Cold
[Siège]
Avant l'assaut, il avait réuni les troupes et leur avait fit:
-"Si jamais on arrive à rentrer, on préserve la population, vous ne réagissez que devant des gens armées.
Pour les les morts vivants et les clones, ce sera la surprise.
Je ne sais pas comment on les tue.
Pour le reste, feu roulant sur la structure faibles et prise d'assaut latérale.
En toute logique on aura pas le dessus ce soir, je le sais, vous le savez.
A vos postes"
La voix était calme et déterminée.
Au moment dit, il donna le signal et les canons, deux bombardes et quatre veuglaires se mirent en feu roulant tandis que les hommes de traits se préparaient à tirer pour couvrir la montée à l'assaut.
Bien sur, ils allaient avoir le droit à la même sauce de ceux d'en face.
Et les traits s'abattirent pendant que les treillissages furent jetés sur les douves et que les hommes savancèrent avec des échelles.
Il fallait voir cela , des hommes en armures grimpant, les armes en main où à la guige montant vers un sort des plus incertains.
Comme à son habitude le Maréchal De Bretagne était avec les hommes d'armes.
Et comme les autres tout en dirigeant l'assaut, il grimpa sur une des échelles dont certaines étaient renversées par l'ennemi qui tiraient sans s'arrêter sur les Bretons venus récupérer une ville de Bretagne.
Du sable chauffé leur était lancé pour s'insinuer dans les interstices d'armures afin de bruler gravement les hommes.
Et quand les hommes arrivaient en haut, il fallait encore arriver à prendre pied sur le rempart sans se faire pousser ou tuer par l'ennemi.
Le colosse montait et il vit le jeune homme devant lui tomber mollement du côté ennemi, son crâne venait d'exploser.
Il réussit à prendre pied sur le chemin de courtine quand un homme se précipita sur lui en hurlant avec une masse.
Il n'eut qu'as se décaler légèrement et fléchit un genou en garde "de la charrue".
L'homme s'empala sur la grande lame.
Il dégagea son arme en tirant son espée tout en se calant d'un pied sur le cadavre de l'ennemi.
En plein combat Maël eut le temps de jeter un il à l'homme....
Un mercenaire.
Il continua son chemin et d'un "coup furieux" il abattit une autre personne.
Encore un mercenaire .
Il vit à vingt mètres un ennemi tirant sur ses hommes à l'arbalète de rempart, il avisa alors une hacquebute dont la mèche fumait encore.
Il la ramassa et vit qu'elle était chargée, il épaula alors le tireur qui rechargeait son arbalète.
Le tireur releva le nez.
C'était un enfant, un jeune garçon qui aurait pu être son fils.
Sans s'en rendre compte, en plein milieu des combats, il baissa lentement son arme et ne vit pas ce qui arrivait sur son côté gauche.
Il s'en rendit compte trop tard. Il se fit charger par trois personnes qui se ressemblaient trait pour trait à la lance à repousser
La lame s'encocha sur l'armure sans l'ouvrir mais le choc éjecta le colosse par dessus le rempart.
La chute lui parut longue et il se surprit à penser qu'il savait enfin à quoi ressemblait un 'clone'.
-"spalshhhh"
Ne pas couler... Tout les hommes d'armes entraînés étaient capables de nager au moins cinquante mètres en armure.
Il fallait prévoir ce genre de chose...
Des mouvements puissants et amples...
Attraper des racines sur le bord...Des branches, N'importe quoi...
Se sortir de la flotte pendant que le sol se crible de flèches et de carreaux tout autour.
Retrouver l'espée qui a voltigé et qui s'est planté fer au sol...
Trouver un couvert...
Faire un bilan rapide .
Le premier assaut était un échec.
Comme prévu.
Il avait eu le temps de voir ce qui défendait sur les remparts et au final il n'y avait pas beaucoup de bretons,. du mercenaire, du brigand, du clone....
Il n'avait pas eu le droit au mort-vivant.
Peut-être au prochain assaut.
