[Joutes Gascogne 1463] Campement

Des fois quand un ancien souvenir vous revient en tête, un ancien désir revient vous hanté vous vous trouvez démunie et sans aucun moyen de le comblé, surtout parce que vous avez changer, vous avez surement grandit et ces "jeux ne sont plus de votre age" ce qui disons-le clairement n'était pas le genre du blond ou du brun ou peu importe quelqu'autre couleur de cheveux qu'on puisse lui donner, on lui en donnait tellement. Bref le monmouth (ca au moins c'était clair) avait retrouvé gout à un désir insatisfait par le passé, les joutes, sa situation ayant peu changer depuis le temps l'avait convaincu de s'engager en temps d'écuyer chez un noble, un de ceux qui eux pouvaient participer. Il avait su de son ouie fine ou plutôt de quelques de ses sentinelles qu'au loin en terre Francoyse lui qui était d'Empire qu'une baronne cherchait écuyer aussitôt s'était-il mis en route sur son destrier têmpete pour rejoindre celle qu'il espérait être sa maîtresse (sans arrières pensées biensur) dans un futur proche.

Les joutes de Gascogne 1463 se trouvaient être une bonne occasion pour marquer le coup aussi s'y était-il présenter après plusieurs jours de voyage et avait chercher longuement le campement indiquer, ce qui n'avait pas été tache simple pour être ce qu'il y'a de plus sincère, premièrement parce qu'étant étranger au terres francoyses et encore pus à celles ...gascons? il ne s'y retrouvait pas il avait du ainsi se faire indiquer le trajet par un paysan. Disons-le quoiqu'il apprécie le franc parlé des paysans et leur étrange argot qui lui permet d'amuser son esprit lorsqu'il n'a rien d'autre d'important à faire, quand au contraire quelque chose de plus important l'attends il supporte peu de devoir perdre du temps à essayer de les comprendre ne pourrait-il pas prendre le temps d'avoir une éducation misère.. se disait-il intérieurement. Après avoir déchiffrer l'étrange langage du paysan il s'était ensuite rendue à l'endroit ou se déroulait les joutes mais la encore trouver le campement n'était pas une tache des plus simple, nombreux étaient les participants à ces joutes et au moins autant étaient les campements présent sur place.

Aussi après avoir tourner un peu sur place et demander renseignement dans d'autres campements, il arriva finalement sur place un campement à l'ombrage un peu esseulé du reste et près du rivière avant toutes choses, bien avant même d’apercevoir qui que se soit il voulu prévenir de sa présence aux hôtes.

Y'a-t-il quelqu'un? Je me nomme Spagnolo de Monmouth il fit une pause afin de savoir si quelqu'un répondrait à son appel puis ajouta J'ai entendu dire que l'on cherchait un écuyer d’où la raison de mon arrivée ici-même, je souhaiterai me mettre au service de cette personne et lui offrir toute l'aide qu'un écuyer puissent offrir à son seigneur.
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Il avait eu le temps de plier soigneusement la toile, de la rouler et de la ranger dans un sac de toile propre. Ce n'était pas une mince affaire que de faire cela tout seul mais le grand blond, loin de se balader avec une équipe complète de suivants et d'écuyers, aimait savoir se débrouiller seul. Et puis, avoir des esclaves, c'était pratique, mais ça faisait un peu trop ronflant à son goût. Et un peu trop cher, aussi... Bon, d'accord. Surtout trop cher. Le sac de toile fermé, il le mit de côté. Le programme pour les heures à venir était de tout démonter, de tout ranger petit à petit, de tout mettre ensemble. Ne resterait que les chevaux à seller et équiper, puis à charger le matériel, et enfin il pourrait s'en retourner dans son petit coin forestier paisible.

C'était sans compter la visite impromptue d'une nouvelle grognasse dans sa vie. Le grand blond venait à peine de poser le sac et de se diriger vers les piquets de bois qu'une jeune femme se prenait les pieds dedans, trop aveuglée par la beauté du paysage, ou quoi que ce soit d'autre. Elle crie, trouble le calme chéri de June et s'affaisse dans un tourbillon de poussière sur le sol dur du chemin. Le Seigneur de Cussy espère pour elle qu'elle a de quoi alléger le choc dans son corset. Oui, des gros nibards, c'est ce qu'il voulait dire. Elle se fait relever par une servante qui paraît dans tous ses états, et les voilà toutes les deux face à June qui les regarde d'un air blasé, un piquet dans les mains. Pis l'autre qui demande si dame Sidonie ou Valérie ou Je-ne-sais-qui va bien, et voilà qu'outrepassant toute la noblesse de sa tenue et de son éducation, la gourde se met à gueuler comme un putois :

"Mais quel est l’immense connard qui a foutu ça ici ?!"

Cela tout de suite accompagné d'un lever de sourcil de la part du concerné, immense certes, mais connard faut ptête pas déconner. V'là qu'une fois levée, elle s'enlève toute la poussière récoltée un instant plus tôt, tout en continuant de jurer comme un charretier. June en serait presque choqué, s'il ne gardait pas à l'esprit qu'il venait de se faire qualifier de connard par la donzelle. Pourtant, il garde son calme et attend qu'elle aille se faire voir ailleurs, dans son armoire remplie de froufrous, par exemple. Tout en espérant qu'elle s'étouffe avec. Sauf qu'elle commet l'irréparable, l'irrémédiable, le MAL : elle donne un coup de bottine des Galeries Lafayotte dans le bois lustré des piquets de tente tout neufs. Et alors là, alors là ! Il parcourt rapidement la distance qui les sépare, accompagné de ses grandes jambes, et il lève son bâton, jusqu'à le pointer sur le nez de la morue nouvelle génération. Et tout ça avec un air menaçant, sinon c'est pô rigolo.

"L'immense connard, autrement dit moi-même, vous conseille très vivement d'aller vous faire voir dans une autre partie du paysage. Ces piquets de tente étaient là avant vous, bien empilés avant d'être dérangés par votre présence, et si vous ne savez pas relever l'espèce de vieux rideau qui vous sert de toilette pour regarder où vous mettez les pieds, je vous enjoins à aller essayer les braies. Cela soulignera davantage les deux poteaux disgracieux qui vous servent de jambes et vous aidera à mieux savoir où les mettre pour vous déplacer convenablement. Compris ?"

Genre il allait se laisser faire par une gonzesse, si grande gueule soit-elle. T'façon, les gonzesses, en ce moment, elles commençaient sérieusement à lui courir sur le haricot.
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Une voie des plus agréable dans la tante chauffée par les rayons du soleil... Une main se pose sur le chevalier qui n'en demande pas plus pour se réveiller en douceur. Un soupir pour reprendre pied avec la réalité, sa main se pose aussi sur la sienne. Hoel ouvre les yeux, et sourit en coin.

Bonjour ma Shasha... Quel plaisir de te voir ici !

Puis d'un mouvement sur, pour ne pas faire tomber sa serviette, notre homme laisse de la place sur le lit pour la Dame. D'un geste, il l'invite à prendre place.

Assis toi avec moi, raconte-moi... La route n'a pas était trop longue ? Tu veux boire ou manger ? Tu n'es pas trop fatigué ?

Puis il attend les réponses la dévorant des yeux.
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après la victoire du premier duel, les rencontres s'enchainent et à peine reposé, son cher parrain doit affronter un autre adversaire : le Duc de Champagne

En espérant que celui -ci aurait un peu abuser du vin à bulles qui fait la renommée de la région et permettre ainsi au Duc de Guiche de gagner facilement, Lily accompagnée d'Anne et du petit Hadrien, se dirige de nouveau vers les lices.

la foule est dense et les réactions des Seigneurs et des Dames à chaque assauts lui indique que le combat précedent celui de Toto n'est pas achevé, mais il n' y a pas de temps à perdre, s'il veut se préparer tranquillement.

Nous sommes avec toi Toto, on t'encourage, mais soit prudent.

Elle ne veux qu'il pense qu'elle craint quelque chose car ca pourrait le déstabiliser et lui faire prendre des risques inutiles
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Campement Maillezais

[Arrivée tardive....]

A partir du moment où on laisse la Baronne de Maillezais gérer un itinéraire, il faut s'attendre à ce que le trajet soit... long. Fatalement.

Le voyage depuis le Poitou s'est déroulé tranquillement, au rythme de croisière d'un escargot à la retraite.
Autant dire que l'installation à plus qu’intérêt à se faire fissa. La brune n'a pas de temps à perdre quand le convoi arrive en Gascogne.

Elle aurait pu charger son intendant de trouver le campement Poitevin et d'y installer leurs différentes tentes, mais... Elle n'en a pas envie. Non pas qu'elle renie son Comté, bien au contraire, mais elle ne se reconnaît plus dans ce qu'il devient. Et puis, elle n'oublie pas non plus que son goût pour les joutes est venu au départ de son besoin de faire de nouvelles rencontres, pas pour voir encore et toujours les mêmes têtes.

Alors oui, Hubert est chargé de monter les toiles pour Ally et Antoine, pour Lafa, pour Lerac et pour Echansson. Il en a pour le reste de la journée.

Pendant ce temps là, la Trémouilloise file aux inscriptions vérifier le panneau et connaître l'ordre de passage.

