Rackam__frost
Décidément messire reviel avait le don mais bon il laissa dire tout compte fait préférant ne pas en rajouter car le calme devait revenir sur cette place.
Il fit un sourire entendu afin de calmer l'ire de la duchesse de crécy et remercia de la tête Yunab, pour lui faire comprendre qu'il était de son côté.
Puis le retour de Dame Ulis avec une question à la fois pertinente et à la fois je rentre les deux pieds dans le plat fit s'arreter le duc sortant. Il se retourna, et il lui sembla que cette question devait être répondu par lui même.
Il lui sourit de façon poli et non de façon hypocrite puis lui dit:
"Dame! Je vais de ce pas prendre la parole sur ce sujet, car j'y suis directement impliqué. Du moins pour une partie.
Pour ce qui est de la Bretagne. C'est une question qui implique le Dr en son entier. Le roy a fait un rapprochement plus qu'encourageant et nous entretenons de bon rapports.
Pour ce qui est de l'Artois ensuite, notre souverain a fait un signe fort de rapprochement avec le comté, il a d'ailleurs rendu public une annonce d'apaisement entre le royaume de France et sa province.
Je vous ai dis donc, que cette question m'impliquait directement, car le rapprochement avec l'artois s'est fait en douceur depuis des mois, par mon intermédiaire. Nous y avons avec son excellence Francus, des relations très courtoises. Enfin nous éspérons vivement que nos deux provinces iront vers une paix durable ainsi que le Dr entier.
Biensur, Dame, La question de diplomatie que vous avez souligné, est une question diplomatique royale. Vous comprendrez donc, que nous ne pouvons pas aller au delà de la volonté de sa majesté. Des personnes donc ont l'appui de notre Roy afin d'amorcer des discutions de paix et nous devons prier pour soutenir ses gens.
Par la même, J'ai eu une discution avec sa grasce Yunab sur ce sujet afin de la tenir au courrant, puisqu'elle prendra bientôt ma place. Ainsi j'espere que dans les prochains jours elle pourra annoncer au conseil tout entier et aux habitants de Champagne une bonne nouvelle.
Vous comprendrez donc que je ne puisse pas en dire plus car je ne peux parler au nom du roy, ce serait présomptueux, et que les discutions entre les grands feudataires du royaume ne peuvent pas être divulgués en place publique."
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Il fit un sourire entendu afin de calmer l'ire de la duchesse de crécy et remercia de la tête Yunab, pour lui faire comprendre qu'il était de son côté.
Puis le retour de Dame Ulis avec une question à la fois pertinente et à la fois je rentre les deux pieds dans le plat fit s'arreter le duc sortant. Il se retourna, et il lui sembla que cette question devait être répondu par lui même.
Il lui sourit de façon poli et non de façon hypocrite puis lui dit:
"Dame! Je vais de ce pas prendre la parole sur ce sujet, car j'y suis directement impliqué. Du moins pour une partie.
Pour ce qui est de la Bretagne. C'est une question qui implique le Dr en son entier. Le roy a fait un rapprochement plus qu'encourageant et nous entretenons de bon rapports.
Pour ce qui est de l'Artois ensuite, notre souverain a fait un signe fort de rapprochement avec le comté, il a d'ailleurs rendu public une annonce d'apaisement entre le royaume de France et sa province.
Je vous ai dis donc, que cette question m'impliquait directement, car le rapprochement avec l'artois s'est fait en douceur depuis des mois, par mon intermédiaire. Nous y avons avec son excellence Francus, des relations très courtoises. Enfin nous éspérons vivement que nos deux provinces iront vers une paix durable ainsi que le Dr entier.
Biensur, Dame, La question de diplomatie que vous avez souligné, est une question diplomatique royale. Vous comprendrez donc, que nous ne pouvons pas aller au delà de la volonté de sa majesté. Des personnes donc ont l'appui de notre Roy afin d'amorcer des discutions de paix et nous devons prier pour soutenir ses gens.
Par la même, J'ai eu une discution avec sa grasce Yunab sur ce sujet afin de la tenir au courrant, puisqu'elle prendra bientôt ma place. Ainsi j'espere que dans les prochains jours elle pourra annoncer au conseil tout entier et aux habitants de Champagne une bonne nouvelle.
Vous comprendrez donc que je ne puisse pas en dire plus car je ne peux parler au nom du roy, ce serait présomptueux, et que les discutions entre les grands feudataires du royaume ne peuvent pas être divulgués en place publique."
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