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[RP] La Grande Forêt de Rouen

Sartaze
Alors donc... Je... quitte ces terres ?...


Sans regrets ? Sans un pincement au cœur ?... Sans me rappeler tous les bons moments que j'ai passé ici ?

Ah bin si quand même !!


J'ai retrouvé la Vie que j'avais perdue. Celle que je me suis ôté... Celle que j'ai vu mourir.


Au revoir bel endroit... Un long discours je pourrai faire cela, oui... Mais non, tu restera en ma tête, le passé est le passé... L'avenir maintenant je le vis autrement... Plus seul, plus en solitaire... fini la solitude !
Fini mes sombres pensées le soir s'approchant !


Un sourire a brisé tout cela
Une larme a remplacé tout cela
Un rire m'a remplit de joie

Une présence près de moi
Et je m'en vais au-delà


A un de ces jours Rouen !!


Que cria Sartaze du haut d'une falaise, surplombant une vue ouverte sur un large espace, où se trouve justement la ville.

Mais c'est surtout sur cette falaise que la vie de Sartaze a connu un tournant périlleux...
C'était pas une nuit d'hiver... Celle du 6 au 7 Janvier 1462... 8 êtres vivants sont tombé du haut de cette falaise, un autre à fuit en galopant à quatre pattes... Et un dixième, tombant lui aussi de la falaise s'est accroché tant bien que mal à quelque chose, et a réussit à se hisser jusqu'en haut...


Ce dixième c'est Sartaze...


Le neuvième fut Ysatis... Qui reçut des adieux fraternels de la part de Sartaze avant qu'il vienne ici.

Avant cela, il fit ses adieux à Hlin, la petite martre, avec qui il a parcourut à plusieurs reprises la Normandie d'est en ouest, du nord au sud et inversement !
Se quittant en frère et sœur, jamais il ne sera possible que l'un et l'autre ne s'oublie...


Et donc, après tout ceci Sartaze remonta en haut de... "sa" falaise... Et contempla... re-contempla la vue... La magnifique vue...


Il resta là alors que la nuit tombait rapidement.


Il leva le regard vers les étoiles qui se voyait plus ou moins entre deux nuages... Puis il leva un poing en l'air, et pria :


Nerthus...
Cela fait si longtemps que je ne t'ai remercié
Que j'ai nommé ton nom
Que j'ai pensé à ton existence tout autour de moi.


Merci Mère... merci


Pour tous ces moments, tous ces instants
Tu gâtes ma vie de tant d'expériences, de tant de choses intenses !
J'en retire toujours une leçon pour le futur, oui.


Et maintenant c'est l'Amour... l'Amour d'une femme...
D'une Femme à ton image... Oh que oui !


Une femme donc que je vais chérir, adorer, aimer partout, tout le temps ! En chaque seconde !
Une femme que je vais voir en toutes belles choses...


Nerthus... Floralise... ... Floralise...


Ce bras sera l'arme que je brandirai pour te protéger !
Mon corps sera une enceinte sûre
Mais surtout... Ce poing gardera l'Amour que j'ai pour toi



Joignant le geste à la parole, Sartaze fit redescendre son bras et son poing qu'il plaqua contre son cœur, le sentant battre à tout rompre


Floralise...


Je suis encore un apprenti...
Un apprenti débile, idiot, très très crétin...
Ohhh, merci mille fois de m'avoir donner une seconde chance...



Et Sartaze se jeta de la falaise... Ah non, c'est pas ça que je dois écrire ?... Rah zut... C'est tentant...


Et Sartaze versa une petite larme... C'est bon vieux, lâche toi, elle n'est pas là !!
Mais non, il ne fit pas plus...


Il tourna les talons et s'en alla vite rejoindre le groupe de voyageur qui attendait à la porte nord-ouest de la ville.


Un bouquet de mille et une fleurs de mille et une couleur dans les mains... Enfin... qu'il réussit à choper quand la journée ne tirait pas encore trop vers la fin...


