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[RP] La Grande Forêt de Rouen

Sartaze
L'exploration de Sartaze n'ayant rien donné la première fois, il s'était juré de revenir et de découvrir où donc habitait Marie Adèle.

Mais malheureusement, un petit voyage allait empêcher cela.


Et aujourd'hui, si Sartaze revenait dans la forêt de Rouen, c'est pour faire ses petits adieux à cette nature si pure. En plus d'un grand et émotionnel au revoir à Hlin et Ysatis.


Il regarda partir Ysatis, avec sa compagne toute de blanche vêtue aussi.
Sartaze repensa à Ysatis... les moments de leur vie commune...

Va Ysatis/Hati ! Va ! Et vit une belle et bonne vie !
Et n'embête pas les hommes ! Si ce n'est moi.


Puis vint le tour de Hlin.

Sartaze la prit de son épaule, la déposa par terre, mais elle revenait sur son épaule. Plantant ses griffes dedans, comme pour s'enraciner là. Sartaze l'y décrocha une deuxième fois et la redisposa sur le sol.


Allez Hlin, je dois m'en aller moi. Ne complique pas les choses... Mais non, ne remonte pas sur moi !... Aieuuh !

Rebelote...

Hlin... Tu veux rester avec moi ? Partir loin d'ici ? Voguer sur les flots ? Visiter d'autres villes ?... Si je t'emmène, tu ne descendra plus du tout de mon épaule, tu sera totalement perdue dans les autres endroits et serait capable de me perdre. Désires-tu m'accompagner ?

En guise de réponse, Hlin se blottit encore plus sur l'épaule de Sartaze, se couchant dessus, et, si c'était un chat on appellerait cela un ronronnement, se mit à bourdonner de l'intérieur.

Bon d'accord.

Sartaze haussa les épaules. Le faisant exprès pour ennuyer Hlin. Et il repartit en direction de la ville.
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Placestbeau
Cherchant Ysatis, je fis une balade nonchalante dans le forêt..et m'adossai sur son tronc rugueux...mes pensées s'envolèrent comme des feuilles emportées par le Blizzard...

ah..mon Rouen..dans quel pétrin t' es tu donc mise...je suis triste..de voir tout ce gâchis..tout ce partage...ces petits arrangements entre amis...ooOOHH que vous n’êtes au bout de vos surprises...je prédis des choses incroyables...des choses surréalistes ...et je ris...de votre naïveté...point de noblesse de cœur dans tout cela..uniquement de la noblesse transmise..gagnée avidement...ne l'avez donc pas vu arriver , vous qui avez voté en votre âme et conscience...Qui se partage le gâteau?...je vous laisse à vos doutes, à votre fief...sans doute ne reviendrai-je jamais..mais il ne faut jamais dire jamais...
Sartaze
La grande forêt de Rouen...


Que dire encore dessus ?


Lieu de bon et moins bon souvenirs...
Mais lieu toujours de belle communion pour Sartaze. Une main seule posé sur le tronc d'un arbre et il avait la sensation de sentir ce que cet être immobile ressentait.
Le vent dans les arbres pour chasser toutes les mauvaises pensées. Le chant des oiseaux pour s'en remplir de bonnes...
Un écureuil qui court en tout sens à la recherche de nourriture et Sartaze se retrouva dans cette nature qu'il aimait tant... qu'il priait tant et tant.



Et le revoici aujourd'hui dans cette forêt. A la recherche de son ami, son frère.
Il marchait tranquillement et en sifflotant avec les oiseaux. Certain lui tournaient autour, repérant sans doute qui pouvait être ce gros oiseau là.

Et Sartaze comprit, depuis tout ce temps, ce qu'à put ressentir sa sœur quand elle était encore vivante...
Une sensation d'être... Non un prédateur, non un animal supérieur, non un animal simplement... Cette sensation d'être et de faire partie de l'essence de la Vie commune à tout être vivant. Sensation d'être tout et rien en même temps... Sans prendre la grosse tête non plus...
Sensation d'inspiration de la confiance à ses frères et sœurs et ainsi les approcher sans les craindre, sans leur faire peur...



Quand tout à coup une boule de poil sauta d'une branche jusqu'à l'épaule de Sartaze, et chassa de coups de pattes dans l'air tous les volatiles. Et Sartaze sortit de sa rêverie.


