[RP] Joutes de Gascogne : 32èmes de finale

Petitrusse, qualifié sans participer aux éliminatoires, avait attendu avec impatience le tableau des 32 ème de finale. Il avait été surement dans les premiers à voir les futures rencontres. Et surprise pour lui, son adversaire était Christabella Jauzac. Petitrusse avait éliminé la dame lors des éliminatoires des joutes en PA. Sûr que la dame serait motivé pour prendre sa revanche.
Petitrusse va se préparer avec son écuyer. Il passe ensuite voir Jason Ludgarès de Vissac qui lui aussi se prépare pour affronter Motep de Ponsay, jouteur que Petitrusse n'a encore jamais rencontré lors des joutes.
Après discussion sur comment motiver les nobles du BA à participer aux joutes, Petitrusse va se présenter à l'entrée car son duel passe très tôt, dès la seconde confrontation. Il regarde la première confrontation qui a lieu avec la volonté de voir Fred de Castelviray la remporté pour pouvoir l'affronter. Et si, c'est son adversaire qui remporte et que le duc du BA passe ce tour, il se fera un plaisir d'affronter Neyco.
Petitrusse apprécie la technique de Fred et se félicite de sa victoire.

C'est maintenant à mon tour d'entrée sur la lice. Petitrusse salue son adversaire. Le signal est donné et Petitrusse s'élance en donnant un coup de talon léger dans le flan de son cheval. Normalement, souvent, la première joute sert à juger la position de son adversaire et définir une technique pour le faire chuter.
Mais là, oh désagréable surprise, son adversaire n'attend pas cela et touche le Duc du BA. Très surpris par cette audace, Petitrusse n'a pas la force de résister, par manque de vigilence. Petitrusse chute lamentablement et c'est la fin du tournoi pour lui. Petitrusse se relève et se rend compte maintenant du ridicule de son analyse. Que cela lui serve de leçon. Petitrusse récupère sa monture et se dirige vers la sortie, la tête basse.
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En Deuil.

Cette fois c'était au tour de Margot de servir d'écuyère à son père et quand la juge arbitre l'appela, la jeune fille prit place en bord de lice, pour suivre la rencontre. En deux coups de cuillères à pot l'affaire fut réglée. La Duchesse d'Amboise rata sa cible, son père par contre, brisa sa lance sur l'écu adversaire, la dame chuta et son papa fut déclaré vainqueur.

Elle avança à sa rencontre, prit les rênes de la monture et glissa son bras libre sous celui de son père.

Félicitations mon papa ! Allons fêter toutes ces victoires.


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Il s'était préparé pour les joutes, il aurait du les faire avec son ami et vassal, mais les événements actuels et la guerre opposant la France et l'Empire en avaient décidé autrement. Comme nombres de nobles et les difficultés à savoir à quel pays appartenaient désormais certains fiefs avaient donné des névralgies aux organisateurs. Le Seigneur de La Jarousse en avait hélas fait les frais et c'est des tribunes qu'il assisterait aux joutes cette fois. Le Vissac était déçu, ayant eu du mal à digérer cette éviction il se présenta se matin là en armure dans la partie réservée aux jouteurs convoqués pour les éliminatoires.
Son Suzerain le Duc régnant d'Auvergne vint s'entretenir avec lui. Ils discutèrent d'une envie que ce dernier avait d'amener plus de nobles auvergnats à participer. Puis la juge arbitre appela les premiers duellistes.
Il se concentra donc sur le premier opposant celle qui avait accueillit les dernières joutes en PA au Castelviray. La victoire revint au Castelviray. Beau combat, mais il était impatient de voir son Duc et quand ce fut son tour il ne perdit pas une seconde de l'affrontement, aussi concentré que si ce fut son propre duel. Il laissa échapper un grognement quand "Le Conquérant" se retrouva au sol et par la même éliminé après la première passe. Quand il arriva à sa hauteur la mine déconfite il tente de le réconforter, même s'il sait combien ce genre de passe laisse un goût amer d'inachevé.

Ta Grâce tu n'a pas démérité loin de là. Disons que ton adversaire à cette fois remis les clepsydre à zéro au regard de vostre dernier duel. Je sais que le prochain te donnera plus de chance. Je serais heureux de t'offrir un hanap dans mon campement pour te changer les idées et parler de la suite.

Alors qu'ils parlaient les duels s’enchaînaient et il esquissa un sourire quand Hersouille remporta le sien, pourvut qu'il ne se retrouvent pas une fois de plus face à face. La dernière fois avait été assez éprouvantes pour eux deux sur le plan émotionnel. Puis il fut appelé par la juge arbitre.

