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[RP] Angoulême, acte 1 scène 1 : prémière!

Fitzwill
L'Ours de Bergerac, se réveille ce jour, un peu plus tôt que d'habitude. Sans doute l’appréhension de la journée à venir perturbe son sommeil et le fait se lever avant l'aube, alors que le soleil lui-même, en fin d'été, commence à se faire sentir plus fainéant, repoussant jour après jour son apparition. Il fait encore sombre donc même si le ciel s'éclaire déjà et que nul nuage ne se profile à l'horizon, par la fenêtre de la chambre numéro 3 de l'auberge où ils dorment, sa princesse et lui. Le temps s'annonce clair et dégagé, parfait pour ce qui est prévu aujourd'hui. La Princesse, Sa Majesté des mouches dort encore sur le ventre, le drap recouvrant le bas de son dos jusqu'au genou d'une jambe, jusqu'au pied de l'autre. Ses longs cheveux bruns cascadent sur ses épaules et autour de son visage. Le Bâtard, qui se fait lui-même appeler Grout dans cette ville aussi calme que monotone décide de la laisser se reposer encore un peu. Sans se priver, il laisse l'astre divin entamer sa longue courbe et profite de la vision magnifique. La belle jeune brune est son Unique, celle dont on parle dans les manuels. L'autre « je » qui forme le « nous » dans les belles histoires. Ce repos qu'elle semble apprécier, au petit sourire qu'il remarque sur ses lèvres, est celui de l'amour. Pas celui, physique, qui épuise les corps mais celui, spirituel, qui unit deux cœurs à l'unisson. C'est celui-là qui épuise le plus, car c'est celui-là toujours qui fait rester les deux âmes à discuter jusque tard dans la nuit. Si bien qu'un matin, plus dur est le réveil. Mais comment et pourquoi le lui reprocher ! Après tout, la soirée sera riche, en action, en émotion, peut-être même en hémoglobine. Il attrape un vélin vierge de toute écriture et une plume qu'il trempe dans un pot d'encre, rédige un petit mot qu'il dépose ensuite sur son oreiller délaissé.



« Princesse,
Tu étais bien trop jolie, endormie, pour que je ne te réveille.
Aussi, je pars cueillir assez de fruit pour tenir le siège.
Nous nous verrons ce soir.
Puisse le Très-Haut te préserver.
Fitz. »


~~~ ~~~ ~~~

Le soir venu et la bise vaincue, le grand Blond à la barbe broussailleuse et piquante se poste sur la place Bouillaud, derrière le château de la mairie. Un regard vers le ciel, lui montre que le soleil qui tardait à pointer son nez le matin, ne prend pas autant de temps pour se barrer. La lune, à l'opposée, montre déjà son museau pointu de croissant. Il est presque temps. Temps pour le rendez-vous. Sous ses épais sourcils, Fitz regarde à gauche à droite. Il est en avance et ne connaît pas tous ceux qui doivent venir, néanmoins sa Princesse doit être là. C'est elle qui l'a prévenu, qui lui a indiqué le lieu et le moment. C'est elle qu'il suivra, qu'il défendra, qu'il protégera, jusqu'à la mort, si jamais celle-ci se présentait devant eux. Le bergeraçois attend donc, que l'un ou l'autre des participants arrive. Qui sera le ou la première ? Enfin le ou la second en vérité, puisque c'est lui le premier ! Son regard parcoure l'immense château avec anxiété. Lui qui n'a jamais dévié du chemin qu'il s'était fixé : il enchaîne depuis quelque temps, les imprévus. Mais depuis qu'il sort de ce « destin » tracé, il vit véritablement. Il respire l'air, comme si c'était la première fois, contemple le monde, de ses iris marrons avec un appétit qui n'a d'égal que celui de son ventre, véritable ogre de goinfrerie. Il profite de chacun instant, qui lui est donné, et ce, grâce aux personnes qui l'entourent. Voila qu'une personne arrive, qui est-ce ?...
Daisy.black
[L'avare de l'encrier]


Les quelques semaines qui étaient derriere elle, avaient été assez médiocres mais bon c est vrai que parfois la brigande avait tendance a empiler les emmerdes mais ca ne pouvait etre qu autrement avec le sale caractere de chieuse qu elle trimbalait depuis des années .

Ya a peine quelques jours,la belle etait encore chez les nonnes entrain de les faire damnés..discutant et argumentant sur tout et rien..bah oui déformation professionnelle...
Un courrier arrrivait..s était elle..sa chiasse de soeur..cette petite peste qui avait eue l audace de la déranger pendant cet obstinage Ombrellien.

Lettre tres courte..a croire qu elle s emmerdait presque a jeter l encre sur le velin..quelques mots cracher ici et la..mais quelques mots qui étaient franc et direct sans plus...




Citation:
Expéditeur : Sohane de Vitalis Da Roma Black
Date d'envoi : 07/09/1462 - 10:41:24
Titre : salut !
Si tu veux prendre Angoulème c'est maintenant
Grimpe avec nous, départ ce soir ou demain grand maximum


Bah..s était sa soeur et la jeune crapulette connaissait les envies démesurées de Daisy pour les prises de mairies..elle en bavait..en redemandait.. jouissait
Alors sans plus tarder,elle prit son barda..c est a dire tres peu de chose et sauta dans la charette le soir meme..entassée les uns contre les autres et chantonnant une chanson paillarde.



[Quelques jours plus tard]

La nuit tombait..un vent d automne se faisait frisquet mais la fausse rousse se devait etre au rendez-vous.
Le rouleau a pate d une main et une pince a rideau de l autre,elle marchait furtvement le long d une ruelle ne laissant que son ombre sur le mur de vieilles pierres défraichit par le temps.

Les claquements de talons..le froissement de ses jupons la faisait grogner..


-Foutu juponnage de donzelle!!!..j'vais me faire repérer..c est sur que je vais me faire repérer

La fausse rousselette apercut des vetements d hommes qui pendouillaient a une corde et qui se faisaient séchés au gré du vent..elle agrippa les torchons..s installa sous un escalier ..retira ses guenilles de femelle pour faire glisser les vetements qui etaient beaucoup trop grands pour elle.