Salut toi !

Et il gratta le haut de la petite tête de Hlin, sa sœur la martre.


Et sa marche continua dans la même ambiance.

Il sifflait les airs de musique qui lui venait, et la martre observait le monde du haut des épaules de l'humain, ou du haut de son crâne, s'amusant de temps en temps avec ses cheveux.

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Placestbeau
J'avais besoin là, de repartir dans la forêt pour y poser mes doutes.Ma tristesse était telle que je me noyais dans l'alcool..et c'est peu dire vu les boulasses que je prends!!...et dans..bien d'autre choses pas racontables!!J'avais tellement mal, j’étais désemparée , ne sachant plus que faire pour retrouver ma joie de vivre. Deux mois de voyage dont un mois en enfer!! J'étais partie de Rouen le coeur léger et j'y revenais le coeur lourd. Bien sûr que je riais, que je souriais, que je faisais le pitre!!Mais mes amis , seuls, savaient combien j'étais rongée par le mal. J'avais le coeur en mille morceaux. J'étais anéantie. Ne sachant plus ce que je devais faire ni qui pourrait me "réparer". Pis d'abord , c'est réparable un coeur brisé???
J'en étais là de mes reflexions quand je vis au loin une silhouette qui ne m'était pas inconnue. Sartaaazzzeee!!! et la bestiole qui lui grimpait sur la tête. Genre..les inséparables quoi!!Je m'approchais discrètement, ménageant mon effet de surprise.


Heyyyyy!!!!! Le voyant sursauter, je partis dans un grand éclat de rire...c'est bon ça...
J'avais envie de m'aérer un peu, de mettre mes idées en ordre...et de j'ai besoin de trouver Ysatis au plus vite....!!!!!!

Oui..j'avais besoin de mêler mon âme à la sienne. Un désir impérieux de me fondre en lui, de me laisser happer, de devenir lui et qu'il devienne moi. ..Prends ma peine...si tu ne le fais pas qui le fera? SAUVE MOI!!!
Me tournant vers Sartaze..


Tu viens avec moi??? je lui fis mon plus beau sourire, celui qui le faisait craquer à coup sûr...et il allait venir..ça aussi, j'en étais sûr!!!
--Joyeux.animateur
Tiens, une Seve sauvage apparait ! Que fais-tu donc ici ?

En tout cas elle rit facilement, même plus besoin de faire le clown... Pff, tueuse de métier...

Ahh, Ysatis, alors elle est peut-être pas si gaie qu'elle en a l'air...


Bah oui, qu'elle idiote celle-là, je vais pas te laisser seule !
Par contre !... Par contre... Je te ramène pas dans mes bras ce coup-ci, hein. Alors tu te retiens, tu fais attention, ou je sais pas trop quoi d'autre. Mais pas d'évanouissement, aucune défaillance !


Pas la peine de faire un beau sourire, tu sais bien que je suis entièrement à toi ! Pensa Sartaze, en lui répondant par son plus beau sourire

Allez, je te suis, fais moi voir si tu te souviens de la route.
Florieanne
La nuit était tombée depuis longtemps déjà. Errant dans les ruelles de la capitale, elle ne savait ni où allait ni que faire. Totalement inconsciente elle se dirigea vers la forêt.
Elle n'avait rien bu depuis des jours, semaines, et pourtant elle titubait. Le regard flou, le pas hésitant, c'était une Florie méconnaissable.
De toute façon elle ne connaissait personne, elle pourrait bien s'écrouler dans un coin perdu que ça n'inquièterait personne.
Le ciel venait de lui tomber sur la tête... enfin, c'était ainsi que Florie se sentait... assomée.

Elle marcha un long moment, buttant de temps à autre sur des racines qu'elle ne voyait pas et pestant contre elles comme si elle pouvaient lui répondre.
Chacun de ses pas se faisaient de plus en plus hésitants. Une clairière apparut, la lueur de la lune lui suffit à trouver un grand arbre au tronc immense.
Elle s'y installa, à peine consciente des risques qu'elle encourait.

