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[RP] Divorce à l’amiable.

Alatariel
Démunie, la duchesse fit ce qu'un angevin sait le mieux faire : boire. Elle ouvrit le tonneau servant au ravitaillement des assiégés et commença à remplir les gobelets en étain et alla rejoindre sa suzeraine et sa cousine par la fesse gauche.
- Quand je vous dis les mariages c'est que des soucis... Tenez, buvez donc un peu... vous pourrez toujours jeter le gobelet sur Cravan.
La logistique c'est important. Il ne faut jamais avoir soif.
- Encerclez la porte ! on sait jamais elle est peut être armée ! Les femmes devant, les hommes risqueraient de se laisser séduire par les mamelles royales !
Elle a oublié un truc, la momie. Ah oui ! merde. La couronne ducale et le collier de l'ordre du Lys. Rappeler bien haut et bien fort que personne n'a encore pensé à lui retirer son collier pour trahison. Voilà qui est important.
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Lafa_
Elle regardait la Reyne et acquiesçait. Et il lui en aurait fallu des tonneaux pour supporter la connerie de certains.
Autant elle avait eu de quoi s'énerver contre certains ex ambassadeurs autant son courroux n'était pas contre eux ... Ni contre les angevins et Dieu sait qu'elle ne les a jamais vraiment aimés.
Oh non elle n'en voulait pas à la Reyne non plus de l'avoir traînée dans cette galère. D'ailleurs elle fichait quoi ici elle ? L'Anjou ne fait pas partie des provinces étrangères et elle n'avait aucune raison d'être là.
Un rictus se dessina tout de même sur ses lèvres quand elle écouta Montjoie, le seul d'ailleurs durant tout le trajet.

Mais voila, elle fulminait contre celui qui l'avait faite tourner en bourrique pendant trois jours ... Trois longs jours et ses émeraudes sombres se posaient sur lui de temps à autre avec un froncement de sourcils réprobateur.

Ses pensées divaguèrent sur l'Anjou et elle était vraiment ravie de revenir sur des terres jadis ponantaises ... Non j'déconne !
Elle partageait l'avis de la Reyne concernant les gènes dégénérés des angevins et quand elle vit Falco, elle chuchota à Clichy oubliant ses griefs quelques instants ...


Il n'est pas beaucoup plus moche que lors de sa dernière venue à Thouars ... Ou alors on s'y fait ... Oui oui ça doit être ça.

Thouars ... Ou le brouillard angevino-poitevin et les "excuses" bidons à l'époque d'une Reyne consort (hein gnia gnia ?) et d'un Dauphin.
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Sancte
La France pouvait espérer faire ses choux gras de bien des territoires. Mais de l'Anjou ?! Sérieusement ? Soit la lumière n'atteint plus l'encéphale de Sa Majesté, soit c'est l'ombre que délibérément, elle recherche. Mais l "imputation" de la situation lui revient en partie. Après tout, n'a-t-il pas fait campagne à sa façon en faveur de cette siphonnée du bocal sous la régence de Lexhor ? Souveraine avec laquelle il est coïntéressé (hem). Mais contre toute attente, c'est l'épaulard de feu Eusaias qui se présente lorsque s'ouvre la portière devant le Drive où leur cocher a su faire halte avant qu'ils n'arrivent à destination.

« Alors ce sera ... Quatre maxi Best Of Deluxe. Thé glacé et patatozes. Avec quatre boîtes de six hash-browns, sauce barbecue. »
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Ninon_
[Château de Brissac, en haut des remparts]

Je tends l'oreille, je me concentre. Je mobilise à fond mes trompes d'Eustache pour ouïr et identifier les cahins, les cahas et les cahots trop sacrés pour être honnête.
Je me trouve près de l'homme de main Irlandais, un gros gras suifeux. S'il n'est pas à proprement parler simple d'esprit il n'en est en tout cas pas compliqué du bulbe.


- Reins sur les Maines, éloignez-vous du vestibule !

- C'est de l'Irlandais Mog ?

