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[Joutes Gascogne 1463] Campement

Yousseph




Au final tout le monde s'était bien installé dans le Campement Gascon du Labourd... Comme si cette adaptation nouvelle était une formalité pour la famille du Vicomté.
Même l'Irlandais avait pris ses marque le temps de cette joutes.. Rose elle avait ausis confectionnée sa petite cuisine sous une tente à elle pour ses farinades et autres pâtisseries dont elle a le secret...

Yousspeh lui allait et venait d'une tente à l'autre pour avoir un oeil sur les enfants et bien sur sur son épouse... son tempérament de curieux ne le laissait pas tenir en place...


Alors Rose?... que prévois tu de nous concocter pour ses joutes culinairement parlant... Parce que je vais te dire... après un duel je risque d'avoir faim et Isabelle pareil... ça creuse l'estomac un duel... Tu peux nous croire...

Petit sourire pour détendre l'atmosphère mais en fait Yousseph était assez excité a l'idée de son premier duel et de celui de son épouse... Allaient il s'en sortir pour leur entrée en lice...
L'Erudit s'approcha de son amour et l'enlaça par sa taille pour la plaquer tout contre lui...


Allez ma chérie allons voir ce qui se passe au panneau et après voilà une bonne marche autour des campements pour nous vider la tête et garder nôtre forme

Nous vous laissons un instant Rose , nous ne tarderons pas à être de retour...
Tu viens avec nous ma fille....


Yousseph vivait ces joutes plutôt agréablement bien... tout était réuni pour que cela se passe convenablement... Il restait cette inconnue de la blessure ou de l'élimination rapide, mais il en fallait pas penser à ça...
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Octavesaintange

ou dit aussi

Campement Orléano-Champi-Normano- breton- bourguignon-guyennois et plus encore


Assis, tout ce qu'il devait faire fait, Saint-Ange attendait son tour et la suite des joutes, la mâchoire entre les poings. Ses pensées avaient finis par l'envahir et il réfléchissait de tout de rien en attendant que le temps passe et qu'il puisse partir vite. L'on lui avait annoncé l'arrivée de sa suzeraine accompagné de ses vassaux et de sa probable futur belle famille, leur laissant le temps d'arriver, il irait les saluer plus tard. Pour l'heure rongé par l'ennui et tourmenté par les questions qui tourbillonnaient, il laissait le temps s'égrener doucement, trop lentement à son goût. Le travail ne manquait pas, Octave ressentait un peu de culpabilité d'être là alors qu'il avait beaucoup de travail et surtout laisser sa douce au front, même si cela était son choix. Souvenir aussi de la rose déposée sur la tombe de Blois, comme elle lui manquait aussi...

Perdu dans le nuage gris du vague à l'âme qui trottait entre ses oreilles, il en fut extirpé par un parfum familier qui arrivait derrière lui. Le jeune capitaine d'Orléans avait toujours eu un bon odorat. Celui ci ne le trahit point quand il vit la main ganté se poser doucement sur épaule, avec une affection somme toute maternelle, notant l'effort d'avoir éviter ses cheveux. D'une voix douce mais légèrement éraillé, il lui répondit :


Bonjour chère suzeraine. Non, rien juste un peu de fatigue et d'ennui...


Volte face fut fait ensuite, afin de voir sa suzeraine qu'il considérait un peu parfois comme une mère de substitution. En vain, il tenta de sourire mais ses commissures ne s'étirèrent qu'un petit peu. Se dirigeant vers un petit vaisselier, il lui demanda doucement

Vous voulez boire quelque chose ?

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Evdes

ou dit aussi

Campement Orléano-Champi-Normano- breton- bourguignon-guyennois et plus encore


      Eudes ?
      Dans votre dos.

    Le bourguignon -oui le campement cosmopolite qu'on vous a dit- sourit en entendant la voix de sa cousine, il ouvrit le drapé de la tente de sa senestre et pénétra dans cette dernière aussitôt ses pas le guidèrent dans les bras de sa parente.

    "- Xal ! Ma chère cousine, qu'il me tardait de vous voir depuis notre échange épistolaire, vous avez bonne mine depuis que l'on ne s'est vu."

    Le blond marqua un arrêt en remarquant la présence d'un inconnu -pour lui- auprès du vaisselier, il se redressa et se donna une posture moins familière et se présenta.

    "- Eudes Lablanche d'Abancourt." C'était court, c'était précis, et il tendit sa dextre pour recevoir la main de son interlocuteur.

