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[rp Inauguration/ Jeu] Qui sera assez braVache pour une....

Alphonse_baudet



A la bourre, l’œil poché, l'inénarrable Alphonse Baudet débarque à son tour sur la fameuse, ou fumeuse, voire foireuse, île au vaches. Le lieu où il faut être en ce moment à ce qu'on dit. Ses pérégrinations à travers les rues de la capitale lui ont rapporté un joli coquard donc, après avoir voulu s'inviter dans un établissement trop huppé pour lui, et le laissent avec une bourse complètement vide. Se pointant comme une fleur avec sa trombine d'ahuri, il s'arrête un instant face à l'étrange spectacle et se gratte la tête en tentant vainement de capter ce qui ce déroule sous ses yeux.

Chaque participant semble avoir une méthode toute personnelle pour démarrer l'épreuve, toutes plus farfelues et inefficaces les unes que les autres en fait. Quelle idée aussi de les faire grimper sur des vaches. Là d'où il vient on aurait au moins choisi des taureaux, ça aurait déjà eu plus de gueule! Et puis pourquoi Bastian se retrouve juché sur une monture différente? J'vous jure celui-là, toujours prêt à se faire remarquer. Son comparse se permet tout de même de l'encourager avec enthousiasme, tout en prenant soin de ne pas s'approcher trop près du bruyant fan-club breton.

    Allez-y jeune maître! Domptez-moi tout ça vite fait! Les caisses sont vides.
    On a besoin de la récompense offerte au vainqueur pour faire rentrer du pognon!
Tiens d'ailleurs, est-ce qu'il y a bien un prix en écus sonnants et trébuchants à la fin de tout c'bazard? Connaissant le Hoggendaffen il n'a même pas du se renseigner, préférant se lancer tête baissée pour la beauté du geste et l'amour du jeu. Tsssss... c'est peut-être pas avec lui qu'il parviendra à faire fortune. Mais au moins on ne s'ennuie pas trop en restant à ses côtés, et de son point de vue cela vaut mieux que servir un noble de salon qui se la pète juste parce qu'il porte un nom connu, ou plus facilement prononçable. De son côté il aurait bien ouvert des paris pour tenter de se renflouer, mais il arrive un peu tard, et n'a pas encore bien cerné toutes les subtilités du jeu en question.

En attendant que les choses sérieuses commencent réellement, l'Alphonse décide plutôt d'aller se chercher un verre, et pourquoi pas de faire les yeux doux -enfin en utilisant surtout celui qui s'ouvre encore normalement- à la tavernière.

    Salut, j'voudrais une pinte s'il vous plait. C'est le p'tit gars qui fait le mariole à dos d'âne qui paye.
Un geste de la main désigne le jeune brun toujours aux prises avec son ânon récalcitrant.
Gerei
Ce n'est pas parce qu'on aime pas les gens qu'on doit aimer les bêtes.

C'est cette maxime qu'avait inscrit Gerei sur le fronton de sa boucherie quand il était à Azincourt, histoire de bien mettre les choses au point.

C'est dire que pour lui les vaches, ce n'était que de la viande sur pattes et monter sur un futur faux filet lui rappelait ce que sa mère lui avait répété trop souvent :
« On ne joue pas avec la nourriture, car il ne faut jamais oublier qu'on en est potentiellement une soi-même.»

Si encore Sashah avait eu la bonne idée de faire un concours d'archerie avec les vaches en cibles vivantes, vu leur taille et leur faible mobilité, il aurait eu ses chances.

Mais là il était dans un champ avec une dizaines d'allumés en train de courir après des vaches pour leur monter dessus.

Il détestait autant les chevaux que les vaches et l'idée de devoir faire du cheval sur une vache ressemblait à une double peine.

Immobile dans l'herbe, il se demandait si c'était bien raisonnable tout ça.

La vache allait elle devenir un moyen de locomotion ?
Allait on faire des vaches allez pour Paris et des retours en classe vache affaire ? Bref, la vache était elle l'avenir de l'homme ?

Découragé, Gerei préféra s’asseoir dans l'herbe pour évacuer ces taches noires qui étaient en train d'envahir son futur.

Par terre, il remarqua quelques fleurs et la magie s’opéra encore une fois. En à peine 15 secondes il avait tout oublié de ses soucis. Il était ailleurs.

Les autres concurrents avaient beau courir en tout sens et crier, il n'était plus là.

Il se mit à ramasser machinalement quelques fleurs histoire de passer le temps.


Toujours est il qu'au bout de quelques minutes, il avait un joli petit bouquet de fleurs.
Il était même plongé dans une contemplation béate de son bouquet, le visage fendu d'un sourire niais quand un vache s'approcha de lui. Elle renifla son bouquet, visiblement intéressée.