Non, il s'est juste emmêlé les syllabes. Un ordre vient d'en bas.

Vous pouvez leur ouvrir...

Je me penche, j'ai hâte de découvrir la polissonne souveraine depuis le temps qu'on en parlait de la potentate de France.

- Mog !!! Elle ressemble à quoi la Mage-Lestée ? Antinéa ? Nefertiti ?

Je conjugue le verbe regarder. je vois rien. Je vois plus Mog. Mais où est-il donc passé ? Ne serait-il pas en train d'aider ( à sa façon) la Gracieuse à se déclarer vassale de l'Anjou ? La bonne blague, c'est la dynastie qui risque de faire des couacs.
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Manuel.jose.paulo
[Sur les remparts avec le Chef Mog]

Ils suivent Mog, l'Ouvreur de porte, comme son ombre. C'est leur chef. Trois vieux bouts d'hommes qui causent beaucoup :

-Pourquoi qu'il bave l'chef quand l'type de la carriole il cause de "ach-braone" ?
-Il a la dalle...
-Quoiii ? L'chef il veut bouffer le type de la carriole ?
-Ah, ces irlandais et leurs drôles de moeurs...
-T'as vu la carrure du type ? Il l'aura jamais, hein.
- Il va s'rabattre sur nous. On est foutus.
- Arrête de raconter de la merde ! Il vient de manger la moitié d'un veau c'midi !
-Ah...


Nez levés vers le balcon où ils reconnaissent la Momie qui panique. Faut la rassurer:

- TOUT VA BIEN ! ILS CRÈVENT JUSTE LA DALLE...ILS VIENNENT DU MAINE, LES PAUVRES.


On se détend des braies.
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Finn
Fin de l’alerte, les trois nains de Brissac avaient parlé. Il était temps de débarrasser la grande tablée de la ferraille tranchante qui l’encombrait et de glisser une larme de whiskey dans le lait des lardons pour les plonger dans les brumes silencieuses du sommeil. Côté angevin, ça s'installait.
Coude sur la table et menton écrasé sur la paume, l’Irlandais se résigna à attaquer le tonneau à la louche entre deux regards vers les portes de la grande salle que ces messieurs les Français ne devraient plus tarder à faire chavirer. En espérant que leur Aveugle national ne les ait pas conduits à la cave…


Qu’est-ce qu’il lui arrive à la Reyne, faut faire chauffer l’appareil ?
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Angelyque
La reyne, alors que tout ce monde s'agitait, s'était rapprochée de Falco. Le temps semblait s'être arrêté. Lentement, sa main était remontée vers la joue de l'aveugle et l'avait caressée tendrement.

Remarquant du coin de l'oeil que l'épouse balançait des projectiles non identifiés dans leur direction, elle prit le bras de Falco et lui répondit.


Je suis bien heureuse de vous voir, mon Cartel chéri. Votre épouse est pire qu'une furie on dirait, c'est une harpie, doublée d'une mère maquerelle puisqu'elle vous envoie rapiner!

Menez nous donc à elle!


Un petit regard en arrière, le temps de vérifier que personne ne se soit fait la malle et elle commença à avancer.

Votre Altesse Sancte, on nous accueillera sans doute avec un festin. Soyez patient.
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Marzina
D'un oeil sidéré, la Blonde découvre que le rapiécé réussit à draguer malgré ses coutures. Elle a honte pour la pauvre Calyce, qui a épousé un mutilé en pensant qu'au moins on lui piquerait pas, pour découvrir ensuite qu'il arrive à charmer ses victimes malgré ses morceaux manquants. Par solidarité féminine donc, elle l'encourage:

"Visez les nichons, c'est des vrais!"

Mais voyant toute la clique descendre du carrosse, elle comprend soudain le drame qui est en train de se jouer: y'aura pas assez de buffet pour tout le monde!
Alors elle refile Nolan à son père pour se jeter sur le buffet:


"Vite MANGEZ! Y'en aura pas assez pour tout le monde!"

