Jenifaelr
[Hors du temps, un soir doctobre, avant le 27.]
La jeune femme s'ennuyait. Jenifael se mit à arpenter le château de Boissières en Vaunage. Vêtu d'une simple robe blanche, une robe vaporeuse, glissant sur sa silhouette élancée, des manches fendues et dévoilant ses avant-bras, taillader anciennement par sa dague effilée et coupante. Sa chevelure blonde vénitienne laisser libre, ondulant doucement, ses yeux claire pétillant. les pieds nue de la jeune femme semblent glisser sur le sol, elle est féline. Elle est monter sur le toit, là où s'organiserais la défense du château si celui-ci était attaqué. Elle se pencha un peu, s'appuyant au garde-fou, observant le vide. Autrefois, beaucoup connaissait sa nature rêveuse, aujourd'hui celle-ci c'était terrée désormais. Autrefois, ses amis, son entourage connaissait sa non-crainte de la mort, du vide, sa fascination pour les étoiles et le sang, ainsi que son rêve d'une vie heureuse avec l'homme qu'elle aimer.
Où était passé cette gamine rêveuse, amoureuse, innocente et pleine de vie?
Pourquoi avait-elle laisser place à cette femme, distante, dégoûté de l'amour et reniant ses rêves ou désespérant ceux qui étaient aujourd'hui se qu'elle était autrefois?
Elle fit un pas en arrière, s'éloignant du vide, c'est son agilité à grimper partout qui avait fallut le surnom de singe à Jenifael, elle ferma les yeux et vit ses deux amies. L'une brune, l'autre blonde, aujourd'hui défunte.
Elle fit le tour, avec précaution, laissant le froid de la pierre rester plus longtemps sous ses pieds. Puis après un dernier coup dil sur les étoiles elle retourna à l'intérieure, sur la troisième tour, carré et haute permettant de surveiller l'entrée, aussi bien que de défendre le petit château au besoin. Elle arpenta ensuite d'abord les appartements, tout le petit monde dormait et elle passa silencieusement devant, ensuite elle descendit, se fût le tour de l'étage en dessous, les chambres des invités, plus petites, à peine plus nombreuses que les privés, elle descendit encore pour se retrouver dans la salle d'entraînement et l'armurerie. Elle y entra pour avoir un sourire qui naquit sur ses lèvres, elle vit toutes les armes accumulé par ses amants. Hache nordique, lames, épées, elle avait aimé un forgeron, alors les armes ... Puis la jeune femme sortie pour se retrouver dans la cours, au milieu, entre les deux bâtiments où se trouvait la plupart des choses essentiel, un autre bâtiment, formant le U du château. Un bâtiment inutile aux yeux de certains, mais Jenifael l'avait fait emménager spécialement pour retrouver Florence. Les termes. Ses termes. Elle alla dans l'autre bâtiment - celui qui était utile - et se rendit aux cuisines, là elle attrapa un quignon traînant et croqua dedans, avant de continuer sa route, coûtons en main. Elle alla dans les salles à côté, tout d'abord l'imposante salle à manger, elle pris l'escalier, pour se retrouver dans ce qui pourrait servir de salle de réception, si celle-ci n'était pas dans un désordre perpétuel. Les objets étaient légèrement poussiéreux, elle n'utilisait pas cette salle et continua dans l'escalier, pour arriver à la bibliothèque, parfumer lourdement de cette odeur propre au papier, à la cire et la poussière. Les bougies étaient éloigné des livres et ne brûlaient pas, c'est la lueur lunaire qui éclairais la pièce. Généralement il fallait apporter sa propre lumière pour l'allumer, Jenifael passa devant les gros volumes, avec inscrit dessus, de nombreux noms finissant par les trois lettres " VdR " ses ancêtres, ou du moins une partie avait tenté de posé sur papier leurs aventures, elle-même le faisait et sa sur aussi. Parfois il lui arriver d'ouvrir ces volumes pour en parcourir les pages, elle avisa le fauteuil placé près d'une table et le poussa près de la fenêtre plutôt. Puis parce que les Vitalis adorait le vin, partout ils en cachaient, non loin d'étagères, plusieurs bouteilles, elle en pris une, l'ouvrit et s'installa sur le grand fauteuil, on aurait pu tenir à deux dedans, et elle se mit en boule, buvant sa bouteille de vin, observant la nuit, observant les appartements en face, elle sendormirait sur se fauteuil, bouteille en main ou au sol.