Avec surprise, elle découvre que son amie Keltica semble être la juge. Elle se note mentalement de penser à la trouver pour la saluer.
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[Campement Giboint - Dampyere]



[ Après les 32ème ]

La journée se terminait plutôt bien : trois victoires sur quatre dont celle de Margot qui était bien méritante. ARnaud avait donné les ordres et Léanore se léchait les babines en voyant et en sentant la bonne odeur des côtes de boeuf. Lorsque son fiancé ait terminé son petit discours, elle prit à son tour la parole

Je vous félicité tous, vous m'avez rendue très fière aujourd'hui et en plus pas de blessés dans nos rangs.
POur ma défaite, ce n'est pas très grave et tant mieux si j'ai perdu contre Keltica.

Elle leva également son gobelet qui contenait ce fameux vin léger et sucré. Léanore savait qu'il fallait y aller doucement avec lui car il pouvait très rapidement vous mettre la tête à l'envers. Elle trempa donc ses lèvres doucement goûtant au plaisir d'être au milieu de sa famille.
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Elle sursaute et pose ses yeux sur l'homme qui vient l'aborder.
Soulagement ... il se présente comme étant le page d'Albin.
Petit sourire et la blonde acquiesce de la tête.

- Oui, c'est bien moi Clémence.

Podrick se permet de lui prendre la main délicatement pour l'inviter à le suivre.
Elle ne proteste pas et se laisse emmener.
Après tout il sait où aller , elle va pas pinailler non plus.
Il continue ses explications, elle observe autour d'elle des fois qu'elle reconnaisse quelqu'un alors qu'ils se dirigent vers le campement des Licornes.

- Non Albin ne m'a pas prévenue qu'il serait avec ses frères d'armes. Il m'a juste invitée à le rejoindre .... Heureusement qu'il a pensé à vous envoyer, je cherchais son étendard.

Elle tique quand elle l'entend dire d'Albin que est un " vrai boulet par moments ".
Comment ça Albin est un vrai boulet?
Heureusement ils ne sont pas encore arrivés , aussi elle tire légèrement la main de Pod en plissant le nez afin qu'il s'arrête.
Pas qu'elle va lui hurler dessus, non , ce n'est pas son genre à la des Charmilles.
Elle ne va pas non plus attirer l'attention sur eux.
Mais si Albin sait que son page parle de lui comme ça , à coup sûr , il va prendre un sermont bien salé ... et peut-être pire.. allez savoir...
Elle plante ses yeux dans ceux du page et lui parle doucement, pour ne pas non plus que quiconque les entende .

- Podrick... c'est bien votre nom hein? Je ne vous permets pas de dire qu'Albin est un boulet par moments... en tout cas pas devant moi. Je ne lui répéterais pas.. mais à l'avenir je vous prie de ne plus parler de lui e la façon dont vous venez de le faire.
Allons-y ... j'espère que ce n'est plus très loin maintenant.

Et elle lui reprend main , ne voulant pas non plus le perdre parmi tous ces gens affairés autour des campements jusqu'à enfin arriver à celui où Albin se trouvait.
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Lily n'a jamais participé à des joutes ni en tant que spectatrice ni meme et encore moins en tant que participante.
Aussi lorsque son parrain lui annonce qu'il va concourir pour les prochaines joutes organisées, elle lui dit qu'elle ira le soutenir bien évidemment.

Le temps de fermer son bureau, de prendre quelques affaires dans une besace, un peu de ravitaillement pour le voyage et la voila partie.
Comme elle part voir des joutes, endroit par excellence ou le cheval est à l'honneur au meme titre que la dextérité et le courage du cavalier qui le monte, Lily décide de faire le voyage à cheval également.
Cela fait longtemps qu'elle n'a pas chevauché ainsi le nez au vent, sans trop de contrainte et surtout toute seule.

Domi a encore quelques dossiers à régler, mais il lui a promis qu'il prendrait de l'avance pour s'absenter au moins une petite journée et venir la rejoindre au campement de Toto. Ils ne se sont jamais quittés depuis qu'ils se connaissent et cette séparation si minime soit-elle lui déchire le coeur.

Pour être à l'aise lors de sa cours et en meme temps ne pas sacrifier à la décence en se promenant en braies dans le campement, lily a revêtue une tenue qui lui permet d'etre à l'aise aussi sur le terrain herbeux du camps. Sa longue robe ouverte devant ne montrant guère ses braies.

Elle a rejoint directement la lice pour assister au premier combat et est heureuse de voir la victoire de son parrain.

Revenant vers eux, elle leur sourit et les bise
bonjour à vous deux

Ahhh je suis heureuse de vous voir. Je suis arrivée à temps pour voir ta victoire mon cher parrain.

Dommage pour Dame Isabelle.

tu connais ton prochain adversaire Toto ?
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Campement de Carnin


Retour au campement après avoir vu le panneau d'affichage et effectuer son seul duel de ces joutes. La blonde est un peu déçue mais pas plus amère que cela, ce n'est là qu'un sport.

Enlevant son armure, elle béni le baquet d'eau chaude préparé par un des pages. Se plongeant dedans avec délice, elle sens son corps entier se détendre.

Profitant un moment de cette torpeur, elle sort du baquet et s'habille. Allant retrouver Elen non loin de là.

Viens ma belle, j'ai faim, allons nous retaurez a la tente auberge, je suis sur que tu dois aussi avoir les crocs dans ton état.

Sourire malicieu a la brune et départ pour un pillage en régle du buffet Gascon.
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Un peut avant la fin du montage des tentes, à l'arrivé de Malwyn:

Bonjour mon frère! Tu es bien poussiéreux aujourd'hui. Gauvin sourit en coin, car il devait pas être loin du même état que son frère d'arme. Enfin bon il ira se laver une fois le travail terminé. La route fut elle bonne? Tout en discutant Gauvin reprit le montage de tentes avec l'aide de Malwyn et des hommes d'armes d'Albin.

Plus tard l'arrivé de Kami:

Gauvin, Malwyn et les hommes d'Albin, avait vite terminé le travail du montage de campement. Gauvin était aller se rafraîchir en contre bas dans un petit cour d'eau. Vu les températures estivale cela lui fit un très grand bien, mais pas le temps de traîner il était là aussi pour regarder les joutes. Alors il retourna au camp sans faire de détour. A son arrivé il vit Kami, et celui ci viens le saluer.

Bonjour mon frère. Je vais bien et toi? La route fut bonne? Un petit sourire quand son frère de corne lui demanda si il était venu pour regarder et apprendre, pour le jour ou il pourra y participé. Oui on peut dire ça, je viens apprendre et voir comment bien tomber sans se faire mal. Il rit un peut.

Albin apporta alors quelques verres de vin et le petit groupe de Licorneux trinquèrent à leurs santé

Santat! A votre santé mes Frères et à la Licorne!

Octave Saint-Ange de Bohème-Moravie, enchanté, asseyez vous, je vous en prie. Vous voulez boire quelque chose ?

Aussitôt le blond répondit.
"- Enchanté de faire votre connaissance sieur, je ne suis pas contre une verre de bon vin, la route fut longue depuis la Bourgogne, mais grâce à Dieu, aucun incident de parcours."
Puis le cousin prit siège, il ne serait sûrement pas le seul de la famille, car il savait que plusieurs de ses parents nobles allaient jouter, et il pensait qu'il était naturel de venir se présenter en la tente de la matriarche.

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Eudes Lablanche d'Abancourt
Maistre Parfumeur

Remise de ses émotions, Dieu tout puissant qu'elle n'aimait pas ce genre de distractions, elle revenait plus sereine vers leur campement. Inquiète pour cette épaule qui le faisait souffrir, elle le savait pour bien le connaître. Elle se promettait de la lui soigner en appliquant cet onguent qu'elle s'était procuré.

Main dans la main ils rentraient au campement avec leur fils qui posait mille questions en courant de partout tellement il était heureux.

Anne riait mais le prévint.

Hadrien, tu sais ce n'est pas parce qu'on ne gagne pas qu'on démérite. Je crois que tout ces jouteurs sont de même force et de pareille habileté. Mais il y a plein de paramètres qui interviennent comme .... la forme du moment, la prise de décision qui doit se faire dans le dixième de seconde et puis la chance aussi un peu.

Elle savait que son époux risquait de ne pas être grand gagnant de ce tournoi et elle ne voulait pas que son fils s'en trouve honteux. A 5 ans, l'échelle des valeurs est bien approximative.

Bien que la perspective ne lui plaise pas du tout, elle n'en montra rien. Les joutes étaient affaire d'hommes, enfin à son avis. Et puis elle aussi connaissait déjà la réponse. Hadrien sera bientôt un Dangely quand les formalités d'adoption seront terminées et, sans en douter un seul instant, il marcherait dans les pas de son père.
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La solitude du jouteur de fond... elle la connaissait depuis des années. Parfois, elle s'en accommodait, parfois elle la trouvait pesante.
Une missive inattendue, suivie d'une autre, lui avait donné une idée mais cette dernière serait-elle réalisable? Tout ne dépendait pas d'elle!
Depuis plusieurs jours elle guettait le colombier: sa dernière missive restait sans réponse, dommage, surtout pour Jehan qui devrait, une fois de plus, supporter un tournoi.

Les dernières joutes avaient été fructueuses pour elle jusqu'à ce qu'elle se trouvât confrontée à un de ses meilleurs amis, son Baron d'amour, celui à qui, feue sa filleule, avait donné son coeur.
Leur duel se passa dans le souvenir de leur chère disparue, leur passe d'armes un hommage à la pétillante Suzette qui leur manquait tant.