Le buffet en Anjou, c'est sacré.
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Calyce
L'alcool servi par sa super vassale lui a fait du bien. Et elle l'en remercie et redemande deux. Ça détend.
Au conseil Marzinesque, l'Archiduchesse opine. Viser les nichons, d'accord. C'est des vrais, ça fera forcément mal. Là.


-Faites moi un signe quand faut ouvrir les hostilités alors !

Sauf que l'Altesse-coach bretangevine s'est déjà fait la malle, poussée par l'appel du ventre. La bouffe, la vraie priorité (avec les écus). Celle pour qui on peut tout abandonner, y a qu'à voir le largage du môme dans les bras de son père. Ma-gni-fi-que. La Blonde était devenue angevine des orteils jusqu'à la pointe des cheveux. Faudra vraiment songer à lui offrir les prisonniers qui pourrissent en geôle pour l'aider à avancer dans ses expérience médicinales.

On verra ça plus tard parce que là faut se tenir prêt à faire face aux invités surprises. Qu'est ce qu'on leur dit ? Au choix :
-"Si c'est l'Poitou que vous cherchez c'est encore tout droit vers haut là bas" en leur donnant la direction de la Bretagne. Oups.
-"Si c'est Falco que vous voulez, faudra m'passer sur le corps...mais virez vos seins d'abord, qu'on soit à égalité. On a un bouch..chirurgien qui vous fera ça vite fait !" en montrant Marzina.
-" Vous avez faim ? On vend la miche de pain 500 écus !"
-"Le bonjour vôtre Majesté, en quoi pouvons-nous vous aider ?", diplomate, civilisée et tout.


Ou faire simple. Se concentrer sur celui qu'on connait. Falco. Afficher le sourire type de Bobonne contente de voir son mari rentrer après la chasse. Le tenter du moins parce qu'au final ça ressemble plus à la grimace de Bobonne qui voit revenir son cher et tendre en compagnie d'une brune à forte poitrine : :

-Mon époux...vous ici avec...avec...des gens...plein de gens.

Et de regarder brièvement les gens en question avant de s'arrêter sur la Reine sans se départir de son sourire-grimace.

-Bonjour hum votre Majesté. Falco ne rentre jamais bredouille de ses chasses mais si je m'attendais à un gibier pareil...L'Archiduché d'Anjou vous souhaite la bienvenue en tout cas et, si vous n'avez pas trop peur d'attraper la consanguinité qui se refile par notre vin, alors vous pouvez même prendre place à notre table...parait que vous avez faim...Vous pouvez tout manger sauf MON mari.
La fin est juste marmonnée en regardant le mari en question. Que des soucis, c'est Alatariel qui l'a dit !
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Angelyque
Toujours pendue au bras de Falco, la Mirifique darda son regard sur Calyce.

Bonjour, chère amie. Comme vous pouvez le constater, je suis venue sitôt avoir pris connaissance de votre dernière missive, afin que vous puissiez constater de votre propres yeux..La reyne plissa les yeux en se remémorant quelques petites phrases assassines contenues dans ledit courrier et releva le menton. ...que nous sommes encore en âge de procréer. Retrouver grâce à vous....Falco...est un pur bonheur. Merci à vous, donc. Comme vous pouvez le constater, je suis venue accompagnée d'une prestigieuse délégation, ils sont tous ravis de pouvoir témoigner du vif intérêt de la Couronne vis à vis de l'Anjou.

La reyne n'était pas la plus douée pour le blabla diplomatique, mais demander à Lafa de récupérer le bras de Falco afin de foncer tous ongles dehors sur Calyce afin de tenter de lui crever les yeux risquait d'être mal perçu, non seulement par les angevins, mais également par sa propre délégation, parfois casse pieds, qui risquait encore de lui reprocher de ne pas avoir fait preuve d'assez de classe pour une reyne de France.

Un petit sourire plein d'affectation aux lèvres, la souveraine inclina sa tête en direction de Finn et de Marzina, sincèrement heureuse de les revoir, et observa le reste de l'assemblée qu'elle ne connaissait pas encore de visu.