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Eudes Lablanche d'Abancourt
Maistre Parfumeur
Diatessaron


    aüstic rentra au camp lorsqu'elle eut fini son exploration, après les éliminatoires, et que la tente médicale n'avait encore besoin d'aide. Mais regagner les quartiers qui étaient siens n'apaisaient pas la fébrilité qui était sienne, au contraire; elle ne doutait plus d'y croiser d'autres visages qui lui étaient chers, que déjà la meschine avait entr'aperçus à la sauvette entre les tentes de fortunes ou dans les gradins. Elle arrêta, en chemin, un badaud qui vendait un peu d'hypocras et les premiers abricots d'été pour qu'il en acheminât avec elle jusque dans la tente qu'elle occupait. Le plein panier fut abandonné sur la table, alors que Diatessaron caressait d'un revers d'index les draperies des tentes pour signaler sa présence. Qui est au camp ?

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Kheldar


Campement d'un Géant.

Cela faisait un moment qu'il n'avait pas fréquenté les joutes, ou participé à quelque manifestation. Pour son retour lance à la main, le colosse aux vêtements de cuirs sombres avait monté son campement à part, non loin toutefois, de celui que dominait la tente de sa cousine Xalta.

Il était venu seul, et c'est d'ailleurs sans sa troupe qu'il avait quitté les Flandres pour traverser la France jusqu'à Montpellier où allait débuter le chantier pour sa Caraque de Guerre, unique objet digne de son intérêt. C'est seul aussi qu'il avait monté son campement, entretenu son armure, ferré son destrier massif et préparé son repas. Celui lui faisait du bien de porter à nouveau l'habit de mercenaire et de tout faire par soi même. Plus de phrases ampoulées, de bienséances et autres joyeusetés qui l'agaçaient tant.

Le râtelier à armes accueillait ses épées, allant de la lame courbe à la claymore, en passant par la bâtarde. De ce qu'il connaissait des joutes, il y avait peu de chance qu'il manie l'épée en ces lieux, la plupart des combats étant réglé en quelques coups de lances. Lui même ne se considérait pas comme un féru des joutes, préférant de loin les duels à l'épée aux règles strictes qui empêchait ceux tombés de se relever pour reprendre le combat. Pourquoi venir en ce cas? C'était un sport, plus qu'une démonstration de force et d'habileté à ses yeux, mais il souhaitait y excellait, et ce n'était qu'en chevauchant le plus souvent possible qu'il y parviendrait.

Adossé à une souche, ses bras massifs croisés sur sa poitrine, le colosse observait tout en fumant sa pipe, les campements des autres nobles venu jouter en Gascogne.

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Karlheinz
[Campement Giboint - Dampyere]



J'écoutais Arnaud me répondre, tandis que je servais chacun du vin dont je m'étais moi-même servi; Cher ami, c'est alors que vous devez être homme très vertueux car je ne suis pas certain que les yeux de ma très chère sœur s'arrêteraient sur le plus singulier des quidam, et encore moins sur le roi des voleurs, aussi charmeur son sourire puisse-t-il être ! Je glissais à ce moment un clin d’œil à Léanore suite à ces propos, saisissant mon verre lorsqu'une jeune fille blonde fit son apparition sur le terrain.

Et ainsi donc paraissait la jeune fille dont on m'avait fait mention, qui se présenta avec une énergie et une gaieté qu'il ne m'avait pas été donné de voir depuis un long moment déjà. Eh bien, il semblerait que je n'ai pas été trompé dans les descriptions qu'il m'a été donné de recevoir sur votre compte. Vous êtes aussi jeune que jolie, demoiselle Margot. Un atout qui sera de taille face à votre adversaire, dont un battement de cil charmeur suffira à lui faire baisser sa garde et vous permettra de marquer le point qui vous accordera la victoire ! Vous vous êtes bien inscrit à la lice ? Lui demandais-je, tout en l'invitant à nous rejoindre pour un moment de discussion avant que chacun ne soit appelé aux premières épreuves.

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Humbert.