Avant l'assaut, il avait réuni les troupes et leur avait fit:
-"Si jamais on arrive à rentrer, on préserve la population, vous ne réagissez que devant des gens armées.
Pour les les morts vivants et les clones, ce sera la surprise.
Je ne sais pas comment on les tue.
Pour le reste, feu roulant sur la structure faibles et prise d'assaut latérale.
En toute logique on aura pas le dessus ce soir, je le sais, vous le savez.
A vos postes"
La voix était calme et déterminée.
Au moment dit, il donna le signal et les canons, deux bombardes et quatre veuglaires se mirent en feu roulant tandis que les hommes de traits se préparaient à tirer pour couvrir la montée à l'assaut.
Bien sur, ils allaient avoir le droit à la même sauce de ceux d'en face.
Et les traits s'abattirent pendant que les treillissages furent jetés sur les douves et que les hommes savancèrent avec des échelles.
Il fallait voir cela , des hommes en armures grimpant, les armes en main où à la guige montant vers un sort des plus incertains.
Comme à son habitude le Maréchal De Bretagne était avec les hommes d'armes.
Et comme les autres tout en dirigeant l'assaut, il grimpa sur une des échelles dont certaines étaient renversées par l'ennemi qui tiraient sans s'arrêter sur les Bretons venus récupérer une ville de Bretagne.
Du sable chauffé leur était lancé pour s'insinuer dans les interstices d'armures afin de bruler gravement les hommes.
Et quand les hommes arrivaient en haut, il fallait encore arriver à prendre pied sur le rempart sans se faire pousser ou tuer par l'ennemi.
Le colosse montait et il vit le jeune homme devant lui tomber mollement du côté ennemi, son crâne venait d'exploser.
Il réussit à prendre pied sur le chemin de courtine quand un homme se précipita sur lui en hurlant avec une masse.
Il n'eut qu'as se décaler légèrement et fléchit un genou en garde "de la charrue".
L'homme s'empala sur la grande lame.
Il dégagea son arme en tirant son espée tout en se calant d'un pied sur le cadavre de l'ennemi.
En plein combat Maël eut le temps de jeter un il à l'homme....
Un mercenaire.
Il continua son chemin et d'un "coup furieux" il abattit une autre personne.
Encore un mercenaire .
Il vit à vingt mètres un ennemi tirant sur ses hommes à l'arbalète de rempart, il avisa alors une hacquebute dont la mèche fumait encore.
Il la ramassa et vit qu'elle était chargée, il épaula alors le tireur qui rechargeait son arbalète.
Le tireur releva le nez.
C'était un enfant, un jeune garçon qui aurait pu être son fils.
Sans s'en rendre compte, en plein milieu des combats, il baissa lentement son arme et ne vit pas ce qui arrivait sur son côté gauche.
Il s'en rendit compte trop tard. Il se fit charger par trois personnes qui se ressemblaient trait pour trait à la lance à repousser
La lame s'encocha sur l'armure sans l'ouvrir mais le choc éjecta le colosse par dessus le rempart.
La chute lui parut longue et il se surprit à penser qu'il savait enfin à quoi ressemblait un 'clone'.
-"spalshhhh"
Ne pas couler... Tout les hommes d'armes entraînés étaient capables de nager au moins cinquante mètres en armure.
Il fallait prévoir ce genre de chose...
Des mouvements puissants et amples...
Attraper des racines sur le bord...Des branches, N'importe quoi...
Se sortir de la flotte pendant que le sol se crible de flèches et de carreaux tout autour.
Retrouver l'espée qui a voltigé et qui s'est planté fer au sol...
Trouver un couvert...
Faire un bilan rapide .
Le premier assaut était un échec.
Comme prévu.
Il avait eu le temps de voir ce qui défendait sur les remparts et au final il n'y avait pas beaucoup de bretons,. du mercenaire, du brigand, du clone....
Il n'avait pas eu le droit au mort-vivant.
Peut-être au prochain assaut.