Les terres du sud s'offraient au convoi de la baronne qui avait décidé de voyager à cheval et non en carrosse. Toujours de vert vêtue, fièrement juchée, en amazone, sur Korrigan, elle avalait les ultimes lieues du voyage.

Jehan trouva un paysan qui lui indiqua la route à suivre et ils arrivèrent sans encombre sur le lieu du tournoi. Les campements étaient nombreux, les oriflammes claquaient sous la brise, illuminant de leurs couleurs la campagne alentour.

Après avoir tournicoté quelques temps, Jehan leur dénicha un coin ombragé, non loin d'un ruisseau pas encore à sec.
Le campement prit rapidement forme ce qui permit à Hersent de se rafraîchir après une longue journée de chevauchée et de se changer.

Elle était en tenue d'hôtesse des DO pour se rendre au tableau d'affichage afin de connaître les futures réjouissances. Elle fut impressionnée par le nombre de participants, vit qu'une délégation poitevine était présente ainsi que les terreurs des lices habituelles. Les duels seraient tout sauf aisés.
Une bonne nouvelle, elle échappait aux éliminatoires qui avaient déjà eu lieu, comme quoi, son sixième sens lui avait intimé de ne point se précipiter en Gascogne. Par contre, au tour suivant elle affronterait un jouteur bien connu, le duc de Montreal. Quelle poisse! Et pas d'écuyer digne de ce nom pour lui offrir un entraînement sans pitié.

Revenue dans sa tente, elle ordonna à Jehan de bien préparer Korrigan: le lendemain aux aurores, il faudrait l'échauffer avant d'entrer en lice, son duel étant programmé dans les premiers.

La baronne envoya un grouillot observer les arrivées sur l'aire des campements des fois que son invitation ait été bien accueillie. Il semblait s'ennuyer, aussi avait-elle cru bon lui proposer de venir l'assister pour se remettre dans l'ambiance du monde des armes.
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Chevalier du Guet Royal

Il lui sourit, tout en tâtant le sol

J’espère que le sol de la lice n’est pas aussi sec qu’ici, sinon votre monture va souffrir demain. Je vais aller voir ça ainsi que les imperfections du terrain afin que vous soyez au courant de tous Patronne.

Se relevant alors qu’elle le complimente sur le choix des produits et du vin

Mais, c’est que je commence à très bien connaître vos goûts Vicomtesse, qui sont excellent, sois dit en passant

Aller hop hop, un peu de flatterie, ça peut pas faire de mal, puis grommelant à la suite

Comme si, elle ne pouvait pas avoir des goût différents des miens.

Il se dirigea vers le chariot et pris discrètement une bourse et une bouteille de Calva, qu’il mit aussi sec dans sa besace.

Bon, autant être prévoyant, je ne connais pas un Maitre Queux qui n'aime pas une bonne bouteille, j’espère que ça suffira pour le soudoyer, sinon, j’ai plus qu’à filer en vitesse à l’auberge.

Bon, j’y vais Patronne, je fais au plus vite.
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- Parlant de lance, il faudra que j'aille la faire inspecter par la Juge-Diseur, je crains que le bois ne soit un peu trop dur...

Marmona le savoyard, réalisant alors qu'il songeait à haute-voix. Il contra tout aussitôt la pique de son oncle :

- Hé bien oui, j'escompte bien qu'elles se cassent à un moment. Caresseriez-vous le doux rêve d'emporter la votre jusqu'en finale ? A moins que vous ne planifiiez de fouler la lice sur votre séant dès le premier tour...

Il furent néanmoins coupés dans leurs allants de tendresse par l'animation qui régnait sur le campement. La forte prééminence féminine tournait déjà le Vicomte dans une humeur de fanfaron, et son impétuosité en l'encontre du chevalier à la Sauterelle laissait Humbert songeur. Mettrait-il à exécution ses menaces proférées quelques semaines plutôt si leur marieuse-cousine avait la riche idée de les éprouver avec la tonitruante sauterelle ? Voilà en tout cas un pari sur lequel Humbert risquerait volontiers quelques pièces. Il adressa à l'aïeul Saint Just un sourire entendu qui une fois encore se passait de mots, et salua chaleureusement ses frères et sœurs d'armes, ainsi que les quelques personnalité présentes sur leur campement. Remarquant la présence d'Ishtara, il commenta :

- Vicomtesse, bien aise de vous revoir désormais que le grincheux n'est plus là pour nous gâcher le plaisir des joutes.

Alors que Calico donnait des injonctions à quelques laquais pour que boissons soient servis, Humbert leur indiqua du doigts quelques tonnelets chargés sur la carriole ne demandant qu'à être percés. Il en profita pour charger discrètement l'un deux d'aller remettre un colis en son nom.
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De pari, il n'en avait pas encore pris, Calico s'était trompé. Mais ce n'était qu'une histoire de temps avant qu'il ne commence son commerce. D'ailleurs de Commerce il en avait un autre en tête, des fruits des bien mûres, il avait juré à son neveu que c'était pour les impériaux. Le neveu aussi se trompait sur le grincement de dent du bâtard. Les fruits étaient pour lui, ou plutôt son casque quand il entrerait aux couleurs autres que Bouillon ou Saint Just.

Vous avez bien raison mon neveu, voici nos couleurs. Du moins.... Enfin.

Un sourire mesquin se dessina sur le faciès du bâtard. Il ne fallait rien de plus pour ponctuer une phrase comme celle-ci. Ah si, il pouvait ajouter : "Je vous invite ? Vous pourrez ainsi m'expliquer pourquoi vous avez apporter plus d'une lance. Vous aviez peur qu'elle casse en venant ? "

Puis entendant la "blonde à gros lolos" comme il l'avait appelé une fois : "Blagnac est là mesdames. ne pleurez pas, vous me verrez triompher."

Puis il salua les Grandeurs du Languedoc et nouveaux frères/soeurs d'arme avant de prendre la main de Calico et de déposer un baiser dessus.

Princesse mes hommages.
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Et quand on parle du loup, on en voit la queue n'est-ce pas. Surtout quand on sait que les loups étaient les gardiens des armes du Comte. Il sauta allégrement de son cheval et Léanore tourna la tête vers lui, accueillant d'un sourire son fiancé. Karl se leva pour le saluer et les deux hommes ne tarirent pas d'éloges sur elle. Elle les écoutait, son regard allant de l'un à l'autre, rosissant à leurs propos.
Puis se fut Margot qui fit son arrivée, tout sourire et tout en fraîcheur. Le cercle familial était presque fermé aux yeux de Léanore. Il manquait bien sûr quelques personnes. POUvait-on faire revenir les morts du monde des ténébres ? Et les absents ? Il fallait se résoudre à les voir une autre fois. Leur mariage serait une excellente occasion et Léanore songea un instant qu'il fallait qu'il se penche sérieusement sur sa liste d'invités. Elle se dit aussi qu'il faudrait qu'elle demande à Karl s'il désirait avoir des invités personnels.

Léanore se sentait bien là, parmi eux. Elle regardait ce frère aîné. Le mariage lui réussissait plutôt bien. Elle avait hâte de rencontrer son neveu. Visiblement il n'avait pas accompagné son père. Voilà une chose certainement qui devait être remise à plus tard.

Le vin fut versé abondamment dans les gobelets et ils purent trinquer chacun à la victoire de l'autre. Ils ne songeaient même pas à cette éventualité qu'ils pourraient se retrouver face à face.

Les sourires de complicité et les regards qu'ils lui lançaient chacun à leur tour, lui mettaient de la joie au coeur. Léanore riait avec eux, puis son regard se porta sur les limites du campement et sur son avenir qui semblait heureux. Non aucun nuages à l'horizon.....
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Elle était là face à elle, face à cette Vicomtesse Neige qui devait la sortir de partout. Elle lui avait mit une brise hivernale genre "Winter is comming" mais propre quoi et là quand on lui fait remarque, elle vous regarde et vous dit juste. Allez cessez de râler Rhooo ! Comment te trouver noc en deux secondes en fait.

Les bras lui en tombèrent le long du corps et elle regarda donc la jeune femme qui allait devenir une des vassales de la Neige. Elle lui sourit

Bonjour à vous Chevalier Calico. Enchantée de faire votre connaissance.
J'espère que vous serez chanceuse à ces joutes et que vous ne ferez pas comme la Vicomtesse, c'est à dire vous débrouiller pour vous faire trouer le corps.

Pour ma part se sont mes premières, j'espère en sortir en vie. dit elle en souriant et observant les campements se monter autour des leurs.
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Tandis qu'il s'affairait à sortir des verres et des bouteilles diverses et variées, il entendit quelqu'un rentrer dans la tente. Un jeune homme qu'il n'avait jamais vu ou alors dont il n'avait pas souvenir, bien que sa mémoire ne lui faisait rarement défaut. Un verre de plus fut rajouter sur la table. Tandis qu'il revint poser le verre sur la table, l'homme se présenta. Un Lablanche d'Abancourt, encore un ! Décidément cette famille avait des ramifications partout. Saint-Ange serra la main tendue et se présenta à son tour, la voix toujours éraillé et fatiguée :

Octave Saint-Ange de Bohème-Moravie, enchanté, asseyez vous, je vous en prie. Vous voulez boire quelque chose ?
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La Blanche Vicomtesse était toujours heureuse de l’accueil que lui faisait Calico, et en retour elle lui offrait toujours son plus beau sourire sincère.