Passé le moment d'étonnement, Gerei déposa doucement le bouquet au sol, se redressa et pendant que la vache attrapait les fleurs avec sa grosse langue pour les enfourner dans sa bouche, d'un bond, il se retrouva à cheval sur le dos de la bête.

Du haut de sa monture il pensa à une nouvelle maxime:


C'est pas parce qu'on aime les fleurs qu'on doit forcement les manger.



9 : Vous essayez d’amadouer une vache avec un bouquet de marguerite. Qui ne tente rien n’a rien, il parait…

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Yohanna.
Un truc comme :

Troiiiiiis, Deuuuuuux, Uuuuun, c'est partiiiiiiiiiii! Sauteeeeeeeeeez sur la vaaaache de votre choiiiiix!

A retenti à ses oreilles, et là, ce fut le branle-bas de combat.

Ça courait de tous les côtés, ça se précipitait sur des animaux énormes, marrons, blancs, rouges, cornus, meuglants, puants...
Et... Elle ne l'aurait jamais admis, mais franchement, elle était impressionnée, la Chambetin. Parce que malgré ses nombreux allés-venues à travers le Royaume, des vaches, c'pas ce qui traîne le plus en campagne. Bête du riche, fidèle compagnon du laboureur, quand on en voit trois réunis, déjà, on se croit chez un noble. Alors là! Mais là!
Et puis vous avez vu ces cornes?! On dirait des fers de lances sur des lances accrochées elle-mêmes à des haches au bout d'épées! Si Si! Des armes de guerre! Une armée d'armes de guerre.
Si vous la voyez, vous remarquerez qu'elle ne fait pas la fière du haut de sa petite taille rehaussée par des talonnettes, la Hache.
Alors elle avance prudemment, à petits pas, surveillant qu'une bête surmonté d'une folle ne la charge pas, avant de trouver... LA monture de ses rêves.

Parfaite.
Des courbes à damner un saint, des cornes fines et fuselées comme une flèche, un museau gluant comme les babines de son chien, et des sabots... Embourbés dans la vase.
Au moins, les risques de coup de pied de vache aux fesses et limité. Alors va pour celle- là.
Et en toute honnêteté, la brune n'a aucun mal à lui grimper sur le dos.
Mais la question cruciale à présent est:
Combien de temps la bête supportera son poids?!
Lâcher du leste? Voyons... Sa cape blanche? Dans la boue? Hors de question. Sa hache?Même pas dans le rêve d'un mec qu'elle aurait vu de loin dans un de ses cauchemars.
A la limte, elle peut envisager d'ôter ses bottes. Peut-être que l'odeur lui fera gagner de l'avance sur quelques concurrents...

Clac... clac clac...

Hein?

Clac clac... clac...

Quoi Clac clac?!


Non, rien, ce sont les genoux de la vache qui s'entrechoquent. A tout les coups, elle a choisi la vache folle....

7 : Cette vache a l’air malade… Mais au moins, vous grimperez dessus sans qu’elle résiste !

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Ellya
Mercé!

Un nouveau godet en main, servi par Nannou, elle observa d'un œil flou les concurrents qui se ruaient vers leur monture.
Interpellée, elle marqua une seconde d'incompréhension, suffisante à Sashah pour claquer l'arrière-train de la bestiole. Elle porta tout de même ses mains en porte voix - conscience profesionnelle oblige - pour répondre à Bastian:


Que non! L'élection du Roy des Ânes, c'est en Empire que ça se fait, j'crois!

Elle se mit à rire grassement. La journée promettait d'être longue et le lendemain migraineux.

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Bastian_hoggendaffen
[Ça mérite le rouge!]


Mais hélas l'arbitre a de la bouse dans les yeux.
Même pas l'temps d'enguirlander la brune qui s'est muée en Cruella martyrisant les animaux. Elle s'est éloignée en direction de la rive dès son forfait accompli, pendant que Bastian s'accrochait au cou de la bête rendue furieuse pour éviter de finir éjecté. Au moins il aura eu un entrainement au rodéo. Au bout de quelques instants, il parvient toutefois à calmer l'animal, et lui flatte l'encolure en lui parlant doucement.


- Là... Elle est partie l'autre affreuse, il n'y a plus rien à craindre.

Bon, changement de stratégie. Cette fois le jeune homme prend une minute pour évaluer la situation, et, toujours assis sur sa mauvaise monture, décide de se rapprocher d'une vache un peu à l'écart, en train de paitre paisiblement, et sur laquelle personne n'a encore jeté son dévolu visiblement. Avant de s'élancer, il remarque aussi l'arrivée peu discrète de son seul et unique supporter. Ses yeux se plissent en découvrant son visage de son poste d'observation éloigné. C'est un effet d'optique ou est-ce qu'il est encore plus vilain que d'habitude? A moins que ce bon à pas grand chose tente l'asymétrie oculaire lui aussi, dans l'espoir de lui ressembler un peu. Il répond en tout cas à ses encouragements d'un léger signe de la main, du style "j'ai juste un insignifiant détail à régler, mais sinon ouais, c'est dans la poche".