Trainant toujours sa besace avec elle, Florie en sortit une étoffe. Elle s'en entoura et s'adossa relativement confortablement contre l'énorme tronc.
Quelques bruits s'échappaient de la forêt et lui glacèrent le sang. Rien de mieux que la peur pour réveiller la conscience ou plutôt... l'inconscience!

Mais quelle importance ? que lui restait-il aujourd'hui à part un grand vide ?
Fermant les yeux, elle se rémémora tout ce temps passé depuis son arrivée. Les rencontres, les rires, les longues conversations, que restait-il de tout cela ? peu de choses...
Des larmes coulèrent le long de ses joues. Elle devait faire face à un choix et n'arrivait pas à prendre de décision.
Depuis des mois elle faisait de concessions, enfin non même pas puisque chaque décision avait été prise avec sourire et volonté de le faire.
Elle était juste repartie pour une amie puis revenue parce que c'était encore son choix.
Et tout cela ne suffisait pas... Et là encore elle devait choisir seule...

Elle n'avait pas eu de réponses à certains questions, il n'y en avait pas eu besoin d'ailleurs. Certains silences ou non réponses avaient parlé d'eux-même...
Les larmes s'accentuaient et une boule au ventre la tirallait.

Aimer à en souffrir... comment pouvait-elle en être arrivée là ?
Toutes ces questions, ces projets, ces envies, ces plans... c'était donc du vent ?
Avait-elle été aussi dupe qu'elle n'avait rien vu ?
Pourquoi n'arrivait-elle pas à croire tout cela était possible ?
Non il ne pouvait pas avoir tout oublié... il ne pouvait pas avoir changé à ce point...
Une seule raison possible... on l'avait saoulé ? menaçé ? il était gravement malade et ne voulait pas le dire ?

Des voix s'entremélaient dans sa tête...

Foutaise Florie! il en aime une autre... et contre elle tu ne seras jamais à la hauteur...
Pas plus que moi c'est impossible! Elle, c'est juste un ...
Arrête de faire la sourde! il l'aime j'te dis!
Sauf qu'elle... elle ne sait pas lui remonter le moral
Hum... pas faux...
Elle sait pas non plus le faire rire! c'est tout le contraire...
Ah là j'te crois
Elle sait pas voir en coup d'oeil s'il va bien ou pas!
Normal Florie! c'est pas... une femme
Ben tu vois ? j'ai encore un espoir hein ? dis moi ?
Tu connais le dicton Florie...
Euh... ?
Tant qu'il y'a de la vie, y'a de l'espoir
Ah tu vois! même toi tu y crois!
Oui... mais pas au prix de te perdre ton sourire Florie... penses-y... penses-y... penses-y...


Les derniers mots résonnaient en elle alors qu'elle sombra dans le sommeil, adossée à son tronc. Elle avait besoin d'un long repos, peut être lui apporterait-il une réponse et qui sait... tout cela n'aurait été qu'un lourd cauchemar...
Placestbeau
J'avançais tranquillement, tenant Sartaze par le bras. La bestiole me lançait des regards furibonds...elle va pas être jalouse en plus!.... Je lui tirai discrètement la langue. J'étais heureuse qu'il soit là, chaque balade devenait toujours une aventure rocambolesque!
Nous marchions en silence, sans doute perdus l'un et l'autre dans nos pensées. Nous respections aussi ça. Sur le bord du chemin,l'été avait largement éclos, quelques épis de blé courbaient la tête , ondulant sous le vent, les grains avait du être semés par un oiseau maladroit. Les buissons se faisaient plus touffus, la forêt plus dense. Notre silence ne perturbait en rien les animaux qui continuaient d’œuvrer sans se soucier de nous. Un régal pour les amoureux de la nature que nous étions.

je m’arrêtai net. Une femme était assise contre un arbre et dans un murmure à Sartaze:


Y'a quelqu'un là bas....assis...l'a l'air d'avoir une houpelande mais ce peut être une ruse..passe devant..on ne sait jamais..des fois qu'on se fasse attaquer!!!


Je ris intérieurement, faire passer le ratounet devant!!!!...mouhahaha...au cas où, il avait son arme sur la tête!!!
La bestiole serait sans doute ravie de sauter sur le premier inconnu venu, lui plantant ses griffes acérées dans les yeux!!!!!dèjà moi, c'était limite


Je suivai Sart, le tenant par le bas de sa chemise. A pas de loup...
--Joyeux.animateur
Sartaze retrouvait cette douce sensation... main dans la main de sa sœur...