Campement des Bouillon


L'équipe des Bouillons allait enfin être au complet alors que Siméon et Humbert se présentaient aux abords du campement.
Le chevalier avait convaincu son oncle d'atteler une charrette pour effectuer le déplacement jusqu'en Gascogne, qu'un bourrin pourrait traîner tandis que les ardennais demeuraient préservés pour les joutes.
Un moyen qui plus est de trimbaler avec eux tout leur barda de lances sans s'encombrer de trop de main d’œuvre, mais également quelques tonnelets de vin à vendre sur place, ou à consommer sur le campement.
Ayant des suites derrières les idées, Siméon avait insister pour transporter quelques caisses de fruits gâtés ramassés en Franche-Comté. Disait-il, on ne sait jamais, des fois qu'on croise des impériaux aux joutes, il est de notre devoir de françois de leur faire bon accueil.
Le savoyard gardait à l'esprit quand à lui, que si l'ennemi n'était point assez sot pour venir se pointer, il pourrait laisser fermenter les fruits pour en faire de la gnôle. Rien ne se perd !

Ce petit voyage avait cependant des petits airs de vacances. Quitter le front à l'Est pour venir se dorer quelques jours au soleil du Sud, même si c'était en Gascogne, ça ragaillardit son homme ! Humbert avait d'ailleurs une mine radieuse, enchanté qu'il était de venir tâter la lice malgré les sermons proférés de concert par Maleus et Scath quant à une activité si vaine selon les bonnes mœurs de la Réforme. Arguer de porter haut les couleurs de la chevalerie de Bouillon aurait été un axe de défense plutôt bancale, étant donné qu'il concourrait pour la Dame de Vanoise. Plutôt que de s'aventurer sur le terrain glissant de ses motivations à l'exercice, il s'était souvent contenté d'un haussement d'épaule envers ses détracteurs, voir même d'esquiver tout bonnement le sujet, avec un succès tout relatif.

Siméon au moins ne grinçait des dents que de le voir abandonner la bannière au corbeaux. Encore que les brimades s'étaient faites plus rares depuis un certain dîner à l'Ostal Maurand, ou le cas du chevalier avait été discuté et à priori scellé par leur parente et chef de famille Agnès.


- Vous allez bien me laisser quelques cerise dans ce panier ?

S'exclama le montagnard à l'attention du Vicomte, alors qu'ils traversaient campement. Il avait espéré que son oncle ne découvre point la cargaison clandestine embarqué à Moissac, ou à défaut n'y prête guère attention, mais le voilà qui se les enfilait au compte goûte depuis leur entrée en Gascogne.

- Tenez voici nos étendards. Apparemment il ne manquait plus que nous.
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Kami.


Une fois n'est pas coutume, comme à chaque nouvelle joute, Kami fit monter assez rapidement sa modeste tente après avoir choisi avec soin son emplacement. Ses domestiques s'affairaient donc dans le coin des Licorneux. Une fois la tente prête, il alla ranger toutes ses petites affaires et se posa quelques minutes pour profiter un peu du calme avant le tournoi.
Kami sortit ensuite pour aller saluer ses frères et soeurs. Il vit en premier Gauvin et s'approcha :


Le Bonjour mon Frère ! Comment vas-tu ? Tu viens observer pour tes futures joutes ?
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Anne_lise.dangely



Son époux était parti depuis quelques heures accompagné de Gustave et de leurs gens afin d'installer leur campement. La charrette transportait outre le matériel pour les joutes moult chaudrons, tentes, tréteaux, tables, coffres, vaisselle et autres accessoires pour assurer un bivouaque plus ou moins confortable. Ils avaient débuté par l'installation de la tente des Dangely qui semblait spacieuse et assez accueillante pour que la famille au grand complet puisse y séjourner quelques jours.

Anne y arriva un peu plus tard en calèche et fut surprise du travail déjà accompli. Elle y installa Caty, Hadrien et Matiu, leurs fils, et s'assurant que ce dernier dormait, elle vint rendre visite à leurs gens s'assurer qu'ils ne manquaient de rien.

A sa grande surprise, tout était déjà en pleine effervescence.




Elle fit le tour de leur campement, saluant chacun d'un sourire et d'un petit mot gentil et quelques félicitations pour leur promptitude. Puis elle retourna auprès de son époux.

Bonjour mon ange. Comment te sens-tu ? Je n'aime guère ce genre de divertissement tu sais. Un déplorable accident est toujours possible. Tu feras attention n'est-ce pas ?
J'ai emmené fils, je crois qu'il faut qu'il voit ça, mais comme à son habitude il a déjà filé. Sa curiosité est sûrement une grande qualité mais Dieu qu'elle me fatigue.

Puis-je t'aider ?