La belle roula les deux manches de la chemise.. se noircissa le visage avec de la terre..remonta ses cheveux sous un chapeau et retena ses braies avec la meme main qui tenait la pince.


-Humm!..y a pas a dire..j ai l air d un homme!

Elle tourna le coin et longea la rue principale d un pas décidé avec ses vetements de males mais avec un déhanchement chalouper ce qui rendait la chose assez risible au final.
Le blond etait deja la...bin oui..surement son premier coup celui la..un vrai novice


-Tiens te voila..l'gros!!!
-Mais qu est ce que tu fou??..reste pas ici a poirotter...tu devrais aller faire le beau et demander des infos!!!




_________________
[/URL]
Sohane
    7 Septembre 1462,

    Ville dont aucune carte ne fait mention - sans doute est ce une des raisons pour laquelle la Jeune Sohane s'y est installée -, la châtaigne envoie ses courriers. Y en a marre de traîner à ne rien faire. Didi qui déprime chez les nonnes, les parents endormis à Limoges.. ça sentait le sapin tout ça. Et So n'aime pas s'ennuyer. Les courriers sont envoyés. Brefs. Concis. Son contact au Périgord lui répond qu'il faut se grouiller, ce qu'elle fait. Presque tout le monde est embarqué, y a pas à tortiller du cul pour chier droit, y a surtout pas le choix.

    8 Septembre 1462 ~ Arrivée sur Angoulème.

    Sohane devient Stephanie, Princesse de Monaco - que le Prince Adrian lui pardonne - et Fitz devient Grout, personnage de son invention, une espèce de fou à la logorrhée amusante. Grout c'est son homme.. enfin Fitz. Dire qu'il y a quelques semaines, elle était mariée à un autre.. Mariage qui prit l'eau le jour même de la cérémonie. Blasée, elle s'était jurée qu'on ne l'y reprendrait plus. C'était sans compter le barbu blond qui allait lui voler son coeur. Angou donc et la première approche vers les habitants. Mais ce ne sera pas pour ce soir. Il faut attendre.. être patiente.. calculer.. ne rien perdre de vue. Mais surtout attendre les retardataires.

    Alors ils passent leur temps à converser, à boire, à faire ripaille tout en étant distrait ludiquement parlant par le chef maréchal Math, amusée La princesse par l'air faussement affable du sieur qu'elle a connu ailleurs.. sur d'autres remparts. Mais rien n'y fait, la châtaigne la veut cette mairie, juste pour lui montrer que ce qu'elle veut, elle l'obtient.. et si ce n'est ce soir, ce sera un autre jour.. une autre fois. C'est une acharnée la petite. Et cette fois ce n'est pas un caillou dans le dos qu'il recevra, c'est son sourire satisfait qu'il retiendra quand il chutera du haut des remparts.

    9 Septembre 1462.

    Ils sont sages. So suit des cours à l'université, se propose même comme enseignante quand quelques lieues plus loin, dans un village peuplée d'irréductibles Périgourdins de souche et de coeur s'organise une rébellion que la jeune fille devenue femme aurait adoré mener. Les retardataires sont arrivés au petit matin, mais malheureusement il n'y a pas qu'eux. L'alerte est donnée : un groupe de brigands viendrait de passer les frontières. La chance tourne t-elle ?

    10 Septembre 1462

    Elle tâtonne la place à son côté.. grommelle en saisissant le feuillet qu'elle ramène devant ses paupières entrouvertes. Battements de cils répétés pour sortir de sa léthargie et découvrir le message. Un sourire emprunt d'ironie, elle bondit hors du lit et enfile une simple robe de coton avant d'aller dans la salle de l'auberge où l'on sert à toute heure de quoi se restaurer. C'est qu'elle a de l'appétit la petite. Parfois, elle lève les yeux de son omelette aux truffes pour les plisser devant les regards qui la transpercent. La journée promet d'être longue.. Sohane fait un tour de marché comme chaque jour puis revient sur ses pas. Elle prend son temps, se délasse dans un bain à peine chaud, noue ses longs cheveux en un chignon lâche, enfile des braies et chemise noire et devant le miroir de leur chambre , installe sur sa tignasse quelque peu domptée, le tricorne chéri à la plume bleue assortie à ses yeux.

    Le soir tombe, le nez à la fenêtre Sohane Vitalis Da Roma Black contemple les quelques lumières qui vacillent dans les chaumières. Une profonde inspiration plus tard, la voici qui descend les escaliers, ouvre la porte et disparaît dans la nuit. A peine quelques minutes plus tard, elle aperçoit Grout discutant avec un homme. Elle reconnait non sans mal sous la noirceur du visage, sa soeur Didi. Las Bandidas sont enfin réunies. Cela fait combien de temps déjà.. Moulins..? Chateauroux ..?
    Elle sourit la petite, elle sourit. Enfin de l'action et pour couronner le tout, avec ceux qu'elle aime le plus au monde. Il ne reste plus qu'à attendre les autres, et de lancer le signal.

    - Prêts ? Un sourire vers Fitz. Il faudra fêter ton baptême comme il se doit.. Didi tu es.. magnifique !

    Les yeux à présent tournés vers la cible, elle peut sentir le sang circuler dans ses veines, les épaules se relâchent après une profonde respiration. Allez demain, ils brandiront l'étendard du Périgord libre.. ou pas.

    « Une mauvaise action trouve toujours sa récompense. » Audiard
Paine
7 Septembre à l'Auberge du Maitre

Tss il gueule encore !? sa va encore me tomber dessus j'en suis sur ... je l'approche sur la point des pieds ne savant pas trop comment il allez réagir, puis j'ose me diriger à lui

- Maitre ? des mauvaises nouvelles ?

Il me regarde avec ces yeux globuleux avant de s'adresser à moi comme à un chien sans maison, pire même car sans doute aurait'il plus de considération pour la bestiole .

- Missive de la brune, elle me demande de surveiller les routes, croit'elle que j'ai que sa à foutre ma parole !
Elle et ces fichu pressentiments, je sais bien moi ce que je lui ferait pour passer cela! Quel idée ai-je eu d'un jour croiser ces jupes!