Les souvenirs revenaient, éternelle clarté de ces faits passés...

Oh que c'était bon d'être ici, de vivre ces instants.


Puis Seve s'arrêta net... La queue relevée, le regard fixe, comme un chien de chasse repérant une proie... Hum... non, c'était pas exactement ça, en fait...

Elle se mis derrière Sartaze et le poussa du coude...


Attend, attend... tu plaisante ? Tu as déjà vu un brigand en houppelande toi ?... Mais dans quels pays tu es allé, exactement ?...

Sartaze lui sourit, tout en la regardant passer derrière lui...

Et il prit la tête de l'expédition.

Il regarda fixement sa proie... leva la... non ne la leva pas... et marcha en sa directement, doucement. Évitant de faire trop de bruit. Regardant du coin de l'œil où il mettait les pieds, pour que que rien ne les trahissent. Et regarda cet étrange être de plus en plus net de pas à pas...


Ils se planquèrent, ensuite derrière un gros arbre.


Tu as pu le voir mieux ? L'as-tu reconnu ?

Chuchota-t-il à Seve.

En même temps il fit deux, trois pas, pour essayer de contourner le tronc vénérable de manière discrète et pour seulement faire dépasser sa tête.
Sauf que... qui dit arbre, dit racine, et Sartaze buta sur une... Il dira ensuite que c'était fait exprès... il fit ensuite un pas, deux pas en avant pour essayer de se rattraper, mais n'y arriva pas et chuta par terre... Totalement à découvert...

Couché sur le côté, Sartaze reconnut la solitaire dame qui était là, et la salua, alors que Hlin s'enfuyait dans les hautes herbes, on ne sais pas trop pourquoi :


Oh bonjour Florie !! C'est une belle journée n'est-ce pas ?!

Qu'il disait, se mettant la tête dans la paume d'une de ses mains accoudé par terre, puis passant l'autre main sur le haut des fleurs qui n'ont pas été couché à terre par le corps massif du bonhomme.
Placestbeau
Nous avancions à pas menus pour ne pas faire de bruit, moi toujours accrochée à la chemise de Sartaze.
Il avait décide de faire le tour d'un bel arbre, nous devions y être à l abris ..je vous venir ..c est pas ça du tout... pour surprendre la femme à la houppelande.Alors, donc, nous avancions à pas feutrés et là, je ne sais si c est le fruit du hasard ou l'arbre qui lui a fait du croche racine mais ...
Au début j'étais un peu étonnée de voir Sartaze chercher son équilibre surtout qu'il continuait à marcher , cherchant son équilibre ou alors ,je sais pas , à s agripper à des branches invisibles. Puis un sourire se dessina sur mes lèvres parce que je compris qu'il allait s'étaler. Ce qu'il fit . Mais alors de toute beauté. Oubliant la raison de notre silence, j 'éclatais de rire, pliée en deux et me tenant les cotes. J'en avais les larmes au yeux..Je vis la bestiole se cramponner du mieux qu'elle put , plantant ses griffes dans le crâne du ratounet, faisant le dos rond..un peu comme un éléphant sur un ballon....puis à mi hauteur elle se jeta au sol et détalla à toute allure....mouhahaha...., elle avait du avoir peur de finir écrabouiller , aplatie comme une crêpe!!...che bon cha...
Par chance il réussit , par je ne sais quel phénomène ou contorsions à finir allongé, genre: "ça va et vous?" D'ailleurs , il lança un ...


Citation:
Oh bonjour Florie !! C'est une belle journée n'est-ce pas ?!


retentissant comme le premier coup de cloche lors de l'angelus!

Je regardai enfin la dame à la houppelande et reconnus Florianne, interloquée par les pitreries de Sart!
Elle avait les yeux rouges et des traces blanches sous les yeux...


J’étais encore derrière l arbre lorsque j 'entendis...