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La jeune femme s'ennuyait. Jenifael se mit à arpenter le château de Boissières en Vaunage. Vêtu d'une simple robe blanche, une robe vaporeuse, glissant sur sa silhouette élancée, des manches fendues et dévoilant ses avant-bras, taillader anciennement par sa dague effilée et coupante. Sa chevelure blonde vénitienne laisser libre, ondulant doucement, ses yeux claire pétillant. les pieds nue de la jeune femme semblent glisser sur le sol, elle est féline. Elle est monter sur le toit, là où s'organiserais la défense du château si celui-ci était attaqué. Elle se pencha un peu, s'appuyant au garde-fou, observant le vide. Autrefois, beaucoup connaissait sa nature rêveuse, aujourd'hui celle-ci c'était terrée désormais. Autrefois, ses amis, son entourage connaissait sa non-crainte de la mort, du vide, sa fascination pour les étoiles et le sang, ainsi que son rêve d'une vie heureuse avec l'homme qu'elle aimer.
Où était passé cette gamine rêveuse, amoureuse, innocente et pleine de vie?
Pourquoi avait-elle laisser place à cette femme, distante, dégoûté de l'amour et reniant ses rêves ou désespérant ceux qui étaient aujourd'hui se qu'elle était autrefois?
Elle fit un pas en arrière, s'éloignant du vide, c'est son agilité à grimper partout qui avait fallut le surnom de singe à Jenifael, elle ferma les yeux et vit ses deux amies. L'une brune, l'autre blonde, aujourd'hui défunte.
Elle fit le tour, avec précaution, laissant le froid de la pierre rester plus longtemps sous ses pieds. Puis après un dernier coup dil sur les étoiles elle retourna à l'intérieure, sur la troisième tour, carré et haute permettant de surveiller l'entrée, aussi bien que de défendre le petit château au besoin. Elle arpenta ensuite d'abord les appartements, tout le petit monde dormait et elle passa silencieusement devant, ensuite elle descendit, se fût le tour de l'étage en dessous, les chambres des invités, plus petites, à peine plus nombreuses que les privés, elle descendit encore pour se retrouver dans la salle d'entraînement et l'armurerie. Elle y entra pour avoir un sourire qui naquit sur ses lèvres, elle vit toutes les armes accumulé par ses amants. Hache nordique, lames, épées, elle avait aimé un forgeron, alors les armes ... Puis la jeune femme sortie pour se retrouver dans la cours, au milieu, entre les deux bâtiments où se trouvait la plupart des choses essentiel, un autre bâtiment, formant le U du château. Un bâtiment inutile aux yeux de certains, mais Jenifael l'avait fait emménager spécialement pour retrouver Florence. Les termes. Ses termes. Elle alla dans l'autre bâtiment - celui qui était utile - et se rendit aux cuisines, là elle attrapa un quignon traînant et croqua dedans, avant de continuer sa route, coûtons en main. Elle alla dans les salles à côté, tout d'abord l'imposante salle à manger, elle pris l'escalier, pour se retrouver dans ce qui pourrait servir de salle de réception, si celle-ci n'était pas dans un désordre perpétuel. Les objets étaient légèrement poussiéreux, elle n'utilisait pas cette salle et continua dans l'escalier, pour arriver à la bibliothèque, parfumer lourdement de cette odeur propre au papier, à la cire et la poussière. Les bougies étaient éloigné des livres et ne brûlaient pas, c'est la lueur lunaire qui éclairais la pièce. Généralement il fallait apporter sa propre lumière pour l'allumer, Jenifael passa devant les gros volumes, avec inscrit dessus, de nombreux noms finissant par les trois lettres " VdR " ses ancêtres, ou du moins une partie avait tenté de posé sur papier leurs aventures, elle-même le faisait et sa sur aussi. Parfois il lui arriver d'ouvrir ces volumes pour en parcourir les pages, elle avisa le fauteuil placé près d'une table et le poussa près de la fenêtre plutôt. Puis parce que les Vitalis adorait le vin, partout ils en cachaient, non loin d'étagères, plusieurs bouteilles, elle en pris une, l'ouvrit et s'installa sur le grand fauteuil, on aurait pu tenir à deux dedans, et elle se mit en boule, buvant sa bouteille de vin, observant la nuit, observant les appartements en face, elle sendormirait sur se fauteuil, bouteille en main ou au sol.
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