un haut de cœur me remonta au moment ou il cracha en finissant sa phrase, quel porc si je pouvait... ah oui si je pouvait je partirais loin, loin de lui si seulement ma mère ne m'avait pas vendu pour quelques poignais d'écus .

- Mais t'ai encore là toi ?!?
File te cacher sur un arbre et mate chaque entrée et sorti dans le village, ta pas cru qu'allez être moi qui aller faire cette besogne !
Je veut un rapport tout les 4 heures des moindres changements, et si tu t'endort gare à toi ! La cave ti attendra en plus du fouet!


- Mais Maitre j'ai même pas ... j'ai pas manger, je suis fatigué mais sa grand porc j'en suis sur que tu t'en fiche ... Manger .

- Tu mangera quand tu aura fait ton travail ! Maintenant sort d'ici avant que je ne joue du fouet! Et oubli pas chaque entrée et chaque sorti même la couleur de leurs braies je veut !

Un morceaux de miche jeter au sol, je me dépêcha de la ramasser et sortir au plus vite du devant de ces yeux, les larmes me submerger, mais à quoi bon, mon destin était ainsi et puis sans doute avait'il pire ... mais mieux sur,
un jour je porterais une belle robe ! une pensée joyeuse et elle ai parti aux abord de la ville zieuter les beau et pas beau.


Assise dans la branche le moins solide

Charbon en main, je dessinais comme je pouvait les passages. Si je travaille bien, peut être que la brune me voudra prés d'elle des pensées qui me lâche pas.

Premier rapports fait et hop me revoilà sur l'arbre... Pour sur mon cul va être endolori à force de rester ici, mais m'en fiche au moins je me tape pas la corvée de laver les pieds de l'autre berk ...

Et j'aime bien les voir passer eux, même qu'ils tente se cacher pour certains mais je t'ai vue, nananere !! ....

La nuit qui tombe 4 rapports de donnais, la fatigue ... je tombe de sommeil, pas dormir non pas dormir, sinon bang vais tomber et me ramasser dans la buse ... un œil fermer et l'autre à moitié j'essaye oui j'essaye de tout noté ...

Le jour se léve aie encore des arrivées vite, vite faut que la brune le sache qu'elle avait raison ...
Sohane

    11 Septembre 1462
    03h59


    Seuls leurs souffles indiquent leurs présences pour le moment.
    Au départ quand vous prenez une mairie, la logique veut que vous le fassiez avec une certaine discrétion, on ne se fait pas repérer, on ne parle à personne ou alors en jouant les naïves mais c'est sans connaître les filles Black. Et puis elles ont sur leurs carnets de bal tout un tas de noms de mairie bien raturés, signe qu'elles n'en sont pas à leur coup d'essai, loin de là. Têtues, ambitieuses, leur beauté - si si ! - n'a d'égal que leur soif de posséder pour le plaisir. Et cette mairie ne sera rien de plus demain qu'un autre nom barré sur le vélin.

    Mais elles ont oublié un détail. Une faille. Toute petite.. minuscule, un trou dans leur plan : la défaillance de quelques uns des leurs qui au lieu d'être au rendez vous, dorment du sommeil du juste parce que Sohane dans sa précipitation, s'est trompée de jour.. Mais ça la légende ne le dira jamais. Un plan réussi est toujours sans accro, et celui ci n'en demeure qu'un de plus trop facile.

    - Les autres sont surement déjà en place..

    Elle se mordille les lèvres, un truc qui cloche, elle ne sait encore quoi, mais une boule se forme à son estomac. Et si elle les mène tout droit vers une défaite, garderont ils confiance en elle ? Un baiser au coin des lèvres de Fitz tout en étreignant sa main, plus tard.." Reste bien avec moi.." c'est qu'elle s'inquiète pour son barbu.

    L'assaut est lancé, un regard vers la frangine, et le petit groupe entoure la mairie. Quelques gardes.. trop de gardes. La porte résiste, le maire a surement entassé derrière celle ci tous les meubles du charpentier local.


    - Laissez ma ville tranquilleuuuh !
    - Jamais !
    - Mais euuuuh ! j'vais l'dire ! Gardes ! Gaaaaardes !!

    Et les gardes débarquent et les noms d'oiseaux s'élèvent dans le ciel d'Angoulème au son des cliquetis de l'acier s'entrechoquant, des tabourets lancés dans les fenêtres.. si la porte ne s'ouvre pas, faut bien entrer par quelque part !

    - Didi qu'est ce tu fous ?!! Pitiiiin mais arrête de tricoter cette serrure !
    Haan Tention derrière toi , un garde !! Tin d'pitin mais ils sortent d'où ?


    Oui hein.. ils sortent d'où ? ils se sont multipliés dans la journée ou quoi !!! Des retraités réveillés comme par miracle, nom d'nom ! Le plan sans accro ce ne sera pas pour ce soir. Attrapant la main de son blond elle l'entraîne contre un mur pour le protéger des flèches décochées vers eux et des caillasses balancées du haut des tourelles par la mère Michelle.
Daisy.black
[Je hais les serrures]

La frangine nous fit enfin l honneur de sa présence ce qui n était pas trop tot d ailleur...vetue de noire de la tete au pied comme si elle s'enlignait pour un enterrement une maudite bonne chance qu elle avait calée son chapeau d épouvantail sur la tete avec cette espece de plume ridicule qui lui retombait de temps a autre sur le visage...car on aurait pu croire a un cortege funebre
Mais elle était sa soeur et faut dire que la fausse rousseline n'était pas arrangée pour dire quoique ce soit avec ce qu elle trimbalait comme vetement.

Quelques personnes les entouraient..certains visages connus et d autres qu elle n avait jamais croisée auparavant enfin si s etait le cas..elle s en serait souvenue..quoique...
Le signal etait lancé..enfin disons qu ils avaient été repérés..la belle écarquilla ses yeux noisettes et fronca les sourcils en remarquant le regard interrogateur de la cadette Black.

Fallait bouger...articuler..foncer...détruire tout ce qu il y avait a détruire..elle bouscula le couple et forca la serrure avec la pince a rideau mais rien a faire..la poignée ne voulait pas cédée sans doute la rouille et le mauvais temps qui avait fait du ravage.
