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[Très ouvert ! ] Des nouvelles de Cauvisson !

Jenifaelr
Explication : Nous avons décidé de jouer des personnages ayant un lien avec la baronnie de Ternant ou la vicomté de Cauvisson, alors autant les faire vivre, voir les mettre en relation. Ce RP est donc ouvert aux PJ, PS & PNJ de Ternant.


[Boissières en Vaunage, non loin de Cauvisson, début du mois de septembre 1461]

La jeune femme, du haut de ses dix-huit ans, devenue intendante de Cauvisson, prend les choses en mains. Les ventes d'eau pétillante se son un peu calmer avec l'arrivée de l’automne, les gens veulent moins se rafraîchir peut-être. Qu'importe, le vin lui explose ! Le meilleure blanc du Languedoc, de plus maintenant sur la terre Boissiéroise se trouve l'imprimerie de l'Encre rouge, nouvel établissement construit et appartenant à Boissières.
Un sourire aux lèvres, elle prépare un convoi. Dans celui-ci divers choses.
De Vergèze, de l'eau pétillante conservé en bouteille de verre, de l'Anglade, du vin blanc. Il y à aussi d'autres choses, du vin rouge de Provence, de la lavande séché et mise par petits paquets de tissus, parfait pour parfumer agréablement les vêtements dans les malles également, un petit plaisir qu'affectionne Jenifael et qu'elle espère faire découvrir à la Vicomtesse, si celle-ci ne connait pas. Du fromage d'Italie, un peu jeune, pour qu'à son arrivé en Bourgogne celui-ci soit absolument parfait à manger. Quelques cahiers vierge, relié et à la couverture décoré de divers choses, autre présent, venu cette fois de la troisième imprimerie familiale des Vitalis da Roma.
Tout se joyeux bazar est enfin prêt pour être envoyer à Ternant. Jenifael envoie un mercenaire et le fidèle moucheux pour cette mission, leurs donnant au passage une belle bourse pour manger sans qu'ils pioche dans se qui est envoyer et une lettre pour Jehanne.


[Ternant - vers l'aube du 7 octobre 1461]

Un mois ! C'est à peu de choses près le temps qu'ils avaient mit à rejoindre la baronnie de la rousse. La rousse, car le pouilleux ne retenait jamais le prénom de celle-ci. Il savait juste que c'était la patronne de sa patronne, compliqué tout ça. Bismuth, la quarantaine, tassé, usé, loin d'être populaire auprès des femmes, il détester l'eau également et ne prenait jamais de bain, 'fin hormis lors de son embauche chez la donzelle blonde, les deux folles l'avaient poussé à l'eau ... Depuis il avait réussit à échapper à tout les bains imposé, en partant étrangement en mission vite-vite à chaque fois.
Il était accompagné pour cette fois, d'un gaillard un peu plus jeune que lui, un colosse, pour changer tien ! Oui ça aussi ça le tuer, la donzelle qui l'employer avait toujours un faible pour embaucher se genre de gaillard, mais bon, il avait bien servit durant le trajet à repousser les misérables brigands qui avaient essaye de s'approcher du convoi.
Ils entrèrent dans l'enceinte du château, après être descendu des chevaux qui tirer la charrette protéger.
Bismuth serra dans sa main, fort la lettre scellé de la da Roma :





De moi, Jenifael Lisbeth Vitalis da Roma, Intendante de Cauvisson & Dame de Boissières en Vaunage
A vous, Jehanne Elissa de Volpillhat, Vicomtesse de Cauvisson & Baronne de Ternant

Salut,

J'espère que vous allez bien Vicomtesse, je me suis permise de vous envoyez Bismuth, voilà des marchandises de votre Vicomté et de ma famille, j'espère que vous les apprécierez. Bismuth est déjà payé, ainsi que le mercenaire l'accompagnant, je vous informe, au cas ou ils essayeraient d'affirmer le contraire, je connaît Bismuth, il est malin !
Dans le convoi vous trouverez normalement de l'eau de Vergèze, un peu de vin blanc de l'Anglade, du vin rouge de Provence, de la lavande séché et mise en sachets, ainsi que du fromage Italien et des cahiers vierge.
Peut-être n'en aurez-vous pas besoin? Je ne sait pas, mais je sait que j'affectionne mettre des sachets de lavande dans mes malles pour que mes vêtements sentent agréablement bon. J'apprécie également coucher sur papier certaines choses pour mes filles, si je vient à disparaître trop tôt.