Votre bébé est toujours aussi adorable! On voit bien qu'il est né en Bourgogne, brave petit!

Et de tendre les bras vers l'enfançon, La Montestier était toujours émue devant un enfant.
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Finn
Après s'être attaché leur meilleur rabatteur de gibier, voilà que la France faisait à présent main basse sur les rejetons d’Anjou.

Sur la LOIRE, il est né sur la Loire…, balbutia aussitôt l’Irlandais, dans le déni le plus complet, en se laissant ravir des bras la graine irlando-bretonne. Il s’appelle revient.

N’apercevant pour l’heure que la Souveraine de Francie, et non encore l’épineuse délégation qui lui filait le train, Ó Mórdha lui témoigna toute sa déférence d’un sourire hémiplégique.

Quelle joie, Mamelue… Hum. Mamelue-Majesté. Voilà qui était moins crispant. D'ailleurs quand vous aurez cinq minutes, peut-être pourrons-nous évoquer le gros paquet d’blé que vous m’aviez promis en récompense à votre sauvetage marin.

C'est que le « héros » attendait toujours.
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Nolan.
Après son œuvre, son coup d'éclat, que dis-je, son exploit, Nolan fixait son père avec un sourire à la fois fier et vicieux. Voyant sa mère se diriger vers le buffet, il se souvint qu'il avait un peu faim, et se pencha en avant de tout son poids, bras et main tendue, afin d'attraper un truc à manger...Mais soudain son transport humain braqua sur la droite, et il se retrouva propulsé dans les bras du paternel.
Allons bon. C'est à manger qu'il voulait!

Très loquace ces derniers temps, Nolan expliqua à son père qu'il avait faim. A grands coups de "bagatoubo" et autres "baleubaleu", il montra la table de buffet, mit sa main dans sa bouche, et fit un "miamiamiam" de la bouche. Il crut voir une lueur de compréhension dans les yeux de l'Irlandais père, parce que celui-ci lui amena un verre de lait. Ne lâchant plus le verre des yeux, Nolan y apposa une main rendue baveuse par son explication et se mit à boire ce qu'on lui présentait. Ce fût un exploit qu'il réussisse à en boire quelques gorgées, car la majeure partie du verre finit par dévaler le long de son menton, et goutter sur ses vêtements. Ca ne le dérangeait pas, d'ailleurs, plus grand chose ne le dérangeait...
Une douce euphorie le gagna après cela, et bien que le monde devenait un peu plus flou, il afficha un sourire niais.

Cela ne s'arrangea pas lorsque quelqu'un s'approcha, et qu'il échoua dans d'autres bras. Y trouvant une assise confortable -Nolan avait directement posé la tête sur le sein le plus à sa portée-, il voulut remercier son nouveau porteur de sexe féminin, bien plus confortable que sa mère dont il avait tendance à sentir les os, et surtout, dont le parfum lui semblait étonnamment familier.
Lui lançant donc un regard aviné, fixant Angélyque dans les yeux, il se mit à lui parler. Comme d'habitude, il se contenta d'imiter son père, véritable modèle pour l'enfant, puisqu'il passait son temps à lui apprendre ses mauvaises habitudes. Et c'est ainsi que, fier de lui, sa petite main potelée agrippa la robe et qu'il lâcha en fixant la Reyne:


"Blééé blééééé!"

A un an, il apprenait déjà à réclamer de l'argent.
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Falco.
Planté bien droit au centre du capharnaum angevin habituel, il se tient silencieux le temps des présentations.
Sentant la reyne lacher son bras pour filer vers les bruits mouillés d'un gamin il peut enfin se concentrer sur son épouse.


Je vous rapporte ce solidus ma péouse en gage de notre union. Il appartenait à cette officier royal, Andaine, dont le procés vous faisait tant de soucis et tant crier coté Lys.. En bon Juge, j'ai fait bonne justice prés de Saumur.

Aprés une inclination du buste il tend la pièce à son archiduchesse d'épouse.