J'ai retrouvé la Vie que j'ai perdu... en Floralise, oui... Merci !
_________________
Sauvane
--Ysatis a écrit:
Si Ysatis pouvait physiquement faire les cents pas dans la tête d'Hati, c'est bien ce qu'il ferait à ce moment là...

Hati se mouvait dans la forêt en faisant croire qu'il était tout beau, tout gentil, innocent... Mais ce n'est pas ces si simples choses qui retenaient Ysatis prisonnier. De vives émotions, de mauvaises intentions l'encerclaient... Ysatis était acculé... Il ne pouvait que voir la scène... sans même avoir la force de bouger hors du corps d'Hati.

Hati lui, courait dans tout les sens, jouant son personnage merveilleusement bien. Il courait, galopait, trottinait, autour des deux humains... Il aboyait sur les oiseaux, marchait volontairement sur les terriers de lapins... Mais tout cela pour cacher... son envie, sa force destructrice...

Mais un moment de relâchement du lascar et Ysatis bondit ! Hati regardait profondément l'humaine, et ses défenses mentales tombèrent d'un coup.
Ysatis prit le contrôle et il eut le temps de parler un peu avec... l'humaine, totalement ouverte à lui...

D'abord il prit dans la face toutes les émotions de l'humaine, les analysa, les comprit et il lui parla :

Je comprend tes doutes. Ils sont fondés, vous êtes tombés dans un piège... La forêt entière se referme sur vous... Sartaze se croit encore chez lui ici, il a quasiment atteint son paradis... Mais les choses sont différentes. Il faut lui faire comprendre la vérité, des yeux dans l'ombre vous guettent ! Des crocs sont prêts à faire leur office.

Petit silence

Mais surtout il ne faut pas rebrousser chemin ! Surtout pas ! Ce qu'il faut faire maintenant c'est trouver une caverne. Elle est pas loin d'ici, Sartaze devrait la reconnaitre. Vois-tu ce promontoire rocheux perdu dans la verdure à l'est ? La caverne est en-dessous. Entrez dedans, et vous trouverez votre salut. Non sans blessures je le crains...

Un autre silence

Je suis désolé... Désolé de ne pas av...

Hati reprit le contrôle et grogna sur l'humaine, en s'approchant d'elle dangereusement.
Isora



    Ne me regarde pas comme ça ! Il en faut un tout petit je te dis !

    Un regard vers lui son compagnon de tous les jours enfin retrouvé depuis tout ce temps. Il avait fini par arrêter de lui faire la tête. On ne l'y reprendrait plus. La prochaine fois elle ne partirait plus sans lui ou du moins lui proposerait-elle de venir s'il le voulait. Qu'elle idée d'être partie sans lui à Montpellier afin d'accompagner son Altesse, enfin il y avait un certain barbu aussi. Oh et s'il savait qu'elle était allée à Mende se balader le long des rives de l'Etang de la Muse, il ne valait mieux pas y penser d'ailleurs. Dicton de Belette : faute à moitié avouée était entièrement pardonnée ne dit-on pas ? Les oreilles en arrière, les yeux comme des billes Epargne observait Isora. Elle voulait un tout petit sapin pour mettre dans sa chambre à l'Auberge "Pômmée" dans laquelle elle résidait avec son meilleur ami Matthys. Et ce que Belette veut, le petit écureuil se devait de le vouloir aussi.

    Après tout c'est pour y mettre ton cadeau dessous !
    Mais tu dis rien à ton maître surtout. Il va être jaloux sinon !


    Le rouquin penche sa jolie petite tête et Isora le trouve craquant. Cependant la chose désirée semblait bien difficile à trouver. Elle avait beau arpenter les sentiers de la forêt elle ne voyait pas l'ombre d'un sapin.

    Non arrête de vouloir m'attendrir ! Pas de sapin pas de cadeau voilà !