Je ne vous est pas envoyer de lettre de change, vous m'avez dit il me semble que vous n'en aviez plus réellement besoin, néanmoins si vous voulez de l'argent de vos terres Languedociennes, faite-le moi savoir.

Bien à vous, que le Très-Haut vous garde.

Jenifael Lisbeth Vitalis da Roma



Au pouilleux d'hurler à qui veux l'entendre dans l'enceinte du château :

"- J'vient d'la part d'l'intendante d'Cauvisson "

Gueulard en plus !
_________________
Jehanne_elissa
Lorsqu'un nouveau courrier arriva de sa vassale...

Citation:
De moi, Jenifael Lisbeth VdR
A vous, Jehanne Elissa, Vicomtesse de Cauvisson et baronne de Ternant,

Je vous informe simplement de la vente de produits Cauvissonnais ( eau et vin ) pour 528 écus ! C'est notre Comtesse Languedocienne la cliente.
J'ajoute cette somme donc aux revenues de la Vicomté et souhaiter vous en informée.

Bien à vous,

Jenifael Lisbeth VdR


... Jehanne se souvint qu'elle en avait un autre auquel répondre. Le major dome avait accueilli, calmé, nourri et renvoyé le gueulard... Un simple coursier loué avait porté le billet. La Vicomtesse le retint et lui promit double solde s'il retournait en Languedoc.

Maintenant, il fallait répondre... Et il y avait de quoi dire !


Citation:
De moi, Jehanne Elissa de Volpilhat, Vicomtesse de Cauvisson, Baronne de Ternant-Malpertuis,

A Jenifael Vitalis da Roma, Dame de Boissières, intendante et vassale de Cauvisson,

Salutations.

Bien chère Jenifael, comme je suis bénie de vous avoir comme vassale ! J'aimerais avoir à Ternant quelqu'un d'aussi efficace que vous. Ma cousine Narcissa a encore beaucoup à découvrir et apprendre, et moi-même... C'est le défaut de n'avoir appris que la danse, les prières et la politesse, dans l'enfance : on ne sait rien faire soi-même ! Oh, vos talents me sont précieux.

J'ai beaucoup de sujets à parler avec vous. Faisons dans l'ordre :

Merci pour les produits que vous me faites porter de Cauvisson. A force d'être en Bourgogne, j'avais oublié le parfum de la lavande... C'est si doux, c'est un peu de pays d'oc que vous avez fait porter ici, et j'en suis très émue. Le fromage était à se damner, et le vin de l'Anglade, tel que je m'en souvenais, un nectar ! Je n'ai pas encore ouvert les amphores d'eau de Vergèze, j'ai bien voulu la laisser reposer, de peur qu'elle explose à l'ouverture. Je n'ai pas ouvert non plus le vin de Provence, et ne le servirai que si j'ai des invités de peu d'importance. S'il vous plaît, bon ou non, n'en achetez plus, la Provence n'est pas le pays le plus ami du Languedoc, et je voudrais plutôt faire vivre les producteurs de Bourgogne, où on a bien assez de vins rouges de qualité. N'y voyez pas un blâme, vous ne pouviez pas savoir !

Je voudrais que par un prochain convoi de votre si aimable et bruyant Bismuth, vous me fassiez porter des amandes de Marvejols, si les amandiers de là bas donnent encore. Je compte en faire commerce en Bourgogne, où ils ont la fantaisie de les importer des comptoirs vénitiens, comme si la France n'en produisait pas ! Il faudra s'assurer que ces terres à amandiers sont bien entretenues, et changer s'il le faut les métayers. Avec l'automne, il sera peut-être temps de tailler les amandiers. Je veux qu'à la saison prochaine, elles soient encore plus grosses et goûteuses que ce qu'elles sont déjà. Je ne pense pas que le commerce sera immense, la Vicomté ne peut produire plus de dix ou douze quintaux, selon les souvenirs que j'en ai. Au besoin, j'établirai à Ternant un comptoir et je ferai venir des produits d'autres fiefs que les miens, je sais que dans les Fenouillèdes, mon amie Aimelina en produit.

