Sartaze
Sartaze souriait à la dernière remarque... Voilà que c'est elle qui parle, parler, et parle sans s'arrêter... Les rôles changent selon les saisons ou quoi ?
Après un petit moment de silence, alors que les deux passaient sous la porte de la muraille, Sartaze qui enfin regardait le ciel, les arbres, l'herbe, puis revenant vers le Soleil, s'exclama :
Cela fait même pas 4 mois que je suis ici, c'est ça ? Et tu sais à quoi me fait penser le Soleil du printemps ?
Un silence théâtrale, Sartaze attendait une réponse mais il savait qu'elle ne viendrait pas.
Je suis dans une petite ferme germanique. Le coq me réveille alors que le Soleil se lève... Je fais pareil, je m'approche de la fenêtre, je l'ouvre. Et je m'ouvre aussi à toutes les nouvelles sensations qui m'arrivent sur le visage et le corps... Et je vois le Soleil en face de moi qui me regarde.
Sartaze soupira profondément
Il faut savoir apprécier ces si petites choses, c'est elles qui font notre bonheur... dans notre dos, une fois seulement qu'on les a passées... en les sauvegardant dans notre mémoire...
Sartaze soupira une dernière fois, et renifla...
Puis le malheur se succède au bonheur. Il le faut bien car sans malheur il n'y a pas de bonheur... Et me voici.
Puis Sartaze fut pris d'une envie... Seve allait le prendre pour un fou... Mais au point où il en était, cela, qu'il pensait, ne la surprendrait pas.
Il accéléra le pas, jusqu'à courir jusqu'à l'orée de la forêt, puis se stoppa violemment juste à la limite. S'accroupie ici, face à face à la forêt. Et, voulant faire vite pour Seve qui devait le regarder soit d'un il un peu terrorisé, soit d'un il lassé du comportement bizarre du suédois, Sartaze dit simplement merci en levant la tête au ciel.
Puis il se relevait, se retourna vers Seve, un sourire aux lèvres plein de fierté.
Hé bin ! avance donc, je t'attend moi.
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Après un petit moment de silence, alors que les deux passaient sous la porte de la muraille, Sartaze qui enfin regardait le ciel, les arbres, l'herbe, puis revenant vers le Soleil, s'exclama :
Cela fait même pas 4 mois que je suis ici, c'est ça ? Et tu sais à quoi me fait penser le Soleil du printemps ?
Un silence théâtrale, Sartaze attendait une réponse mais il savait qu'elle ne viendrait pas.
Je suis dans une petite ferme germanique. Le coq me réveille alors que le Soleil se lève... Je fais pareil, je m'approche de la fenêtre, je l'ouvre. Et je m'ouvre aussi à toutes les nouvelles sensations qui m'arrivent sur le visage et le corps... Et je vois le Soleil en face de moi qui me regarde.
Sartaze soupira profondément
Il faut savoir apprécier ces si petites choses, c'est elles qui font notre bonheur... dans notre dos, une fois seulement qu'on les a passées... en les sauvegardant dans notre mémoire...
Sartaze soupira une dernière fois, et renifla...
Puis le malheur se succède au bonheur. Il le faut bien car sans malheur il n'y a pas de bonheur... Et me voici.
Puis Sartaze fut pris d'une envie... Seve allait le prendre pour un fou... Mais au point où il en était, cela, qu'il pensait, ne la surprendrait pas.
Il accéléra le pas, jusqu'à courir jusqu'à l'orée de la forêt, puis se stoppa violemment juste à la limite. S'accroupie ici, face à face à la forêt. Et, voulant faire vite pour Seve qui devait le regarder soit d'un il un peu terrorisé, soit d'un il lassé du comportement bizarre du suédois, Sartaze dit simplement merci en levant la tête au ciel.
Puis il se relevait, se retourna vers Seve, un sourire aux lèvres plein de fierté.
Hé bin ! avance donc, je t'attend moi.
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