Ben oui, j’ai décidé de venir moi vous voir, on se croise souvent sur la lice, mais bon, il suffit. On va prendre de bonnes habitudes maintenant, le bisou du bonjour.

Les dernières joutes, quelle catastrophe aussi pour la Vicomtesse.

Et moi j’espère que je ne sortirais pas blessée cette fois. Moi me faire recoudre, une fois ca va, deux fois, on va ne pas exagérer, sinon je vais finir affreuse si je me fais blesser à chaque fois !

Elle éclata de rire quand elle fut stoppée net dans son élan par la voix de sa Dame de compagnie.

AAAAAAAAAAAAAAAAAAah vous ici.

Oui oui c’est moi !

Sa blonde de Dame de compagnie vient la gronder d’être partie si vite au point de pas la voir sous leur tente, ce qui fit exploser de rire la Blanche encore plus. Un sourire tendre à Lilly et on lui prend le bras.

Allez cessez de râler Rhooo ! Et ne vous comparez pas à eux, c’est impossible.

Se tournant vers Calico.

Je vous présente Lilly, ma Dame de compagnie qui joute aussi depuis celles-ci. Puis vers Lilly. Je vous présente le Chevalier Calico, notre amie et future vassale.

Un regard autour d’eux, posant son regard discrètement sur son promis qui se faisait discret encore et ne voyant pas le borgne.

Blagnac n’est pas encore là ?
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Une fois n'est pas coutume, comme à chaque nouvelle joute, Kami fit monter assez rapidement sa modeste tente après avoir choisi avec soin son emplacement. Ses domestiques s'affairaient donc dans le coin des Licorneux. Une fois la tente prête, il alla ranger toutes ses petites affaires et se posa quelques minutes pour profiter un peu du calme avant le tournoi.
Kami sortit ensuite pour aller saluer ses frères et soeurs. Il vit en premier Gauvin et s'approcha :

Le Bonjour mon Frère ! Comment vas-tu ? Tu viens observer pour tes futures joutes ?
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L'équipe des Bouillons allait enfin être au complet alors que Siméon et Humbert se présentaient aux abords du campement.
Le chevalier avait convaincu son oncle d'atteler une charrette pour effectuer le déplacement jusqu'en Gascogne, qu'un bourrin pourrait traîner tandis que les ardennais demeuraient préservés pour les joutes.
Un moyen qui plus est de trimbaler avec eux tout leur barda de lances sans s'encombrer de trop de main d’œuvre, mais également quelques tonnelets de vin à vendre sur place, ou à consommer sur le campement.
Ayant des suites derrières les idées, Siméon avait insister pour transporter quelques caisses de fruits gâtés ramassés en Franche-Comté. Disait-il, on ne sait jamais, des fois qu'on croise des impériaux aux joutes, il est de notre devoir de françois de leur faire bon accueil.
Le savoyard gardait à l'esprit quand à lui, que si l'ennemi n'était point assez sot pour venir se pointer, il pourrait laisser fermenter les fruits pour en faire de la gnôle. Rien ne se perd !

Ce petit voyage avait cependant des petits airs de vacances. Quitter le front à l'Est pour venir se dorer quelques jours au soleil du Sud, même si c'était en Gascogne, ça ragaillardit son homme ! Humbert avait d'ailleurs une mine radieuse, enchanté qu'il était de venir tâter la lice malgré les sermons proférés de concert par Maleus et Scath quant à une activité si vaine selon les bonnes mœurs de la Réforme. Arguer de porter haut les couleurs de la chevalerie de Bouillon aurait été un axe de défense plutôt bancale, étant donné qu'il concourrait pour la Dame de Vanoise. Plutôt que de s'aventurer sur le terrain glissant de ses motivations à l'exercice, il s'était souvent contenté d'un haussement d'épaule envers ses détracteurs, voir même d'esquiver tout bonnement le sujet, avec un succès tout relatif.

Siméon au moins ne grinçait des dents que de le voir abandonner la bannière au corbeaux. Encore que les brimades s'étaient faites plus rares depuis un certain dîner à l'Ostal Maurand, ou le cas du chevalier avait été discuté et à priori scellé par leur parente et chef de famille Agnès.

- Vous allez bien me laisser quelques cerise dans ce panier ?

S'exclama le montagnard à l'attention du Vicomte, alors qu'ils traversaient campement. Il avait espéré que son oncle ne découvre point la cargaison clandestine embarqué à Moissac, ou à défaut n'y prête guère attention, mais le voilà qui se les enfilait au compte goûte depuis leur entrée en Gascogne.

- Tenez voici nos étendards. Apparemment il ne manquait plus que nous.
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ℒaüstic rentra au camp lorsqu'elle eut fini son exploration, après les éliminatoires, et que la tente médicale n'avait encore besoin d'aide. Mais regagner les quartiers qui étaient siens n'apaisaient pas la fébrilité qui était sienne, au contraire; elle ne doutait plus d'y croiser d'autres visages qui lui étaient chers, que déjà la meschine avait entr'aperçus à la sauvette entre les tentes de fortunes ou dans les gradins. Elle arrêta, en chemin, un badaud qui vendait un peu d'hypocras et les premiers abricots d'été pour qu'il en acheminât avec elle jusque dans la tente qu'elle occupait. Le plein panier fut abandonné sur la table, alors que Diatessaron caressait d'un revers d'index les draperies des tentes pour signaler sa présence. Qui est au camp ?

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ou dit aussi

Campement Orléano-Champi-Normano- breton- bourguignon-guyennois et plus encore

Assis, tout ce qu'il devait faire fait, Saint-Ange attendait son tour et la suite des joutes, la mâchoire entre les poings. Ses pensées avaient finis par l'envahir et il réfléchissait de tout de rien en attendant que le temps passe et qu'il puisse partir vite. L'on lui avait annoncé l'arrivée de sa suzeraine accompagné de ses vassaux et de sa probable futur belle famille, leur laissant le temps d'arriver, il irait les saluer plus tard. Pour l'heure rongé par l'ennui et tourmenté par les questions qui tourbillonnaient, il laissait le temps s'égrener doucement, trop lentement à son goût. Le travail ne manquait pas, Octave ressentait un peu de culpabilité d'être là alors qu'il avait beaucoup de travail et surtout laisser sa douce au front, même si cela était son choix. Souvenir aussi de la rose déposée sur la tombe de Blois, comme elle lui manquait aussi...

Perdu dans le nuage gris du vague à l'âme qui trottait entre ses oreilles, il en fut extirpé par un parfum familier qui arrivait derrière lui. Le jeune capitaine d'Orléans avait toujours eu un bon odorat. Celui ci ne le trahit point quand il vit la main ganté se poser doucement sur épaule, avec une affection somme toute maternelle, notant l'effort d'avoir éviter ses cheveux. D'une voix douce mais légèrement éraillé, il lui répondit :


Bonjour chère suzeraine. Non, rien juste un peu de fatigue et d'ennui...

Volte face fut fait ensuite, afin de voir sa suzeraine qu'il considérait un peu parfois comme une mère de substitution. En vain, il tenta de sourire mais ses commissures ne s'étirèrent qu'un petit peu. Se dirigeant vers un petit vaisselier, il lui demanda doucement

Vous voulez boire quelque chose ?
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Au final tout le monde s'était bien installé dans le Campement Gascon du Labourd... Comme si cette adaptation nouvelle était une formalité pour la famille du Vicomté.
Même l'Irlandais avait pris ses marque le temps de cette joutes.. Rose elle avait ausis confectionnée sa petite cuisine sous une tente à elle pour ses farinades et autres pâtisseries dont elle a le secret...

Yousspeh lui allait et venait d'une tente à l'autre pour avoir un oeil sur les enfants et bien sur sur son épouse... son tempérament de curieux ne le laissait pas tenir en place...

Alors Rose?... que prévois tu de nous concocter pour ses joutes culinairement parlant... Parce que je vais te dire... après un duel je risque d'avoir faim et Isabelle pareil... ça creuse l'estomac un duel... Tu peux nous croire...

Petit sourire pour détendre l'atmosphère mais en fait Yousseph était assez excité a l'idée de son premier duel et de celui de son épouse... Allaient il s'en sortir pour leur entrée en lice...
L'Erudit s'approcha de son amour et l'enlaça par sa taille pour la plaquer tout contre lui...

Allez ma chérie allons voir ce qui se passe au panneau et après voilà une bonne marche autour des campements pour nous vider la tête et garder nôtre forme

Nous vous laissons un instant Rose , nous ne tarderons pas à être de retour...
Tu viens avec nous ma fille....


Yousseph vivait ces joutes plutôt agréablement bien... tout était réuni pour que cela se passe convenablement... Il restait cette inconnue de la blessure ou de l'élimination rapide, mais il en fallait pas penser à ça...
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Les spécialités régionales et les Blackney

La question était intéressée car j'étais gourmande et je savais bien que mon écuyer collectionnait des trophées de boustifaille. Et il fut très loquace sur les spécialités, d'ailleurs, c'était un peu louche. Je le regardais avec un œil suspicieux, posant mes mains sur les hanches, je dis:

- Mais dites moi mon écuyer, vous me semblez être bien informé. Si vous êtes renseigné, comment cela se fait que mon écuyer n'ait pas ramené ces diverses spécialités pour que je puisse y goûter? Et le vin de Bordeaux, il est où sur ma table??