Hermance lui apporta Belphégor et on l'aida à s'installer sur son dos. Il mit ses gantelets puis son heaume visière levée avant d’attraper la lance. Hermance partit à l'autre bout de la lice muni d'une autre lance, qui sait, il allait en avoir peut être besoin.
Il avança et salua la juge arbitre ainsi que son adversaire. Il ne le connaissait pas, mais comme tous ses adversaires il ne le sous estima pas. Il abaissa sa visière, cala sa lance et quand le drapeau s'abaissa seul le bruits des sabots martelant le sable monta de la lice. Buste incliné autant que faire se peu, lance tendue afin de viser l'écu adversaire. Au moment de la rencontre des deux vicomtes le choc est violent et sa lance se brise. Déséquilibré par la violence de l'impact il se retrouve au sol avant d'avoir pu dire ouf.
Avec difficulté il se relève, non pas blessé mais empoté par l'armure. Non mais il est pas vêtu pour un pas de danse, alors hein patience, voilà debout il remonte sa visière pour mieux voir son adversaire, lui aussi au sol au milieu des éclats de bois. Les deux lances se sont brisées en fait donc comme en plus ils ont chuté, comme ça pas de jaloux. Sauf que c'est pas fini.
Le Ponsay fait signe qu'il n'est pas blessé, le Vissac lui répond de même. La juge arbitre arrive sur la lice, mais reste quand même assez loin, ben un mauvais coup est assez vite donné dans le feu de l'action. Voilà Hermance avec son épée qu'il lui tend, regarde si l'armure n'a rien puis repart amenant Belphégor par la bride. Debout, face à face, épées en mains, les deux s'il vous plait vue le poids, les deux protagonistes écoutent les consignes de la juge. Au signal il avance, visière baissée et pare le coup tout en trouvant la faille dans sa garde, sa lame traverse l'armure pour toucher l'abdomen vicomtal. Il la sent s’enfoncer avant de la retirer. Le Ponçay porte sa main au lieu de l'impact d'où entre ses doigts coule le sang. Le Vissac grimace sous le heaume imaginant la douleur. Il abaisse son épée, relève sa visière et vient voir son adversaire.

Merci Vicomte pour ce beau duel, même si je garde la victoire vous n'avez en rien démérité. J'espère que vostre blessure n'est point trop grave et espère vous rencontrer à nouveau.

Il le salut laissant ses gens s'occuper de lui quittant quant à lui la lice, sans pavoiser même si il aime gagner, blesser un adversaire n'est jamais joyeux. Il remercie intérieurement son ami de lui avoir enseigné le maniement de l'épée et espère qu'il aura vue la passe et qu'ensemble ils pourront en discuter une fois qu'il aura retrouvé figure humaine.
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(Ban en réfection)

~ 32ème de finale : Rodelle vs Amboise ~


Habituée des lices, la Louve d’Amboise laissa ses gens et les écuyers de son Ordre gérer l’organisation du campement sous bannière licorneuse. Elle avait son esprit ailleurs. Entre aigle et loup, noyée dans les interrogations et les doutes.

Mais l’heure de son duel approchait, aussi gagna-t-elle sa tente pour être fer-vêtue. A mesure du placement de ses plates, ses pensées s’estompaient. Leur poids était remplacé par celui de l’acier. Tout était alors plus simple.
A l’énoncé de sa titulature, elle entra en lice, juchée sur Eminence. Ses armes temporaires étaient présentées. Le seul regret était qu’il n’existait toujours pas la liberté d’arborer uniquement les armes familiales timbrées du plus haut rang. Aussi savoura-t-elle cette situation transitoire.
La licorneuse salua le comte, leurs hôtes et le juge diseur.

Au signal, la lance fut abaissée mais la visée ne fut pas au rendez-vous malheureusement. Et ce fut elle qui chut sur le sol meuble. Elle n’en éprouvait nulle amertume. Elle pourrait ainsi se reposer et supporter ses Frères tranquillement.

Remise sur pied et le chef libéré de son armet, elle salua Rodelle d’un signe du chef et d’un sourire.

Félicitations pour votre victoire, votre Grandeur.
Quant à la revanche, ma foi, vous avez ainsi eu la vôtre. Vous avez oublié, je crois, que nous nous sommes affrontés à Montréal ce printemps. Et, si je ne m’abuse, vous y aviez été navré. Je vois avec soulagement que vous avez bénéficié des meilleurs soins.

Le regard clair d’Ellesya s’en vint vers Léanore qui allait au-devant du comte et salua cette dernière d’un chaleureux sourire avant de conclure et se retirer.

Nous nous recroiserons probablement sur le champ clos.
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OR de la Licorne et Séminaire de Tours

Hadrien avait été impatient toute la matinée et même la veille, lorsque sa mère lui avait parlé des joutes auxquelles participerait son père. Il ignorait encore ce dont il s'agissait, mais c'était une sorte de combat, comme le lui avaient indiqué ses parents. Voir les hommes se battre, c'était excitant ! Enfin des combats comme les chevaliers ! Il avait déjà lâché la main de sa mère, Anne, pour aller voir de plus près les adversaires s'affronter. Ils étaient impressionnants, habillés de la sorte, prêts à s'élancer sur leurs ennemis d'un jour, montés sur leurs chevaux !


Il vit son père au loin et se précipita au moment où on lui demandait d'affronter une femme.

Bah... papa il se bat avec une dame ? Les dames aussi ça se bat ???


Étonné, il assista néanmoins au combat qui opposait Toto à Isabelle Sorel. Lorsqu'il vit la lance toucher la femme à la cuisse, il lança un cri de stupeur, se disant que ça avait dû lui faire mal ! Néanmoins, il est ravi de voir que la vicomtesse déclare forfait et qu'on déclare son père vainqueur.

Hourraaaa ! Bravo papa !! Mon papa c'est le plus foooort !!!

Citation:

Jenifael Lisbeth, Dame de Boissières-en-Vaunage affrontera Sancte Iohannes von Frayner, Chevalier de France, Prince de Clichy, Comte du Lavaur, Vicomte de Verdun-sur-Garonne, Seigneur de Labastida Santa Pèir, de Bressols, d'Eyrignac, de Domvallier, de Varennes-les-Narcys & de Castelloubon.