Je compte utiliser vos cahiers à dresser une liste des fournisseurs français pour les deux fiefs de Cauvisson et Ternant-Malpertuis, et un autre pour une liste des productions que nous avons en excès, et dont nous pouvons donc faire commerce. Je souhaite éviter tant que c'est possible les produits des comptoirs italiens, car les taxes sont très élevées, et les fiefs se porteraient mieux à commercer avec leurs voisins. Je vous partagerai ces listes, car elles serviront tant à Cauvisson qu'à Ternant !

Voilà ce que j'ai recensé pour l'heure, comme productions excédentaires pour Cauvisson (je n'inclus pas les fruits, le bétail ou les céréales qui servent pour la seule alimentation du peuple et du château, ou sont revendus aux bonnes villes pour la consommation des Languedociens) :
-eau de Vergèze, production inépuisable
-vins de l'Anglade, production moyenne - évaluer le volume produit environ les bonnes années et les mauvaises années
-huile d'olive et olive, production moyenne
-amandes, production faible, à développer
-lavande et plantes du sud, production dans le cadre privé... à développer ? Qu'en pensez-vous ?
-imprimerie

Concernant Ternant-Malpertuis, je n'ai pu encore visiter toutes les terres, et même, je n'en connais pas encore parfaitement les contours, car la hérauderie traîne à me communiquer le bornage du fief. Une seule production est certaine, car elle dépend directement de mon autorité, les fours à chaux. Tous travaux d'aménagement, tout bâti a besoin de chaux, et je suis sur le point de négocier un beau contrat avec l'apothicairerie de Cheny, en construction. Je dresserai l'inventaire des autres ressources dès que la Hérauderie m'en donnera la possibilité.

Enfin, je voudrais que le 19 octobre, vous alliez au château de Montpellier me représenter pour l'allégeance de Cauvisson. Je la joins à ce courrier, je voudrais que vous la remettiez à Sa Grandeur Meval de Vampéria pour moi. Transmettez-lui également toute ma gratitude pour l'intérêt qu'elle porte aux productions cauvissonnaises.

Que le Très Haut vous garde,

Jehanne Elissa de Volpilhat
Fait à Ternant, le 15 octobre 1461

PS : J'espère que vos filles vont bien. Il faudrait peut-être songer à leur trouver un père, c'est-à-dire... à vous trouver un bon époux. Qu'en dites-vous ?


Citation:
De moi, Jehanne Elissa de Volpilhat, Vicomtesse de Cauvisson,

A vous, Melval, glorieuse Comtesse du Languedoc,

Adissiatz !

C'est un plaisir de vous prêter encore allégeance. Je ne peux cette fois ployer le genou en personne, mais cela n'amoindrit en rien le plaisir que j'ai à formuler ces mots :

Je vous reconnais par la présente comme ma suzeraine et vous promets fidélité, conseil et aide. Ces devoirs, en mon absence, seront remplis par ma vassale et intendante, la Dame de Boissières, en laquelle j'ai toute confiance. Vous devez vous-même savoir quelle ardeur elle met à faire fructifier la Vaunage.

Que saint Louis bénisse le Languedoc,

Jehanne Elissa de Volpilhat
Fait à Ternant, le 15 octobre 1461

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En général peu présente les week-ends — ILS SE MARIENT !
Jenifaelr
La Languedocienne, réceptionna le tout, elle eu le nez qui se plissa, mais ne dit rien. Puis elle rédigea une réponse.




De moi, Jenifael Lisbeth VdR
A vous, Jehanne Elissa, Vicomtesse de Cauvisson et baronne de Ternant,

Je porterais vos allégeances à sa blondeur notre Comtesse Languedocienne.
Sachez que le vin de Provence n'est pas un achat, mais une production familiale. Peut-être ne vous en souvenez-vous pas, mais il me semble en avoir fait le jour de notre rencontre, mention.
Pour ce qui est des amandes, je prend en compte votre demande et vous promet de vous en obtenir. De Marvejols.
Où se trouve cette endroit? L'aurait-je manquer dans les lieux de votre Vicomté?

Pour les plantes dont vous songez à développer la culture, je m'occupe de voir si les terres peuvent supporter celle-ci autant par l'environnement que le reste, c'est qu'il faudrait éviter de se retrouver en rupture de céréales ou bétails au profil de cela.

Concernant votre petit mot de fin, je vais devoir m'y étendre dessus, sur plus de deux lignes.