Ecuyer pas si parfait que ça si il ne pensait pas à me rapporter de la nourriture. Moi qui lui donnait une rente conséquence pour me suivre, et des moments de liberté, il n'avait même pas pensé au bonheur de mon petit estomac.
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La petite famille s’était installée du plus grand au plus petit tout le monde avait participé à vider la charrette. Rose et Muireadhach installèrent deux tentes supplémentaires dont une était la cuisine avec une partie privée pour le repos de Rose. La seconde était pour l’enseignement des enfants et faisait aussi office de bureau avec une petite chambre pour l’Irlandais.

Isabelle fit un grand sourire a son amour qui paraissait inquiet avait il peur pour sa douce qu’elle se retrouve la tête dans le sable….. La blonde n’avait aucune appréhension elle faisait confiance à Aristote pour que les blessures si il y avait restent superficielles….. De plus Rose avait emmené les potions, les plantes qu’elle connaissait parfaitement pour soigner toutes les blessures.
Oui mon amour allons voir le panneau d’affichage après je vais faire le tour des campements au pas de course il faut que nous gardions la forme ! Tu viendras avec moi mon chéri ?

Aurore avait rejoint ses parents et prit leur main elle voulait les accompagner ….
Pendant ce temps Rose commençait à cuisiner, l’Irlandais donnait un cours de latin à Aaron qui aurait préféré accompagner ses parents ….
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Les listes des participants avaient été affichées plus tôt dans la journée et il avait constaté que son vassal et ami s'était vue refusé sa participation. Voilà que que maintenant il allait falloir sortir les cartes du Royaume François afin de prouver que La Jarousse attachée aux terres de Cheylanes était bien sise en Auvergne et non en Empire. De même que pour Baccara qui se trouvait en Loraine désormais rattaché au Royaume, il s'en était fallut de peu pour lui aussi. Mais bon menu de tous les documents nécessaire il avait fait un passage chez les arbitre afin de plaider la cause de son Brun, mais cela était resté lettre morte. Son humeur s'en ressentait quelque peu.
Il allait devoir jouter seul cette fois ci, mais ce n'était que partie remise. De retour au campement il demanda à Alderion de leur servir le repas cela leur changerait les idées.
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[Camping Von Frayner]




Je vais bien merci, et vous même ?!
Je ne me fais pas forcément de soucis sur votre état de fatigue, vous qui êtes habitué à chevaucher jour... Et... Nuit.
Ai-je tord ?!

Accroche lamentablement manquée. Il lui faut désormais mettre les bouchées doubles dans l'espoir de parvenir à lui arracher les prémices d'une discussion intéressante avant la tombée de la nuit. Assurément, il constate qu'il entretient envers certaines femmes des craintes assez identiques. Mais lui, qui est né dehors, dans un dénuement intégral, se trouve toujours surpris de l'inadvertance de ses contemporains pour tout ce qui est susceptible de rendre une vie somptueuse. Il s'agit pourtant d'une Baronne de mérite qui ne devrait jamais se montrer aveuglée par la superficialité du monde. Celle-là même qui lui inspire le plus profond dégoût. Présentement, il se sent librement perdu, tellement cette taquinerie se polarise sur des allusions bien au-dessous de la ceinture. Mais de toute façon, ne sont-ils pas eux aussi bien au-dessous de la capitale ?

« Chevaucher jour & nuit ? Diantre. C'est que j'aimerais encore pouvoir. L'âge assagit les mœurs. Et puis ma qualité de Chevalier m'invite à préserver la vertu des Dames. Que vers un cœur brisé, nul autre ne se dirige, sans le haut privilège d'avoir lui-même aussi souffert. Et si j'ai souffert, bien sûr, comme tout le monde, je crois avoir eu la chance finalement d'avoir échappé aux grands drames sentimentaux qui broient les existences. En la matière donc, ayant sous les yeux de nombreux exemples à ne pas suivre, je sais me montrer prudent. »
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Yousseph avait fait les cent pas aux environs du campement de Gascogne, il avait un peu visité les différentes oriflammes et apprécié les campements respectifs... certains étaient bien auréolés de leurs nombreux et fiers oriflammes colorés... Celà faisait bien noble et bien titré... Presque tout le monde était là... en nombre de participants je m'entend...
L'Erudit retourna à son campement, ses yeux scrutait les environs pour essayer de déceler une silhouette de son épouse ou même sa fille Aurore ou Aaron........

Un nuage de poussière fine vint interpeller l'attention de Yousseph... Il regarda au loin.. Une charrette et un cheval se distinguaient très de vite de ce nuage léger de poussière... il ne fallu pas le moindre instant pour reconnaître lka silhouette blonde de son amour...
Yousseph s'avança de son campement et fit des grands signe de la main et de ses bras...

Aux rênes de la charrette était installé l'Irlandais de Isabelle avec à ses côtés Rose...

Aurore!......... ma fille je suis là........

Le cheval de Isabelle s'approcha accompagné de la charrette...

Bonjour ma chéiei je suis content et heureux de te retrouver aussi enfin... Il me manquait bien quelque chose dans ma vie et ton absence me pesait un peu...

Après après avoir déposé un long et savoureux baisers sur les lèvres de son épouse... l'Erudit s'approcha de sa fille Aurore et la prit dans ses bras...

Alors ma fille, ... ça te plait nôtre tente et nos oriflammes... Tu as vu un peu Aurore... c'est beau non?...

Un regard de père sur le visage de la fillette avant de lui dire...

Tu grandi ma puce, tu es toujours plus belle... Allez vient nous allons nous installer...

Yousseph salua l'Irlandais et Rose avant de prendre la main de son épouse et de se diriger vers l'intérieur de la tente...
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Le jeune blond avait prit l’estafette de Bourgogne direction la Gascogne, le changement d'air lui fera du bien, et l'idée de revoir sa famille le rendait tout heureux, 8 jours non stop de voyage, mais cela n'entamais pas la joie du jeune homme.
Une fois arrivé à bon port, il chercha les couleurs de ses proches, et après avoir déambulé pendant une bonne heure il arriva devant la tente de la duchesse Exaltation. De son timbre de voix grave et posé il appela.

"- Ohé ! Il y a quelqu'un ?"

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Eudes Lablanche d'Abancourt
Maistre Parfumeur

[Campement Giboint - Dampyere]



Margot, à l'abri de sa tente, se prélassait dans un bain. Un luxe qu'elle appréciait et qui était nouveau pour elle, car lors des joutes précédentes, elle n'avait pu que rarement en profiter, mais la venue d'Eleonore avait changé la donne, baquet et huiles de bain n'étaient plus oubliés au domaine et la jeune fille en était ravie. C'est quand l'eau devint froide qu'elle consentit à en sortir. Habillée confortablement pour la circonstance, sans froufrous aurait dit son père, elle fit une natte de ses cheveux et rejoignit se dernier, qu'elle trouva en compagnie de Leanore et de celui dont ils attendaient la venue... le frère.

Le bonjour ! lança t elle joyeusement en s'inclinant devant le visiteur. Permettez que je me présente avant que mon père ne brosse un portrait trop élogieux de ma personne ajouta t elle taquine en souriant à son père... Je suis Margot ! Ravie de rencontrer un membre de la famille de notre chère Leanore.
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Isabelle avait décidé d’emmener les enfants avec elle ainsi que Rose et Muireadhach. Son époux était parti avant eux pour préparer le campement. Elle avait laissé le carrosse au château, c’est à cheval et avec une carriole chargée de provisions et de nombreuses malles qu’elle rejoignit son amour.

La petite Aurore était sur la même monture que sa mère. La gamine était toute heureuse de faire comme les grands. C’était la première fois qu’elle n’était pas aux cotés de Rose qui s’occupait de l’attelage de la carriole. Aaron était devant suivi par sa mère ensuite Rose qui chantonnait tout en guidant l’équipage et l’Irlandais qui était le dernier et qui veillait à ce que le voyage se passe sans encombre. Un grand sourire illumina le visage de la blonde les premiers campements étaient devant eux. Elle serra Aurore tout contre elle et lui murmura
Ma chérie nous arrivons il suffit de trouver nos étendards ……

Aurore se dressait pour être la plus grande possible pour chercher et elle s’écria
Mère regarde là bas les lions et la tour ! Ce sont nos étendards !!!

Isabelle pressa la main de sa fille et elles partirent au galop pas une minute à perdre, elles dépassèrent Aaron pour arriver devant leur campement.
La blonde descendit promptement de sa monture et aida sa fille à descendre. Toutes les deux se précipitèrent sur Yousseph pour se jeter dans ses bras.
Mon amour que je suis heureuse de te retrouver !
Ils étaient enfin réunis, la petite Aurore était dans les bras de son père et Isabelle ne put résister à embrasser fougueusement son époux ....
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La Gascogne, une terre voisine de sa Guyenne et pourtant qu'elle connaissait bien mal.
Azak juché devant elle sur sa monture, elle avançait au pas. Elle l'avait ceint d'un bras pour le sécuriser. Il n'avait pas fait tout le voyage ainsi, mais on arrivait à destination et la vue était bien meilleure lorsqu'on était en hauteur.

Tu as là-bas ? Ce sont toutes les tentes de tous les participants et de ceux qui les accompagnent.
Tout à l'heure nous aussi nous allons monter les tentes où nous allons dormir pendant quelques jours.
Tu vas voir c'est amusant.