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Elenwe
Campement de Carnin



Sous une des tentes montées par Prinne, Elenwë inspectait elle aussi son matériel. Mais contrairement à son amie, le sien n'était pas fait pour écharper mais plutôt pour coudre et soigner. Quoi qu'en regardant de plus près, certains outils semblaient bien plus barbares qu'une épée ou une hache.
Tout semblait en ordre et elle espérait bien de ne pas devoir s'en servir. D'ailleurs elle n'était pas vraiment là pour ça à la base, juste pour assister aux joutes. Mais puisqu'elle y était, autant aider à quelque chose.

La jeune femme n'avait strictement aucune idée de comment ce genre de...jeu...se déroulait et elle avait hâte de voir ça de ses propres yeux. En tout cas, au vue du nombre de campements entourants le leur, il y avait l'air d'y avoir pas mal de participants.

Elle releva la tête lorsque Prinne entra et lui adressa une petite moue suivie d'un sourire.


Mais non, je ne dors pas ! Je vérifie que j'ai bien tout le matériel pour te ficeler si on te casse en morceaux. Oui je sais, je suis très optimiste.


Un petit rire espiègle se glissa à travers ses lèvres, puis elle reprit son sérieux et hocha la tête aux dires de la future jouteuse.


D'accord, je te suis, allons voir ce panneau.
Ishtara

Campement des Bouillon



La Blanche Vicomtesse était toujours heureuse de l’accueil que lui faisait Calico, et en retour elle lui offrait toujours son plus beau sourire sincère.

Ben oui, j’ai décidé de venir moi vous voir, on se croise souvent sur la lice, mais bon, il suffit. On va prendre de bonnes habitudes maintenant, le bisou du bonjour.

Les dernières joutes, quelle catastrophe aussi pour la Vicomtesse.

Et moi j’espère que je ne sortirais pas blessée cette fois. Moi me faire recoudre, une fois ca va, deux fois, on va ne pas exagérer, sinon je vais finir affreuse si je me fais blesser à chaque fois !

Elle éclata de rire quand elle fut stoppée net dans son élan par la voix de sa Dame de compagnie.


AAAAAAAAAAAAAAAAAAah vous ici.

Oui oui c’est moi !


Sa blonde de Dame de compagnie vient la gronder d’être partie si vite au point de pas la voir sous leur tente, ce qui fit exploser de rire la Blanche encore plus. Un sourire tendre à Lilly et on lui prend le bras.

Allez cessez de râler Rhooo ! Et ne vous comparez pas à eux, c’est impossible.

Se tournant vers Calico.


Je vous présente Lilly, ma Dame de compagnie qui joute aussi depuis celles-ci.
Puis vers Lilly. Je vous présente le Chevalier Calico, notre amie et future vassale.

Un regard autour d’eux, posant son regard discrètement sur son promis qui se faisait discret encore et ne voyant pas le borgne.

Blagnac n’est pas encore là ?

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Tatou_de_la_calonne


Campement Blackney


Grommelant, il se dirigea vers la charrette.


Comme si elle pouvait pas envoyer ses gens pour ses petits souvenirs à elle, ça c’était pour moi.


Il sortit un coffre bien caché au fond de la charrette et en sortit des charcuteries et du vin.
Dans une autre, des pâtisseries


Voilà, voilà Patronne, j’ai ici les charcuteries et les pâtisseries que je vous parlais, ainsi que du vin.
Je les avais laissé dans le chariot car je ne pensais pas que vous désireriez les déguster avant les joutes, mais plutôt au Mont St Michel, à votre retour.


Et ce qui concerne, les spécialités de poisson et champignons, j’ai fait demander au Maitre Queux de ce domaine de vous en préparer pour votre repas de ce soir.


Voilà, j’ai plus qu’à me dépêcher pour trouver une solution, pour que ce soit le cas, espérons que ce cuistot accepte, sinon, plus qu’à retourner fissa à l’auberge de la veille.
De toutes façon, faudra que j’y retourne pour aller me rechercher des charcuteries, pâtisseries et surtout du vin pour MOI.


Il ramena tout ça dans la tente et les installa sur la table.


Puis-je disposer Vicomtesse, j’aimerai aller reconnaître le terrain des joutes pour vous demain.