Après avoir passé son propre duel, la blonde invite les deux nouveaux participants à entrer en scène ; la Dame de Boissières-en-Vaunage et le Prince de Clichy paraissent, juchés sur leur destrier, et vont prendre place. Keltica les salue l’un après l’autre, puis d’un geste du bras, donne le départ.

Le Prince ne semble nullement gêné par l’interruption momentanée du tournoi ; vif, il abaisse sa lance et percute l’écu de la Dame, avec tant de force que sa lance s’y brise comme du petit bois. Jenifael n’arrive pas à encaisser le choc et vacille, avant de chuter dans le sable. Heureusement aucune blessure n’est à déplorer !

La voix encore un peu saccadée de l’arbitre annonce la victoire.

Par chute de son adversaire, Sancte Ioannes von Frayner est déclaré vainqueur !


Non mais ils étaient sérieux? C'est ce que la belle Dame de Boissières se le demander ... On la mettais contre des habitués des joutes, depuis ses premières joutes, si bien qu'aucune victoire n'était à son actif, pas même la plus petites et que cela faisait donc plusieurs mois, qu'elle monter une jument alezan, rapide et vive, sans autre nom que "l'Alezan" ! [URL]Habillée comme à son habitude[/URL] donc, la voilà qui devait affronter le prince de Clichy, celui-là même ayant organiser des joutes ... eh bien des joutes qu'elle avait perdue et aider au final une duchesse à donner la vie ! Honneurs? La vénitienne soupira, avant de grimper sur sa monture, qui aujourd'hui semblait avoir le sang chaud et piaffer à droit et à gauche.

La joute se passa ... de façon désastreuse, comme prévu et elle tomba, grognant largement. Ses jambes seraient bientôt couvertes de bleu avec toutes ces blessures. Puis Clichy déclarer vainqueur, elle alla le trouver et s'inclina.

"- Votre Altesse, c'était un honneur de jouter contre vous. Bonne continuation. "

Et la Rose du Languedoc de parler enfin à un de ses adversaires sans se faire insulter, enfin elle espérer ...

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Jack avait apprit que son adversaire pour ce premier tour serait L' Impétueux , Thibérian et lui résidait tous deux en Lyonnais-Dauphiné et se connaissaient parfaitement ayant eu l ' occasion de travailler ensemble pour le duché et la particularité voulait que quand Thibérian fut régnant et Jack un de ses conseillers ducal , Jack fut anoblis par ce dernier .

A la journée du 15 janvier 1463 , Jack s ' en souvenait trés bien , le baiser vassalique suivit d ' un décrochage de dent devant Minerve pour officialiser son serment , il s ' été fait plaisir ce jour la le Thibérian .


C ' est se rendant sur la lice que ses pensées resurgirent et pour Jack il été temps de prendre sa revanche en toute esprit chevaleresque bien sur et puis si Jack participé aux joutes , Thib l ' ayant anoblis en été la cause , il faut assumer ses actes dit on .

En position , Jack salua l ' arbitre puis Thibérian et retint sa jument jusqu ' au moment fatidique du buccin , celui ci venu Jack fut propulsé par l ' équidé en direction de son adversaire , sa lance se tendit vers l ' écu et un double contact eut lieu , Jack encaissa le coup mais la stupeur dans le public indiqua à Jack que son adversaire avait du subir des dommages , arrivée en fin de lice , il se retourna et vit Thibérian sur le sable se tenant le jarret , sans réffléchir il descendit de sa monture , retira son heaume et appela Bernardo son serviteur à le suivre .

Arrivée prêt de son ami , il bouscula les personnes présentes pour étre sur de l ' état de santé de ce dernier et fit signe à Bernardo d ' accompagner Thibérian à la tente médicale et d ' attendre des nouvelles du médicastre avant de revenir les lui dire au campement .

Mon ami , cette victoire a un goût amer , te voir blessé ne m ' enchantes guère mais je te sais guerrier et sait que sous peu cette blessure sera oublié , bon tu penseras à moi quand tu la verras même si j ' aurais préféré te laisser autre présent que celui ci , les joutes ont leurs risques nous le savons tous et l ' acceptons mais saches qu' en cas de besoin je serais présent et ma tente t ' est grande ouverte .

Sur ces mots il fit signe au divers personnes présentes d ' emmener Thibérian vers la tente médicale , Jack quant à lui récupera sa jument et rentra seul vers le campement pensant à son ami blessé .
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Trente deuxièmes de finale.

Son épouse l'avait aidé à se préparer, un échange de regard avec fils, pour sur, perdre en cet instant, même si cela était une possibilité aurait embêté le manchot. Là déjà, en ayant vu le tirage, il imaginait son fils et ses innombrables questions, cela lui valu un sourire sous le casque du Duc. Il prends place sur son fidèle destrier, au signal, appuyer les talons sur les flancs de Quinine 3ème du nom, et s'élancer, lance bien maintenu, croisement, bruit de bois qui éclate, et se retrouver séant au sol. Sentir la douleur sur son épaule gauche, instinctivement y poser le plat de la main. Ronchonner intérieurement, pensant avoir une nouvelle fois échoué, avant d'entendre l'arbitre annoncer la poursuite du combat à l'épée. Se relever alors, regard vers les tribunes, tenter de capter le regard de son fils et de son épouse.

