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Ce n'est pas la récompense qui élève l'âme..

Ailina...
      «Se mêler dans la foule, y’a que ça de vrai ! » - Pensée d'Olympe.



    Et oui, la jeune femme était bel et bien présente.
    Bon elle était arrivée un peu en retard certes. Meadow n’ayant pas voulu se lever, ni venir d’ailleurs, elle l’avait laissée chez lui et était partit se préparer tranquillement avant de partir.
    La blondinette n’avait pas pour habitude de laisser son fiancé seul avec leur fille adoptive, mais elle lui faisait confiance.
    Pi elle savait qu’avec un homme de près de 2 mètres, il n’y aurait pas de problème à la maison.
    Olympe s’était alors glissé par ci et là, se frayant un chemin doucement dans la foule, avant de se trouver une place dans un coin, et de regarder tranquillement ce qui pouvait bien se passer pour avoir autant de monde.
    Autant de monde, qu’elle ne put s’empêcher d’inspecter discrètement.
    Ils étaient tous habillé richement, d’autre un peu moins. Mais tout ceci la mettait mal à l’aise. Que faisait-elle là après tout !
    On lui avait appris de ne jamais refuser une invitation, alors elle avait été poli, et elle était venu. Même si elle ne connaissait personne, certes.
    Elle rabaissa ses azurs sur sa robe et en plissa un peu les pans. Mon dieu, ce qu’elle était gênée…



    Malgré tout, elle était arrivé juste à temps pour voir un beau jeune homme recevoir un fief, visiblement, ainsi qu’un… coup de poing.
    Ah… Pourquoi pas, après tout.
    Elle ne connaissait pas tellement les coutumes de la noblesse, après tout, c’était son père le Marquis, pas elle. Elle ne s’occupait pas des affaires de noble.
    Enguerrand appela un autre Sir, et elle balaya les environs du regard pour voir s’il arrivait, et surtout, à quoi ressemblait-il.
    La curiosité ne s’arrêtait pas, même quand on ne connait personne !

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Je suis plutôt longue pour répondre au RP, mais je ne vous oublie pas. N'hésitez pas à me MP pour réclamer !
Alida.
Et pendant ce temps, à l'extérieur...

- Je la sens pas celle-là. Elle attend qu'un truc, c'est que tu t'éloignes pour avoir touuut l'alcool pour elle. La lâche pas, il en va d'notre saoulerie ! J'ai foi en toi.

Marmonnements.
Intense réflexion.


- Non j'ai une meilleure idée ! On y va à deux ! L'union fait la force.

Elle affiche une mine sérieuse et opine de la caboche pour confirmer ses dires. D'ailleurs elle ne laisse pas le temps à sa nouvelle amie de dire oui ou non. L'alcool n'attend pas.

- D'abord on cherche dehors. Et puis si on trouve pas on ira lui demander, mais je suis pas certaine que ça lui plaise trop. Haussement d'épaules. Boaf, il dira rien remarque.

C'est qu'elle se fout pas mal de ce qu'il se passe à l'intérieur la flamande, même si ça lui aurait plu de voir le Mini Mirandole se prendre le poing de leur paternel. Mais pour le moment, elle ne le sait pas. La déception est autre.

- Huum, essayons... Par-là !

Et vas-y que je t'agrippe le bras de plus belle pour t'entraîner à ma suite.

- Sinon moi c'est Ali'. Ali' comme euh.. Limace ?
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Merci à JD Rosalinde pour la ban' !
Magda
[Avant, pendant, après]

Pas en retard, bon pas en avance non plus, mais là au moins.
Enfin est ce que ça avait une importance ? Elle avait longuement hésité. Jamais à l’aise dans ces circonstances.

Trop de grandeur, trop de dorures, trop de cassable, trop de bonnes manières (enfin maintenant à regarder et à écouter, elle en devenait moins sure..) trop de fanfreluches.
Mais bon, toute expérience est bonne à prendre.

