Koreldy
Citation:
Guillaume de Bruck, quatrième du nom, Vicomte de Macaye, Seigneur de Geaune et d'Aire sur l'Adour, officier de la croix de Gascogne affrontera Ptitbroth, seigneur de La Grange.
La voix de larbitre donne les noms des deux nouveaux concurrents, en les personnes du Vicomte de Macaye et du Seigneur de la Grange. La blonde les salue lun après lautre, puis donne le départ quand ils sont prêts.
Les deux jouteurs sélancent et abaissent rapidement leur lance ; ils sont adroits, et les deux touchent en même temps. Pourtant le Seigneur de la Grange y met plus de force car il brise sa lance, et expulse son adversaire de ses étriers, tout en restant lui-même en selle. Au sol le Vicomte se relève, tout va bien, il nest pas blessé.
Keltica annonce alors la victoire.
Par chute de son adversaire, Ptitbroth est déclaré vainqueur !
La voix de larbitre donne les noms des deux nouveaux concurrents, en les personnes du Vicomte de Macaye et du Seigneur de la Grange. La blonde les salue lun après lautre, puis donne le départ quand ils sont prêts.
Les deux jouteurs sélancent et abaissent rapidement leur lance ; ils sont adroits, et les deux touchent en même temps. Pourtant le Seigneur de la Grange y met plus de force car il brise sa lance, et expulse son adversaire de ses étriers, tout en restant lui-même en selle. Au sol le Vicomte se relève, tout va bien, il nest pas blessé.
Keltica annonce alors la victoire.
Par chute de son adversaire, Ptitbroth est déclaré vainqueur !
En bout de lice, sur son cheval, le Guillaume attendait patiemment le signal, la lance dans la main gauche, l'écu dans celle de droite. Le soleil mirait sur son armure et déjà la chaleur se faisait sentir. Pour sur, ces joutes allaient être éprouvantes.
Au signal le vicomte lança sa monture pour aller à l'encontre de son adversaire. Au fil des mètres, ils prenaient tous deux de la vitesse et se rapprochaient de plus en plus. Une fois à bonne distance, le vicomte visa et toucha. Mais cela ne fut point suffisant. Le choc qu'il reçut lui avait fait lâcher instinctivement sa lance et déjà sa main gauche dagripper quelque chose.
L'idée était bonne, mais l'idée venait trop tard, trop tard car il ne pu rien agripper à temps, tant l'impact l'entrainait vers larrière. Si bien qu'au bout de quelques secondes, il finit par gouter la qualité du sable de la lice. Tant bien que mal, il se releva et fit signe qu'il allait bien. Il grogna contre lui même et pris la direction de sa tente. Il fallait bien enlever cette foutue armure et se désaltérer après tout.
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GuillaumeIV de Bruck dict le Fougueux