Il talonne légèrement les flancs de son bestiau afin de mettre son nouveau plan à exécution.


- Allez! Hue! En avant!

Et... rien. Le machin borné ne bouge pas d'un poil.

- Vas-y quoi, trottine! Tu viens de le faire y a deux minutes. Bouge!

Toujours que dalle. Ou si, on devine que la bestiole y met sciemment de la mauvaise volonté.

- Rhaaaaaa ! Mon âne déconne, j'veux en changer !

D'accord, l'utilisation d'un âne n'a jamais été prévue au programme, à aucun moment et d'aucune façon, mais quand même, là y a de l'abus! Bastian aurait aussi pu en profiter pour jouer les chevaliers blancs galopant au secours d'une pauvre dame pétrifiée devant un troupeau de bovins, mais son fier destrier n'est pas aisé à manœuvrer.

- Toi mon p'tit père, tu sais ce qu'il va se passer hein. Au bout d'un moment ça va mal se mettre, et tu vas finir en saucisson d'âne. J'connais un gars dans l'sud qui sait très bien faire ce genre de charcutaille en plus.

A force de menaces, de supplications, et après un temps qui lui a paru infini, mettant sa patience à rude épreuve, le cavalier parvient enfin à avancer vers sa cible et à procéder à un échange standard de montures. Cette fois c'est fait, le voilà fin prêt pour la suite des opérations. Par contre il se demande un peu ce qu'ils vont faire à dos de vaches. Une course autour de l'île? Une épreuve d'équilibre pour rester le plus longtemps possible sur les ruminants qu'on viendra éventuellement aiguillonner? Ou bien une forme de bataille royale de type "vache-tamponneuses" où il ne pourra en rester qu'un à la fin?

Faut avouer que c'est un peu couillon d'avoir peur des vaches, et qu'une fois dessus on ne peut pas faire grand chose, mais il doit bien y avoir un truc à redouter, un machin qui va encore provoquer un chaos généralisé. De toute façon il se passe quelque chose d'anormal, limite surnaturel, dans les environs de cette île maudite, si on considère l'ensemble des déconvenues et des difficultés rencontrées par les différents participants. Ou alors... c'est juste que tous autant qu'ils sont, ils constituent la pire brochette de branques de toute l'histoire du divertissement...
Tuatha
Allongée sur le ventre , le nez dans l'herbe et mâchouillant une pâquerette la jeune rousse observait les réactions de la vache .
Le temps d'incubation de la gnôle avait l'air de s'éterniser . C'est pas qu'elle n'était pas bien là , à admirer les autres faire des sauts de cabri sur leurs vaches , mais pour la plupart c'était perdu d'avance en ratant leur cible , bon en même temps , tant mieux !

Un air béat sur le visage elle voyait la vache qui commençait à fléchir des gambettes . Hum çà sentait bon s't'affaire , bientôt elle n'aura plus qu'à monter tranquillement sur la bestiole et attendre ....
Euh attendre quoi au fait ?
Bon elle en savait rien , mais elle verrait bien le moment venu , du moment qu'on ne lui demandait pas de la traire , çà devrait aller .

Traire une vache ? Vouii vouii , çà demandait de la dextérité çà et du doigté surtout . Bien tenir le pis de la vache dans la paume de la main , la resserrer juste ce qu'il faut et imprimer des gestes de bas en haut en serrant et desserrant la main . Hein ? Pffff mais non c'est pas licencieux ce que je dis ! Vous y connaissez rien en traite de vache voilà !

Aaahhh!!! Mais c'est qu'elle fléchit la vache et la rousse elle , elle réfléchit , si si je vous assure elle sait faire çà parfois .
Bon d'accord , pas quand son esprit est imbibé d'alcool , mais çà lui arrive d'être sobre , de temps en temps .
Elle se lève donc et s'approche de sa compagne d'épreuve qu'elle enfourche sans soucis étant donné que la vache est couchée sur le sol .


Une petite tape sur la croupe et allez Hu Cocotte ! on se lève !
Sauf que .... Gast ! Voila la vache qui pique du museau , la rousse qui s'agrippe aux cornes en criant et gesticulant . Enfin la bestiole arrive à se redresser et avancer , mais en titubant , hoquetant et meuglant.

Et la rouquine qui elle beugle avec vigueur .


Non ! Pas par là !! C'est le fleuve !
Non , pas par là !!! C'est la tente de l'organisatrice
NON !! là bas c'est le tas de purin !


Et de donner , avec vigueur , des coups de talons sur les flancs pour essayer de maintenir la monture dans la bonne direction , c'est à dire le buffet ...

Attention !!Chaud devant !

10 : Un peu de gnôle dans l’abreuvoir rendra les choses plus faciles, vous dites-vous. Vous attendez que cela fasse effet avant de vous jeter sur votre victime.