Une fois l’invitation tendue au portier avec une assurance on ne peut plus feinte, elle leva le menton, sortit la poitrine et affronta la foule.
….Enfin bref, elle se fondit dans la masse.

Après avoir déambulé toute en discrétion à travers couloirs et salles, écoutant les brouhaha des conversations, souriant poliment, cherchant désespérément une Susan connue à qui se raccrocher, elle découvrit enfin l’hôte de ces lieux. Enfin plutôt le Phénix de ces lieux !


La vache !!

Elle ouvrit grandes ses mirettes, ses sourcils dessinant un magnifique arc en ciel monochrome sur son front. Elle mit quelques secondes à refermer sa bouche grande ouverte.
C’était donc ainsi qu’ils se dégui... s’habillaient ?


La vache !!

Elle recula pour se fondre un peu plus. C’était plus facile avec sa tenue. Moins… Plus…
‘tain aucun mot ne parvenait à désigner CA !
Elle jeta un regard au rejeton Mirandolais. Et en plus la borgnitude ça se transmettait chez les nobles !!!


Elle secoua la tête et regarda partout cherchant un truc fort en gueule et chaud pour le gosier. Oui il fallait au moins ça pour poursuivre.

‘Scusez moi .... oups désolée...

Oui sous le choc, on écrase des pieds, on joue des coudes dans les côtes mais on avance !

Et là, parmi tous ces étrangers, enfin, apparition céleste, azurs à nuls autres pareils : la Lune !
Sa sauveuse, son phare, sa Terre Connue.


Vite elle remit son masque de nonchalance :

Ah mais t’es là toi aussi! Et accompagnée ! Chanceuse!
Petit regard en biais sur Stradivarius apparemment sobre.
Du menton elle désigna l'endroit où irradiait Flex

T’as vu comme il est ..
Petite hésitation
..bien mis le Duc ?
Enfin heureusement qu’il n’entre pas ainsi sur un champ de bataille.


Elle se tourna soudainement vers Sélène et la regarda droit dans les yeux avec effroi :

Il ne rentre pas ainsi hein ?!?!?
Idril_de_sparte
[ A l'extérieur]

Forte de son idée de séparation pour chercher la cave, la rondouillarde n'attend que l'approbation de la colorée, chose quasi acquise c'est sûre...

Alida. a écrit:

- Non j'ai une meilleure idée ! On y va à deux ! L'union fait la force.


Et merdouille, mais elle ne peut pas la lâcher la colorée ?

Alida. a écrit:

- D'abord on cherche dehors. Et puis si on trouve pas on ira lui demander, mais je suis pas certaine que ça lui plaise trop. .../... Boaf, il dira rien remarque.


Nan mais elle va pas bien dans sa tête !!!
Aller déranger l'autre en pleine cérémonie d'anoblissement juste pour savoir où se trouve ses tonneaux... Pis elle c'est pas les tonneaux qu'elle veut mais se barrer discrètement de là...


Alida. a écrit:

- Huum, essayons... Par-là !


Trop abasourdi par la ténacité de sa... sa quoi d'ailleurs ? sangsue personnelle ?... elle se laissa guider "par là", voyant la liberté s'éloigner.

Alida. a écrit:

- Sinon moi c'est Ali'. Ali' comme euh.. Limace ?


Hm... 'chanté Ali la limace.
Moi c'est Idril...


Idril comme quoi ? elle n'y avait jamais réfléchit la grosse en fait.
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Un RP zappé => un MP ( je suis loin de me rappeler de tout)
Vitryol
Vitryol continuait de suivre distraitement. Il regarda Armenos qui évoquait la descendance légitime du duc Mirandole. Souriant lui aussi, il remis son regard sur le duc et répondit.

Décidément, l'adage "Qui se ressemble s'assemble" s'applique même aux familles...

Petit rictus. Attention qui redouble lorsque le duc écrase son poing dans la figure de son fils.

"Nom de D..."

