dans sa vision, un instant étourdit, il eu juste le temps de poser sa main droite a terre pour stopper le balancement qui voulait le mener dans une position fort peu a propos dans l’instant.
Sa main droite essuyait elle le sang qui coulait juste au dessus de l’œil.
Pour un peu il se serait cru a la soule, encore une arcade pensa t’il, pas pourri le duc, l’équilibre et les esprits étaient revenus, il vérifia si le nez était toujours a sa place habituelle, comptait avec sa langues les dents, ça semblait aller.

Il saisi la main du duc pour se relever, s’ils avaient été a la soule, il aurait profité de sa main libre, pour remonter son poing sous le menton du duc, histoire de lui faire sauter quelques dents, mais ici, ce n’est point la soule.

Une fois debout, s’épongeant toujours du bas des manches de sa chemise le sang dégoulinant de ses sourcils, sentant des gonflements autour de l’œil mais aussi de sa lèvre supérieur qui avait du en prendre aussi, il secoua une dernière fois la tête et dit.


Mon duc, vous avez raison, ce jour restera gravé a jamais dans ma mémoire et pour quelques jours, je pense être facilement reconnaissable grâce a vous, ceux qui entendront parler du vicomte de Chamilly ces jours ci, s’il ne me connaisse pas, il suffira de dire, c’est celui a l’œil au beurre noir, les sourcils et la lèvre enflé.
Je retiendrais de même la dernière leçon de cette méthode comment dire.. Particulière, un enseignement frappant, en effet votre grâce; je retiens que la noblesse, se doit d’être percutante et non molle.
Ylalang
Atterrée. Il n'y avait pas d'autre mot pour décrire l'expression sur le visage du Héraut. Attérrée par l'outrecuidance et l'insolence du duc de Bourgogne, atterrée par le serment de vassalité, et sa violente conclusion.

Elle n'avait pas daigné répondre au Duc bouffi d'orgueil semblant croire qu'il possédait la science infuse sur la notion de noblesse, levant les yeux au ciel en voyant la scène qui suivait.

L'air de rien, elle prit un vélin et commença à rédiger quelques mots dessus, avant de le cacheter avec de la cire rouge. Quelques minutes plus tard, alors que Verbam venait de se faire tabasser, une missive partit discrètement en direction de l'Hérauderie.

Décidement elle detestait vraiment ce duché.

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Vaxilart
Le Duc sourit de plus belle à la réaction du Vicomte. Bien qu’il eut fait ce geste sans hésitation aucune, geste qui était tradition familiale en matière d’anoblissement, ayant confiance en la robustesse bourguignonne, il ne pouvait s’empêcher de se remémorer la polémique qui avait entouré son fils alors qu’il anoblit conformément aux coutumes familiales un noble périgourdin… L’affaire avait fait moult remous, mais avait su rendre un père pour une première fois fier de son fils.

Se retournant vers la héraut, n’étant point du genre rancunier, où fusse seulement à cause des quelques verres de vin, il dit à la blague.


-C’est quand même mieux qu’un baiser non?

En fait, tout dépendait de la personne à embrasser, si c’eut été une de celles-ci : Armoria, Mallory, Ingeburge, Angelique, Sorane, Samsha, Nadkiroul, Poupounet, Frim, Nebisa, Juliette, Clothylde, Andreia, Breiz, Leapuce, etc, etc, il n’aurait pas rechigné à la tâche. Même, Saxaltesse n’aurait pas été si mal… Et même… La héraut, bien bâillonnée, il aurait pu lui donner de la langue! Évidemment, il garda ces pensées pour lui!


-J’ai vu le Comte Theognis entrer dans la salle voilà quelques minutes, nous officialisons son cas également?
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Verbam
Le sanglant vicomte, salua le duc et le héraut avant de se retirer de l’estrade.
Demanda a un domestique un peu d’eau chaude, quelques linges et un baume afin de stopper son hémorragie sourcilière.
Le duc semblait vouloir continuer avec le double baron Theognis, Verbam a cet instant se demandait s’il avait bien fait de demander l’octroi de fief pour l’ex régent, notamment s’il figurait dans la panoplie du duc le coup de pied dans l’entre jambe, histoire de tester le cri de guerre.
Il se rapprocha du buffet se fit servir un bon verre et regardait avec appréhension la suite des évènements.
Theognis
Evidemment qu'on officialise! Sacrebleu, vous voulez attendre que le cul me pèle?