    Elle poursuit sa recherche, son voltigeur gambadant non loin d'elle. On voyait bien qu'il était heureux son petit sautillon. Un grand sourire aux lèvres de le voir voler d'arbre en arbre. Les choses étaient de nouveau ce qu'elles devaient être. Elle et lui .... ! En réfléchissant, elle se conterait de couper une grosse branche à un grand sapin ..... ça pourrait faire l'affaire après tout. Même pas l'ombre d'un bûcheron, la forêt était déserte et toute blanche.

_________________
Sedka
Des mois que j'étais partie. J'étais bien revenue mais je n'avais pas pu rester. C'est avec une certaine appréhension que j'errais dans les rues, guettant le moindre changement.
Il en y avait .. les enfants avaient grandi, les duchesses succédant aux ducs, les remparts qui avançaient, et les nouveaux habitants qui ne me connaissaient pas. Raison de plus pour sortir en taverne, faire quelques connaissances.
Mais avant toutes choses, il y avait quelqu'un que Maggie devait absolument rencontrer. Un être cher à mon coeur. Certaines âmes se reconnaissent et même si celle là n'avait pas la parole, elle me connaissait mieux que personne.

Maggie?? nous partons en balade!

Besace sur l'épaule, je l'entraîne alors à l’extérieur des remparts.
Nous voilà donc arpentant la forêt. Le soleil fait quelques percées entre les branches fournies, illuminant les sous bois. J'avance doucement, si Il est encore là, Il va sentir mon odeur à des lieux à la ronde et je le sais qu 'Il viendra.
Je sers la petite main de Maggie dans la mienne et mes chausses se posent doucement sur la terre humide aux odeurs de mousse. Quelques brindilles craquent et comme une symbiose, la nature elle même semble retenir son souffle. Pas un brin de vent, les oiseaux se taisent... seulement le bruit feutré de nos pas.
Je suis à l'affût du moindre buisson, où te caches Tu? M'entends Tu? Y es Tu?
Je Le sens qui arrive. Les battements de mon coeur se font plus vivaces et je serre un peu plus fort les phalanges de la princesse. Je ne veux pas qu'elle ait peur. C'est la raison pour laquelle , je n 'ai rien dit. La surprise quand il la verra, suffira à émoustiller Son instinct de chasseur.
Et le voilà.
Vêtu de son bel habit blanc . Silencieux comme la neige qui tourbillonne en hiver, glacial et vif comme la bise. Il avance comme s 'il dansait, léger comme un voile de brume. Il se faufile entre les arbres, fière, et Ses yeux dorés ne quittent pas mes émeraudes. Je Le sens qui me sonde mais je ne détourne pas le regard. Je ne suis pas Sa soumise, deux espèces différentes mais qui savent communiquer. La magie d'une époque à présent révolue.
Machinalement je rapproche Maggie de moi en tirant doucement sur sa main. Mon visage s'éclaire, un sourire étirant mes carmines. Je sais que c'est Lui. Je Le reconnaitrais entre mille.

Je descends lentement sur mes jambes, jusqu'à ce qu'un genou se pose au sol. Les feuilles crissent sous l'empreinte.
Il s'arrête, se posant sur Son train arrière et attend.

Le Loup blanc. Ysatis.

Ysatis... Approches, que je te présente Maggie...


La voix est douce, les mots sont presque soufflés. L'animal nous rejoint, il renifle alors les chausses de Maggie tandis que ma main ne peut résister à glisser dans ses poils soyeux. De la tête à l'échine, mes phalanges se délectent de ce toucher. J'invite alors la brunette à faire de même, tandis qu'Ysatis nous montre combien il apprécie en se collant contre nos jambes, la queue battant contre le tissu.

Poses doucement ta main sur sa tête.. tu vas voir comme il est doux..