Elle sourit, ils finissent par entrer dans le camp.

Là tu vois tous les étendards qui flottent au vent, ce sont les couleurs, les blasons des familles et des terres.
On plantera aussi les nôtres.


Ils continuent d'avancer au pas et pourtant, le pas elle le presserait bien pour le retrouver , enfin les retrouver. Une partie de sa famille mais surtout lui. Elle apprécie les joutes pour ces moments de retrouvailles.

Azak, tu vas faire la connaissance de Belgarath mais aussi du reste de la famille et puis surement d'autres personnes de mes amis.
Tu connais déjà tonton Hoel.

Un sourire en prononçant les derniers mots. Les enfants seraient nombreux : elle les avait tous emmené: ses fils Tancrède et Florentin, ses nièces Yselda et Aenaelle et bien sur Azak dont elle officialiserait l'adoption sous peu. Elle avait hâte aussi de revoir ses cousins dont elle n'avait de nouvelles que par courrier.

Ils finirent par trouver l'emplacement idéal. Les tentes furent dressées sur le champ. Les hommes avaient l'habitude, elle déposa Azak au sol pour le laisser libre de ses mouvements afin qu'il puisse gambader à son aise avec ce qui étaient ses deux petits frères désormais et ses cousines. Elle supervisa pendant ce temps le montage des habitations de toile tout en le cherchant du regard.
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blason en refonte

La chaise et le cul ne firent qu'un. Comme si le séant de la Sauterelle était parfaitement ajustée au siège qu'elle avait trouvé. La symbiose.
A peine le confort ressenti commençait à faire serpenter dans son échine un frisson de bien être qu''une voix résonna.

Bonjouuuuur ici ! Une Blanche cherche son Bouillon à la sauterelle.

La Blondissime vint embrasser le Chevalier.

Comment allez-vous ? Tenez un peu de calva pour vous.

AAAAAAAAAAAAAAAAAAah vous ici.

Calico savait qu'elle serait là et pour cause, une ribambelle d'oriflammes Cetzes flottaient dans le vent juste à côté de la tente Bouillon mais la Blondie fut plus rapide que la Sauterelle.

Calico embrassa aussi Tara avec le sourire, levant son postérieur de la chaise.

J'avais bien vu les gonfalons mais vous avez été plus rapide que moi. Je suis ravie de votre venue, et en plus avec de la gniole mais je ne vais pas tenter le diable. Je vais jouter et j'espère ne pas être aussi mauvaise qu'au dernier tournoi. Un peu plus et je faisais de mes lances, des cure dents pour castor. Cela aurait été bien plus bénéfique pour leur trouver une utilité digne de leur fonction.

Elle regarda au côté d'Ishtara et vit une blondinette. C'était "the blonde power" ou quoi?
La jeune femme semblait un peu nerveuse. Il s'était passé quoi?
Calico eu du mal à comprendre....Ca parlait nichons ?

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Comment ne pas y être... impossible foi Dangely, aussi, aidé de son fidèle Gustave, les voila en chemin pour installer le campement. Etait-il en retard... certainement, déjà bien des campements étaient dressé, aussi, une fois l'emplacement idéal trouvé..., mais qu'est-ce qu'un emplacement idéal ? Un endroit non loin de la buvette ? Non loin de l'infirmerie ? Loin du monde ? Proche de leurs amis ? sacré question qui se posait là, bref à force d'arpenter les allers, les terrains, position fut prise su un emplacements, au passage saluer à gauche et à droite, reconnaissant certains couleurs. Puis s'arrêter net, l'endroit convenait au Duc, aussi, les ordres se mirent à fuser.

Dresses moi correctement ses étendards Gustave ! Quoi tu ne l'as jamais fait ? Et bien fallait me le dire ou alors prends exemple sur les autres campements !

Le surveiller un instant, et ajouter

Si tu as besoin d'aide demande à ptit louis, bon je vais faire le tour des campements, quand je reviens tout est installé !

Et il laissa donc Gustave installer les tentes pour lui, sa famille, et ses amis.
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Alors que la blonde avait posé pied-à-terre pour saluer sa Neige Vicomtesse, elle se retrouva avec une bise venant du Nord qui vous glace sur place en temps-record. Alors là, y'a pas à dire, la Vicomtesse avait une douée attitude pour le coup. Elle regarda étonner son compagnon. Elle haussa les épaules et elle se dit que pour le coup, elle n'avait pas voulu faire un Hiiiiiiiiii pour se faire entendre mais là, elle aurait peut être dû.
Mais bon mince à la fin, Mayrd même!! Namého! Vicomtesse d'accord mais faut pas pousser.

Elle activa le pas, passa devant le camp de la Neige et alla directement l'attraper par le bras. Sans saluer personne d'ailleurs, elle snobe tout le monde, noble ou pas, elle l'avait pour le coup un peu de travers de s'être faite snober de la sorte. Bon d'accord elle n'était que Dame et une Troy, mais Oh! Elle pouvait être plus envahissante que les deux montgolfières qu'elle se trainait de partout accrochées à son torse.





Une fois à ces côtés, elle l'attrapa doucement, parce que bon un taquet dès son arrivée, ça mettrait l'ambiance. Posa sur ces deux mains sur les hanches et là regarda du haut de sa taille menue.

OOOH NON MAIS OH QUOI J'TE PARLE ET MÊME PAS TU ME VOIS!!
Alors je veux bien croire que je suis pas comme vous avez ce qu'il faut où il faut. mina t'elle en montrant ces seins.
Mais je vous ai adressé la parole directe en arrivant et vous vous partez comme ça. Comme si vous vous en foutiez. Peut être est ce le cas mais un bonjour ça écorche pas la bouche à ce que je sache! dit elle sans savoir ce qui allait se passer ensuite.

Mais Mayrd voilà qui était dit. Fallait pas non plus pousser mémé dans les orties!
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[Campement Giboint - Dampyere]



Arnaud avait profité que tous soient occupés à diverses tâches pour aller faire galopper Furio dans la campagne environnante, la route depuis l'Armagnac c'était faite d'un pas tranquille, aussi était-il bon que son destrier puisse galopper un peu avant les confrontations des joutes. Revenant au campement il vit qu'un nouvel oriflamme avait rejoint les leurs et apperçu Leanore tranquillement assise sur une chaise discutant avec un homme assis sur celle à côté de la sienne, A n'en pas douter et vu l'oriflamme de sable au léopard lionné d'or qui flottait devant la tente ce ne pouvait être que son frère, d'autant plus que Léanore l'avait prévenu qu'il était inscrit aux jourtes de gascogne.

Arrivé devant leur campement il mit pied a terre, tandit la bride de Furio à Marius, sortit promptement pour se charger de son destrier, avant de s'avança vers la soeur et le frère, s'inclinant devant ce dernier pour le saluer.

A voir votre oriflamme flotter ici je ne pense pas me tromper en saluant le frère de ma tendre fiancée.

Heureux de faire votre connaissance vostre Grasce, et ravi du plaisir que vous faite à votre soeur par votre présence en ce lieu, cela fait quelques jours qu'elle trépigne de joie à l'idée de vous revoir.

Poursuivant sur un ton plus enjoué

Arnaud Giboint celui que votre soeur a choisit pour futur époux et qui se trouve être ravi de ce choix vu qu'il l'aime et n'a d'yeux que pour elle depuis quelques temps.

Soyez le bien venu sur notre campement, et veuillez excuser mon absence à être présent pour vous recevoir, je suis aller faire dégourdir les jambes de mon fidèle destrier avant les futurs confrontations.
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La Gascogne. Non, elle n'y avait jamais mis les pieds. Pourtant, tout le long de la route, Dacien n'avait cessé de lui en parler. Tant et si bien que lorsqu'ils en franchirent les frontières, elle en avait retenu le principal. Ils avaient passé un long moment à contempler l'effervescence portuaire, elle connaissait le gout très prononcé du Ténébreux pour tout ce qui touchait à la navigation.

Que diriez-vous de pousser jusqu'à l'océan après les joutes ? Les hospitaliers et les templiers ont des commanderies non loin du bourg de Saint-Julien, le prétexte idéal pour une excursion océane, non ?

Y avait-il seulement besoin d'un prétexte ... Il y avait bien une éternité qu'elle n'avait approché l'immensité bleue d'un océan ou d'une mer. Elle se réjouissait à l'avance du plaisir qu'ils prendraient à partager ce moment de liberté. Mais d'abord, il allait falloir endurer la fournaise des armures en espérant aller le plus loin possible lors de ces nouvelles joutes.

La halte au marché fut la bienvenue et des plus savoureuses, les fruits colorés de ce début de saison étaient un ravissement pour les yeux et le palais. Ils déambulent jusqu'au château, en admirèrent un instant l'architecture avant que d'aller signaler leur présence. Comme toujours, les couleurs Impériales dénotaient dans le paysage français.

Quand enfin ils furent installés, sans luxe et sans fioriture mais dans la simplicité de leur campement comme ils affectionnaient, il était temps de parler de choses sérieuses.

Je parie que vous affronterez une femme.

Assise en tailleurs sur un lit de camp, l'abricot roulant entre ses doigts, la jeune femme arrêta son mouvement et plissa le nez.

Pourquoi pas un nain, juché sur un poney, tant que vous y êtes !