Cependant, alors qu'il regardait le jeune nouveau noble se relever et répondre, la joie commença à envahir Vitryol car si la cérémonie se terminait, le buffet allait arriver. Il faut dire qu'il avait une dalle monumentale. Depuis la veille au soir, il n'avait rien mangé faute de temps pour arriver à l'heure. Et Dieu sait si il n'y avait rien de plus pénible pour Vitryol que de devoir sauter un repas.

Il rompit dont son immobilisme qui le caractérisait afin de se préparer à relancer la circulation du sang dans ses jambes pour se mettre en route vers la graille. Mais il devra encore patienter car, bon sang, Enguerrand Mirandole avait la baveuse féroce. Il continuait à discourir. Soudain, Vitryol entendit quelque chose de connu.


Les familles Mirandole et Louvelle furent deux grandes alliées pendant de nombreuses années. Au fil du temps, nos relations se sont étroitement rapprochées jusqu'à devenir une amitié sincère, et profonde.

Regain d'attention de la part du gros Louvelle qui plisse les yeux, attendant la suite.

Que celui qui répond à l'identité de Vitryol Louvelle s'avance au devant afin que je puisse octroyer à sa famille une bastide décente et ceindre son front du symbole de la noblesse.

C'est alors que Vitryol, sous l'effet de la surprise, resta sans un geste, sans une réaction, ne laissant échapper tout haut qu'un:

Je rêve ou il vient d'annoncer implicitement qu'il voulait me coller une beigne?

Nouveau moment de flottement puis René-Gilbert inspira profondément, faisant une croix temporaire sur son ravitaillement et, s'appuyant" lourdement sur sa canne, il se mit difficilement en mouvement pour rejoindre le duc.

Lui qui était venu pour rendre hommage au duc et honorer l'alliance renaissante entre leurs deux familles en toute discrétion... Oui bon difficile de faire dans la discrétion quand on fait 350 livres mais vous aurez compris le concept. Donc, lui qui était venu pour rester discret, c'était méchamment raté!
Flex
Un buffet de cent soixante kilos s'approcha devant lui. Qui aurait pu imaginer que derrière la plume légère de leur correspondance se dissimulait une armoire trois fois plus imposante que Enguerrand ? Pas lui, en tout cas. C'était que René-Gilbert infligeait le respect rien qu'avec sa carrure. Ce pourquoi Enguerrand l'accueillit d'un humble hochement de tête.
Cependant, après mûres réflexion, le borgne renonça à commencer immédiatement le discours vassalique. En effet, il jugea pas très respectueux de renouveler la tradition familiale avec un inconnu. Afin que les deux hommes puissent s'accoutumer de la présence de l'un l'autre, Enguerrand improvisa un petit speech.


« - Messire Vitryol, le sang Louvelle coule dans vos veines. Vous fûtes le premier vers qui je me suis tourné. Vous avez été l'initiateur d'un soulèvement important au sein de votre mesnie, que Dieu garde vos frères et vos cousins en vie.

Enguerrand jeta un coup d'oeil par dessus l'épaule massive de Vitryol pour apercevoir Avyd. Armenos était présent aussi. Le jeune duc espérait que son geste serait bien vu par cette famille. Il reprit de nouveau avec Vitryol. Le borgne redressa son visage fier pour ouvrir le bal.

René-Gilbert Louvelle, jures-tu sur ton honneur de m'apporter obsequium, auxilium et consilium.

Le discours annonçait quelque chose de concert et de puissant. C'était ça le présent dont avait en tête Enguerrand ; autrement dit, offrir une partie de ses terres à la famille Louvelle pour qu'elle puisse se reconstruire - ou se renforcer.


fidélité dans tes actes et tes paroles ;
aide et service armée par la langue de ton épée ;
conseil, par la verve et la grâce aristotélicienne offerte à tous les oints du Très Haut ? »

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http://flexrr.tumblr.com/
Vitryol
C'est à la vitesse de paralytique que le gros Louvelle se rapprochait du duc. Il cogitait pendant le trajet, il avait le temps remarque. Pourquoi lui alors qu'Avyd avait crapahuté avec lui pendant des jours?