Le Baron d'Arquian franchit en quelques enjambées la distance qui le sépare du Duc de Bourgogne et de l'Héraut de service. Son regard s'attarde sur la champenoise, avec une moue de dédain esquissée au coin des lèvres. S'approchant très près d'elle, si proche qu'elle peut sentir la chaleur du souffle de Théo sur son visage poudré, ses yeux la toisent et son corps animé de subtils frissons indiquent la violence des sentiments qui bouillonnent en lui. Lente et profonde déglutition, comme s'il avalait le crachat spécialement préparé à son intention.
Enfin, il s'écarte d'un pas puis se tourne vers Vaxilart.


Salutations, Votre Grâce. La Bourgogne se souviendra longtemps de votre éclatante victoire sur les pillards helvètes. Je me trouve fort honoré d'être fieffé de votre main, mais je voudrai remercier le Vicomte Verbam pour sa requête auprès de l'Hérauderie.

Salut de la tête en direction du Vicomte enturbanné, puis retour sur Vaxilart.

Avant de commencer, cependant, j'aimerai une explication.

Théo présenta alors l'édit héraldique qui le concernait.

Citation:
Nous, Legueux, dich Montjoie, Roy d’Armes de France

A tous que la présente liront ou entendront,

Adissiatz !

Par la dite présente, faisons savoir :

Que selon les textes & coutumes héraldiques en cours au sein du Royaume de France,
Qu'au terme de sa Régence sur les terres ducales de Bourgogne, Messire Theognis se voie octroyer le fief de Seignelay, fief élevé en Baronnie.

Qu'il portera "Chevronné d'or et de gueules, à la bordure engrelée et componée d'argent et d'azur. ", soit après dessin :




Qu'afin que nul ne puisse contester la vigueur et l'autorité de la présente, apposons notre scel,

Siaga atal.

Fach lo vint e quarten d'abrial de l'an MCDLVII en la gleisòla de sant Antòni lo pichòt
Fait le vingt quatrième de l'an d'Horace MCDLVII en la chapelle de Saint Antoine le Petit.


Regardez, sur ce beau vélin, le Roy d'Armes de France a cru bon d'écrire en sa langue natale languedocienne. Sur un édit officiel du Royaume de France! Alors que nombre de bourguignons sont morts en terre occitane, fauchés par d'impitoyables armées.

Je sais, mon Duc, que vous ne portiez pas Pignon et ses compagnons dans votre coeur. Mais ils offrirent escorte à la Princesse Armoria, quand elle était menacée de mort. Ils protégèrent la Bourgogne, quand elle était menacée d'éclatement. Ils étaient les héritiers de Jehan, dont le prestige et la gloire résonnent encore dans les châteaux de France et d'Espagne.

Tenant l'édit au bout du bras, il le montra à l'assistance, dans une posture dramatique.

Et voici que nous , bourguignons, devons lire cette langue honnie sur les prestigieux édits héraldiques? Nous, qui avons soutenu et aimé Pignon, malgré ses excès, malgré ses erreurs, nous devrions tirer gloire d'un écrit de la main de ses implacables ennemis? Du Languedocien sur cet édit! Le sang de Pignon, encore chaud du combat livré à 1 contre 10, a servi d'encre pour cette infâme machination. C'est la main du bourreau qui écrit la sentence: agenouille-toi, bourguignon, baise la main de celui qui te frappe!

Moi, Theognis d'Arquian, je réclame réparation auprès de vous, mon Duc. Pourquoi devrions-nous accepter que cette langue barbare ternisse ces marques d'affection et d'estime que sont les édits héraldiques? Sommes-nous en Languedoc, ou en Bourgogne? Ainsi, il me semble juste que cette langue d'oc soit remplacé par une langue d'oïl, le bourguignon-morvandiau, parlée par nos ancêtres depuis des générations.
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Partage des RP
Les Terres d'Arquian
Ylalang
Il était tard et elle en avait bien assez de cette bande de guignols. Elle allait répondre quand le Baron d'Arquian s'imposa, et tenta une manoeuvre d'intimidation digne d'une de ces étranges bêtes dont on rapportait l'existence, et qui se tapaient sur le poitrail pour tenter d'impressionner leurs ennemis. Au sourire dédaigneux, elle répondit par une expression narquoise.

S'ensuivit une diatribe sur l'édit d'octroi de fief, et elle retint un soupir d'agacement.
Qui finit suivi d'un pouffement de rire presque parfaitement dissimulé à la mention du bourguignon-morvandieu ? morvandiot ? comme les saucisses tiens ! Ah les saucisses, quel sujet de pensée passionnant, n'est-il pas ? Surtout pour la vicomtesse d'Avize. Elle avait déjà fait des poêmes sur ce mets délicat, grillé sur un feu de camp militaire.
Certaines paroles lui revinrent en mémoire, qui s'appliquaient bien à la situation : dans la vie, il y a les vivants, les morts, et les saucisses... Elle se laissa donc aller à quelques pensées imaginatives, la saucisse étant une grande source d'inspiration chez elle...