Citation:
Vous z etes seuls ici
Florieanne
Depuis combien de temps dormait-elle ? nul n'aurait su dire et encore moins elle. Mais des heures sans aucun doute.
On ne peut pas dire que son sommeil fut des plus calmes.
Entre ses doux rêves s'étaient intercalés quelques cauchemards. Et quand l'endormissement n'est pas serein, le moindre bruit éveillait son conscient.

C'est ainsi que Florie passa sa nuit, éveil, réveil en sursaut, tremblement de froid et remontée d'étoffe puis replongée dans un semi coma.
Mais un bruit particulier lui fit encore plus peur. Par réflexe, elle attrapa son bâton qu'elle plaça les bras tendus devant elle et se recroquevilla.
L'ouverture des yeux fut douloureux et elle chercha du regard la raison de ce réveil brutal.

Ses pupilles s'habituant doucement à la lueur du jour, elle reconnut alors l'objet de se frayeur.


Sartaze! m'enfin! j'aurais pu vous assommer...

Sa position inconfortable nocturne lui avait donné un terrible mal de dos. Rassurée de reconnaître le supposé agresseur, elle fit rouler ses épaules pour les détendre accompagnée d'une belle grimace puis étendit ses jambes.
Elle l'observa un instant perplexe

Belle... euh oui sans doute...
Mais que faites vous là avachi dans ces herbes hautes ?
Un peu plus et mon bâton rejoignait le sommet de votre crâne, imprudent vous!


Elle regarda autour d'elle, le coeur encore battant de la frayeur du sursaut

Et.. vous êtes seul ici ?
--Joyeux.animateur
Florieanne avait d'être revenue d'un autre monde... enfin, surtout d'être ici depuis quelques temps... trop longtemps... et formidablement... seule...


Sartaze rougit un peu, se voyant un peu, et prenant du recul sur la situation... On a fait de meilleures approche depuis...


Ce que ... je fais ... dans ces hautes herbes ?... Ah ! Oui ! Hé bien... voyez par vous-même ! J'apprécie à ma façon la beauté de cette nature connaissant si peu la présence de l'Homme...

Votre bâton sur mon crâne... Ma foi, je l'aurai surement mérité, et puis ça m'en aurait fait à raconter...


Et Sartaze, sur ces paroles, se releva, s'essuya un peu les mains et les vêtements en souriant. Et là vint une seconde question...

Non, non, je suis pas seul... Enfin, je ne l'étais pas... J'avais une martre un jour, après m'avoir recoiffé ce sommet du crâne, surement pour le protéger d'une attaque au bâton, elle a filé droit dans les buissons.

Répondit-il en se grattant la tête et en faisant un tour sur lui-même pour essayer de la retrouver... Puis il haussa les épaules.

Et voyant débouler Seve de derrière l'arbre, son esprit fit tilt... étrangement à l'affut de la moindre connerie à dire :


Ah oui ! Et il y a Seve aussi !
Florieanne
Totalement surprise, florie n'avait même pas réagit aux éclats de rire venus de.. nul part! Enfin presque, elle vit apparaitre Seve, sortant de derrière son arbre. Oui elle décida que ce serait son arbre, après tout il avait du l'accueillir, entendre je ne sais quelle complainte, alors Son arbre, pourquoi pas ?

Et voilà que le Sartaze tentait de de se justifier du mieux qu'il pouvait.


Vous appréciez la nature... hum soit. enfin d'ici je l'apprécie tout autant vous savez ?

Elle ne put s'empêcher de pouffer de rire, imaginant quelques situations coccaces pour apprécier les choses dans ces conditions. Une bonne choppe, se rouler dedans.. s'applatir dessus et l'apprécier ? ah non! il a dit nature... euh... reste à trouver autre chose donc


Et Sartaze dans tout sa splendeur de pitre incontournable qui en rajoute

Sartaze a écrit:
Ah oui ! Et il y a Seve aussi !


Elle se tourna donc vers Seve et lui sourit

Bonjour à vous Seve! vous aussi vous êtes venue apprécier la nature ?

Et un ton plus bas, ajouta

Et c'est quoi cette histoire de martre ? il a bu Sartaze ? une martre qui le coiffe en plus ?