Mes deux filles vont bien, l'une à décidée d'être une princesse et la seconde un chevalier, j'essaye de leurs expliquer qu'avant cela elles doivent dormir et apprendre se que j'essaye de leurs apprendre, elles s'en fichent j'ai l'impression. Je doit donc redoubler sans cesse d'idées pour parvenir à mes fins, jamais avant d'avoir mes filles, je ne savait que cela était si compliqué et ingénieux un enfant, je félicite mon frère qui à du m'élever à céder à mes caprices autrefois.
J'ai songer de nombreuses fois à leur trouver un père, ou un semblant, une présence masculine qui pourrait faire office. Toutes mes tentatives se sont soldée par un échec, mais si vous sentez que vous possédez du temps en trop, vous pouvez l'employer à essayer. Je doit être un cas sans espoir, l'une de mes cousines m'a dit un jour : " Ils se soumettent toujours aux femmes dangereuses... E... Credo che tu sei una di esse "
L'Italien signifie : Et... Je crois que tu es l'une d'elles.
Pensez-vous que je soit trop dangereuse pour un homme? Qu'il se sent en danger car j'ai toujours réussit à me débrouiller, car j'ai presque toujours vécu seule et assumer? Qu'ils se sentent en danger car je peux manier une arme?

Bonne chance à vous, prenez soin de vous, faite-moi savoir si vous avez des problèmes.

Jenifael Lisbeth Vitalis da Roma



Elle c'était étendu trop sur un sujet. Qu'importe. Elle avait besoin d'avouer certaines choses.
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Jehanne_elissa
Et meeeeeerde. Comment sauter à pieds joints dedans :
-Oublier un truc que vous dit votre vassale
-Lui faire un reproche portant précisément sur ce truc dont elle vous a avertie.

Jehanne se sentit très mal, à la lecture du courrier. La suite, à côté, sur les femmes dangereuses, était une douceur à lire (et pourtant, Dieu sait ce qu'elle pensait des femmes insoumises et sans vertu !).
Elle répondit dès qu'elle le put :


Citation:
De moi, Jehanne Elissa de Volpilhat, Vicomtesse de Cauvisson, Baronne de Ternant-Malpertuis,

A Jenifael Vitalis da Roma, Dame de Boissières, intendante et vassale de Cauvisson,

Salutations.

Veuillez accepter mes excuses pour le reproche que je vous ai fait, à propos du vin. S'il s'agit de production familiale, je l'accepte avec gratitude. Je compte sur vous pour ne pas ruiner la vicomté en achetant à prix indû les productions de votre famille, et l'enrichir à mon détriment !

Lisez-le comme une plaisanterie : je songe que sans le son de ma voix, vous pourriez y voir un nouveau reproche. Ce n'est pas le cas : je vois trop bien, dans les chiffres, le zèle que vous mettez à faire prospérer la Vaunage, jamais je ne pourrais croire que vous mésusez de ma confiance.

Tout produit de votre famille est donc le bienvenu ; mais, s'il vous plaît, pas d'autre produit provençal que ceux-là, c'est entendu ? Je tiens à honorer la mémoire de mes ancêtres, qui combattirent, par les armes ou la diplomatie, contre les Provençaux.

Maruéjols, vous l'aurez sans doute trouvé le temps que j'écrive cette lettre, par quelque question à un Vaunageol, car il s'agit d'un hameau, que l'on ne voit pas de Cauvisson, car la combe des Abeils le cache. Pas plus ne le voyez-vous de Boissières. C'est derrière Sinsans, coincé dans les hauts murs calcaires de la Vaunage, à l'ouest de Saint-Côme. Quand en montant sur les hauteurs de Saint-Côme vous regardez vers le couchant, vous voyez au loin le pic Saint-Loup, et devant, les contours de la creuse Vaunage, la plaine de vignes, des arbres, Maruéjols est là. L'ensoleillement y est plutôt bon, et le vent, plutôt faible. Au-dessus des vignes, les amandiers y embaument l'air. Je suis sûre que si vous ne l'aviez trouvé, maintenant, c'est chose faite.

Je ne crains pas la réduction des cheptels de la Vaunage, car la plupart paissent dans la garrigue, où l'on ne peut de toute façon rien faire pousser d'autre. C'est là aussi que mes métayers mènent les porcs à la glandée ; c'est plutôt aux vignes qu'il faut prendre garde, elles couvrent une belle partie du terrain du côté de Saint-Dionisy, l'Anglade et Saint-Côme... Il faut préserver à tout prix le vin vaunageol, il est apprécié et ses revenus sont sûrs... Ou allez-vous me détromper à ce sujet ?