Incliner de la tête en salue, tout en tirant l'épée et engager le combat. Il lui fallait être rapide, son épaule le gênait, il ne pouvait se protéger aisément de ce bouclier car bouger le reste de son bras le faisait souffrir. Il se déplace rapidement, place des attaques vivent, en parent d'autres, et d'une pointe rapide touche la cuisse de son adversaire.

Le combat cesse, il est déclaré vainqueur, remettre l'épée au fourreau, retirer alors son heaume, saluer la vicomtesse, la remercier pour ce valeureux combat,

Félicitions Vicomtesse pour ce combat, mais allez vite à la tente des secours, vérifier que cela n'est rien

Puis faire signe à son aide de s'occuper de Quinine, se tourner vers sa famille afficher un sourire en entendant retenir le voix de Fils. Aller alors les rejoindre avant le prochain combat
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Voila le début d'un nouveau tournoi qui débute, Ptit une fois équipe et la traditionnelle cuvée d'Isa avalée pris place en bout de lice. Un salut au juge arbitre et a son adversaire,
Il lance sa monture à pleine vitesse au signal, double touché y mettant toute sa force il réussi à désarçonner le vicomte du chuta sans blessure au sol.

Il ensuite place en bord de joute, où il assista malheureusement a la défaite de sa marraine a qui il alla dire quelques mots de réconfort.
Suivit par des saut de joie de la petite Isa à la victoire de sa grande amie Xal
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C’était le jour des trente-deuxièmes de finale et on leur avait annoncé que Fred serait le premier à passer ce jour. Elle l’avait aidé cette fois à s’enfiler son armure, sans la gêne de la première fois ou il lui avait demandé de l’aider à lui ôter. Elle avait cette petite crainte qu’il puisse être blessé mais elle savait que c’était le risque lors des joutes et elle en avait fait les frais plus d’une fois déjà, rien de bien graves, quelques hématomes puis les dernières joutes une blessure, des points de sutures. Elle aurait pour sa part surement peur que son bras gauche soit plus faible.

Sur le bord de la lice, elle le regardait finir de se faire préparer. Elle ne serait pas dans les gradins, et partirait à la fin de la passe du Duc pour aller rapidement se préparer aussi, en espérant que celui-ci ne soit pas blessé.

Le Duc avait d'ailleurs prit grand plaisir sous la tente qu'il soit en compagnie de Sa Promise. Il avait spécialement mit de la difficulté pour enfiler quelques pièces de son armure comme celui du Torse. Lorsqu'il fit prêt il vola un baiser afin de s'encourager tous les deux. Une fois en Lice, le Castelviray demanda les faveurs à Sa Dame, chose qu'il ferait à chaque joute dans les règles.

Le Duel aura été quelque peu stressant car son adversaire avait réussi à briser sa lance et lors de la seconde passe rien ne c'était déroulé. Il ne restait plus qu'à tout miser sur la dernière et c'est dans une très grande concentration que le Duc élance son destrier et là au moment du contacte Fred étire son bras et se colle contre l'encolure du cheval et il fait mouche, il touche son adversaire qui lui permet de briser sa lance. Le duel allait sans doute avoir lieu mais finalement non, cette dernière par le choc était tombé.

Le Castelviray s'avança vers sa Chef.

Rien de Mal Baronne?

Je vous remercie pour ce duel, j'espère que l'on pourra à nouveau s'affronter.

Il s'inclina pour prendre la direction de la tente et aussi pour soutenir Sa Promise dans sa préparation pour sa passe. Il s'inquiétait pour son bras.


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[32 èmes de finale - Ancelin_VS Aimelin]

Et il était prêt le Millelieues, préoccupé par son épouse fatiguée, et souvent distrait, et qui cette année ne brillait pas par ces participations, trop peu nombreuses en joutes à son goût. Mais il se devait de défendre ses titres de champion car en lice il ne laissait pas sa part aux autres.

Un salut de la tête et un sourire à Keltica avant de prendre place. Il ne connaissait pas son adversaire, ce qui l'arrangeait comme toujours, et Nomade était son compagnon pour ces joutes en Gascogne et il comptait donc sur le frison pour l’aider à gravir la montée vers le sommet.

Et c’était bien parti, le bris de sa lance lors de la première passe le rassura sur sa forme, il n'avait fait qu'une bouchée du Comte.
Un léger sourire, toutefois perplexes aux paroles de l'homme.

victoire bien trop rapide à mon goût, effectivement. J'aime les duels acharnés.
j'ai eu de la chance alors et vous bien de la malchance bien que je préfère mettre ma victoire sur mes qualités de jouteur, si vous le permettez.... ou pas aurait il pu ajouter.

L'homme ne devait pas le connaitre, c'était certain, pour parler ainsi et rabaisser sa victoire de la sorte. Il ne devait pas sa place de premier jouteur en points du royaume au hasard depuis quelques saisons. Un bref salut de la tête, avant de quitter la lice.
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~~ Très peu la les week end ~~

Et encore une fois il se retrouvait face à la baronne champenoise... C'était récurrent ces derniers temps. Et chaque il s'était fait mise à terre.
Il entra donc sur la lice.
Le premier passage fut désastreux , la champenoise le toucha et brisa sa lance alors que lui ne put rien faire. Il réussi toutefois à se maintenir en selle.
Pour le second passage le Montréalais se reprit et réussit à toucher et à briser alors que la baronne ne put en faire de même. Elle resta également en selle. Malédiction !
Troisième passage. Le Duc toucha encore mais ne parvint pas à briser. Ni a mettre assez de force dans sa touche pour faire chuter son adversaire.
Enfin le dernier passage celui qui serait décisif. Ce fut Hersent qui toucha et brisa. Malgré cela Niall réussi a rester en selle.
Malheureusement ça sonnait le glas de sa participation en Gascogne malgré un très beau duel.
Le Renard descendit de cheval afin d'aller féliciter la grande gagnante avant de s'en retourner à son campement.
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Trente deuxièmes de finale.