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Salvelinus_salmo_salar
Pfff il avait eu sacrément la trouille quand même de venir sur l'eau vers là où il venait. C'était pas qu'il avait peur de l'eau ou qu'il tombe un truc comme ça non. C'est que son père il avait picolé plein de godets avec le batelier et que la barge elle n'allait plus toute droite. Lui il était trop petit encore pour avoir le droit de boire les trucs qui rendent les grands à moitié fous. Mais il avait gouté quand même et c'était vraiment pas bon du tout. Si sa mère savait ça !

Sa mère elle lui avait manqué, beaucoup au début. Tout comme sa chambre et les histoires de sa maman et les habits tous propres et tout ça. Mais son père il était trop marrant, avec lui il s'amusait bien et il aimait l'écouter. Parfois il faisait tout comme lui. C'était pas qu'il le faisait exprès non, c'était qu'il était un peu comme lui. Un peu seulement car quand il s'énervait il ressemblait plus comme sa maman qu'il disait son père. Mais quand il la vit sa maman, il se jeta dans ses bras et elle le souleva pour l'embrasser tout partout sur le visage et le cou. Et lui il riait parce que les bisous dans le cou ça chatouillait.

Bon ça faisait bébé mais son père le verrait pas, d'abord parce qu'il voyait rien et ensuite par qu'il était en train de vomir. Eurkkkk, il s'était sauvé en courant. Ça allait drôlement bardé pour lui si sa mère voyait qu'il était saoul. Et elle le verrait !


Arrête maman ça chatouille ! Bah oui j'ai grandi, j'ai mes jambes qui ont poussé plus vite que mes braies, elles ont pas grandi elles ! Sont trop courtes ! Tu sais maman papa il est malade il vomit ! Ca c'est parce qu'on a longtemps été sur l'eau c'est faisait des chatouillis dans le ventre des fois. C'est où là ? J'suis content que tu sois là tu sais, papa il m'a dit que t'étais un femme de joie et de bonne humeur et qu'on allait te voir parce que t'étais ici.

Enfin un truc comme ça que j'ai pas tout compris ! Dis t'as vu y a une Dame qui va se manger le buffet, on dirait qu'elle sait pas conduire une vache ! Sont fous ici !

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Karec
Après avoir débarquer sur la rive en compagnie d'un moine,
essayant de négocier la future boite de biscuit avec lui
Karec avait prit du retard sur cette fameuse course en vache,
entre les négociations, la barque a ne pas oublié de mettre
en sécurité... il était bon d'arrivé sur la terre ferme mais cette île
reste une île et il aurait aussi aimer repartir à un moment
autrement que sur le dos d'une vache....

il voyait tous les candidats s'évaporer ou le plus souvent
avoir quelques difficulté a enfourcher leur céleste monture
à corne ... il n'en voyait plus de seul...

il vit Mary_de_birmouzant convoiter une belle vachette
blanche et brune, à corne, et, abandonnant toute galanterie
il se mit à courir afin de dépasser la dépasser de d'un bond
sauter sur la belle vachette !!!



HUE Marguerite !!!!


c'était le seul nom qu'il connaissait pour une vache
Lilycube en montait une à Dax... qu'est ce qu'elle était
lente avec cette bestiole.


Plus qu'a espérer que tu n'as plus faim !! En Avantt !!!!!!!!!!!!!!


4 : Vous enfourchez une vache brune sous le nez de Mary_de_birmouzant, qui la convoitait.

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Si les résultats ne sont pas à la hauteur de ton espérance, dis-toi que le Grand chêne aussi, un jour, a été un gland
Pattricia
[Vache qui peu !!!]


Pas de blonde à qui dire le fond de sa pensée à l'horizon, du coup plutôt que de perdre son temps, la rousse s'approche du buffet se disant qu'au moins ça ne serait pas perdu pour tout le monde. Elle se fait servir une chope de bière, attaque quelques beignets opportunément déposés sur un plateau, mais la pause gustative est de courte durée puisque Sashah fait son entrée et Patt en reste coite pour la 2ème fois de la journée "ben c'est à cause d'elle que me voilà coincée sur cette ile stupide à découvrir à quel jeu stupide je suis condamnée ?!" Elle écoute le discours à côté d'une jeune femme qui lui fait un sourire timide qu'elle lui rend gentiment -ben ouais c'est pas un monstre non plus tss...- puis la jeune femme s'éloigne. Il lui semble remarquer une tignasse rousse identique à la sienne mais secoue la tête se disant que s'était la fatigue qui lui donnait des visions "les nuits blanches ne sont plus de mon âge". Cette brève distraction lui avait fait loupé la descente d'estrade de leur hôtesse et du coup elle n'avait pu aller la saluer avant qu'elle ne disparaisse happée par la foule.