Si vos filles vous donnent du mal, je pourrais en prendre une à ma charge, comme pupille. La changer d'environnement peut l'aider à grandir, peut-être ? C'est vous la mère, à vous de voir.

Quant à vous marier... Je comprends une chose, c'est qu'il sera difficile de vous marier par amour, car l'amour est sujet aux humeurs, et vous semblez de nature à en donner aux hommes.
Alors pourquoi ne pas partir sur un mariage de convenance ? Un engagement qui vous garderait de la concupiscence des autres hommes, qui rendrait convenable votre situation familiale, et puis qui pourrait vous apporter d'autres titres et revenus. Le fait que vous ayez des enfants peut être un problème pour certains, surtout ayant été conçus hors mariage ; pour d'autres, ce sera la garantie de votre fertilité, ce en quoi je me fais fort de vous trouver un promis. Je ne vous cache pas que cela sert aussi mes relations, de promettre ma vassale à quelqu'un d'important. Il est nécessaire d'avoir des prétextes de ce genre pour rester en contact avec des personnes importantes, par leurs connaissances, par leur pouvoir... Nul ne vous demandera d'aimer votre promis, mais j'essayerai d'en trouver un que vous ne détesterez pas, car dussiez-vous ne vous voir qu'un mois par an, il ne faudrait pas que vous lui tailladiez sa virilité en moins de temps qu'il n'en faut pour dire "lapin".

Que le Très Haut vous garde,

Jehanne Elissa de Volpilhat
Fait à Ternant-Malpertuis, le 26 octobre 1461

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En général peu présente les week-ends — ILS SE MARIENT !
Jenifaelr
Jenifael, sourit doucement.
Elle répondit à la lettre :

Citation:
De moi, Jenifael
A vous, ma Suzeraine, Vicomtesse de Cauvisson et Baronne de Ternant,

N'essayer pas de vous justifiez. Le vin est un cadeau, comme le reste et la vicomté n'a souffert de rien, puisqu'on ne fait pas payer un présent. Du moins à mon avis, sinon ma sœur me doit beaucoup de choses. De plus, je ne compte pas prendre mal ce que vous me dite et vous enverrez désormais des produits Languedociens. Je doit me familiarisé encore avec ceux-ci. De plus, la vin que vous produisez est très bon, je m'en suis acheter un peu et il m'a plu.

Vicomtesse, je sait parfaitement que jamais je n'aimerais un homme comme j'ai aimer mon tendre brun et à regret, je l'aime toujours.
Je vous laisse trouver le meilleur accord pour vous, promis je ne ferait aucun mal, même si je n'aime pas la personne. En revanche je promet moins, si l'homme vient à insulter ma famille, mon honneur ou vous ...

J'ai cru comprendre que vous aimiez les lapins, au vu de votre sceau. Doit-je en tenir compte pour la Vicomté?

PS : Sachez que si je doit faire mal à un homme, la psychologie est plus douloureuse souvent, elle peut nous rendre fous. Je dirait que l'amour est la pire des tortures. Donc un homme que je n'aimerais pas ne souffrirez pas.

Bien à vous, votre allégeance à était porté et celle-ci est valide.

Jenifael L.VdR


Puis elle ajouta un mot :





Citation:
J'ai oublier Vicomtesse !
Ayant recueillie une fillette celle-ci c'est mit en tête de dire si oui ou non je peux épouser un homme. Mais une poupée devrait suffire à l'amadouée ...

Oui, je suis désespérante, excusez-moi

Jenifael

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Jehanne_elissa
Jehanne ne répondit pas à ce courrier, parce qu'il arriva au moment juste où elle partait pour le Périgord. Elle savait qu'elle y trouverait sa vassale, et que, là, elles pourraient parler de tout ça...
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En général peu présente les week-ends — ILS SE MARIENT !
Jenifaelr
Du Béarn, elle écrivit à sa Vicomtesse, n'ayant pas de nouvelle, se doutant que les allégeances viendraient ...