Isabelle était prête sa lance en main, un regard dans les tribunes pour apercevoir r son époux, ses enfants et ses amis. Elle devait restée concentrée alors prit place avant que l’on ne donne le signal de départ. Et la voilà partie se répétant cette interminable phrase pointe bien ta lance……. Des craquements de bois, des cris dans la foule, les lances étaient détruites et elle se retrouvait au sol. Elle se leva rapidement mais sa surprise fut grande quand elle vit Toto qui se levait et fit signe de continuer. On lui apporta son épée, la blonde n’avait pas envisagée une telle situation. Elle devait combattre à l’épée et en plus contre un Gascon. Elle soupire pourquoi Aristote avait il fait un tel choix …… Elle écouta les consignes avec une certaine appréhension. Quand le mot engagez fut prononcé le Duc avait déjà pointé l’épée sur elle et la toucha à la jambe. Un effet de surprise qu’Isabelle n’avait pas pu maîtriser. Elle perdait l’équilibre elle ne pouvait continuer le combat alors elle rejeta son épée pour signifier qu’elle abandonnait.
Elle enleva son heaume et salua le Duc
Je vous remercie votre Grasce, je vous souhaite une bonne réussite pour le prochain tour ! J’espère sincèrement que les couleurs de la Gascogne seront représentées jusqu’à la finale ! elle lui fit un sourire, elle était sincère. Son fils arrivait en courant pour l’aider à marcher, elle devait soigner cette blessure au plus vite…..

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Voilà, son tour. Son premier passage. Elle en avait pas dormi de la nuit avant ce jour là. La Neige vicomtesse lui avait expliqué les rudiments, comment tenir fermement sa lance et surtout ne pas penser à autre chose qu'à fixer son adversaire.

Julien l'avait accompagné et aider à se préparer pour ce premier passage. L'armure lourde lui pesait sur les épaules et elle avait conscience que cela n'allait pas être simple pour elle et sa taille menue. Un doute l'envahit. Pourquoi avait elle décidé de faire cela. Le goût du risque. La famille qui lui avait fait part de cette partie de "joie"... Joie de quoi ? pensa t elle d'un coup. Non parce qu'a part avoir l'impression de mourir sur place ou en se déplaçant.

Le cheval fut avancé, Julien l'aida à grimper sur son dos. Elle eut un "puiouuff" en se posant sur la selle de ce dernier. Il fit le tour du destrier pour lui donner la lance. Vérifia qu'elle la tenait bien malgré l'hésitation qu'elle eut sur le moment. Un regard à son garde, un sourire de sa part et elle se motiva.

Elle leva les yeux au travers la fente de son heaume pour fixer son adversaire comme lui avait conseillé sa Neige vicomtesse. Le départ pour la première passe fut donné, elle donna un coup de talon dans les flans de sa bête pour la faire partir. Le vent produisit un bruit sur son armure et elle essaya de rester droite, solidaire de sa lance.

Un choc. Elle sent un choc contre son bouclier. Elle se sentit étrangement propulsée de sa monture. Sans comprendre ce qui se passait, elle se retrouva sur le sable, sur le dos. Le souffle coupé par le choc entre la lance et la chute. Les yeux grands ouverts, elle essayait de comprendre ce qui venait de se produire. Première passe, première chute, première défaite .... Et c'est pas fini à mon avis de perdre.

Elle ne bougea pas, vit un Julien arrivait au dessus d'elle, un tantinet paniqué. Il ôta le heaume, la regarda, vérifia qu'aucun filet de sang ne s'écoule de son armure. Elle le regarda doucement et lui dit.

Par contre Chou, quand tu veux pour lever de là et m'aider à me retirer cette carcasse de feraille où je suis en vie. finit elle en riant doucement en repensant à cette chute qui avait dû être juste magnifique.

Une envolée blonde pour s'écroulait lamentablement sur le sable... Belle la Troy, tient.

J'ai cru comprendre que notre chère Tara avait réussi sa passe, on va pouvoir admirer le spectacle alors au sein des tribunes sans aucun souci du coup. rajouta t elle en levant le bras pour amorcer un mouvement pour se lever.

Une fois debout, elle fit un pas ou deux et vit son adversaire. Elle lui fit un signe et précisa à son attention.