Soudain une voix hystérique lance le début de la course, ne pouvant du coup aller signaler qu'elle remplaçait le joueur contre lequel elle avait perdu au jeu, elle se lance dans le pré comme les autres concurrents refusant de prendre du retard. Mais elle est crevée, elle a picolé toute la nuit, n'a pas assez épongé en mangeant de manière conséquente, rien pour l'aider à être lucide et surtout délicate...

C'est noir, c'est gros, c'est tout contre une souche, pour la vindicative tout devient très clair, elle s'approche à grands pas, monte sur la souche et enfourche l'animal. Le reste tient plutôt de ce que l'on appellera plus tard le rodéo. L'animal rue, la rousse bascule cul par dessus tête pour se retrouver sur le dos, son souffle est coupé, les jades s'écarquillent de stupeur quand ils se posent sur deux naseaux fumant de fureur dans la fraicheur matinale et le meuglement qui lui vrillent les oreilles lui envoient un signal très clair "COURE VIIIIIITEUH !!!!"

Ni une ni deux une vindicative droite dans ses bottines en chevreau, saut de gazelle et la voilà partie à toute vitesse, bousculant, sautant par dessus les gens au sol, se laissant glisser sous le ventre d'un âne "heu un âne ici ?????", contournant une vache titubante, et surtout hurlant.


Qui a foutu un taureau dans ce pré bordel !!!!
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RP fofo2 en cours avant le décès de la reine donc pas de deuil.
Sashah
[Géant en tangage....]

Ce fut un cri et une course effrénée qui la tirèrent de son mutisme. Elle tourna la tête, vit une rousse courir devant une bête en furie, rit et regarda Salvelinus avec sérieux. Elle avait écouté son fils et savouré tendrement ces retrouvailles. Dieu qu'il avait grandi, changé aussi, il n'avait plus le même langage qui butait sur tous les mots. Était-ce elle qui l'empêchait de prendre son envol et le retenait aux pays des tous petits ? Bébé dragon semblait plus mature, plus réfléchi. De toute façon elle était une mauvaise mère, ça elle le savait déjà. Par contre si son père l'avait décrite comme une femme de joie et de bonne humeur, il allait passer un sale quart d'heure ! Mais elle doutait, pensait plus que son petit bout d'homme avait mal compris. Surement ! Son père n'avait jamais eu pareils propos à son sujet. Quelque part, elle le savait, trainait encore entre eux, un tendre respect.

Mais qu'il soit malade l’inquiétait plus. Gorborenne n'était jamais malade, il était un géant venu du grand nord, elle ne l'avait jamais entendu éternué ne serait-ce qu'il seule fois. Vomir car il était venu sur l'eau était encore plus improbable. Elle ne connaissait aucun homme meilleur marin que lui ! Impossible qu'il puisse avoir le coeur retourné par le chaos de l'eau, de plus le fleuve était tranquille !
Amenait il la maladie sur son île ? Et son enfant était-il contaminé ? De quel mal souffrait-il ? De la peste bovine ?

Non mais là son esprit s'emballait !

Elle aurait voulu interroger sur ce mal mystérieux, son enfant, mais n'allait elle pas l'affoler plus qu'autre chose ? Un tente médicale était bien en place, mais les onguents ne soignaient que les petits maux, peut être un peu la fièvre mais ce n'était pas sur, en tout cas, aucune forme grave de maladie.

Restée là à réfléchir ne lui servait à rien et s'il était contagieux, son fils aussi. Comme personne ne les avait approché, elle remonterait sur la barge et s'éloignerait de l'île, ainsi le risque serait moindre. Voilà bien ce qu'elle décida :


- Hijo allons voir ton père, je dois le saluer et qui sait peut être voudra-t-il participer avec toi à ce jeu ?

Elle allait le prendre par la main quand elle le vit détaler pour rejoindre Orion. C'est vrai qu'il n'était plus un bébé ! Inquiète à un point que l'on ne pouvait imaginer, elle se dirigea vers l'embarcadère à la rencontre d'un géant au teint pâle qui visiblement venait de rendre le contenu de son estomac. Mais à mesure qu'elle avançait quelque chose la dérangea. Était-ce son imagination où est-ce qu'il titubait ?

Elle secoua la tête, à l'hésite de deux constats. Tant qu'elle ne se serait pas approchée de lui, elle ne saurait pas. Mais elle n'avait aucune envie de venir aussi près, l'idée qu'il soit malade la paralysait.

Ce fut pourtant d'une voix douce qu'à quelque pas de lui, elle lui demanda :


- Orion tout va bien ? Tu sembles bien mal en point.
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Salvelinus_salmo_salar
Les grands c'est vachement compliqués !