Ceci étant dit, arrivant devant Enguerrand, Vitryol répondit à son hochement de tête par une inclinaison tout aussi brève de son buste.

Ecoutant la suite de son discours, il resta debout devant Flex.


René-Gilbert Louvelle, jures-tu sur ton honneur de m'apporter obsequium, auxilium et consilium.

Votre Grâce, je reste debout car si je pose un genou à terre... Il vous faudra toute l'assemblée pour me relever...

Enguerrand Mirandole, je vous jure, au nom des Louvelle et sur notre Honneur, de vous apporter apporter obsequium, auxilium et consilium.


"Enfin un suzerain qui aurait son respect" pensa Vitryol. "Ca me changera des cludes de Provence. Et attention, voilà la rouste..."
Flex
La remarque de Vitryol, quoi que surprenante, restait néanmoins pleine de sagesse. Mieux valait-il qu'il resterai debout, en effet. Malgré le sérieux de cette cérémonie, Enguerrand du étouffer un rire entre ses dents. La pertinence, décidément, de René-Gilbert s'avèrerait être pleine de ressource. Enguerrand lui accorda là une qualité très utile. Par ailleurs, Vitryol jura sur son honneur. Une réponse qui ne surprit pas le borgne quand on sait combien cette famille tenait à cœur ces principes de vie.

« - Moy, Enguerrand Mirandole, je te jure, René-Gilbert, en respect de l'amitié séculaire entre de nos deux familles :

protection, car tu seras mon vassal et toute atteinte à toi sera rendue au centuple ;
justice, car je trancherai par le grâce d'Aristote en faveur de la vertu, seul moy sera ton suzerain et nul autre.


Vitryol redouterai sans doute le moment qui allait suivre. Mais Vaxilart Mirandole, duc de Saint-Fargeau, avait rassuré son fils Enguerrand dans une lettre que voici un extrait lorsque la noblesse du Périgord-Angoumois se souleva contre lui, lorsqu'il en fut le comte élu :

[...]

    Car c’est bien à cela que réfère le fameux coup de poing de la Mirandole! L’anoblissement n’est pas une vulgaire cérémonie où l’on vous remet un vulgaire fief! L’anoblissement n’est pas une récompense, la Noblesse n’est pas un étrier pour l’orgueil, c’est un éperon pour la Vertu!

    Ce coup de poing rappelle au noble l’avenir qu’il embrasse en acceptant un fief! Celui de la souffrance! Et tant mieux s’il saigne suite à ce coup, car il saignera abondement au cours de sa vie, guerre après guerre, blessures après blessures. Ce coup de poing souligne également l’élévation de la classe sociale de celui qui le reçoit. Car être noble, c’est aussi être un exemple vis-à-vis de son peuple, c’est ne pas se laisser mener aveuglément par quiconque, c’est rester droit et fier vis-à-vis les divers événements de la vie. Et finalement, ce dernier coup de poing laissé sans réponse, c’est le point culminant signifiant qu’à partir de ce moment, l’anobli est désormais de ceux qui cesseront de subir pour avancer eux-mêmes.

    Voilà la signification, et l’importance absolument primordiale de ce geste lors d’une cérémonie d’anoblissement. Qu’on me traite de bête sauvage ou de rustre, je n’en ai cure. Jamais en tant que noble je ne m’effondrai devant la souffrance physique.

    Sois sans crainte devant tes ennemis, car celui qui respecte ses devoirs et se remémore ses origines aura une place à la droite de Dieu.

        Vaxilart Mirandole, mai 1457.


Ainsi que subsistance, qui te sera apportée par mon don de terre, la bastide de Vergt.


La culture de la fraise en énorme quantité ainsi que la gigantesque forêt du Vergt allaient lui appartenir. Dans un second temps, Enguerrand récita la liturgie pour le Louvelle.

Mon grand-père Jérôme a transmis cette noblesse à mon père Vaxilart, qui m'a lui-même transmis celle-ci. C'est une coutume ancestrale et aujourd'hui nous avons l'honneur de la partager ensemble.