Toutes mes félicitations à vous pour cette victoire. Je crois que j'ai encore beaucoup à apprendre vu que je vis mes premières joutes. Je vous souhaite bonne chance pour la suite.
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Ces joutes étaient pour l'Erudit une nouvelle expérience dans sa vie, mais Yousseph appréciait cette animation teintée de compétition. Son esprit était celui d'un compétiteur, il appréciait bien se mesurer a des adversaires de sa trempe... mais il se doutait que pour lui cela ne ressemblerait pas à un amusement.. L'adversaire paraissait bien décidée à en découdre... Visiblement cela n'avait pas l'air de l'impressionner à la Duchesse d'affronter le Vicomte qui lui n'était pas encore vraiment rassuré, mais il fallait y aller.
Il baissa son heaume sur son visage... ajusta sa lance devant lui, il essaya de ne penser à rien et de se concentrer sur son adversaire... mais la Duchesse bien plus aguerrie et plus percutante que l'Erudit s'avança avec détermination et surprit le Vicomte si bien que ce dernier vu se recevoir un bon coup violent sur son écu, il perdit ainsi l'équilibre sur sa monture et malgré ses étriers qui le maintenaient un peu sur son cheval, il ne put que constater sa chute.
Une chute sans grande gravité mais assez efficace pour l'empêcher de marcher correctement une fois qu'il se releva...
Il grimaça mis sans trop de mal... leva le bras en signe de respect et d'acceptation de sa défaite...

Respects vôtre Grasce, vous avez bien maitriser votre sujet, je ne peut que m'incliner devant vôtre détermination et vôtre perspicacité
Je vous souhaite d'aller le plus loin possible dans cette compétition... C'était une belle expérience pour moi ces premières joutes, je reviendrais l'année prochaine... vous pouvez compter sur moi.
Félicitations et bonne chance à vous vôtre Grasce

L'Erudit regarda en direction des tribunes voir si il apercevait son épouse et ses enfants... Il devait se rendre à la tente médicale pouir constater sa cheville mal en point...

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Les joutes….lointain souvenir que les moins de…..fiouuuuu, on ne le dit même plus à force. Chaude ambiance où se mêlaient des odeurs animales et humaines, des bruits de ferraille.

Pour quelle raison saugrenue avait il fallu que lui, l’homme, se retrouve à jouer l’écuyer, à distiller des conseils, à rassurer ?
Non, sa place eut dut être sur le cheval, lance à la main et non pas à l’extérieur de la lice, peinant à ne pas se cacher les yeux au moment ou sa douce compagne s’élança…

Oh il avait fait tout son possible et plus encore afin que tout se passe pour le mieux. Il avait même graissé les cuirs et renforcé à la va vite cette armure qui risquait de devenir un linceul pour son amour naissant. Forgeron un jour, forgeron toujours et il ne connaissait que trop bien les habitudes de certains jouteurs aguerris qui n’hésitaient pas à viser les points faibles d’une cuirasse déjà bien lourde.

Oui, il avait eu la faiblesse de fermer les yeux. Il avait écouté le galop de chacun des deux chevaux. Il avait cessé de respirer en attendant l’impact. Et ce fut bien malgré lui qu’il les avait ouverts au bruit sourd d’une lance qui s’écrase sur l’écu, d’un corps qui prend un envol surnaturel ….et s’écrase sur le sable.
Il n’était plus lui-même quand il s’élança tout tremblant vers sa mie gisant. Il nota machinalement que tout avait l’air à sa place, mais ne voyant pas la poitrine de sa compagne se soulever, il eut peur.
Oter ce heaume, voir son visage…..le ciel eut pu se gaufrer sur la lice en cet instant qu’il ne s’en serait pas aperçu.

Julien reprit sa respiration en apercevant le doux visage de Lilly, à peine crispé, les lèvres pincées par le goût amer….de la défaite. Lui-même se détendit au point de ne pas même penser qu’ils étaient là, tout les deux devant une foule importante…au point de ne pas même songer à l’aider à se relever.

Pas de bobo choupinette ? Rien de cassé ? Je ne serai pas obligé de trouver une solution…noble, pour te venger ? Regarde-moi, elle n’a pas abimé ton si joli minois ? Allez viens, on va ôter ce tas de ferraille et te refaire une mise bien comme il faut pour regarder depuis les tribunes notre glaçon préféré tailler ses adversaires.

Julien aida sa blonde à se relever dignement, récupéra la bride du cheval pendant que Lilly saluait son adversaire d’un jour, puis ils gagnèrent la tente afin de vérifier que tout était intact sous la boîte de conserve articulée…..
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Elle avait assisté aux différentes rencontres des siens et de ses amis. Elle avait tremblé et applaudi. Elle s'était préparée pour ses joutes et en arrivant sur la lice, elle avait été encouragée par la fille de PtitBroth, l'ami de longue date. Son jeune concurrent, elle le connaissait pour l'avoir déjà rencontré. Elle avait une revanche à prendre et c'est donc plus que déterminée qu'elle s'avance sur la lice sur le dos de son Normand.

Le drapeau s'abaisse, elle talonne sa monture qui s'élance rapidement. Elle est concentrée, elle voit une faille ajuste sa lance et la brise sur l'écu du seigneur. Petit demi-tour, il est toujours en selle, elle lance le bout de bois devenu inutile et s'arme d'une nouvelle lance. Elle s'élance de nouveau, la charge se fait au bruit du roulement de tambour des sabots de Gama foulant le sol. Elle ajuste de nouveau, elle fait mouche sa lance heurte l’écu, mais lui échappe quelque peu et vient heurter de plein fouet le plastron du jeune homme qui chute au sol. Elle entend la clameur d'effroi s’élever. Elle arrête sa monture essoufflée et vient rapidement rejoindre l'homme au sol auprès duquel s'affairent déjà les médecins. Il est rapidement transporté vers la tente médicale.

Seigneur, je vous remercie pour cette rencontre et j'ose espérer qu'il ne s'agit de rien de grave. Si vous me l'accordez je vous suis jusqu'à la tente où vous seront prodigués les soins.