Un brusque coup de hanche..un coup d epaule..les fléchettes qui virevoltaient de part et d autres..


-BATINCE!!!....FAITES QUELQUES CHOSES!!!..BANDES D 'INCOMPÉTENTS!!!
-Détache ton corsage la soeur..Montre leur tes nénés!!!!..ca va les ralentir ..DIANTRE!!!


La belle crapaude agrippa un tonneau vide qui se trouvait sur son chemin..le souleva a bout de bras et fracassa la fenetre avec toute la force que pouvait ce petit bout de femme haute comme 3 pommes.
Mais..le souffle entrecoupé..elle n avait pas remarqué le milicien qui etait derriere elle..le costaud fit tomber el chapeau de la donzelle


-HEYYYYY!..R'gardez ca!!..C est une gueuse!!

Il l empoigna par la tignasse et la ramena brusquement contre lui tout en glissant une main entre ses cuisses pour la peloter .
Daisy lui cracha au visage et profita de la distraction pour le bousculer


-J'fou l'camp d 'icitteeeeeeeeee!!!!
-Pas envie d'me faire culbutée par ses vauriens!!!


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Fitzwill
La nuit, n'est qu'une brève partie de la journée. Mais dans le quotidien d'un voleur et d'un brigand, ça en est le principal intérêt. C'est dans le noir, dans l'obscurité, que se déroulent les forfaits, ce n'est un secret pour personne. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'en général, les maires payent des maréchaux, qui protégeront sa mairie pendant qu'il dormira. Dans cet interlude lunaire, Fitz accompagne les Black, et quelques autres énergumènes qu'il ne connaît nullement. Pour l'occasion, il a revêtu des braies noires et une chemise noir. Sous le tissu, il porte une côte de maille qui lui descend jusqu'aux genoux et à sa ceinture trône une épée de fortune dont il ne sait même pas se servir. Lorsque l'homme l'accoste, il n'a pas le temps de répondre que sa princesse déboule aussi, reconnaît sa sœur travestie, et lance l'assaut en supputant que les autres compagnons sont déjà en place autour du château. Curieusement, l'Ours-Blond, qui n'a encore jamais dévié du droit chemin, ressent une excitation à nulle autre pareil. Ce n'est pas sexuel, ni bestial, c'est sanguin. Il sent ses muscles de tendre, se détendre. Il entend son cœur battre dans le silence de la nuit. C'est à peine s'il sent le baiser de la Princesse sur ses lèvres soudées, mais il répond à son regard, la caresse d'un sourire tendre, et mâche sa réponse : « Je ne te quitte pas ».

L'assaut est lancé.

En suivant la chieuse, il porte la main à la garde de l'épée, qu'il dégaine dans un mouvement maladroit. Il manque de se couper l'autre main en tenant le fourreau. Il marche, ne courre pas. Il continue, en avançant de repérer les lieux. Dans le plan de la brunette devant lui, seuls deux ou trois gardes tiennent le poste tandis que deux autres patrouillent dans le château. Le maire n'y est pas en tout cas, c'est ce qu'elle assure. À mesure qu'ils s'avancent, il remarque pourtant aux meurtrières des tours des flèches qui dépassent. Un, deux, trois... trois carquois qui les visent, mortellement. Horrifié, il presse le pas pour mettre à l'abri sous le portail de la porte, d'abord sa princesse, sa sœur, puis lui-même, fermant la marche. Aux difficultés que rencontre Daisy, le Bâtard blond préssent l'entourloupe. Quelqu'un a-t-il vendu la mèche ? Combien sont-ils de l'autre côté de cette grande porte à les attendre pour les massacrer ?

La défaite est inévitable.

Soudain, des cris retentissent. Des hurlements de courage. De l'autre côté de la porte, un ordre est donné. Ils ne doivent pas passer. Une dizaine de soldats en armes débarquent derrière eux, les prenant à revers, contre la porte. Le premier est déjà sur Fitz. Il pare le coup tranchant de son adversaire, avec suffisamment de puissance pour le faire reculer et enchaîne miraculeusement avec une mouvement tranchant qui lui entaille un bras. L'inconnu tombe à la renverse et se met à crier de douleur. Le Bergeraçois n'a pas le temps de maudire son bras, qu'un homme le dépasse et qu'un troisième l'attaque. Ils doivent se défendre. Il recule alors et se fait happer soudainement par une main qui le plaque au mur. C'est sa brune. Deux carreaux sifflent près d'eux et se fichent dans le sol à leurs pieds. Pas un mot. Juste un regard pour la jeune fille, à peine assez âgée pour aimer, mais déjà si mature, dont les yeux reflètent la grandeur d'âme. Ils se comprennent, ils doivent filer. Sa sauver. Survivre.

La retraite est l'unique solution.

Le Blond aperçoit sa belle-sœur aux prises avec un maraud qui ne manque pas de lui ficher son poing dans la figure. Le chapeau vole, la chevelure aussi. Agrippée elle manque de passer sous le corps de l'énergumène. Mais d'un revers de fortune et à l'aide de sa salive, elle est déjà loin heureusement. Fitz saisit la main toute fragile de sa dulcinée. Il se met à courir, en longeant le château pour rester hors de portée des arbalétriers. Sur leurs talons, une demi-douzaine de maréchaux leur courent après. Ils n'ont pas le choix. Les semer, pour passer la nuit.
Desiree.black.
Être ou ne pas être
Brigands ou pas
Voila après des années à faire une vie des plus droite à se faire traîter de brigand sans l'être. Avoir travailler à la sueur de son front pour acquérir ce qu'elle possède. La brune en avait gravement marre de tout elle alla se lancer dans les prises de mairies.. Est-ce par besoin d'écus, non aucunement, est-ce pour se faire connaître surement pas puisque partout ou elle allait elle était sous surveillance..C'était plus amusant qu'autre chose en fait.
Solidaire au clan, oui sa famille était plus importante que n'importe quoi sur cette terre. Alors c'était maintenant que la brunette sortait sa nature si longtemps enfoui en elle . Elle alla affirmer le fait qu'elle serait brigande à part entière.

le 10 septembre.
C'était la date ou la prise allait l'entraîner dans sa nouvelle vie. Avait t'elle peur non elle avait confiance en chacun des membres de sa famille. Ils avaient toujours été la, et elle savait que jamais ils ne la laisserait tomber.