Le jeune homme se rapprocha de son interlocuteur. Il jugea la hauteur pour préparer son coup symbolique. Avec une formule pleine d'humilité, le duc du Mussidanais lui adressa ses derniers mots comme roturier.

René-Gilbert Louvelle, dit Vitryol. Que ceci soit le dernier coup que tu recevras sans y avoir le droit de répondre. »

Flex recula son poing, qu'il envoya profondément dans la figure de Vitryol. Faut souffrir pour être noble. "May this be the last blow you let unawnser", voilà ce que le grand-père avait dit au père - en langue anglo-saxon-, qu'avait dit à son fils Flex lors de son anoblissement. Doux et douloureux souvenirs.
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http://flexrr.tumblr.com/
Lahire
Outchhhh !!

Celle là aussi était bien envoyé, il pu pu presque voir l'onde de choc courir sur la peau gonflée du gros bonhomme ! Le Duc n'y allait pas doucement... Lahire se demandait si c'était autorisé de frapper les nains ? Oui parce que nain c'est comme homme à terre en somme... Enfin Lahire se rassura car lui était sur qu'il n'aurait point de rouste et s'en trouva presque content. De toutes façon techniquement il voyait pas comment il pouvait promettre protection a qui que soit...
Cette cérémonie tournait au pugilat, qui serait le prochain ?

Mais le nain cogitait et commençait à comprendre. Ce diable était rusé ! En ces temps troublés, ou le Mussidan s'émancipait, il valait mieux regrouper ses forces et quoi de mieux que donner des hommes à ses terres pour les protéger et les y attacher. Le Duc, en stratège, étoffait son écurie. Reste à savoir dans quel but véritable.

Autre question, l'assemblée etait en majorité féminine, des annonces de mariages viendrait elle ? Ou etait ce simplement le reflet de l'amour du beau sexe par le maitre des lieues.

En parlant de gente féminine, les yeux vairons du nain louchèrent vers une rare beauté : "un nez droit,des joues à peine creusée, une peau parfaitement lisse, semblable à duvelours, dénué de tâches ,rides ou cicatrices, une bouche bien dessiner, qui donne pour seule envie de l'embrasser, des lèvres que l'on voudrais cueillir comme une fleur,tendrement. Des aigue-marines d'un bleu clair,les yeux semblent pétiller de vie,ils vous envoûte et l'on souhaiterais s'y perdre à jamais.La belle à un corps à la hauteur du visage, aux belles courbes, au décolleté profond. Des cheveux longs, arrivant environ au milieu du dos,d'un blond vénitien étonnant."(*)


Oh vision sublime quand surgit une muse de l'abime...
Chuchota le nain

(*) emprunté à l'auteur du personnage décrit
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Jenifaelr
La jeune femme, eu le nez qui se plissa. Enguerrand, les avaient-il invité, pour les battre en public? Si oui et qu'il arriver à elle, il risquait d'être déçu de se retrouver un poing dans la face également, ou alors une furie, le mordant au sang ... C'était étrange, ces anoblissements à coups de poings. Elle ne put s'empêcher de laisser tomber le verdict :

"- S'il vous à inviter pour le voir mettre des coups à tout se qui bouge, autant qu'il vous invite à l'une de nos séances d'entraînement ! C'est plus rapide et au moins les forces sont à peu près égale. "

Bah ouai, les deux avaient une épée au moins. Puis elle ajouta :

"- Par contre, moi je devient pas Marquise dès qu'il me touche ! "

Oui hein ! Elle à presque envie de dire : s'pas juste ! Mais Jenifael est lucide, elle voit bien qu'il y à plus que quelques coups de poings. La blonde vénitienne parcours l'assemblée, puis une question s'impose à son esprit. Les femmes présentes, sont-elles toutes des amantes de l'Enguerrand.
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Boulga
Lahire a écrit:

Nous éclipser Donà Muse ? humm pardonnez moi mais ma foi je crois que je vais rester encore un peu ! Cela devient amusant !


