Imagine
Après avoir amené les tables sur la place du village comme on le lui avait demandé, elle retourna se reposer puis enchaina sur sa garde.
En tout début d'après midi, sa garde se termine. La fête ne devrait plus tarder à commencer. Un moment de détente pour remonter le moral des troupes, ressouder les villageois et puis pour quelques heures ..oublier si cela est possible. En tous cas se distraire puisque l'occasion leur était donnée.
Ils sont pressés, ils n'ont que deux heures pour en profiter car ils devront ensuite assumer la relève de l'équipe 2. Donc on s'active. Direction la plage, juxtaposant le port. On se rafraichit rapidement et entièrement. La troupe remonte au camp. Pour une fois c'est elle qui est prête la première. Elle s'est remis ses habits après les avoir dépoussiérés. Elle était censée n'etre que de passage à Tréguier avant de rejoindre le petit village natal de son époux, où ils se sont retirés depuis quelques mois. Aussi elle voyageait léger privilégiant les affaires des enfants dans ses bagages. Elle aurait pu se faire preter une robe par une de ses amies mais à vrai dire , elle n'y aait pas pensé. Elle voyait cette fête comme une fête de village, assez simple, à la bonne fRanquette. Une fête populaire comme il y en avait souvent à Tréguier , où tous se mélangeaient sans manière.
Quand la charrette les déposa sur la place du village, les troubadours amusaient déjà une poignée d'enfants plantés devant l'estrade. La musique accueillait les habitants qui arrivaient petit à petit. Prés de l'église, des dames sortaient des paniers de fruits qu'elles tenaient au frais dans la fontaine. Les récoltes ont été abondantes et les paysans tiennent à ce que cela se voit sur les tables. Tréguier a son lot de cuisinières aussi. Le buffet se remplissaient de tartes , biscuits, galettes, crèpes et autres spécialités que chacune apportait fièrement. Des torchons protégent les mets des mouches et abeilles en attendant l'heure du grignotage. Des draps se tendent au dessus des tables pour se protéger du soleil.
Elle croise une dame qu'elle n'a jamais vue et qui se tape le front . Soit il y a des moustiques, soit des guèpes , bref, la blonde préfère changer de coté histoire de ne pas se faire attaquer elle aussi.
Puis le fond sonore augmente progressivement. On se salue, s'embrasse, s'étreint, s'interpelle d'un bout à l'autre de la place. Les enfants se retrouvent entre copains, cousins et ne tiennent pas en place. Ca s'anime. L'ambiance de Tréguier qu'elle aime tant.
Imagine fait comme tout le monde, elle passe de groupe en groupe saluer les gens, prendre des nouvelles des familles, des anciens. Personne ne parle ouvertement des derniers évenements car on est là pour y échapper mais les allusions reviennent les rappeler régulièrement... Puis la présence des uns rappelle l'absence des autres. Certains encore dans la peine viennent reprendre gout à la vie ici, parce qu'il faut bien continuer. D'autres sont chargés de transmettre le bonjour de ceux qui sont encore aux chevets de blessés. D'autres encore portent sur eux les traces de leurs frères Bretons... et les conversations reprennent le sourire parce qu'il le faut bien.
Elle passe devant la tente ouvertee qui abrite quelques réserves apportées par les villageois quand elle croise Rico. Ils se saluent de loin. Un rico sans Esmylady cela fait tout bizarre. Un bouton sans sa pression. Un tic sans son tac. Un peu plus tard, elle salue Erwin Istobas, le frère d'Amaellya , accompagné d'une Cléo toute en beauté. *et zut j'aurais du mettre une robe pfff * Machinalement elle tenta de s'arranger sa coiffure du bout des doigts comme si cela allait changer quelque chose au fait qu'elle soit en braies. Ce n'est qu'en entendant plus tard qu'on annonçait la baronne de Rothschild ..heu..pardon , la comtesse du Kerborzh, qu'elle se décomposa à sa vue. Une comtesse resplendissante et en ...belle robe, encore ?? *ah mais non ..mais ..minceeee ! oué ben elle peut se brosser la zak pour que j'aille me montrer à ses cotés. pas envie de faire tâche ! * Elle s'épousseta ses braies histoire de faire quelque chose mais sans aucune conviction...à la dégoutée !