J'aurai pu dire... Oh! Dieu!... bien des choses en somme.
En variant le ton,-par exemple, tenez:
Agressif: " Moi, Monsieur, si j'avais de telles saucisses,
Il faudrait sur-le-champ que je les farcisse ! "
Amical: " Mais elles doivent tremper dans votre thé!
Pour boire, il faudrait que vous les mangeassiez ! "
Descriptif: " C'est une saucisse cocktail ! . .. c'est une francfort! . . . c'est une Toulouse !
Que dis-je, c'est une Toulouse ?. .. C'est une Morteaux ! "


Elle s'absorba un instant dans la pensée d'un de ces plats de saucisses dont le Vicomte de Juniville lui avait fait cadeau pour ses épousailles, avant de se dire que ce n'était pas forcément le moment.

Ce n'était même pas la peine pour elle de s'énerver devant cette provocation bourguignonne, une de plus, alors autant s'en amuser.

Le Héraut laissa le Duc se dépatouiller de la situation, levant les yeux au ciel et trouvant le plafond soudainement passionnant pour dissimuler son sourire...

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Erikdejosseliniere
Depuis le temps que Corbigny attendait, que des allegeances avaient passé, et de bien pires, que des hérautes comme elles pouvaient avaient officié, que ses entrées et venues et sorties -on ne fait pas la guerre au hérétiques comme on se croit vicomtesse-, enfin... Pensons, pensons, mais agissons surtout ! Profitant d'un instant de maugréétude de la vague femelle servant de... Zut... Erik n'avait jamais le vocable adequat dès lors qu'il s'agissait de cet art alambiqué de la héraldique. Il avait pourtant rédigé courrier à son duc, dès fois qu'il l'omisse, mais puisqu'il était là et que la cérémonie trainait, il advint qu'il s'avance, toute arme arborée :

Mon Duc !

Mes mots n'auront point déplacé la matiere et, oncques ne le comprendra, mais je vous ai aussi peu respect politique que je vous porte amité franche, tout autant que réciproquement. Or donc me faut-il vous avouer que ce poing par vous lancé, ce présent, me rang grace à mes yeux ! Voyez comme se peut situer l'allegance !

Un vague regard vers l'appointeuse des lys, là :

Ceci m'effraie que vous ne fûtes point bien secondé en votre mission -laquelle dure au-delà de ce qu'oncques vit- que vous n'en fûtes de rien en votre grâce. Mais je ne vous aboutirai point de quelque vers... Peut être que si, par la finalle :

Comme est là bien mauvaise langue
C'est par cette dame Ylalang
Qui vous enquiquina si bien
Qu'allegeances virent nulle fin !


Regard navré vers la dame... Puis amical vers Vaxilart :

Mon bi, tu permets que je te tutoies, et même si non, c'est trop tard. De toute maniere, je crains fort que la machine qui se situe à tes cotés n'ait définitivement jugé la Bourgogne, de toute maniere, s'il ne s'etait agit que de noblesse. Mais elle pense, la bougresse elle pense, elle ne semble faire que cela !

Or donc, conseil, aide et soutien, tu sais qu'au duc de Corbigny, tu peux le demander ! Baise moi le vassalique bidule, et qu'on en parle plus ! J'ai dit !

Vers Ylalang :

C'est quoi, vous, déjà ?
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Duc de Corbigny
Ylalang
Allons donc, voilà qu'un autre noble tentait d'avoir la vedette. Le Héraut décida que la comédie avait assez duré, et sans prêter attention au duc de Corbigny qui pérorait, remballa ses affaires, vélins et caducées, et ôta son tabard fleurdelysé. On lui avait demandé de se taire, et cela déplaisait tout autant que lorsqu'elle parlait. Il lui finit par lui demander son nom héraldique, et avec un sourire, elle lui répondit tout autre chose.

Vu l'heure tardive, je déclare la cérémonie d'allégeance close. Le Sieur Théognis, si il lui plait, se verra remettre son fief lors de la prochaine cérémonie d'allégeance...

Elle se tourna vers le Duc avec un sourire narquois.

Votre Grasce, salutations...

Sylvestre prit ses affaires, et traversa la salle d'allégeance bourguignonne vers la sortie. Pfiou, ça faisait du bien...
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