Sa mère l'avait écouté mais comme c'était sa mère, il était sur qu'elle allait vérifier que son père était malade. Il n'aurait pas du dire qu'il l'était, elle l'aurait peut être pas vu. Mais c'est toujours quand on fait une bêtise qu'elle vous tombait dessus. Toutes les mamans étaient comme ça ? Lui il fallait qu'il sorte son père de là, parce que ça allait barder de chez barder si elle voyait qu'il avait picoler. Et il avait pas fini de réfléchir qu'elle partait déjà vers li. Même pas elle avait regarder la dame qui savait pas conduire une vache ! C'est qu'elle était maligne sa maman, mais il fallait qu'il fasse quelque chose. Sinon son père il était mort.

D'ailleurs il disait tout le temps, vaudrait mieux pas mettre ta mère en colère ! Parce que ça chauffait quand elle était pas contente.

Mais comment faire ? Il courut après elle dans l'espoir qu'elle ferait demi tour. Lui montrer autre chose n'aurait servi à rien, elle avait mis le cap sur son paternel.

Fallait qu'il se grouille sinon c'était fichu. Une idée lui vint tout d'un coup comme ça et il avait les yeux fixer sur le dos de sa mère qui s'approchait, s'approchait mais qui s'arrêta. Du coup il lui fonça dedans, tête la première, mais même pas il avait eu mal.


- Ho pardon M'man !

C'est à ce moment là, qu'il se mit à recourir, courir vite, tout vite vers son père, si vite qu'il mit ses deux mains en avant quand il arriva vers lui. C'était facile de faire croire qu'il courait si vite qu'il pouvait plus s'arrêter. Et il ne s'arrêta pas !

Vlan dans le paternel qui sous le choc, perdit l'équilibre et tomba du ponton.


PLOUFFFFFF
Pardon papa j'en ai pas fait exprès !


Si son père buvait de l'eau ça le dessaoulerait non ? En tout cas sa mère sentirait pas l'odeur de vin qu'il avait quand il parlait !
_________________
Archibabel
Des fous... Ah?... Il l'avait déjà pensé?... Qu'à cela ne tint, cela se vérifiait encore sous ses yeux alors qu'ils assistaient, Perles et lui, à ce charivari bovin. Au milieu desquelles vaches s'était glissé un âne d'ailleurs. Probablement un clandestin. Quoiqu'il fallut bien que quelqu'un l'eut amené. Est-ce que cela nageait un âne? Ou alors, c'était un âne d'exception, adapté au milieu aqueux, le Seigneur des ânes d'eaux en quelque sorte. Et le premier à tenter de s'en emparer avait été saqué...

Asinus asinum fricat
(1), comme disait ma tante quand elle choppait des garnements... Oui. Tiens! Où en était sa marraine?

Vous voyez ce qu'elle fait, Perles? Elle fait quoi? La sieste?

De loin, on apercevait vaguement que Tuatha étendue dans l'herbe. Cela dura un bon moment. Que notre Brestois, pas en mal de ressources, mit à profit pour sortir le saucisson, pur porc breton, et le vin qu'ils avaient acheté avant de venir. Oui, on ne pouvait pas tout reprocher aux François, surtout pas leurs vins.


Vous en voulez une tranche et un godet? Nous n'allons pas nous laisser dépérir tout de même.

Et donc de casser la croute jusqu'à ce que Madame la Baronne reprenne activité. Archibabel la vit monter sur la vache et partir... un peu... comment dire... À la dérive?

Non mais je vous jure, dimizell! Votre amie et ma marraine est encore fin pompette! La honte!

Il reprit la corne de brume et souffla à fond dedans avant de s'écrier:


PAS PAR LÀ !!! MAERONEZ !!! PAS PAR LÀ ...

Mais décidément ce ne semblait pas être le jour des blondes rouillées car une autre s'en vint à traverser l'espace en hurlant, apparemment suivie par une ruminante qui semblait l'avoir prise en affection.

Qui a foutu un taureau dans ce pré bordel !!!!

Archibabel se tourna amusé vers Perles.

Hé ben, elle a pas dû y aller souvent au taureau, celle-là... Pour pas savoir à quoi ressemble des... Hum... Pardon, dimizell, oubliez mon propos.

Sourire en coin avant de reprendre à interpeller Tuatha.

Allez Tuatha! Pour Breizh! Reprenez-moi cette bête en main!


(1) L'âne frotte l'âne.
_________________
Brestois un jour, presse-toi toujours!
Et toi, mon poulet? T'es de Bresse? Non, je suis de Brest, ma poulette!
I'm the best 'cause I'm from Brest!
Qui a dit qu'au Finistère ils finissent par se taire? Celui-là ignore comment ça bavarde dans les rades autour de la rade.
Breizh attitude
Mortemer
Mortemer avait contemplé, l'air rêveur l'arrivée des concurrents.
Pour lui la traversée s'était passée au mieux. Nannou et lui étaient arrivés en avance et il avait pris ses précautions, c'est a dire, qu'il s'était roulé en boule au fond de leur roulotte, les yeux cachés dans son bonnet, la bouche et le nez remplis de menthe et de persil. Bien sûr, il avait tout l'air d'un veau élevé sous la mère mais ce n'est qu'à ce prix-là qu'il avait pu échapper au dramatique mal de rivière.