De moi, Jenifael Lisbeth Vitalis da Roma
A vous, Jehanne Elissa, ma suzeraine,

Cette nouvelle année s'annonce bien, j'ai eu pour idée, en m'inspirant de Boissières, Vergèze et l'Anglade qui possède une ressource qui leurs est propre, de faire de même avec les autres terrains que vous possédez.

Voilà un inventaire de vos terres :

Codognan
Boissières : possède l'imprimerie de l'Encre rouge, qui bien que récente, commence à se développer et assure désormais des revenues un peu plus correcte.
Langlade : possède son vin ! Délicieux, que j'aime parfois acheter moi-même pour déguster, étant une amatrice de bon vins. La comtesse Mevale en achète également.
Anages
Saint-Côme : le vin également.
Saint Dionizy : une fois encore, le vin
Vergèze : possède son eau. J'en achète également pour moi-même, pour faire goûter aux autres, aussi bien qu'en profiter, l'eau pétillante est trop méconnue.

les amandes également, bientôt viendrons. Pour les oliviers et la lavande, dont vous aviez parler, il faudrait donc choisir entre Anages et Codognan. Avez-vous une préférence? Les deux me semblent viable pour l'olive et la lavande.

Vicomtesse, comment allez-vous?
Je n'est aucune nouvelles, d'ailleurs, où en êtes-vous de cette histoire de mariage?

Jenifael Lisbeth VdR

_________________
Jehanne_elissa
La maladie n'aide pas à avoir les idées claires, mais heureusement, la convalescence était terminée. Et mieux vaut répondre tard que jamais :

Citation:
Chère bonne Jenifael, chère vassale,

Mille pardons. Miguaël vous aura peut-être écrit pour vous dire ma maladie : me voilà guérie. Je suis heureuse d'apprendre que la Vaunage se porte bien. J'ai reçu récemment un courrier d'Enguerrand de la Mirandole qui m'assure consommer de l'eau de Vergèze à Pau où il réside. Je suis heureuse que vos talents commerciaux ne se démentent pas avec le temps !

Pour Saint-Dionisy, n'oubliez pas les oliviers que mon parrain y avait fait planter et restaurer. Il manque encore avant d'obtenir un plein rendement, mais les plus vieux donnent déjà depuis des années, c'est l'emblème de cette terre, et elles sont excellentes.

Quant à Codognan, Anages et Serorgues, mettons de la lavande et des olives sur les deux, et aussi des arbres fruitiers près du Rhôny, à côté des cultures de céréales, au pied de Cauvisson. C'est surtout que je ne voudrais pas que ma population, à trop cultiver d'une seule ressource, se trouve démunie si une année, la lavande donne moins, ou les oliviers sont malades... Mais disons, davantage de lavande à Codognan, accompagnés d'abricotiers, peut-être, pour faire un peu d'ombre, pas pour la production... et des oliviers à Anages, où le soleil tape fort et longtemps en journée : l'ombre y est plus que nécessaire. C'est à distance raisonnable de Saint-Dionisy, ce qui facilitera la pression de l'huile, un seul moulin suffit. Je crois me souvenir qu'il y en a un à Dionisy, mais en vérité, je confonds peut-être le versant de la Roque de Viou sur lequel il se trouve...

Et nous avons donc les amandiers de Maruéjols, où vous venez d'en planter encore, ai-je bien compris ?

Vous n'oublierez pas de rendre compte des productions des secteurs de Congéniès et Caveirac... Je sais qu'il y a là surtout des vignobles, garrigues et troupeaux, mais à ne jamais vous en entendre parler, j'espère que vous ne les avez pas oubliés !

Enfin, pour répondre à votre dernière question... Mon mariage n'avance pas. Miguaël n'est toujours pas noble, malgré la promesse qui lui a été faite par sa marraine. Il me faut attendre encore, et prier. Je finis par croire que je mourrai vieille fille !
Et vous, des promis se sont-ils présentés ? Je me rappelle avoir lancé un appel, avant ma longue maladie...