Brissac bruisse de bruits de mastications coté buffet et la suite royale se presse dans la pièce. Tout est en place pour un bon moment d'histoire.
Avançant d'un pas il tend le moignon vers Calyce, la sentant bouillir sous l'assaut des appâts royaux.

On tue leur cocher et on ferme les portes si vous le désirez mon calisson.
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Calyce
C'est qu'elle va finir par avoir des crampes aux pommettes à force de sourire comme une dinde. Mais que faire d'autre face au discours royal, hein ? Hocher la tête. Oui oui oui. Elle n'est pas si vieille que ça. Très jeune même si on la compare à Alatariel qui pourrait elle aussi procréer si elle le voulait... Mais pourquoi elle cause de Falco juste après avoir fait allusion à sa capacité de se reproduire ?

-Je constate, votre Majesté, je constate. Tout comme vous pouvez constater la pareille chez moi. Contente que vous ayez acceptée notre invitation...sans intermédiaires, tout ça, tout ça. Vous et votre délégation. On se détend des zygomatiques pour saluer la dite délégation d'une brève inclinaison du chef. Oh, des têtes connues qui la feraient grimacer un peu si son attention n'avait pas été toute attirée par le trophée de chasse rapporté par Falco. C'est trop bôôôô et ça tombe à pic puisque c'est de cette histoire de procès qu'étaient parti les derniers échanges Franco-angevins.

-Merci mon Époux. Vous faites le bonheur de deux femmes maintenant. J'espère que la craonnaise a couiné. Ah, la justice selon Falco ! Que du bonheur, oui. Une affaire de réglée et un solidus qu'elle fera monter en pendentif. Oubliée la jalousie, elle vient de récupérer le bras de son Manchot-juge , tout va bien. On va pouvoir causer sereinement. Je crois qu'ils sont là en amis, pas besoin de tuer le cocher encore...elle a le fils de Finn et Marzina dans les bras; On se croirait presque à une réunion familiale du dimanche. Ou quand l'Archi fait dans l'audiodescription. Et ce qu'elle décrit fait peur. Ce qu'elle entend aussi.

Regard effaré vers Finn tout en pointant du doigt le marmot qui commence déjà à calquer ses pas sur ceux de son daron. L'argent et les femmes : il a tout compris.
-Il est né dans les eaux bourguignonnes ?!
La honte !

Et puis pour Angelyque, en souriant presque aimablement sans lâcher le bras de son consort :


-Bon, maintenant qu'on s'est toutes les deux constatées, on prend le thé ?

Flippant on a dit.

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Alatariel
La duchesse est pantoise. Elle qui était tellement habituée aux manières maniérées des la Cours, avec son étiquette rigoureuse, en reste les bras ballants. "Ma chère Amie "? Et vas-y que la reine prends le mioche dans ses bras pour lui faire des risettes.

Et puis c'est le déclic, la Reine des momies fait ce qu'elle sait le mieux faire : boire. Mais avant ça faut y mettre les formes.


- Le thé ? Alors qu'on a fait monter une cuvée spéciale de coteau de layon... un réserve Cheeky ?
Alatariel exécuta une révérence irréprochable, malgré l’arthrose. Les tisanes de Ninon faisaient leur effet.
- Votre Majesté, Alatariel du bois doré Penthièvre, Duchesse d'Anjou. Je vous présente Son Archigrâce Tiss de Reikrigen, Duchesse du Plessis Macé, Vicomtesse de Blou, Vicomtesse douairière d'Andigné et Baronne de Coron, les autres vous les connaissez je crois.
Se tournant vers la table prise d’assaut par l'Irlandais.
- Si vous voulez vous restaurer en discutant avec l'archiduchesse nous avons du vin, des chouquettes, du culs de veau, des rillauds et des rillettes de mainnois, du paté de cochons de chez Abraxes ... et du thé aussi si vous préférez.

Joignant le geste à la parole, la duchesse pillé de comptoirs commence à remplir les verres en argent ciselé.


edit : je suis une boulette, cohérence tout ça tout ça. pardon;
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