Elle a beau connaître les risques des joutes, elle n'aime pas blesser ses concurrents.
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Erwelyn Corleone de Jeneffe vs Kheldar de Lablanche d'Abancourt

Lynette n'aimait pas trop affronter des inconnus, car, comme leur nom l'indiquait, ils étaient inconnus et elle ne savait donc pas quel niveau ils pouvaient avoir. Elle se méfiait aussi grandement des débutants car elle ne connaissait que trop la chance qu'ils pouvaient avoir, tout comme elle lorsqu'elle avait dû participer à ses premières joutes. La Jeneffe se rappelait de coups de bol monstres qui lui avaient permis de mettre à terre des jouteurs renommés sans trop faire exprès, du genre Actarius. Elle ne savait pas si le seigneur était dans cette catégorie mais elle s'en méfiait quand même, se demandant comment allait se dérouler ce premier passage de ces joutes. Se préparant sous sa tente après avoir assisté aux premiers duels, dont celui de son prince adoré qui s'était soldé par une victoire, elle se dirigea ensuite vers la lice en attendant son tour, avant de se positionner pour le duel qui avait maintenant sonné. Saluant d'un signe de tête son adversaire du jour, elle flatta ensuite l'encolure de Cheval, petit rituel avant chaque passe.

Le signal donné, c'est rodés que monture et cavalière partirent au galop, visant l'écu qui se rapprochait de plus en plus. Mais bon, ce fut un coup dans l'eau, tout comme le second, ce qui commençait à passablement énerver la baronne. Même si elle mit toute son attention dans la troisième et dernière passe, c'était comme pisser dans un violon, car elle foira lamentablement et sentit la lance du seigneur percuter son écu et briser. Malgré qu'elle soit restée en selle, cette touche marquait là la fin des joutes pour la Corleone, n'ayant même pas dépassé le premier tour.

Soupirant, elle effectua un demi-tour sur sa monture et se rendit à hauteur de Kheldar pour le féliciter.

Bravo à vous messire, je vous souhaite d'aller loin dans ces joutes et de remporter la victoire !

S'absentant ensuite, elle retourna à sa tente, prête à rejoindre Lexhor et assister en spectatrice à son parcours, qu'elle espérait meilleur que le sien.
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Elle n'était pas des plus heureuse. Keltica..... NOn mais allô quoi !!! (ne cherchez pas.... ça m'est venu comme ça, ça rime !) En plus elle est forte ! Autant de raisons pour être découragée.
La première passe ne donna rien...Enfin si ! Keltica qui brise mais Léanore assez bonne cavalière, réussit à garder son assise et il lui resta une chance d'éviter la défaite. Il fallait la saisir sans blesser son adversaire.
La chance, elle la laissa passer et en beauté en plus puisqu'elle atterrit sur le sable. ON l'aide à se relever, elle bouge bras et jambes.... Aucune douleur apparente donc tout allait bien hormis sa défaite.

Bravo Keltica.. Je suis heureuse pour toi et j'espère que tu ne vas pas t'arrêter en si bon chemin

Sortant de la lice elle fut accueillie par son promis.

Merci Arnaud. OUi Keltica est très forte et ma défaite est plus douce la sachant qui poursuit sa route.

Ils se dirigèrent vers le campement.
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Ils ne se quittaient plus lors des tournois! Hersent connaissait très bien son adversaire du jour et savait que ce serait tout sauf du macaron.
Finalement, l'écuyer à l'essai, tant attendu, avait du se perdre en route, aussi fut-ce le pauvre Jehan à être de corvée.
Le duel était le deuxième de la matinée, le lever se fit aux aurores pour échauffer le frison ainsi que sa cavalière qui avait grand besoin d'entraînement. C'est que les macarons nécessitent des efforts physiques histoire qu'ils ne restent pas sur les hanches.

Toujours dans son armure griffée Klouska, ancienne couturière des DO, elle entra, juchée sur son frison habillé de vert et d'argent finement travaillé sur les protèges chanfrein et croupe.
Jehan portait une lance ornée d'une boule en tête de chat, lance qu'il remettrait à la baronne une fois les salutations d'usage faites de part et d'autre.

Un salut à la Vicomtesse Keltica, souvenirs d'une Régence en Maine affluant soudain, puis un autre salut au duc Niall de Rivien.

La joute commence, première lance et l'objectif est atteint: bris de bois, grands craquements inquiétants et morceaux acérés volant en tous sens. Sa lance est brisée, celle de l'adversaire non et tout le monde reste en selle. Petit avantage pour l'Ar Sparfel qui espère avoir ébranlé la confiance ducale.

Volte en bout de lice, Jehan lui confie une deuxième lance puis elle talonne Korrigan pour régler son compte au duc. Et flûte de crotte de biquette, elle rate la targe adverse et ressent un choc qui la secoue des pieds à la tête: elle n'a pas brisé de lance, mais se retrouve à égalité. Heureusement, elle maintient son assiette!
Tout est à refaire.

Allez, baronne, tu te concentres et tu envoies le duc dans le sable! Las, ce n'est pas du tout ainsi que cela se déroula! Elle reçut un choc qui la secoua comme une prune au bout de sa branche, Aristote veillait sur elle car aucun bris de lance à déplorer ni de chute.
Elle n'a pas dit son dernier mot et prépare activement le coup fatal. Oui bon, elle a le droit rêver, non?