Ah. Oc ben, Boulga n'aurait pas osé bouger toute seule, pas ici avec tout ce monde. Enfin, pour le moment, la jeune fille avait épuisé toutes ses ressources en matière d'audace et elle était même prête à obéir docilement à son ami, alors que depuis des semaines, c'était elle qui imposait le tempo. En douceur, mais imposé tout de même.

Lahire a écrit:

Nous sommes bien placer et ce qu'il se passe sur scène et aussi en salle est fort divertissant ! Ne trouvez vous pas l'assemblée fort hétéroclite ? La mise en scène est convenue mais le publique est surprenant. Je ne suis à mon aise ici, comme vous je crois, mais nous ne sommes à l'évidence pas les seuls.



[b]Ah ! mestre Lahire, c'est rien de dire qu'il y a de tout, ici. Certains ont de vrais têtes d'assassins et de coupe-jarrets, quand je reconnais aussi des jeunes femmes d'honnête et noble sang.
Lahire a écrit:
Et vous ai je dis combien je vous trouvais ravissante dans ces habits d'orient ?


Pour toute réponse, Boulga rougit de contentement. Elle aimait les compliments mais lui étaient d'autant plus précieux qu'ils venaient de personnes chères. Elle croisa brièvement le regard de Lahire à ce moment-là et se troubla quelque peu.

Heureusement, l'entrée en scène du fils Mirandole fit une petite diversion.


Pardine ! Lui aussi il est borgne ? Ca se transmet donc ?

Pour sûr, deux borgnes dans la famille, c'était soit une attitude de charlatan, soit un châtiment divin pour faire payer quelque crime.

VLAN !

Le coup de poing acheva de dissiper le trouble de Boulga, qui se prit à rêver d'un autre annoblissement, celui qui aurait peut-être été le sien si... si... si... et si... Son double baron aurait-il osé l'embrasser plus que nécessaire ?
Secouant la tête pour chasser les douces pensées qui risquaient de l'emmener trop loin et de lui faire manquer la suite, elle reporta son attention sur le Duc qui appelait d'autres de ses fidèles pour anoblissement.
En temps normal, elle eût été impressionnée, comme elle l'était aux cérémonies d'allégeances, bien qu'elle fût toujours fort déçue que la plupart des nobles fassent mine de passer inaperçus et cherchassent les coins sombres pour attendre leur tour. Mais là, l'assemblée n'invitait pas à la solennité. Il y avait cependant davantage à voir, à écouter et à apprendre.


Lahire aux mains d'Argent a écrit:
Oh vision sublime quand surgit une muse de l'abime...


Hein ? Une autre muse ? où ça ?

Jalouse Boulga ? jamais !
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Njut
Ça rentre, ça vient, ça cause et surtout ça capte rien.
Une bise à Heavy, accompagnée d'un sourire qui se veut bienfaiteur en soutien à sa douleur, qu'elle peut imaginer elle, mais que la brune ignore, bien entendu.
Elle voudrait pouvoir lui parler. Elle aimerait pouvoir se confier pour l'aider. Mais elle ne peut pas. Elle sait que ce combat se mène seule, à titre de force.
L'âme en ressort toujours différente, quelque soit le chemin choisi. Rien ne remplacera Hanna, Heavy devrait simplement apprendre à vivre avec cette perte, la faire sienne pour se rendre plus forte.
Mais quand même, à la regarder, voulant cachée sa peine, elle le fait bien d'ailleurs, son cœur, si si elle un en fait, se pince l'espace d'une seconde.
Une main se pose sur son épaule, un échange de regard, un soutien masqué, elle sait que la brune comprendra.

Au fil des buffets, des visages connus, d'autres moins, elle remonte les invités pour se perdre devant le trône. Entre la tenue de Flex et sa parodie.. Elle pourrait presque croire rêver. En une seule seconde, la mâchoire se resserre sur une langue pour masquer un fou rire. Pour sur qu'il avait pas trouvé plus moche.. Incroyable.. Bon ça blesse un peu les azurs mais.. On s'y fera !