L'heure approchait, c'était bientôt le temps de mettre les plans en marche. Et oui elle allait maintenant être une brigande.. une vraie de vraie et pas que parce qu'elle porte le nom Black. Aurait-elle des regrets, sans doute pas elle n'avait jamais eu de regrets dans quoi que ce soit. Elle regarda longuement chacun des membres de sa famille , des alliés, des inconnus. Ils étaient tous réunis au même endroit pour la même cause. Sans doute que beaucoup d'entre eux allais continuer leurs chemin. Peut être d'autres qu'elle reverrais un de ses jours. Enfin seul le destin le dirait.

Au moment critique des gardes arrivaient dans tout les directions en hurlant brandissant des épées. Courant, menaçant ceux qu'ils se trouvaient sur son chemin.

A MORT LES VILAINS BRIGANDS !LES VOLEURS, LES RAPACES!!

Dési les regardais tapis dans l'ombre attendant le bon moment pour se faufiler par la fenêtre qui un peu plutôt était ouverte. Aussitôt les gardes passer elle grimpait à la fenêtre, passa la tête mais resta coincé entre les barreaux de la fenêtre. Pestant en disant que ses 2 soeurs avaient sans doute raison , qu'elle avait un popotin.
BORDEL DE C** D'POMPE A M****
Elle tenta tant bien que mal de se déprendre mais au bout d'un moment elle prit une pause espérant que personne la remarque

11 septembre
Après une nuit tumultueuse, une fois remis sur ses pieds c'était la 2 ième journée. Elle avait appris la veille à ses dépends. Dési et fenêtre ca ne passe pas ! Elle c'était donc fais un nouveau plan.Se camouffler en ses murs durant la journée jusqu'a ce que la nuit tombe. Et sortir au signal. Bon c'était lâche mais au moins elle était déjà en position prête à attaquer malgré le fait qu'elle s'endormait et qu'elle avait faim. Dans un coin de placard, elle c'était fait un petit confort dormant que d'un oreille pour écouter les ragots ou les dires.C'est à se moment qu'elle entendit qu'ils allaient embaucher 2 maréchaux de plus. Cette annonce lui décrocha un sourire. Surtout que les écus n'étaient pas vraiment le pourquoi de cette attaque mais plus par vengeance.Elle avait du mal maintenant à monter sur un bateau depuis que le roi en place à ce moment avait ordonner de faire couler leurs bateau. Après cette annonce... calme plat.. une sonnerie de fit entendre sans doute la fin de la journée..

Drinnnnnnnnnnnng

Les bruits de pas sortant de la mairie, Dési profita d'une discution entre un garde et un autre pour sortir en douce de la mairie et d'aller rejoindre sa mère qu'il avait apporter quelque chose a manger.Tout le monde était en place pour retenter pour la 2 ième fois..

12 septembre.
Après une autre nuit en vain. Elle prit la journée pour se reposer attendant son sergeant préféré qui n'allait pas tarder à arriver.Prête pour un assault. Son lance pierre à la main les poches remplie de cailloux. Elle attendait ses gardes qui commençaient visiblement à en avoir marre de tout ce qui se passait. Ils étaient persistants ses Black ce soir serait peut être la bonne..Ou pas peut importe ses débuts dans ce monde de brigands était bien elle regardait ses soeurs et tentait d'apprendre d'elles .. Hé oui, ses soeurs étaient pour elle des héroïnes. Mais jamais au grand jamais elle allait leurs dire. Elle avait sa fierté sans doute bien mal placé mais elle n'en démantait pas.
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Esmee_frost
Le 9 Septembre au matin

Bien des choses avait changé dans la vie de Esmée Black
Sa fille Renesmée qui était avec les nonnes et qui décide de sortir une fois que sa mère et son père partent et puis une lettre lui adressant qu'elle veut voler de ses propres ailes...
Elle ne l'avait pas abandonné elle avait demandé à sa mère de s'en occuper au cas ou elle déciderait d'y sortir

Citation:
"Pas la peine de revenir me chercher moi René veut partir à l'aventure avec doudou ...."

Son coeur de mère la faisait souffrir voyant ses écrits mais que pouvait-elle faire à part la laisser aller parce que visiblement sa fille ne voulait plus que sa famille soit présente pour elle
Tant de chose tournait dans sa tête puis une missive de sa fille adoptive Sohane


Expéditeur : Sohane de Vitalis Da Roma Black
Date d'envoi : 04/09/1462 - 18:34:23
Titre : urgent
on doit filer sur angou le plus vite possible

vous bossez là ?

So



Esmée savait très bien en quoi consistait cette lettre et pourtant depuis la naissance de sa premiere Désirée jamais elle avait remis sa cape
Ben ouais Esmée dans le passé avait fait bien des ravages sur les routes mais elle avait tout cessé activité quand elle a su pour sa grossesse.
Elle a toujours resté dans le droit chemin jamais elle en avait déviée, elle faisait son possible pour aider du mieux qu'elle pouvait avec son mari Sirius mais au final la seule chose qui en ressortait des Blacks c'étais qu'ils étaient tous des brigands des vilains pas beaux comme d'autres les appèleraient .
Après tout ce que la noiraude avait fait pour aider les maires de plusieurs villes tous continuaient à dire et à mettre dans le meme panier que la famille Black était malhonnête.
Quoi qu'elle pouvait dire ou faire jamais personne en seraient reconnaissant
Celà faisait quelque temps qu'elle pensait se remettre en service après tout tant qu'à se faire passer pour brigand tandis qu'elle ne l'était pas, pourquoi pas en redevenir une... anyway elle ne l'avait pas perdu ce coté malin il était simplement en dormance pour qu'un jour tout éclate et qu'elle se décide d'arrêter de se faire passer pour la nulle de service.
La belle n'aimait pas ce faire rire d'elle encore moins se faire marcher sur les pieds alors après discution avec son mari et ses enfants ils décidèrent eux aussi à se joindre à So et Daisy filles adoptives qu'elle adore comme ses propre enfants.


La première tentative ... tout un échec

Il faisait bon elle ne pouvait pas sortir pour ne pas se faire voir , ne pas aller boire, ni d'aller parler et de voir sa famille la rendait folle de rage.