Je souris en tournant la tête et regarder Maggie pour l'encourager.
Marguerite.villon

Titillée par cette proposition soudaine de balade, Maggie était bien évidemment partante, comme toujours! Enfin presque! Elle se rua momentanément dans la charrette pour y prendre son mouton de fortune en bouts de tissus délabrés puis s’empressa de talonner de petits pas bien cadencés, ceux de sa mystérieuse fugueuse, mouton chétif sous le bras.

Chemin faisant, la gamine de sept printemps scrutait le paysage environnant, les mirettes écarquillées par l’attrait de la nouveauté. N’eut été de cet amalgame d’odeurs, de bruits et ce décor peu familier, elle en aurait posé des questions, oh que si! Où on va? Pourquoi? Qu’est-ce qu’on va y faire? Mais pour le moment, si les pas de sa protectrice se faisaient en douceur et avec assurance, ceux de la gamine citadine étaient pour le moins, plus gauches. Le moindre dénivellement de sol, la moindre petite branche imprévue sous ses bottes risquait de rompre le fragile équilibre que sa curiosité trop prenante lui concédait encore vaguement. Jetant quelques furtives œillades en direction de Sedka, la gamine réalisa que cette balade n’était nullement aléatoire ; la douce crinière d’ébène savait exactement ce qu’elle cherchait... mais qu’était-ce donc?!

Maggie s’apprêtait enfin à extérioriser ses interrogations lorsque la bête, imposante pour sa stature de gamine menue, se dressa soudainement devant elles. Bouche béante, la petite n’offrit aucune résistance lorsqu’elle se sentit ramenée vers sa protectrice ; en fait, si elle avait pu se tailler une place dans les braies de Sedka, elle s’y serait définitivement planquée !


C’est.. c’est un loup!? murmura la gamine, le souffle restreint par la crainte.

Incrédule, Maggie admirait la doigtée de Sedka, qui semblait comme par magie, amadouer l’animal étrangement affectueux sous ses caresses. À peine se sentait-elle légèrement moins craintive qu’elle lui proposait de faire de même. Maggie dévisagea avec perplexité sa protectrice, visiblement incertaine de vouloir à ce point tâter de la douceur du pelage… après tout, c’était un loup!! M’enfin, n’étant guère une chochotte, la petite inspira profondément puis toucha du bout de son index la tête d’Ysatis.


Il ne me fera pas de mal hein ma Sedka? Pourquoi vous semblez déjà bien vous connaître?

Légèrement moins crispée, les doigts de la gamine parcouraient plus librement le sommet de la tête allant même jusqu’à gratouiller délicatement l’arrière des oreilles, demeurant néanmoins attentive aux réactions de l’animal.
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Sedka
Il ne me fera pas de mal hein ma Sedka? Pourquoi vous semblez déjà bien vous connaître?

L'ébène relève lentement la tête et tourne son regard vers sa protégée, un sourire accroché à ses lippes.

Te faire du mal? Non, ma puce, Ysatis ne fait de mal à personne. Et oui , on se connait bien tous les deux. Nous sommes.. amis lui et moi..

De nouveau ma nuque ploie et mes émeraudes se fixent sur les oreilles de la bête et les menottes de la fillette perdues dans les longs poils. Je ne vois pas comment expliquer à l'enfant quelle est ma relation avec ce loup. C'est compliqué, même pour moi, de trier ce qui fut une part de rêve et la réalité.
Est ce que nos esprits avaient vraiment communiqué ou était ce ma part animal qui s'était exprimée? Je doute , pourtant, il est là mais je ne l' entends plus. Aurais je quitter définitivement l'enfance et son insouciance?Aurais je basculé dans le monde impitoyable et sans fantaisie de l'adulte?Je n'en sais rien, de toute évidence.