Elle rit doucement en faisant tourner le caillou sur lui-même et croqua le petit fruit à pleines dents.

Je tiens le pari ! Moi je vous dis que je vais avoir un "ours" ! Ou peut-être même jetterais-je de nouveau à terre un prince condescendant.

Le jeu de mot était facile mais amusant. Elle se souvenait comme elle avait été fière d'avoir passé le tour ce jour là. Même si souvent les duels se résumaient à quelques volées d’éclat de bois et une chute sur les fesses. Le plus grand des plaisirs était de partager tout cela lui. D'un petit geste vif, elle lui lança le noyau d'abricot sur la tête.

Je vous laisse les midinettes à petits bras ...
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Pour ces joutes, la Vicomtesse avait prit les choses en main. C'était une chose inhabituelle pour Fred. Lui qui en règle général s'occupait toujours de tout dans les moindres détails. Aujourd'hui, Sa Promise avait prit les devants et tout avait été pensée dans les moindres détails.

Le Duc s'occupa uniquement sur l'approvisionnement du Campement en boissons et en vivres afin que personnes en manquent de rien. D'ailleurs il avait été ramené quelques Saucisses sec fait avec les Sangliers chassé pour le Duc sur ses terres de Châteauneuf.

Le Castelviray s'était installé sous sa tente afin de se préparer doucement pour les joutes, aujourd'hui il espérait remporter quelques passes. Il fallait se relancer et la concentration devrait être à son maximum et pour ce faire, rien qu'un petit verre de Calva pour se donner du courage. Verre qu'il fit proposer à la Vicomtesse, ben oui, c'est toujours mieux de boire à deux.
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Ce fut au Cougain d''organiser le montage de tente des Bouillon. Il fallait veiller au grain pour s'assurer qu'elle ne soit pas montée de travers. Le petit personnel n'était plus ce qu'il était.
D'ailleurs, la Sauterelle arriva avec un peu de retard à cause de ce laisser aller. Un page, qui était bien trop vieux en plus, avait eu la bonne idée de casser le bout d'une des lance de la brunette. Elle le rossa pour lui apprendre à faire attention au matériel, non mais!!!!!

Quand elle vit les oriflammes Bouillon, elle s'approcha de la tente pour y voir le couple comtal. Elle sourit, ils semblaient en plein moment "love baby love"*.

BONJOUR!!!!

Les voilà informés de sa présence. Elle en profita pour faire claquer deux bises sur les joues de Maxine et saluer le Castelreng.

Comment allez vous ?
Le Sud est à l'honneur encore une fois.

Toulousains, Languedociens en joute en Gascogne, ce serait : Apéro à gogo, grillades, éclats de rire,...Les gens du Sud quoi!!!
En plus, les bannières de la Blondissime flottait non loin. Ils étaient encore voisin d'Ishtara. La Sauterelle passerait un peu sous la tente des Cetzes pour voir la Blonde. Elle espérait ne pas jouter contre des personnes qu'elle affectionnait.

Une chaise passait par là, et trouva le cul de la Sauterelle qui s'assit dans la tente Bouillon, elle regarda le couple.

J'espère qu'on ne tombera pas les uns contre les autres...Il est où Siméon? Et Humbert? Siméon doit être en train de prendre des paris sur les prochaines joutes.

Elle sourit malicieusement car elle connait le goût du jeu, pour le Borgne Bouillon.




*amour bébé amour
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[Campement Giboint - Dampyere]


Alors que je profitais des généreux rayons de soleil, j'aperçu une silhouette qui ne m'était pas du tout inconnue, loin de là. Alors qu'elle se dirigeait vers mois, je me précipitai de me lever de mon siège, faisant tomber celui-ci à la renverse et fis les quelques pas qui nous séparaient encore. Alors qu'elle me tendait ses mains, j'envoyais le protocole au diable et la saisi dans mes bras avec un grand rire et de la soulever à quelques centimètres du sol par un; Que ne m'avez-vous manqué, ma très chère sœur ! Il est vrai que nous nous sommes vus à mon mariage, mais cet instant ne fut que trop court ! Et je la reposais alors délicatement sur le sol, tirant légèrement sur sa robe que j'avais légèrement froissé, de même ensuite sur ma propre tunique.

Les questions ne tardèrent pas à fuser; Doucement, doucement ! Je n'ai pas de carnet sur moi pour prendre note de toutes vos questions... Luis dis-je aimablement tout en relevant mon siège sur lequel je lui offrit de s'asseoir, tout en faisant appeler un second siège. Je crois que notre cousin Guy est fort occupé dans sa province d'adoption, vous aurez sans doute appris que lui et son épouse ont notamment et récemment régné sur le Comté d'Armagnac et Comminges. Je présume que cela a du bien occuper notre cousin et doit expliquer ses récentes absences aux joutes. Je rencontrerais avec plaisir votre fiancé ainsi que Sa jeune Altesse dont vous m'avez dit être la préceptrice... Mais racontez-moi donc, comment ceci se déroule-t-il ? Et pour le reste, comment vous portez-vous ?
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[Installation du Campement]

Jason, me demanda d'installer notre campement aux côtés de celui des Castelviray. Choix des plus judicieux en somme.
Les tentes furent montées, un grand baquet fumant trônait derrière un paravent pour son bien être. Coupe de fruits frais et cruche de vin à sa disposition.
Au niveau de la tente pour la popote je m'étais assuré qu'il ne manque ni de victuailles, ni de vin pour la durée du tournoi en veillant moi même à passer les commandes aux niveaux des maraîchers et bouchers du coin.

Est ce que Monseigneur désire une grande tablée pour le repas du soir ou préfère t il un repas avec Mordred ?
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Les joutes de Gascogne sera l'occasion pour la petite troupe Licorneuse habitué de cette noble pratique de se retrouver ensemble.
Albin avait fait route seul et le point de rendez vous était fixé directement sur place même si la quasi intégralité des licorneux présents réside en Touraine. Une petite troupe qui sera composé, avec honneur aux femmes donc Ellesya, Gauvin, Albin et ...Kami??

Même si le campement est commun, chacun possède sa tente ce qui donnait pas mal de travail.
En arrivant, Albin y trouva Gauvin qui s'attelait comme toujours à la lourde tâche du montage de campement

Toujours Gauvin prêt à rendre service ce qui est appréciable et d'une grande aide. Toutefois cette fois les hommes d'Albin allait aider l'un des Ecuyers de l'Ordre de la Licorne a installé le campement.

Pendant ce temps, l'Ar Sparfel se mit à scruter l'horizon voir si une divine blonde Charmilesque était dans le coin.

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Arrivé au campement, il rechercha où il pourrait s'installer. Tous s'activaient et c'est à travers la foule qu'il put voir des couleurs familières. Il donna ordre d'aller s'installer auprès de Dame Leanore. Durant ce temps, il alla s'informer de l'ordre des passes et surtout de son premier adversaire. De ses dernières joutes il lui restait un goût amer mais il lui fallait passer outrer et remonter en selle.

Au retour, il n'aperçut aucune Lame et ignorait même si une d'entre elles allait participer à cet événement.
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[Campement Giboint - Dampiere]


La joie d'être ici était double pour Léanore. OUtre le fait qu'elle soit avec son fiancé et Margot, le voyage avait été court entre l'Armagnac et la Gascogne donc point de fatigue extrême et surtout, elle savait son frère inscrit aux joutes.

Elle était donc très impatiente d'arriver. Pendant que les hommes installaient le campement sous la surveillance d'Arnaud, chacune partit à ses occupations. Margot donc se dirigea vers le panneau d'affichage, tandis que Léanore alla vers la tente médicale pour veiller aux dernières préparatifs.

Plus tard, après quelques rencontres, elle rentra au campement sachant qu'un bain l'attendrait. Elle n'avait plus qu'une hâte à présent : parcourir le camp à la recherche des armes de son frère.
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[Campement Giboint - Dampiere]


Après l'Armagnac c'etait la Gasqogne le déplacement etait court donc il fut facile Hubert entrepris de dresser leur tente respective ainsi que celle qui servirait de tente commune pour les repas et la détente. Une afaire qui de fait devenait une formalité, tant l'aquipe etait désormais rodée. La chose fut faite et très vite marius et Hubert se mirent en devoir d'allumer les braseros afin de chausffer leau qui servirait à ces dames pour pour se délasser dans un bon bains, lorsque selles-ci reviendrait l'une de la tente médicale et l'autre de compulser le tableau d'affichage mission qu'Arnaud avait confié à sa fille.
Qaund à lui il attendrait que le bain de ces dames soit prêt pour que l'on s'occupa du sien, pour l'heure il tentait d'etancher sa soif en vidant une gourde d'eau.
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Ce fut à la toute dernière minute que Maxine se décida. Elle eut beaucoup de chance que sa candidature, des mains de son mari passa dans celles de son meilleur coursier pour arriver à temps en les mains expertes du juge-arbitre qui eut la délicatesse de la bien recevoir.

Premières joutes donc pour notre Blondissime...Et c'est en tant que Comtesse-Consort et désormais écuyère de son Altesse qu'elle fait sa première apparition sur la lice. Saura-t'elle seulement se prémunir contre le ridicule? Elle avait passé des heures à genoux sur le prie-dieu, Missel de prières en mains et chapelet enroulé autour du poignet...Puisse-t'elle avoir été assez pieuse pour survivre à l'exercice qu'elle s'était elle-même fixé de résoudre...