Les anoblissements.. première expérience. Un vague gout de passé. D'autrefois. A portée de main, elle attrape une choppe. De l'autre, elle tient toujours la corde qui relie les trois gueux. D'un regard ample, elle se décline d'un pas en avant, à la recherche de visages connus.. avec qui elle pourra évidemment boire comme c'est pas permit, après tout, la soirée est faite pour ça non ?

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Queen
Fallait pas s’en faire, elle n’était pas tarée…

… Pour l’instant y’avais qu’une langue dans sa collection.
Et quelques ongles.

Quand on y pense c’est vrai que c’est carrément glauque.

Alors comme ça il n’était pas mort. Bah beurdel, il aurait mieux valu quelques fois avec l’accoutrement qu’il avait sur le dos. C’est que ça devait être lourd en plus. Pas facile de marcher avec ça.
Par contre, niveau détente des bras, ça y allait en beignes.
La première, la Queen n’avait pas réagi. En plus c’était mini Mad, ça aurait été mal vu. Bon, quoi que ça, elle s’en foutait.

Quand l’énorme bonhomme s’avança vers le Duc, là ce fût le pompon. Un instinct la Peste s’imagina qu’en lui mettant un pain, Enguerrand reste coincée. Genre… Qu’il s’enfonce. Bah non, même pas. Mais cela n’empêcha pas Queen de rire. Pas longtemps ne soit, parce que son instant lui fit mettre la main devant la bouche. Bah ouais, on est dans une cérémonie d’anoblissement de masse ou on ne l’est pas, hein.

Le Mirandole –Le vieux – avait l’air de bien s’entourer. Si l’Amarilys en avait eu un tant soit peu quelque chose à faire, elle aurait pu s’imaginer qu’il couvrait ses arrières en prévision d’autre chose. Mais Queen s’en moquait. Elle cherchait quelqu’un du regard. Faute de trouver le quelqu’un, elle tomba sur Njut qui semblait autant s’ennuyer qu’elle.

Attrapant le bras d’Anitha pour l’entrainer avec elle –Oui parce que Queen avait décidé de ne plus se séparer de la Ritale – et tant pis pour la famille, ils la reverront, la rousse se planta devant Ikéa.
Forcément, elle aurait eu deux trois chaises avec elle, ça l’aurait arrangé. M’enfin tant pis.


-« Adishatz jolie blonde. Le spectacle te convient ? »

Faut avouer, que des baignes comme ça, c’était plutôt sympa à regarder. Mais peut-être moins à écouter les blabla qui vont avec.

Queen était sobre. Elle n’était donc, absolument pas dans son élément. Oui parce que elle, elle n’arrive à lacer son corset qu’après trois verres, hein.


-« Sérieusement, c’est quand qu’ils servent à boire ? »

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Jenifaelr
La jeune femme ne put s'empêcher :

"- Elle est folle elle ! "

Elle chopa l'autre bras de sa consanguine. Usant de toute sa force.

"- Anitha Auditor Vitalis da Roma, tu reste avec moi, sinon t'est plus ma soeur ! "

C'était féroce. Jenifael ne laisserais personne se foutre en travers de sa sœur. La belle blonde vénitienne ne laisserais pas sa tendre sœur avec une folle, comme l'autre.

"- Laissez ma sœur vous ! Si vous voulez avoir une compagne de beuverie aller vous en trouver une autre. Je voit peu ma soeur, alors ça suffit ! "

Ouai hein !
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Vitryol
Vitryol fit le geste coutumier dans ce genre de situation. Il porta sa main à sa mâchoire afin de vérifier qu'elle n'était pas trop de travers.

Il releva les yeux vers Flex et murmurra:


Aucun risque.

Il resta là, se tournant vers son cousin et Armenos puis regarda encore Flex, attendant de voir la tête de son nouveau blason.
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