Le loup me regarde de ses prunelles dorées, comme si , lui aussi , cherchait des réponses. Inlassablement, mes doigts parcourent son doux pelage blanc. Un flot de souvenirs me terrasse.. la cascade.. Sartaze...la blessure... la martre..
Mes paupières se ferment sur ce monde irréaliste, je laisse filer ces pensées et me tourne vers Maggie.
Les volets s'ouvrent sur mon autre vie, laissant derrière moi ce passé révolu.
Je ne suis plus dans la fuite perpétuelle, j'affronte mes démons, je les terrasse et je les enterre.. définitivement. Ainsi , peut être que j'arriverai à être heureuse. Oui.. peut être..

Tu vois qu'il est gentil... il te laisse même lui grattouiller les oreilles!


Je tapote les flancs de l'animal, la visite est terminée. Il retournera vers sa compagne, je ne reviendrai pas le voir. Ma main quitte le pelage, je me relève doucement, les rotules craquent, j'enserre les épaules de Maggie.

Ysatis s'en va en trottinant. A quelques mètres de nous, il semble hésiter. Il s'arrête, tourne la tête. Un dernier regard et il repart.

Il est temps de regagner le village. Et tu pourras dire que tu as caressé un loup.. c'est très rare tu sais et très courageux de ta part!

Je n'ai pas vraiment répondu à sa question, j'en suis consciente, j'élude. Mais je suis Seve -Sedka aussi bienveillante que secrète... ce n'est pas sans raison.

Hummm.. j'ai envie de crêpes!! pas toi?? avec de la confiture de mûres !!

Je souris, la tête haute, fière, profitant des rayons du soleil qui font briller mes émeraudes de mille éclats.

J'entends , au loin, un long hurlement... le loup s'en est allé.
Marguerite.villon

Cuirassée par les mots rassurants de Sedka, la petite laissa courir ses petits doigts dans le pelage d’Ysatis encore un moment, faisant mine d’être brave et écoutant les explications plutôt nébuleuses sur le lien qui les unissait tous les deux. Perplexe, la gamine laissait vaciller son regard entre Sedka et Ysatis, se demandant comment il était possible de se faire d’un loup, un ami.


Les regards qu’ils s’échangeaient ne ressemblaient en rien à celui d’un humain et d’une bête sauvage, bien au contraire, une affection et un attachement réciproques étaient palpables, donnant à ces retrouvailles une aura presque sacrée ; aussi Maggie réfréna les questions qui lui brûlaient les lèvres, se promettant d’évoquer le sujet d’Ysatis à nouveau avec Sedka, lorsque le moment serait plus opportun. Pour l’heure, la petite se sentait simplement privilégiée d’assister à une telle scène. Les yeux pétillants de merveilleux et affichant un large sourire, la petite se tourna vers Sedka

-Hmouiiii, il est vraiment gentil ton ami!

Reportant son regard sur l’ami en question, elle s’aperçut à regret, qu’Ysatis disparaissait déjà dans les entrailles de la forêt.

-Bé où il va?! Il vient pas avec nous Sedka?!

La tête basse, déçue de constater que cette rencontre incroyable s’achevait déjà, la petite esquissa une légère moue. Le village n’avait soudainement plus le même attrait aux yeux de la jeune fille. Bien sûr, il y avait encore moult lieux à découvrir, mais tout serait dorénavant bien fade en comparaison de cette bête majestueuse au pelage soyeux. Sedka connaissant trop bien sa protégée, lui tint les mots qui lui firent d’emblée relever la tête et bomber légèrement le buste.

-C’est vrai que j’ai été courageuse hein!? Je l’ai caressé sans trembler ! À la prochaine rencontre, tu crois que je pourrai lui faire un câlin?! On reviendra le visiter hein ma Sedka ?!

Il n’en fallait pas davantage pour que la jeune pipelette se ressaisisse aussitôt et inonde sa comparse de son babillage enthousiaste. Et puis si la ville avait momentanément perdue de sa splendeur, l’appel du ventre lui, s’avérait tout à fait splendide

-OUAIS!!!! On va manger des crêpes! On va manger des crêpes!!
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