Elle était encabaner entre quatres murs la noiraude pouvait à peine sortir le bout de son nez pour changer d'air.
Vue son état de grossesse avancée elle en avait marre de faire la statue en coin et éviter de bouger au cas ou elle se blesserait elle et son bébé.
Donc tandis que son mari était parti faire muse muse avec les gardes Esmée enfila sa cape et se rendit en ville pour elle aussi se révolter avec sa famille.

Elle entendait des cries, sa fille Désirée qui blasphémait comme un bucheron... que ce passait-il encore!
Esmée écoutait avec attention la voix de sa fille s'approchant de plus en plus et apperçu sa fille le cul coincé entre les barreaux d'un fenêtre.
Elle écarquilla les yeux et alla aider sa fille en lui disant d'un ton ferme mais pas trop fort pour qu'elles ne se fassent prendre...


Non mais bordel Désirée quoi tu as essayé de faire!!!!
Là t'a l'cul pogné dans les barreaux malin ça ma fille, aide moi dont batême!

Esmée essayait de tirer sur ses jambes rien à faire elle était bien prise puis elle décida de pousser sur ses grosses fesses pour la faire glisser à travers de la fenêtre...
Batême!!! non mais tu as pas pensé de prendre la porte au moins tu étais sure de passer par là bordel de merde!
Là si tes soeurs passent et te voient ainsi elles diront qu'elles avaient raison


Une dernière poussé et sa fille glisse dans la pièce quelconque mais le jour se levait elle entendait les oiseaux chanter et sa fille prise dans cette pièce sans pouvoir ressortir donc elle se mit sur la pointe des pieds et chuchote à sa fille ... va te cacher j'entend du monde venir, moi j'vais aller me cacher aussi et la nuit prochaine j'vais aller te chercher ma puce.
Donc pas étonnant Esmée n'a pas pu se révolter pourquoi donc... parce que sa fille a décidé de faire la folle et sa mère est venu à son aide.

Jour 2

Esmée attendait que la nuit tombe pour aller chercher sa fille comme elle lui avait dit la nuit d'avant.
Son mari était déja sur les lieux prêt à attaquer ses filles et son gendre pareil les autres elle n'en savait trop rien car elle n'avait jamais vue ces gens là.

Esmée se faisait ombre elle marchait dans la nuit longeant les murs de la ville pour rejoindre sa fille.
Avec l'aide de sa lance et frappa tout doucement sur les barreaux pour que sa fille entende la seule chose qu'elle entendit c'est sa fille avec une voix fatigué qui lui demandait à manger.
Une fois sorti de la bâtisse Esmée tendit une miche de pain à sa fille pour qu'elle puisse manger un peu.

Lance à la main bouclier de l'autre c'est aux coté de sa fille qu'elle prit part à cette attaque du 12 Septembre et qui se trouva infructueuse.
Esmée ne voulait pas les écus elle en avait rien à cirer pour elle c'était qu'une vengeance personnelle contre le DR et tout ceux qui lui crachaient dessus.
Prochaine attaque... ce soir?

_________________
Morgan.black.
Tout s'était déroulé si vite ! Depuis cette discussion avec sa mère où il avait tellement craché sa désapprobation, son dégoût d'agir contre la loi, contre les institutions, au point de se disputer avec sa génitrice, Morgan en avait fait du chemin. C'est vrai qu'on en avait tous plein les nougats d 'être considérés comme des brigands. Oh ! Bien sûr, nous avions des erreurs de jeunesse dans la famille, mais cette fois, je plongerai avec ceux que j'aime le plus !

Trois attaques et trois échecs sur la mairie d'Angoulème ! C'est pas pour çà qu'on allait se décourager. Pour sûr qu'il ne resterait plus rien, mais l'unité de la famille et nos soifs d'aventure et de vengeance au moins seraient étanchées. Bandits, Brigands avez-vous dit ? Même si ce n'est dans ma nature, il faudra vous y faire ! Si c'est ce que vous pensez de nous, vous l'aurez ! Oh non ! Pas les petites gens : nous ne sommes pas des assassins, mais les institutions, le pouvoir, oui, nous les combattrons!

Partout dans la ville, nous nous faufilons, nous glissant autour de la mairie, narguant la maréchaussée et la milice, tantôt jouant à cache-cache dans les dédales des ruelles, tantôt nous massant sur le parvis de la cathédrale, ou devant la mairie. Angoulème se réveillait, ou plutôt, ne dormait plus. Partout, ce n'était plus qu'agitation et brouhaha, tambourinements de sabots sur le pavé et cris de tous genre.

Peu importe ce que nous apportera l'avenir, ce que nous deviendrons. Enfin, nous étions vivants, dans ces moments intenses, chargés d'émotions et d'adrénaline. Non, pour rien au monde, je ne regretterai cette aventure.
Daisy.black
[ The Black Power.. The Power Black ]


Les journées s'enfilaient et les bagarres aussi devant cette satanée mairie qui était gardée comme si le duc lui meme s y cachait et y avait dissmulée une de ses catins fétiche...celle qu on surnomme "sa préférée"
Les Blacks et tous le tintouin criaient...essayaient de part et d autres de se faufiler entre les gardes mais rien a faire ..ils étaient costauds et devaient etre nourris a autre chose que de la moulée pour les porcs.
Dési avec son gros cul avait beau essayer de faire du leche-vitrine..y avait rien a faire et comme si elle n etait pas assez large du séant..elle demandait a grailler pendant l action..diantre.
Sa mere se dandinait comme une poule pas de tete et le beau-frere avait l air d un coq de basse-court...ah y avait pas a dire..qu elle famille ces Black

Pendant que tous le monde etait occupé a etre occupé,Daisy sauta au dos d un garde ..enroula ses cuisses autour de sa taille et lui mordit le cou au point de le faire saigner

-Toiiiiiiiiiiiii!..tu vas payer pour tous les autres crétins!!!

Elle le malmena..essayant de le dissuader d avancer mais il etait plus fort qu elle et la fit virevolter vers l avant..se retrouvant le cul visser au sol
La belle rampait vers l arriere pendant que le meusieur avancait doucement vers elle..le sourire narquois au levre... avec sa dague a la main


-LES BLACKKKKKKKKKKK????
