[RP fermé] Histoire d'une famille

Italia, Firenze, Mai 1444


Anitha est alors âgée de 5ans, une petite fille blonde riante avec un caractère déjà très turbulent. Elle tenait par la main sa petite sœur Jenifael Vitalis da Roma, alors agée de 2ans qui riait de bon cœur, leur deux frères Mathew Vitalis da Roma 3 ans et Ezio Vitalis da Roma 15ans leur couraient après

-« Acchiappateci! Acchiappateci! »*

Les parents s’occupaient des affaires, Lisabelle Vitalis da Roma, la matriarche de la famille tenait dans ses bras une petite fille, Emilianne Vitalis da Roma la dernière-née, alors âgée de 1ans ; la famille profitait de ces premiers jour de soleil italien qui rendait, aux yeux de la gamine blonde, tout merveilleux. Pour elle rien ne pouvait lui arriver, l’innocence même d’une enfant. Alors que la blondinette courait en riant Ezio, le grand frère la surprit et l’attrapa, pas contente du tout la petite lui lança une botte de terre en pleine tête

-« Non voglio giocare più ! »*

Elle prit sa petite sœur dans ses bras

-« Vieni si va a addirittura mamma e te lo prometto ti proteggerò sempre »*

Après une terrible grimace qui fit rire le frère, Anitha, couverte de terre et d’herbe, alla rejoindre sa mère et se blottit tout contre sa petite sœur en lui déposant un baiser sur le front. Oui elle était une grande sœur et elle était très fière de cette position. Et en plus deux fois de cela !

Cependant une chose rongeait Anitha une seule chose, Rome… Sa ville natale, la ville qu’elle aimait tant, cette odeur si particulière et les reflets du soleil sur les bâtiments et surtout Alberto, son ami avec qui elle jouait tous les jours à la guerre ou à la bataille, et ce n’était pas la princesse non non surtout pas ! C’était une guerrière maniant l’épée de bois avec dextérité. Elle n’aurait aimée jamais quitter cette ville, qui du haut de ces 5ans, paraissait la plus belle et la meilleure, même si Florence était une ville magnifique, Rome était pour elle le paradis, mais les ennemis étaient devenus trop nombreux pour cette famille à double face, ils leur faillaient donc quitter ce lieu magnifique pour un autre. Toujours blottit entre sa mère et sa petite sœur, Anitha demanda d’une voix tremblante et les larmes aux yeux

-« Quando torneremo a Roma mamma?”*

Elle tenait toujours sa Jeni dans ses bras, quoi de mieux et de plus réconfortant qu’un câlin familial ?

Attrapez nous! Attrapez nous!*
Je ne joue plus!*
Viens on va voir maman, je te promet de toujours te protéger*
Quand rentrons nous à Rome maman?*

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[ Jenifael, deux ans - mai 1444 ]

Hilare l'enfant vit son frère prendre Anitha dans ses bras, tendant les siens elle réclama :

"- E me! E me! "

Mais Anitha en décidant autrement, et elles allèrent rejoindre la brune Lisabelle. L'étreinte maternelle rassura les deux fillette et Anitha parla à leurs mère, la jeune da Roma relâcha un peu sa mère pour serrer fort sa sœur. Et lui murmura un :

"- Ti amo "

Les cheveux d'enfant blond vénitien chatouille sa sœur, les menottes serre fort le corps de la fillette. Rome? Elle s'en foutait, elle n'y était pas née, elle avait toujours vécu sous le soleil de Firenze, jouant depuis toujours sous le soleil d'or, près de l'eau ou dans les termes italiens. Pourquoi Rome lui aurait manquer? N'était-ils pas bien ici? Dans cette bâtisse, qui à ses yeux tenait du château, avec de l'eau à profusion, à manger et surtout leurs parents, tous réunit.


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[ Jenifael - deux ans - Juin 1444]

Un mois après la journée idyllique, les parents avaient négocier la nouvelle imprimerie. Les enfants continuaient de jouer, depuis trois semaines, les parents c'étaient mit en tête de leurs apprendre le français. Une langue que la gamine de deux ans, trouver un peu trop compliqué pour elle, même si elle parvenait à balbutier quelques mots.

Les deux sœurs étaient dans la chambre qu'elle partageait et une domestique s'affairait auprès d'elle, pour les habiller. L'une d'une robe simple de couleur bleu roi et l'autre d'une robe adorable rouge comme le sang. Anitha et Jenifael étaient prêtent, il fallait bien s'habiller aujourd'hui, parce qu'aujourd'hui c'était l’anniversaire de leurs grand frère Ezios et c'était l'heure de la fête.

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[Anitha- cinq ans - Firenze - Juin 1444]

Anitha était devenue surexctée les malles se faisaient rapidement, allait-elle enfin rentrer dans sa Roma natale? Elle le pensait et à cette idée la jeune blonde mais il n y avait pas que ça en effet aujourd'hui c'était l'anniversaire de son grand frère.
Et pour cette occasion, on lui avait apporté sa belle robe bleu, elle avait même demandé qu'on l'a coiffe comme les Dame, tout ça pour impressionner son frère. Puis l'enfant s'approcha de sa petite soeur et la prit dans ses bras

"Toi tu es la plus belle!"

Après un tendre baiser sur le front la grande soeur mis dans les cheveux de Jeni une fleur rouge, un coquelicot

"Maintenant t'es encore plus belle! Allons rejoindre les autres maintenant!"

Sans attendre de réponse la blonde attrapa par la main la plus jeune et partit rapidement en fredonnant une comptine italienne:

Micio Miagolio
Vata Vatille
Che Te Mangiare
O Pane e casa
Nu mina Rata
Nu pugalia a mia
Frusti, frusti, frusti!*

Et oui la bambine était toute heureuse.

*Chat chaton
Chat, chatounet,
Qu'as-tu mangé?
Du pain et du fromage
Tu ne m'en as pas donné
Ne prends pas le mien
Pan, pan, pan!

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[Ezio Vitalis da Roma- seize ans; Firenze- juin 1444]

La journée avait bien commençait et pourtant cette journée était peu ordinaire, car c'était e jour de son anniversaire, enfin il l'attendait avec impatience. vêtue d'un habit noir comme son paternelle lui avait apprit, le brun admira le reflet du miroir.
On pouvait voir un jeune homme, brun au yeux bleus, beau très beau, de toute façon c'était la particularité de cette famille tous les membres étaient beaux, mais cette beauté pouvait être fatal aux âmes fragiles. Mon dieux qu'il était bon d'escroquer les gens ainsi.

Et puis, on pouvait voir une certaine fierté dans les yeux du rital en effet même si il n'était pas le paternel il avait la joie et l'honneur d'éduquer deux gamines, chieuse au possible mais des amours, plus tard la dernière aussi passerait entre les mains d'Ezio.

D'ailleurs en parlant des deux pestes, on pouvait entendre les rires et les chants dans le couloir, d'un coup la porte s'ouvrit et les deux blondinettes s'étaient jeté sur lui, la plus garde excitée depuis l'annonce d'un départ lui colla un bisou sur la joue, la seconde lui fit un baiser d’esquimau.

-"Andiamo a raggiungere i nostri genitori"*

L'homme refusait de parler français, après tout il était italien et fière de l'être, rien ne pouvait être mieux que ce pays si magnifique. même si un départ vers les côtes française pourrait bouleverser sa vie et surtout celle d'Anitha. Mais peu importe aujourd'hui c'était son jour et rien ni personne ne pourrait changer ça