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Onny.. Soit ! Et pitié ! Ne panse pas !

Fyller
Sahana.. ça te va bien, ça veut dire patience en indien. Et je pense que l'on va en avoir besoin tous les deux ma belle.

Et pourtant Onny était confiant, certes les tentatives qu'il avait eus dans le passé avec d'autres vautours n'avaient pas portés leurs fruits, mais avec Sahana, il se passait quelque chose. Il avait la sensation qu'ils ne faisaient qu'un.

Il ne pouvait prétendre pouvoir vivre sans oiseaux. Il avait été élevé avec eux, avait appris la passion avec eux, la patience, la maîtrise de soi. Et aujourd'hui il était fier de pouvoir mettre à l'épreuve ses études.

Il ne pouvait dire par contre qu'il avait la même dextérité avec les femmes. Gauche qu'il était à leur parler, à croire qu'un animal était plus simple qu'une demoiselle à approcher. Il était dans ses songes. Sahana se mit à pousser un cri strident.

Alors que lui ses pensées traînaient vers une blonde aux mots délicats, qui venaient vous taillader dans un soucis de vilenies et sur 'un ton très particulier, qui finalement, il ne savait pourquoi, le touchait. Il regarda Sahana.

Tu sais quoi ? Je vais t'emmener sur la grande place, et de là je hurlerai à qui veut entendre que j'ai mon coeur à donner. Et j'attendrai comme un con qu'une me réponde le regard enfariné.

Et de prendre un ton mi sérieux mi joueur.

Et franchement si tu ne peux pas m'aider à trouver mon âme soeur.. Mieux vaut te taire Sahana.

Et soudain emmuré dans un rictus étrange à regarder l'oiseau, lâcha un rire amusé d'avoir entre ses mains une bien étrange amie.
Et comme à lui même..

Mon pauvre vieux, j'crois que tu perds la boule.
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Fyller
[Et jours après jours..]


Sahana faisait d'énorme progrès. Onny maintenant n'avait plus besoin de "jesse" lorsqu'il la sortait.
Trônant sur son poing, la buse poussait des petits cris de contentement. Il n'avait qu'à le lever pour qu'elle prenne son envole et tournoyer autour de lui dans l'attente de son appel pour faire demi-tour.

Tandis qu'elle planait à l’affût, Onny sortait Arc et Flèches, et le bandant,les yeux fixés au sol, il attendait patiemment. Dés qu'un animal montrait signe de vie, il décochait une flèche.
Ne ratant que très rarement sa cible, prenant toujours compte du vent, il sentait au millième de seconde près quand et où tirer.

Sahana attendait que l'animal soit touché pour plonger droit dessus, les serres en avant. Une fois qu'elle le tenait prisonnier, tantôt étouffé, tantôt tué, elle revenait droit sur Onny lui offrir le présent si habilement gagné.

Celui çi alors fouillait dans sa besace, en sortait une souris ou un poussin mort en guise de récompense. La buse reprenait place sur le gant, se délectant de la pitance offerte par son Maîstre.
Onny était fier de sa petite protégée, s'étonnant lui même des progrès que l'oiseau avait fait.

Une cloche au loin se mit à sonner.
Après avoir installé Sahana dans son habitacle, qui se résumait à un cabanon en bois. A regret, il se dirigea vers le castel, se rendant tout droit à la salle de travail. C'est qu'en plus des textes à étudier, il se plongeait dans sa pastorale.

Une tonne de bouquins l'attendait. Il commençait déjà à en avoir mal au crâne rien qu'en y pensant. Le moine du Castel le gavait comme une oie de textes et de questions.
Certains il deviendrait dingue. Mais devenir Chevalier incluait aussi le devoir d'être Baptisé et il n'aurait pas songé un seul instant partir sur un champ de bataille sans l'être.
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Fyller
Un clic pour fermer la porte
Sahana sur son épaule Fyller quittait la ville pour un petit moment.
Le sourire aux lèvres il rejoignit ses frères d'armes.
Sa première mission enfin allait commencer.
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Fyller
[Retour de mission]

Heureux qu'il était de revenir chez lui, et de s'affaler dans son plumard.
Il tenait une crève du diable, et ne voulant contaminer le monde il se dit que la meilleur façon était de se retirer dans son refuge, seul.

Après avoir envoyé une missive au Doc, il s'endormit comme une masse la fièvre au corps.
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Fyller
Allongé sur sa paillasse, ses vêtements gisant au sol, il se sent bien faible, la fièvre est là, la pièce danse devant ses yeux.
Son corps à demi nu, vibre des tremblements qui le secouent par assauts.
Le souffle court il s'agite, hurle, se lève d'un coup sec, la douleur lui tord les boyaux, il se laisse retomber sur la paillasse.
Tendant la main, pour attraper la potion du doc.
Elle a un goût infect, il se force à boire, la jette une fois vidée contre le mur.
Il éclate d'un rire nerveux.
Il n'a pas envie de crever, pas comme ça.
Il hurle un nom qui s'évapore dans la nuit glacée.
La douleur lui déchire les entrailles, il défait avec difficulté le noeud qui retient ses braies. Essaie de respirer.
Lâche un râle et mord sa paillasse, tout devient trouble.
Les yeux révulsés il se recroqueville comme un enfant. Trempé par la fièvre il grelotte.
Cauchemars sur cauchemars qui viennent s’emmêler, s’enchevêtrer, se perdre à leur tour sur une vague étrange où tout n'est que faibles lueurs.
Pourtant il aurait souhaité une présence féminine à ses côtés, pour être rassuré, sentir une chaleur humaine.
Une femme sait ce qu'il faut faire, sait les mots qui apaise.
Il se bat comme si il se retrouvait face à son pire ennemi.
Le silence finit par prendre place, le souffle saccadé, il soulève avec difficulté ses poumons histoire de les remplir d'air.
Il gémit. Et tombe dans un sommeil profond assommé par la douleur.


Événements récents :
02/11/1462 06:20 : Vous vous forcez à manger mais rendez une partie de votre repas : vous n'avez du coup pas bénéficié de tous les apports nutritifs de votre pitance.

02/11/1462 06:10 : Vous avez acheté à Modimir 1 Essence curative pour 18,00 écus.

Vous êtes faible

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Fyller
Quelques jours de fièvres et tout était rentré dans l'ordre.
Onny pu se lever, avaler un pain, rassit ma foy mais qui lui fit le plus grand bien.
Il alla même jusqu'à aller dehors jusqu'au puit, et y prendre suffisamment d'eau pour se la déverser sur le corps. Une bonne douche froide, rien de tel pour requinquer un homme.
Il enfila ses fringues à la va vite pour courir en ville.
Il espérait y trouver une jolie brune.. Elo..
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Fyller
Onny n'avait croisé sa brune et il devait rejoindre les moines pour une retraite d'une dizaine de jours.
Il envoya donc vélin à la demoiselle, prit son baluchon et sortit de sa maisonnée Sahana sur l'épaule.
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Fyller
Quelques jours chez les moines.. Fyller était de retour et en pleine forme..
Il jeta son baluchon sur sa couche pour se diriger vers les tavernes..
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