Dernière occasion à ne pas rater. Elle étudie l'angle d'attaque, enfin si on peut appeler cela un angle: on tient bien sa lance, on vise et on pèse de tout son poids pour faire choir le rival.
Elle s'applique, ne lâche rien et dans un bruit de bois volant en éclat, elle se rend compte qu'elle a brisé sa lance tandis que le duc reste en selle sans l'avoir effleurée.
C'est dans la besace!

Elle revient vers son adversaire pour le saluer: ils sont tous les deux en selle ce qui est loin d'être désagréable.
Elle le remercie pour ce beau duel dont elle sort légère de deux lances et de quelques livres tant le soleil, matinal pourtant, a chauffé son armure, transformée en étuve portative.

Elle salua l'arbitre et le public en levant son heaume en l'air. Elle n'irait pas se changer tout de suite puisque c'était au tour de sa cousine poitevine d'entrer en lice.
Elle encouragea Brunehaut haut et fort ce qui ne fut pas suffisant face à une des terreurs des lices, la baronne Maylis Do Urden. D'ailleurs, elles s'affronteraient au tour suivant si ses calculs étaient justes.
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Chevalier du Guet Royal

[Davor d'Estissac-Lisaran, Seigneur de Château-Larcher affrontera Humbert de Saint Just, Chevalier de Bouillon, en qualité de champion de Léandra de Cassel, Dame de la Vanoise et vénale d’Islemade, Garde Royal]

Deuxième fois, après les joutes organisées par Philippe de Cetzes, que le CapComte affrontait Humbert de Saint Just. La première fois avait occasionné un duel acharné, remporté par le Poitevin à l'épée uniquement. Davor espérait que ce nouvel affrontement tournerait de nouveau en sa faveur, mais si possible plus facilement car il avait quand même récolté deux blessures la dernière fois.

Première passe, il s'élance, bien motivé, mais rate largement la cible tandis que son adversaire vise bien plus soigneusement et brise sa lance sur l'écu du Seigneur de Château-Larcher, qui arrive cependant à rester en selle. Deuxième passe, chou blanc des deux côtés, idem pour la troisième. Décidément... Le trémouillois n'aura pas réussi à ajuster la mire une seule fois lors de ce combat. Ni même une seule fois dans toutes les joutes, en fait, puisqu'il se fait ainsi piteusement éliminer dès le premier tour.

L’œil noir, les épaules basses, il félicita quand même le chevalier de Bouillon, lui souhaitant bonne continuation pour la suite des joutes, puis fit demi-tour, s'empressant de retourner jusqu'à sa tente pour plier bagage et rentrer chez lui au plus vite. Il n'avait en effet plus rien à faire dans les parages.
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En bout de lice, sur son cheval, le Guillaume attendait patiemment le signal, la lance dans la main gauche, l'écu dans celle de droite. Le soleil mirait sur son armure et déjà la chaleur se faisait sentir. Pour sur, ces joutes allaient être éprouvantes.

Au signal le vicomte lança sa monture pour aller à l'encontre de son adversaire. Au fil des mètres, ils prenaient tous deux de la vitesse et se rapprochaient de plus en plus. Une fois à bonne distance, le vicomte visa et toucha. Mais cela ne fut point suffisant. Le choc qu'il reçut lui avait fait lâcher instinctivement sa lance et déjà sa main gauche d’agripper quelque chose.
L'idée était bonne, mais l'idée venait trop tard, trop tard car il ne pu rien agripper à temps, tant l'impact l'entrainait vers l’arrière. Si bien qu'au bout de quelques secondes, il finit par gouter la qualité du sable de la lice. Tant bien que mal, il se releva et fit signe qu'il allait bien. Il grogna contre lui même et pris la direction de sa tente. Il fallait bien enlever cette foutue armure et se désaltérer après tout.
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GuillaumeIV de Bruck dict le Fougueux

[Jackouille Cypher, Seigneur de Chuzelles, affrontera Thiberian Baccard dict l'Impétueux, Duc de la Val d'Oze, Baron de Guillestre, de Varces et de Voiron, Seigneur d'Alix et du Bois d'Oingt]

Quand les joutes se suivent et finissent par se ressembler la lassitude prend le pas sur le reste. C'est ainsi qu'il avait entreprit cette confrontation, il affrontait un homme qu'il connaissait, un gars de chez lui qui n'aurait probablement pas tenu la comparaison à pied face au vétéran. Mais le vétéran était et resterait jusqu'à sa mort un soldat et un soldat se bat à pieds c'est ainsi, la noblesse n'avait guerre changé cet état de fait.
Il était sur une succession malheureuse, la même qu'avait vécu Sancte peu de temps avant lui et qui rendait les joutes désespérément courtes et les voyages qu'il faisait pour s'y rendre plus longs encore car ils étaient vains et plus encore. S'il accumulait de l'expérience, il se demandait parfois où elle pouvait être planquée.

Regardant sa blessure à la jambe d'un air blasé plus qu'endolori, encaisser ça il savait faire, il se releva en repoussant d'un accès d'humeur les médicastres trop collants et zélés en leur demandant s'il avait l'air d'un vieillard incapable de se lever par lui même après une égratignure quand bien même saignerait elle beaucoup, remercia brièvement son adversaire en lui assurant qu'il allait parfaitement bien et prit congé dans plus de manières que ça. Direction la tente des soins.
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