-PLEASE!..CHU DANS UN SALE PÉTRIN BATINCE!!!


La peur atteignait le roussette.. on pouvait le ressentir par son regard qui essayait de trouver désespéremmant une porte de sortie

-Yé ou popa????
-POPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!
!

_________________
[/URL]
Cooper_kenway
C'est dans un brouhaha sans nom que Cooper ,était debout ,en plein milieu de la bagarre ,n'agissait pas ,regardait les gardes cogner ,et se faire cogner .Il avait l'air pensif ,avec un regard vide .
C'est alors qu'en entendant Daisy crier ,il tourna la tête dans sa direction .Il la vit dans le pétrin ,mais ne sachant quoi faire il bondit sur le garde .


Yaaaaaaaaaaaaaarrrrrrrrh

C'est avec un cri montrant son acharnement que Coop frappa le garde de diverses manières ,tout ces coups ,pour qu'il se mange un simple coup de coude qui le propulsa a terre.
Il croisa le regard du garde ,qui venait de se retourner ,pointant Cooper avec sa dague
Cooper sourit en coin et dit au garde


Hey !Tantouze !Tu triche !

C'est en se relevant que Cooper tenta une seconde fois de s'attaquer au garde ,il attendit que le garde frappe en premier pour parer son coup ,et le désarmer de sa dague.Pour une fois que son entrainement militaire lui est utile dans la vie civile ,enfin ,plutôt vie brigande
Il regarda le garde avec un air content ,aussi ,c'est la première fois qu'il arrive a désarmer quelqu'un sans se manger un coup dans la seconde qui suit .


T'en dit quoi ,hein ?

Il regarda la dague au sol ,puis regarda le garde qui a lui aussi regardé cette fameuse dague ,et plonge au sol en même temps que son adversaire pour la rattraper .
Entre coups de coudes et coups de poings ,Cooper pris la dague et se leva ,fièrement ,en levant la dague au ciel .


JE L'AI !!!!!!!J'AI GAGNE !Mais pourquoi il me la fallait dejà ?
Aaaaaah ,oui ,c'est vrai !

Il pointa le garde encore au sol , avec la dague récemment piqué ,en fronçant les sourcils ,pour faire croire qu'il est en colère

Dégage de là ,t'est sur mon chemin !

Il regarde le garde se relever et partir ,mais Cooper n'a pas regardé la direction où il alla ,c’était sa dernière priorité.A la place il regarda Daisy ,lui fit un signe de tête ,l'incitant a aller aider les autres .
Sohane
    11..12..13 ?

    Après tout qu'importe la date pourvu qu'on ait l'ivresse. Ah l'adrénaline qui court dans vos veines quand l'excitation ou la peur vous étreint. Cette douce chaleur qui vous prend aux tripes et qui vous donne un courage décuplé, une envie exacerbée d'aller au bout de soit..
    Surtout quand vous avez deux zigottos qui vous courent après.


    - Fiiiiiiiiiiiiiiitz ! Pitin d'pitiiiin ! FIIIIIIITZEUUUUUH bordel on me course là !

    -LES BLACKKKKKKKKKKK????
    -PLEASE!..CHU DANS UN SALE PÉTRIN BATINCE!!!


    - J'peux paaaaaaaaaaas !

    Et l'ado court droit devant elle après avoir jeté un regard vers Didi, calculant à une vitesse folle la course de Cooper pour aider sa frangine. C'est que tout part en vrille là ! Estimation faites : moins de dix secondes. Nickel !

    - C'est pas l'moment d'coquiner !

    Mal lui en prit, une main s'abat sur son bras et sa course s'arrête nette, le chute est violente sans compter l'attérissage, vulgairement appelé " tomber comme une merde ". Le garde s'affale sur elle de tout son poids et tente de lui pendre son épée. So se débat le souffle coupé mais le bougre pèse une tonne assis ainsi sur son fessier. Elle pousse un cri quand il lui tire les cheveux en arrière puis gémit quand la lame s'approche de sa gorge. Oh purée mais ils ont quoi tous avec sa gorge. La pendaison ratée, l'agression dans les ruelles d'une ville de Champagne et maintenant.. ça !

    - Z'allez..pas.. faire ça hein.. promis j'le f'rais plus..
    - Tais toi crasseuse ! Tu vas crever !

    Un bref haussement de sourcil, puis une grimace de douleur quand il tire davantage la chevelure en arrière. Elle grommelle entre ses dents, essayant de lui faire entendre raison ou peut-être de l'intimider.. qui sait.. s'il est aussi crétin que son maire..

    - Tu sais pas qui j'suis.. tu fais ça.. t'es mort.. ta famille aussi.. tes amis.. mais avant ça on brûlera ta ville de Pompe à merdasse de merd'..
    - TA GUEULE !

    Le garde relâche ses cheveux, lui saisit l'épaule droite et la retourne pour qu'elle soit face à lui. Sohane découvre son futur bourreau. Moche évidement. Mais laid.. jamais elle aurait imaginé qu'une laideur pareille puisse exister.. Elle en profite pour lui mettre son poing dans la mâchoire .. raté erf ! Les deux mains n'en font plus qu'une au dessus de sa tête maintenues par la grosse paluche de l'homme tandis qu'il sourit en pointant sa lame sur la poitrine de Sohane. Il a pas aimé la tentative de réconciliation, là c'est clair.. ou trop bien comprise qu'il saute les étapes. Namé hey ! Le tissu se déchire sous un sein, la pointe du couteau vient caresser la peau fine et intouchable de Sohane Vitalis Da Roma Black. Un genou vient s'installer entre ses cuisses de jeunettes qu'il écarte d'un coup sec. La jeune femme déglutit, le visage soudain blême et détourne le visage, cherchant dans l'obscurité une aide, n'osant crier. Se demande où est passé l'autre garde quand soudain une paire de bottes apparaissent dans son champ de vision. Fitz..
    Pour la première fois de sa vie, notre jeune Sohane a un sanglot.