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En tout début d'après midi, sa garde se termine. La fête ne devrait plus tarder à commencer. Un moment de détente pour remonter le moral des troupes, ressouder les villageois et puis pour quelques heures ..oublier si cela est possible. En tous cas se distraire puisque l'occasion leur était donnée.
Ils sont pressés, ils n'ont que deux heures pour en profiter car ils devront ensuite assumer la relève de l'équipe 2. Donc on s'active. Direction la plage, juxtaposant le port. On se rafraichit rapidement et entièrement. La troupe remonte au camp. Pour une fois c'est elle qui est prête la première. Elle s'est remis ses habits après les avoir dépoussiérés. Elle était censée n'etre que de passage à Tréguier avant de rejoindre le petit village natal de son époux, où ils se sont retirés depuis quelques mois. Aussi elle voyageait léger privilégiant les affaires des enfants dans ses bagages. Elle aurait pu se faire preter une robe par une de ses amies mais à vrai dire , elle n'y aait pas pensé. Elle voyait cette fête comme une fête de village, assez simple, à la bonne fRanquette. Une fête populaire comme il y en avait souvent à Tréguier , où tous se mélangeaient sans manière.
Quand la charrette les déposa sur la place du village, les troubadours amusaient déjà une poignée d'enfants plantés devant l'estrade. La musique accueillait les habitants qui arrivaient petit à petit. Prés de l'église, des dames sortaient des paniers de fruits qu'elles tenaient au frais dans la fontaine. Les récoltes ont été abondantes et les paysans tiennent à ce que cela se voit sur les tables. Tréguier a son lot de cuisinières aussi. Le buffet se remplissaient de tartes , biscuits, galettes, crèpes et autres spécialités que chacune apportait fièrement. Des torchons protégent les mets des mouches et abeilles en attendant l'heure du grignotage. Des draps se tendent au dessus des tables pour se protéger du soleil.
Elle croise une dame qu'elle n'a jamais vue et qui se tape le front . Soit il y a des moustiques, soit des guèpes , bref, la blonde préfère changer de coté histoire de ne pas se faire attaquer elle aussi.
Puis le fond sonore augmente progressivement. On se salue, s'embrasse, s'étreint, s'interpelle d'un bout à l'autre de la place. Les enfants se retrouvent entre copains, cousins et ne tiennent pas en place. Ca s'anime. L'ambiance de Tréguier qu'elle aime tant.
Imagine fait comme tout le monde, elle passe de groupe en groupe saluer les gens, prendre des nouvelles des familles, des anciens. Personne ne parle ouvertement des derniers évenements car on est là pour y échapper mais les allusions reviennent les rappeler régulièrement... Puis la présence des uns rappelle l'absence des autres. Certains encore dans la peine viennent reprendre gout à la vie ici, parce qu'il faut bien continuer. D'autres sont chargés de transmettre le bonjour de ceux qui sont encore aux chevets de blessés. D'autres encore portent sur eux les traces de leurs frères Bretons... et les conversations reprennent le sourire parce qu'il le faut bien.
Elle passe devant la tente ouvertee qui abrite quelques réserves apportées par les villageois quand elle croise Rico. Ils se saluent de loin. Un rico sans Esmylady cela fait tout bizarre. Un bouton sans sa pression. Un tic sans son tac. Un peu plus tard, elle salue Erwin Istobas, le frère d'Amaellya , accompagné d'une Cléo toute en beauté. *et zut j'aurais du mettre une robe pfff * Machinalement elle tenta de s'arranger sa coiffure du bout des doigts comme si cela allait changer quelque chose au fait qu'elle soit en braies. Ce n'est qu'en entendant plus tard qu'on annonçait la baronne de Rothschild ..heu..pardon , la comtesse du Kerborzh, qu'elle se décomposa à sa vue. Une comtesse resplendissante et en ...belle robe, encore ?? *ah mais non ..mais ..minceeee ! oué ben elle peut se brosser la zak pour que j'aille me montrer à ses cotés. pas envie de faire tâche ! * Elle s'épousseta ses braies histoire de faire quelque chose mais sans aucune conviction...à la dégoutée !
Réédit : correction ortho et erreurs frappe
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