Elle les regardait tour à tour, moitié intriguée par ce remue-ménage, moitié entrain de se remettre de sa nuit. Les paupières encore lourdes,e elle réfreina un baillement en se frottant les yeux
Placestbeau
Sortant de ma cachette, j'essayai tant bien que mal de me contraindre à ne plus rire...pas facile dans ces conditions!!
Et Florianne d'enchaîner...
Citation:

Bonjour à vous Seve! vous aussi vous êtes venue apprécier la nature ?


AAaaahhh....ça!pour sûr oui..enfin, j'aime surtout y venir avec le ratounet parce qu'il lui arrive toujours des trucs impossible. Enfin..pas qu'à lui...!!!

Je souris..du mieux que je pus...et chuchotant discrètement à Florianne pour ne pas être entendue...

Figurez vous que Sartaze s'est entiché de cette béstiole pleine de puces..en plus elle a un caractère de cochon..une horreur...mais bon, ils sont coupains alors..

Je haussais les épaules. Me tournant vers Sartaze, je repris la situation en main...

Bon..c'est pas tout ça mais on doit trouver Ysatis là...Ah, oui, Florianne, autant vous prévenir de suite..on part à la recherche de notre enfant! Un loup blanc..de cette taille là...et mettant ma main à mi-cuisse..à peu près...

Je lui souris innocemment, l'encourageant à nous suivre et tentant de la rassurer..si c'était possible!!!
--Joyeux.animateur
Sartaze continuait a faire son clown avec Hlin pendant que les deux dames parlaient.


Il avait mit une de ses mains au-dessus de ses yeux pour leur faire de l'ombre, et il pivotait sur lui-même pour repérer un tâche de poil noir/marron dans les buissons et fourré aux teints verts


Allez, Hlin ! Reviens ici ! S'il te plait !!!... Promis je ne recommencerai plus.... Ou alors je te préviendrais... Allez, reviens quoi !!

Sur le mot "Ysatis", Sartaze s'intéressa à la conversation sur son côté. Et il regarda Seve mesurant la taille du loup.
Il sourit et s'approcha d'eux.


Dit-donc Seve, ça fait longtemps que tu l'a pas vue ce grand loup, hein !
Non pas qu'il ai grandit entre temps, mais là c'est toi qui le rapetisse ! Tu peux le remonter d'un ou deux bons centimètres


Lui prenant la main et la faisant remonter comme il dit, Sartaze stoppa son mouvement, et d'un coup il serra la main de Seve... assez fort...

Son visage n'avait plus d'expression, son regard était perdu dans le vide...

Au bout de deux secondes il réussit à sortir un :


Gnnniaaaahhhh... Aïeeeuhh !

Deux paires de griffes bien plantées dans son dos faisaient l'escalade de toute sa hauteur...
La martre avait filé droit sur lui lorsqu'il lui avait présenté son dos alors qu'elle était bien caché sous un gros buisson bien feuillu.
Elle a bondit, joueuse, et s'était plaqué contre lui... hé, fallait pas la chercher aussi !

Et deux seconde de plus, et la boule de poil était arrivé en haut de son promontoire préféré, c'est-à-dire l'épaule gauche de Sartaze, et elle regardait la scène qui se déroulait de l'autre côté de la haute montagne bougeante et parlante


Humpff... Voilà Hlin déjà... Notre jeune second enfant.

Et il sourit gentiment à Florieanne

Et comment allez-vous ?
Placestbeau
je regardai le petit manège de la martre en souriant. Sartaze aurait des griffures plein le dos.tant pour lui! s'enticher d'une carne pareil!!!
Mais je trépignai intérieurement. Bon sang Sartaze, le journée avance...il nous faut trouver Ysatis. Mon corps et mon âme s'impatientent. Il faut que je le vois..verser mon âme dans la sienne..
J'étais partie dans les méandres de mon âme, dans les abysses de mon inconscient, je glissais...

Je suis la louve. Tout aussi douce que cruelle, résolue mais indomptable, tendre et carnassière. Protectrice et solitaire...et je t'appelle...


Vous êtes tout proche...je t'attends..

Un sursaut..un son comme un éclair qui me déchire...merdouille...et je repris le fil de la conversation, tirée de mon insondable par la voix de Sartaze...

Citation:

Et comment allez-vous ?


Je plongeais mes vertes mirettes dans ses yeux, inquiète et déterminée..vite Sartaze..vite...
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