Aussi, fier comme Artaban, debout sur le ponton, il toisait les concurrents qui se ridiculisaient en prenant d’assaut les barcasses.
Abordage, sabordage, tangage, olé le bastingage, chacun sa façon, chacun sa route, chacun sa chimère.

Le fleuve bouillonnait, les embarcations tanguaient et les frêles silhouettes se débattaient pour arriver indemnes. Même les vaches meuglaient de rire.
Jamais il n'aurait pu imaginer que tant de fous accostent indemnes, mettant enfin le pied sur le sol gluant de l'île aux Vaches. Il n'avait pas assez de doigts aux mains pour les compter tous. Sans doute quelques-uns devaient dériver au gré du courant, perdus à jamais, nourrissant le peuple des poissons de leur chair fade.

Mais ce n'était pas tout ! Nannou assumait auprès de la buvette. Il l'avait aidé pour soulever un tonneau d'hydromel et avait déposé un baiser sur les lèvres de sa femme. ho ! Très discrètement, personne ne put le voir. Puis, il prit religieusement soin de son tonneau de camomille, le mettant à l'abri.
D'ailleurs, de la religion, il y en avait un peu trop ici ! La sœurette de l'accueil Ellya qui lorgnait bizarrement sur les canards ! Ha ! Il avait le don de les repérer les religieux ! Il y avait aussi ce jeune prêtre, flanqué de la sœur qui lui tenait la chasuble et d'autres encore en odeur de sainteté !
Il espérait que ce ne fut pas un séminaire de conversion, que les chants ne seraient pas des cantiques pieux, et les pièces jouées, des miracles...

Soudain, il pensa aux gâteaux de Margauth ! Cette adorable amie leur avait donné tout un paquet de gâteaux croquants aux amandes et à l'anis qui avaient embaumé leur roulotte pendant tout le voyage.
Oui oui ! J'ai pêché ma sœur, j'ai fait le péché de convoitise, de gourmandise, ex-cetera... ex-cetera...
Il déchargea le sac et se promena parmi les concurrents effrénés et exacerbés.


-Qui veut goûter mes petites friandises ? Qui veut se faire un petit plaisir gustatif ?


Il tomba nez à nez avec une vache.
Et, pourquoi pas ? Il mourrait d'envie de participer aux festivités ! Oui, pourquoi pas se choisir une jolie vache, c'est si mignon une vache, ça a de beaux yeux. Et puis c'est agréable de lui ébouriffer sa frange, de lui caresser la mamelle, de lui tortiller la queue, de lui confier ses petites pensées !
Il s'approcha timidement de la religieuse Ellya, grande organisatrice de ce jardin-partie, et lui demanda :


-Vous voulez un gâteau ? Heu ! Je peux jouer moi aussi ?
Almeria
    Ils savent. Oui. Non. Impossible.

Almeria s’efforçait de déambuler entre les vaches en gardant une attitude nonchalante. Les sens aux aguets et les jambes flageolantes, elle glissa une main moite dans sa besace en bandoulière et la retira aussitôt, et ce, pour la dix-neuvième fois.

    Ils savent.

Elle avait passé les derniers jours à concocter une drogue siesta rápida pour la Vache Elue. Rien dans les règles n’interdisait de chevaucher une vache assoupie. En tout cas, c’est ce que se répétait inlassablement notre petite tricheuse. Si seulement elle pouvait avoir un peu d’intimité pour sortir son arme secrète. Mais non. Toutes les personnes, vaches et autres créatures de cette maudite île avaient les yeux braqués sur elle. Ou la paranoïa d’une coupable…

Elle s’éloigna un peu vers la rive à l’abri des yeux indiscrets et sortit enfin la vieille bourse en cuir contenant la précieuse mouture. Il ne lui restait plus que choisir avec soin sa victime et le tour serait joué. Seulement, Deos semblait avoir un autre avis sur la question…

Quelques petites secondes plus tard, la malheureuse n’avait même pas encore songé à savourer sa prochaine et sûre victoire avec quelques éclats de rire machiavélique qu’un étrange son la fit sursauter. Elle laissa échapper une exclamation de surprise puis une autre de désespoir. Son plan certifié 100% infaillible était tombé à l’eau. Littéralement.

La Grenadine perdit de précieuses minutes à contempler l’endroit où avait disparu la bourse puis, les bras ballants et les yeux en larmes, elle regagna le troupeau qui paissait paisiblement, non sans jeter un regard furibond au supporter avec la corne de brume. Et voilà que certains se permettaient de lancer d’étranges incantations… Reportant son regard sur les autres participants, elle reprit courage en constatant qu’ils étaient loin d’être des as du rodéo. Les vairons toisèrent avec méfiance les bovins. Il était plus que temps de faire un choix raisonnable…

— Mmh… Trop maigre… Trop grosse… Trop petite… Trop grande… Ecornée… Morveuse… Trop tachetée… Trop brune… Trop agitée… Trop calme… Trop vieille… Ah! Enfin!

