Jenifaelr
[Mauléon - le matin du dix-sept avril 1462]
La Vitalis se réveilla, elle était à l'auberge, avec ses filles. La chambre possède un lit de bel taille, où elle peut dormir avec ses trois filles et une couche plus sommaire et plus petite, qu'elle à fait placer, par la tavernière, pour Rosalie. Il n'est pas spécialement tôt, les filles sont déjà partie au marché, pour accompagnée Rosalie qui cherche du nouveau tissu, pour une houppelande.
Elle s'étire. C'est la première fois, depuis janvier, qu'elle se réveille totalement seule. Une fois sortie, elle enfile une houppelande, simple, rouge sang. Rosalie lui à cousu quelques petites roses argenté au niveau du col et des manches sur le côté droit. Elle tressa ses cheveux de façon complexe, qu'elle piqua qu'une rose en tissu tout aussi rouge que la robe. Baillement puis elle se rend au lieu de rendez-vous, donner avec Jehanne.
[Mauléon - Uhaitz Handia - le dix-sept avril 1462 plus tard dans la matinée]
Entrant dans l'établissement, elle fit signe à la tavernière, au comptoire de lui servire deux chopes. Puis elle s'installa à une table. Jehanne ne tarderais surement pas, elle se tortilla les cheveux. Elle se savait menteuse, envers cette rousse. Elle se savait coupable et traîtresse, mais comment dire à une personne si innocente, qu'on l'avait trahie, alors qu'on voulait sa confiance? Jenifael à un point faible, celui d'être attendrie par l'innocence. La jeune Darria d'Ambroise en abuser d'ailleurs, lorsque celle-ci avait compris que Jenifael était vulnérable face à celle-ci, mais Jehanne. Jehanne, qui lui avait donner une chance et envers qui elle c'était jurée fidélité et protection. L'Italienne voulait protéger et aider à tout prix cette jeune femme rousse, mais elle ne pouvait s'empêcher d'être elle. Le Béarn lui à apporter des marques, divers. Qu'il s'agisse de cette cicatrice au niveau de son cou, comme si on l'avait égorgé, ou essayer, ces cicatrices, fraîches, sur ses avants-bras, son nez toujours légèrement bossu, son ongle, arraché, qui repoussait paresseusement, une cicatrice qui avait orner quelques semaines sa jambes et également se dessin, sur ses côtes, représentant une rose et une plume de corbeau. Le Béarn avait toujours était un Comté spéciale pour la jeune femme. Les naissances de ses filles, ses premiers amours, sa liberté, ses premiers cours d'épée. Il ne fallait pas s'étonner, si elle annonçer depuis quatre mois, qu'elle voulait repartir !
Nerveuse, elle était venue sans les filles, qu'elle retrouverait plus tard.
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La Vitalis se réveilla, elle était à l'auberge, avec ses filles. La chambre possède un lit de bel taille, où elle peut dormir avec ses trois filles et une couche plus sommaire et plus petite, qu'elle à fait placer, par la tavernière, pour Rosalie. Il n'est pas spécialement tôt, les filles sont déjà partie au marché, pour accompagnée Rosalie qui cherche du nouveau tissu, pour une houppelande.
Elle s'étire. C'est la première fois, depuis janvier, qu'elle se réveille totalement seule. Une fois sortie, elle enfile une houppelande, simple, rouge sang. Rosalie lui à cousu quelques petites roses argenté au niveau du col et des manches sur le côté droit. Elle tressa ses cheveux de façon complexe, qu'elle piqua qu'une rose en tissu tout aussi rouge que la robe. Baillement puis elle se rend au lieu de rendez-vous, donner avec Jehanne.
[Mauléon - Uhaitz Handia - le dix-sept avril 1462 plus tard dans la matinée]
Entrant dans l'établissement, elle fit signe à la tavernière, au comptoire de lui servire deux chopes. Puis elle s'installa à une table. Jehanne ne tarderais surement pas, elle se tortilla les cheveux. Elle se savait menteuse, envers cette rousse. Elle se savait coupable et traîtresse, mais comment dire à une personne si innocente, qu'on l'avait trahie, alors qu'on voulait sa confiance? Jenifael à un point faible, celui d'être attendrie par l'innocence. La jeune Darria d'Ambroise en abuser d'ailleurs, lorsque celle-ci avait compris que Jenifael était vulnérable face à celle-ci, mais Jehanne. Jehanne, qui lui avait donner une chance et envers qui elle c'était jurée fidélité et protection. L'Italienne voulait protéger et aider à tout prix cette jeune femme rousse, mais elle ne pouvait s'empêcher d'être elle. Le Béarn lui à apporter des marques, divers. Qu'il s'agisse de cette cicatrice au niveau de son cou, comme si on l'avait égorgé, ou essayer, ces cicatrices, fraîches, sur ses avants-bras, son nez toujours légèrement bossu, son ongle, arraché, qui repoussait paresseusement, une cicatrice qui avait orner quelques semaines sa jambes et également se dessin, sur ses côtes, représentant une rose et une plume de corbeau. Le Béarn avait toujours était un Comté spéciale pour la jeune femme. Les naissances de ses filles, ses premiers amours, sa liberté, ses premiers cours d'épée. Il ne fallait pas s'étonner, si elle annonçer depuis quatre mois, qu'elle voulait repartir !
Nerveuse, elle était venue sans les filles, qu'elle retrouverait plus tard.
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