Prenez soin de vous,

Jehanne Elissa
À Ternant, le 18 mars 1462


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Pour rappel :
La vicomté de Cauvisson consiste à peu près en la Vaunage géologique + les villages de Mus, Vergèze (également seigneurie), Codognan (également seigneurie) et le village fantôme/maudit de Bernis. RP parlant, les vicomtes de Cauvisson ont des prétentions sur le village d'Uchaud, mais aucun texte ne le leur reconnaît.
http://www.gerard-verhoest.com/situation_vaunage.htm
http://www.gerard-verhoest.com/images/carte-vaunage-IGN-2.jpg
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En général peu présente les week-ends — ILS SE MARIENT !
Jenifaelr
La jeune femme, à Pau, reçu la lettre. Elle avait quitter l'hôtel du Mirandole, pour s'installer dans la maison, nouvellement acheter à des bourgeois en faillite, en rez-de-chaussé, il s'agissait d'une boutique, ainsi que d'une porte et qu'un couloir, donnant accès à la cuisine et l'étage. La bâtisse était tout en hauteur, pas réellement très bien conçut, mais cela suffisait !




De moi, Jenifael Lisbeth VdR-C
A vous, Jehanne Elissa, Ma suzeraine,

Vous m'avez fait horriblement peur ma suzeraine ! Mes ongles se sont vu diminuée, car je n'avait plus de vos nouvelles.
Concernant l'eau de Vergèze, effectivement, j'en est pris quelques caisses avec moi, à mes frais, car je savait en allant à Pau, trouver le Mirandole, qui n'avait jamais goûté. Il m'en à ensuite acheter quelques caisses, avant la guerre, qui secoue désormais la ville.
En parlant de talents commerciaux, j'ai décidé d'apprendre cette art de mon mieux, à deux jeunes femmes. Je pense donc apprendre à deux jeunes personnes motivés, car je trouverais dommage, de voir les terres du Royaume, ruinée, car l'intendant s'y prend mal.

Pour les oliviers, effectivement, dans ma liste, j'ai oublier d'indiquer l'olive, que je rajoute immédiatement.

Je tiens compte de vos désirs, suzeraine, tout en faisant attention à ce que la population puisse se nourrir d'années en années. Pour les amandiers, nous en avons replanter lors des beaux jours de janvier, ils mettrons deux ans environs à produire correctement.
Quand aux terres de Congéniès et Caveirac, effectivement je n'en parle jamais, je ferait attention à celles-ci un peu plus, si vous le souhaitez.

Vous ne mourrai pas vieille fille ma suzeraine ! Vous pourriez épouser le roi, car vous méritez bien tout le respect que l'on peut offrir. Bien sûr, n'allez pas prendre mes mots au pied de la lettre, si c'est pour être épouse maudite, je ne vous le souhaite pas.

Pour ce qui est du mariage ... J'ai rencontré un de mes prétendants, à Mont de Marsan et je doit avouer que je ne l'est pas trop apprécier. Sinon, je n'est aucune nouvelles et désespère moi-même.

Me voilà prise dans une guerre, le Béarn se déchire, la terre qui à vu naître mes enfants, où des amis se trouvent encore .... En raison du fait qu'Enguerrand de la Mirandole m'apprend l'épée, me voilà prétendue alliée à celui-ci et ces amis, qui autrefois étaient tout, me tourne désormais le dos. Je suis triste, mais mes enfants me donnent bien du fils à retordre, cela m'empêche de l'être de trop.

Que le Très-Haut vous garde, en bonne santé, cette fois-ci !

Jenifael Lisbeth VdR-R
A Pau.


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Jehanne_elissa
Pau. Pau. Bon. La montagne, et les routes en hiver qui freinent et salissent. Jehanne Elissa n'avait pas tout compris. Mais l'essentiel était là, et quand elle le relut quelques jours plus tard, elle savait quoi écrire.


Citation:
Chère Jenifael, chère vassale,

Le temps des tourments est fini, ne rongez plus vos ongles ! Ma santé est retrouvée, Miguaël devrait recevoir un fief français prochainement, et tout rentrera dans l'ordre. Nous nous marierons, et peut-être même irons-nous en Italie, visiter les vicomtés pontificales dont il jouit ! Ce n'est pas reconnu par la France, mais ça reste des terres, des revenus, et une occasion rêvée de voyager. Peut-être voudrai-je vous avoir à mon côté à ce moment... Mon seul scrupule serait alors de laisser à la fois mes terres languedociennes et bourguignonnes sans intendants. Il faudra y remédier, pour sûr. Peut-être ces deux jeunes femmes que vous formez ? Qui sont-elles, parlez-m'en ? Feraient-elles de bonnes intendantes, pour Ternant ou pour vous épauler à Cauvisson ?