Almeria caressa d’une main hésitante la tête de la jeune vache laitière et poussa la bêtise jusqu’à se pâmer devant ses magnifiques cornes et son imposant mufle rosâtre.

— Beurkissîme! Maintenant, ma belle, on va gagner cette compétition illico et je t’emmènerai avec moi en Castille! Ajouta-t-elle d’un air entendu. N’est-ce pas que tu es d’accord ma mignonne? Hein?

La vache se contenta d’ignorer le bipède dérangé et reporta son attention sur l’herbe de la prairie. Mais il en fallait davantage pour décourager notre moulin à paroles. Confiante en ses talents de cavalière, elle se lança dans l’air en s’appuyant sur le flanc de l’animal pour atterrir du même côté, après que sa main ait glissé d’une manière que l’on considérerait loin d’être naturelle. Stupéfaite, elle se releva avec hargne et brandissant sa main poisseuse, elle éructa vers l’assistance:

— Qui a huilé ma vache? Espèce de patán* à un denier!

Puis, dans un geste nerveux, elle s’essuya la main sur son aumusse qu’elle enleva pour s’en servir comme selle. Ce n’est qu’après une douzaine de tentatives, une dizaine de chutes qui lui donnèrent le look souillon tant convoité par les apprentis mendiants de la cour des Miracles, ainsi qu’une douloureuse entorse qu’elle parvint à se jucher sur la vache dans un équilibre précaire. En espérant qu’elle survive au reste de la mésaventure, elle enserra les flancs de la vache et attendit avec une mauvaise humeur non dissimulée la suite des événements…

* malotru

15 : Vous vous y prenez à plusieurs reprises avant de réussir à grimper sur le dos de cette vache : elle semble avoir été huilée.

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Pattricia
Elle n'entend pas les remarques ou les rires, elle se doute qu'elle ne doit pas passer inaperçue, est-ce déjà arrivé d'ailleurs ? Rarement, très rarement... Sauf que là franchement, elle aimerait autant être transparente, et laisser le bovin passer juste à côté d'elle pendant qu'elle reprend son souffle. Une fois le moment de panique viscérale passé, la vindicative commence à trouver que ça suffit et décide soudain de s'arrêter et de faire face à l'animal qui de taureau s'avère juste être une vache -enragée ?- qui elle n'est toujours pas décidée à cesser sa course folle. Tirant une nappe d'une table à proximité, voilà Patt qui se prend pour un torero et agite le tissu devant la bête en pleine course. Une danse endiablée s'engage entre la vache qui se prend pour un taureau et une vindicative qui ne se trouve pas être en habit de lumière. Avait-elle fait ça auparavant ? Surement pas, elle n'a jamais mis les bottes en Ibérie. Mais heureusement pour elle, l'animal commence à fatiguer et finalement s'arrête tout aussi soudainement et commence à paitre comme si de rien n'était.
La rousse se laisse glisser dans l'herbe et regarde sa rivale qui doit absolument devenir une partenaire.


C'est quoi le problème ? J'chuis trop lourde ? Trop typée ?

A force de courir les deux protagonistes avaient fini par s'écarter du gros des participants, la noiraude refusant de lui donner une piste sur ce qui la gène à être sa monture, Patt commence à s'impatienter et regarde autour d'elle. Étouffant une exclamation peu distinguée, elle se met à faire de grands signes en direction d'un être étrange.

Hey Sperb !!!
Qu'est-ce que vous fichez là ?


Elle se relève, n'attendant pas vraiment de réponse immédiate, remarque que la noiraude reluque une herbe bien grasse et impossible à atteindre puisqu'au-delà d'une barrière. La rousse se plante devant la vache avec un petit sourire chafouin.

On va faire un deal ma belle, j'enjambe la barrière, cueille cette herbe inatteignable et toi tu me laisses être ta cavalière. Vendu ???

Les yeux de biches clignent de compréhension. Satisfaite d'avoir enfin obtenu gain de cause, la vindicative passe avec difficulté la barrière, cueille de l'herbe qu'elle rapporte au bovidé.
Une fois le repas terminé, la voilà qui prend son élan à nouveau et enfourche la bestiole plus ou moins élégamment. Noiraude reste coite, il suffit maintenant de trouver le moyen de la faire avancer.


Vous voulez pas avancer devant la vache avec de l'herbe dans les mains Sperb ? Ça me rendrait vachement service voyez...

5 : Vous vous approchez d’une vache quand elle se retourne et se met à vous poursuivre.

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RP fofo2 en cours avant le décès de la reine donc pas de deuil.
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