Maxine avait combattu pendant des années, dirigé des hommes dans les batailles, partagé les victoires, les défaites, le bruits des lames qui s'entrechoquent, la morsure de celles qui entament la chaire, le goût du sang, la peine de voir tomber les camarades...tout ça elle l'avait partagé avec ses hommes. Et pourtant, revenue à la vie civile, quand elle fut invitée aux joutes, on l'avait éduquée de manière à ne jamais y participer en tant que femme. Il fallait laisser ces jeux aux hommes, c'était leurs réserves.
Longtemps elle avait respecté cet usage. Aujourd'hui, alors que le bruit des lames lui manquait, alors qu'elle était désormais épouse et mère, elle avait décidé de jeter l'us aux orties et de se frotter aux lances assassines de ses adversaires masculins. Son mari n'y voyait aucun écueil, y trouvait même une alliée pour défendre les couleurs du Languedoc.

Elle le rejoignit après avoir rangé missel et chapelet dans son coffret de bois de merisier sculpté d'une rose barrée d'une épée.
Les bouillons les rejoindraient peut être sous peu. On aurait peut-être besoin qu'elle aide les chevaliers avant qu'elle ne se prépare elle même. Son estomac émit un petit bruit incongru à l'exact moment où elle arrivait près de son Ensorceleur, elle jeûnait depuis le réveil mais fit mine de l'oublier.

"Le Bon Jour te va Bel Ange. Je vois que tu nous as fait préparer un campement magnifique. Tu as désormais un niveau d'expert, j'y vois tout le confort et tout le monde prêt à servir d'un claquement de doigts..."

Elle se sert contre lui et va quérir un baiser.
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Un valet de la maison Royale fit parvenir à la Champagne un vélin où il était annoté que de nouvelles joutes se tiendraient dans des terres australes, similaires à celles de Fontrailles. Une réjouissance se fit lire sur le visage du jeune homme sitôt l'annonce parcourue. Sans attendre quelques jours de plus il en profita pour répondre favorablement à cette invitation, faisant parvenir en complément les pièces administratives nécessaires à la validation de sa candidature. Les élections comtales et ducales affluaient en ces temps estivaux lorsque celles de Toulouse avaient désigné son frère à sa tête, le présentant ainsi au Louvre par la même occasion, l'y accueillant pour prêter allégeances aux autorités. Fierté que de voir une réussite cetzienne où bien des gens se réjouiraient de cette nouvelle.

Quid de Richard ? Les urnes parleraient d'elles-mêmes quand bien même il espérait se retrouver en même posture que l'altesse à l'égard des élections champenoises. Deux réussites en un rien de temps pour une seule et même dynastie serait on ne peut plus fascinant. N'étant pas loin de Paris et ayant du temps libre à consacrer notamment pour les joutes, il se dirigea en voiture jusqu'à la capitale française où il pourrait certainement rencontrer le nouveau régnant toulousain pour le féliciter, et pourquoi pas faire carrosse unique de manière à se rendre aux rivalités, si lui aussi venait. Les Princesses De Malemort quant à elles allaient certainement venir, car les connaissant, elles n'étaient pas très loin, et appréciaient ces tournois. Le cabriolet était en route.
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Étrangement vide, aucun campement encore sauf celui des Duranxie et des Bouillon. Décidément c’était de plus en plus qu'ils se voyaient, se fréquentaient. Certains avaient pris une place bien plus qu'amicale, presque familiale, un lien de cœur, un vrai, une affection particulière.

Montez notre campement au coté de celui des Bouillon, cela sera parfait pour faire la fête avec eux.

L'ordre venait d’être donné par la Vicomtesse aux gens des deux maisons. Elle serait ainsi au plus prés de sa future vassale, la sauterelle et de ses amis. Elle resta là, pour surveiller l'avancer du campement, donnant quelques ordres au passage pour que tout soit au mieux pour l'arrivée de la mesnie, sous le regard de son garde du corps et écuyer, qui s'amusait par moment d'elle, la taquinant de quelques piques, l'imitant presque par moment.

Elle irait sur le campement Bouillon dès que le sien serait fini pour saluer ses amis, et elle tenterait de croiser son amie Alvira et pourquoi pas le mini Duc aussi.
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C'était le grand jour, il fallait planter les tentes, installer un campement. Non loin de la Douze, l'on pouvait constater que toute une zone avait était balisé pour que les participants puissent venir s'installer au fur et à mesure de leur arrivée.

La Gasconne espérait que ces joutes feraient grands bruits et que nombre de nobles y viendraient. Quitte à organiser quelquechose autant que cela fonctionne. C'était le but de toutes manifestations qui se voulaient véritablement amorcés et effectives.

Pour que son petits campement puisse lever les oriflammes, elle avait embauché des gaillards rôdé à l'exercice. Si bien que l'ensemble fut disposé, avec rapidité. L'intérieur des tente, fut mis en place et achevé par les servantes. Ne restait donc plus que l'arrivée des personnes composant le campement Duranxien.

D'ailleurs, à ce propos elle ne savait pas exactement qui le composerait. Albin en serait-il aussi ?! Goddefroy ?!
Bella et le patriarche ne faisaient aucun doute mais le reste ?!

Maintenant, que leur "chez eux" éphémère était disposé, elle fila en direction de la future buvette afin que les jouteurs puissent s'y désaltérer à leur arrivées mais aussi et surtout entre les tours. Où comment croiser des amis, et se faire des connaissances !
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Mission accomplie, l'appelle de la boisson avait fait sortir Ellesya de sa tente comme quoi le surnom donner par Fool de débauchée éthylique se vérifie donc.

Non ma Soeur, la sieste est sacrée et puis si l'on pouvait descendre quelques bouteilles dans ton dos..

Un petit rire, autant en profiter de ce moment convivial et à la suite de tous...

A la Licorne, santé et réussite à tous pour ces joutes et à Gauvin qui nous aide en permanence, et à Malwyn présent lui aussi.

[Pendant ce temps, le page d'Albin avec Clemence]

Les paroles de Podrick ne semblait pas plaire à la Des Charmilles visiblement. Logique à vrai dire.
Stoppé dans sa marche par un petit tirage sur la main comme si l'on tirait sur les rennes d'un cheval pour qu'il s'arrête sauf que Podrick lui n'est pas un canasson mais le message était clair : STOP !.

Le page écouta le petit sermon.

Oui c'est bien Podrick.

Et même s'il s'en moquait un peu de ce que pouvait dire celle qu'Albin surnomme "la divine", le jeune page s'amusait à jouait au "oui oui".

Bien ma Dame comme il vous plaira.

Un peu d'arrogance au passage dans ses paroles et le duo reprit la route jusqu'au campement licorneux qui était désormais non loin.

Nous arrivons, c'est à la prochaine allée à droite.

Le petit tournant à droite justement et les voila arrivés. Podrick lâcha la main de Clemence et parti rejoindre Albin qui était en train de finir son verre.

Messire, Demoiselle Clemence des Charmilles est arrivée.

Albin jeta un regard puis un sourire en apercevant Clemence devant le campement. L'Ar Sparfel s'excusa auprès de ses frères d'armes.

Je vous prie de m'excuser mais je reviens.

Le brun alla retrouver sa divine blonde mais toujours très pudique en public il n'allait pas l'embrasser devant tout ce monde alors il se contenta.

Bonjour ma divine, tu as fait bonne route? Podrick a été bienveillant envers toi sur le chemin te menant ici?
En tout cas soit la bienvenue au campement de l'Ordre Royal de la Licorne.

Albin s'empara du bras de la blonde Charmillesque et de lui glisser à l'oreille tout en marchant vers le reste du groupe.

Tu m'as manqué grandement. On va rejoindre un instant les autres, ils ne mordent pas ils ont jamais mangés de divine. Et si tu veux il y a du vin. Après on profitera pour être tous les deux les premiers tours ne vont pas tardé.
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"Je vous engage à l'essaie"

Ces mots seuls avaient transformer le stress initiale du blond de monmouth en une immense joie. Le voila qui intégrait finalement le monde des joutes, certes il ne joutait pas lui meme mais qu importe c était un debut. Sa palabre lui avait souvent bien aider par le passé et il etait olud qu'heureux d avoir reussi a convaincre cette dame de le prendre a son service .Quel debut il savait pouvoir apprendre beaucoup en se mettant au service de la baronne . Il la suivit lorsqu elle l entraina hors de la tentebien qu il ne savait pour qu elle raison, concentrer sur ce qu elle lui avait dis avant, lorsqu'il vit la monture dehors, il s exprima

Merci madame je m'en souviendrais indiquant la monture qui n etais pas a lui et qui n etait pas trop loin d eux il continua Je suppose que cette monture doit être le korrigan dont vous me parliez vous préférez que je m'en occupe toute suite ensuite je m emploierai a polir et nettoyer vos armes ou je fais d abord ces derniers et m occupe de votre destriers après ?

Remarquant ensuite l homme qui l avait acceuilli tout a l heure, il lui tendit la main dans un salut qui se voulais oasser par une poignée de main

Vous devez etre Jehan , Je me permet de me representer Spagnolo de Monmouth, j ose esperer que nous nous entendrons bien et que vous m apprendrez toutes les ficelles pour être un bon ecuyer, vous connaissez sûrement tres bien ce qui plaît a madame
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