Mortymer
Le temps est un élément que personne ne contrôle. Et même si les hommes et les femmes s'y sont essayés, très peu auront su rattraper le temps perdu et bien plus que d'autres, les vains espoirs se seront écraser sur les rochers d'un océan de déception. Et l'histoire du grand blond ne quittait pas cette triste et tragique ligne, lui l'héritier d'une histoire déchirée, serviteur d'une maison tombé, abandonné, délaissé et sur propres terres, insultés. Et alors qu'on lui annonçait, du fond d'une retraite dans laquelle il se plaisait qu'on offrait le droit de battre le fer sur le sol du Périgord et encore plus de l'Angoumois, son esprit semblait se réveiller, des murmures dans sa tête qui s'élevait comme des voix depuis bien longtemps disparu.
Quelques semaines plus tard, résidant dans une ville qu'il avait connu plus jeune, la belle capitale du comté du Périgord, morne peut être, mais sympathique à la vue. Il y avait ici accompagné le funeste lieutenant Galaad et avec plus de respect le digne Comte de Beaumont, le cruel Perturabo. Ce n'était alors à l'époque qu'une escapade proposé par le comte brigand, une sortie du territoire mainois, ou ils n'étaient guère plus les bienvenus. Mais cette fois, il venait en inconnu, en homme pauvre, voyageur démuni cherchant à se faire quelques sous au fond d'une mine ou se trouvait des gens que jadis il raillait.

Ne restait désormais plus qu'à attendre le moment venu de l'ordre d'exécution, lui l'humble suiveur de ses dames. Il était presque trop beau qu'on lui offre le droit de se battre pour ses valeurs, sous les oriflammes révolutionnaires d'un bourgmestre qui ne respectait plus l'allégeance envers son suzerain ... Une histoire d'impôt surement ? Il n'en savait rien et s'en contre foutait totalement de l'histoire de Castillon et de son maitre postiche qui tombera bien sous les coups de ses idées. Il n'y avait pour lui qu'une volonté, revenu ici, venger le déshonneur fait à Faran, celui de l'avoir déchu des terres dont il était le seul véritable seigneur, une terre familiale, qu'il était dorénavant en droit de réquisitionner en son nom. Un départ pour Angoulème, une charge sur la mairie ... Un échec. Une seconde tentative ? Oui, pour les autres, le légèrement grisonnant blond était aller se fourvoyer à la mine. C'est lors de la troisième tentative, toujours aussi peu victorieuse que l'on revit l'éminent hors la loi ... Et puis, alors que le quatrième jour fut celui de la délivrance de la citée, le serviteur de la maison de Louvois était bien trop rond pour arriver à participer à la cavalcade héroïque.

Alors qu'il reprenait ses esprits, rejoignant ses compagnons d'armes qui avaient fait la bonne affaire, une réussite d'un jour qui ramènerait bien un petit pécule aux gens désireux d'or. Mais l'important pour le blond n'était plus ici dorénavant, car l'heure était venu pour lui de réajuster les mauvais nuage et de faire disparaitre l'opprobre sur sa maison et de revenir au bon doit féodal en revendiquant ce qui leur appartenait. La plume à la main, plutôt que de félicités ses sauveurs, il prépara sa ligne diplomatique.

Citation:
Nous, Mortymer de Louvelle,
Chancelier de la maison d'azur et d'argent à la poiscaille plus tellement fraiche, annonce comme suit :

Que suite à la prise d'Angoulème, nous revendiquons et reprenons en notre nom les terres du Comté d'Angoulème, ainsi que du donjon de Confolens sis vassal des seigneurs d'Angoulème.

De facto, annonçons que nous nous présentons à ce jour comme le nouveau Comte d'Angoulème et déclarons la guerre à l'usurpateur Colhomban, actuel Comte du Périgord, notre triste voisin pour se prétention à régner sur nos terres.

Cédons les terres de Confolens à Dame Sherynne, notre épouse, la faisant baronne de Confolens.

Reconnaissant la souveraineté nouvelle et le statut de citée libre de Castillon. Nous respectons sa volonté d'émancipation du bientôt démantelé comté du Périgord, mais que cependant il serait préférable que l'allégeance de la citée de Castillon revienne vers son juste souverain du Royaume d'Aquitaine, actuellement détenu par Jean de France.

En dernier lieu et non des moindres, nommons Sirius Black, baron d'Angoulème, ainsi que Maréchal du Comté d'Angoulème pour ses illustres mérites. Il sera chargé d'assurer la défense de notre capitale, ainsi que de la bonne organisation de nos troupes durant la guerre contre l'infâme Comte du Périgord.

Sous l'œil bienveillant d'Aristote,
Fait le quatorzième jour de Septembre à Angoulème.

_________________
Sirius.black.
sirius excéder par la vue du procès de son fils arriva en colère

bon la ça va pas,le duc pose une annonce officiel en gargote ou personne ne sera mis en justice et je vois pqs mal de personne mise

honte a vous car vous passez une annonce officiel et vous faite cela,et venais pas démentir car personne ne la fait justement,donc c est officiel

Messager_local a écrit:



De Nous, Colhomban d’Eusébius, Comte du Périgord et de l’Angoumois,
A vous, Bon Peuple de ce Comté,
A tous ceux qui liront, ou se feront lire,

Annonçons ce qui suit.


Le Comté accède à la demande des insurgés.

La Ville de Castillon est désormais considérée comme une principauté n'ayant plus aucun contact avec le Périgord. Libre à Dame Nabeille de choisir un nom autre que Castillon. Nous sommes triste d'avoir à nous plier à cette décision.

Annonçons également que les révoltés de Sarlat et D'Angoulème ne se verront pas mis aux fers. Dame Sherynne a toute ma sympathie, elle force le courage. S'attaquer seule contre une ville aussi importante mérite bien qu'on ne lui jette pas l'opprobre mais bien des fleurs.

Que les révoltés d'Angoulème soient remerciés également d'animer un peu notre principale ville morte.


Puissions-nous être entendu.


Par Aristote !
Qu'il en soit ainsi !


Par Sa Grandeur Colhomban d'Eusébius, Comte du Périgord-Angoumois et son Conseil.




Donné et scellé à Périgueux le treizième jour du mois de septembre de l'an de grâce 1462.


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