Ouaiiiiii, surtout se dépêcher d’aller aux cuisines
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Octavesaintange

ou dit aussi

Campement Orléano-Champi-Normano- breton- bourguignon-guyennois et plus encore


Tandis qu'il s'affairait à sortir des verres et des bouteilles diverses et variées, il entendit quelqu'un rentrer dans la tente. Un jeune homme qu'il n'avait jamais vu ou alors dont il n'avait pas souvenir, bien que sa mémoire ne lui faisait rarement défaut. Un verre de plus fut rajouter sur la table. Tandis qu'il revint poser le verre sur la table, l'homme se présenta. Un Lablanche d'Abancourt, encore un ! Décidément cette famille avait des ramifications partout. Saint-Ange serra la main tendue et se présenta à son tour, la voix toujours éraillé et fatiguée :

Octave Saint-Ange de Bohème-Moravie, enchanté, asseyez vous, je vous en prie. Vous voulez boire quelque chose ?

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Maylis




(sur les routes après l'armagnac )

Les joutes en armagnac venaient de se terminer que déjà nous partions vers la Gascogne ;notre terre d'adoption , où se déroulaient d'autres joutes .Nous avions laissé nos gens remballer nos affaires , et prendre seuls avec les chariots le chemin le plus court , leur demandant de monter notre camp pour notre arrivée ;Et étions partis sur nos chevaux respectifs , prenant en même temps la clé des champs , le temps de nous reposer .... hum...à l'ombre d'un fourré , d'acheter un panier de cerises en passant près d'un paysan ;dont le dit panier bien garni de ces beaux fruits rouges nous avaient tenté .ainsi après moult arrêts et dégustation ici et là nous arrivâmes en vue de notre destination

(Arrivée dans notre province , Chateau de Mont de Marsan)

Notre arrivée se fit doucement , nous saluâmes les quelques connaissance retrouvant aussi quelques jouteurs croisés en Armagnac

Bonjour Alvira , votre voyage depuis l'armagnac c'est bien passé ? excusez nous de venir un peu tard , mais nous avons profité du temps merveilleux dont le soleil nous gratifie en ce moment .


auprès d'elle se tenait sancte


Bonjour prince , cela fait longtemps que nous ne nous sommes vu , comment vous portez vous ? A vous voir bien je pense
.


Posant nos yeux sur le camp nous vîmes au loin notre campement


Nous vous laissons , un brin de toilette ne sera pas superflu , nous nous reverrons sans doute ,vu que nous ne partons pas de suite .


Je Souris
Nous nous dirigeâmes vers ce qui sera notre gîte pendant ces joutes ,
nos gens avaient fait ça bien et celui ci se terminait le pavillon était déjà dressé notre tentes ; celles d'aisances aussi ,qui comportait une pour le bain et une autre pour nous préparer ,derrière se trouvaient celles des domestiques , Nous nous approchâmes et humèrent une odeur délicieuse d'épices qui s'échappait de la broche sur laquelle cuisait le porc , acheter par notre cuisinier .
Son épouse vint à notre rencontre , après avoir posé les pieds sur le sol , elle nous donna une boisson fermentée , très fraîche que nous prîmes et dont nous vidons les verres d'un coup , qui nous désaltéra instantanément .


que nous as tu donc donné ma bonne Gladys ?c'est très heu... surprenant , mais bon
]

mon cœur , moi je vais faire un brin de toilette et me rafraichir avant d'aller où que ce soit

Nous laissons nos chevaux au palefrenier et tandis que leepo guidé par son odorat et son ventre approchait de la cuisine . Je le vis s'assoir sur un siège , tandis que je me rendais dans la tente pour me refaire une beauté , et changer d'atours.
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Lilly_de_troy

Campement des Bouillon


Elle était là face à elle, face à cette Vicomtesse Neige qui devait la sortir de partout. Elle lui avait mit une brise hivernale genre "Winter is comming" mais propre quoi et là quand on lui fait remarque, elle vous regarde et vous dit juste. Allez cessez de râler Rhooo ! Comment te trouver noc en deux secondes en fait.

Les bras lui en tombèrent le long du corps et elle regarda donc la jeune femme qui allait devenir une des vassales de la Neige. Elle lui sourit


Bonjour à vous Chevalier Calico. Enchantée de faire votre connaissance.
J'espère que vous serez chanceuse à ces joutes et que vous ne ferez pas comme la Vicomtesse, c'est à dire vous débrouiller pour vous faire trouer le corps.

Pour ma part se sont mes premières, j'espère en sortir en vie.
dit elle en souriant et observant les campements se monter autour des leurs.
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