Dites-moi que la guerre qui secoue le Béarn ne vous a pas touchée, et que vous pourrez rentrer sans dommages en Languedoc. À vous entendre, si vos amis vous tournent le dos, il ne vous reste plus de raison de prolonger votre séjour béarnais... Ou le Languedoc vous ennuie-t-il ? Je voudrais pouvoir faire quelque chose pour vous. Je suis après vous trouver un époux, mais cela suffira-t-il à votre bonheur ? Ce serait un noble bourguignon, un homme sage et âgé, qui ne requiert pas d'amour, ce qui serait trop demander, mais du respect et une belle dot. J'ajouterais qu'avec vos talents d'intendante, vous ne pouvez qu'être un atout pour la gestion de ses terres, pour l'embellissement desquelles il s'endette... il ne faudrait pas que ce soit en vain ! Et vos enfants, comment vont-ils ? Racontez-moi leurs joies et leurs sottises !

Peu m'importe que vous me parliez de Congénies ou Caveirac, en vérité : tant que dans vos comptes et dans vos inspections, vous ne les oubliez pas, cela me va aussi bien.

je ne devrais pas le dire, mais je crois que vous me manquez. Avec la maladie qui m'a touchée, par crainte de contagion, le château de Ternant-Malpertuis s'est vidé de ses habitants, et tout est bien calme. Seuls les oiseaux sont fidèles au rendez-vous.

Que le Très Haut vous garde,

Jehanne Elissa
À Ternant, le premier d'avril de l'an 1462

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En général peu présente les week-ends — ILS SE MARIENT !
Jenifaelr
La belle Dame de Boissières reçu la lettre, non pas à Pau, mais à Mauléon. Les filles étaient resté à Pau, sous la garde de la chef de famille Vitalis, Anitha. Elle soupira, relut la lettre. La blonde était dans la chambre du Sombre, profitant de son absence, pour écrire à Jehanne. Un soupire la trouva, elle n'avait presque rien pris, dans cette fuite à Mauléon, mais qu'importe, il fallait qu'elle retourne à Pau, de toute façon, pour récupéré ses enfants.

Citation:
De moi, Jenifael Lisbeth VdR-C
A vous, Jehanne Elissa, ma chère vassale,

Voilà mes yeux pleins de larmes, tendre suzeraine. Peut-être je ne vous l'est jamais écrit, mais vous êtes une femme honnête et gentille, avec moi du moins. Vous m'avez manquer également, et me manquez toujours, je languis de vous lire à chaque fois.
Les oiseaux vous tiennent bien compagnie? J'ai recueillit il y à peu, un chat, jeune et adorable, plein de vie, peut-être aimeriez-vous sa compagnie? Il est gris, les poils longs et les yeux bleu, si jeune encore. Vos amis rongeur ne le craindrais pas, je pense.

Pour le voyage en Italie, peut-être que si vous souhaitez me voir à vos côtés, j'inviterais ma soeur également, qui à déjà parcourut les Royaumes, de longs en large !
Pour mes apprenties, je ne les est toujours pas rencontré, seulement eu par courriers, elles semblent motivées. Je compte bien les faire venir avec moi à Boissières, peut-être vous enverrais-je une en Bourgogne, une fois sa formation fini, si vous souhaitez. Je compte bien qu'elles m'épaule sur vos terres Vicomtal, puis leurs faire faire les comptes et la gestion de mon propre fief, bien sûr, je veillerais, mais je veux voir comment elles s'en sortirons !

La guerre ne m'a pas toucher. Où presque. Mon nez est légèrement bossu, d'un coup de poings, il devrait bientôt être comme avant, une cicatrice légère orne mon cou, l'on à essayer de m'égorger ... L'on m'a aussi attaquée, mais vu que je sort avec mon épée désormais, celle-ci c'est cassé à la fin du combat, alors que mon assaillant à pris la fuite. Effectivement, je compte écourter mon séjour Béarnais sous peu. J'attends simplement qu'un nouveau conseil Béarnais soit en place, que la guerre soit enfin réellement fini.
Le Languedoc m'ennuie un peu, car j'y connaît trop peu de monde, j'ai du mal à me faire à Montpellier, Nîmes est plus calme et plus agréable et bien plus près de Boissières, mais ce calme va mal avec l’espoir de se faire des amis.

Jehanne, vous avez bien assez fait croyez-moi, grâce à vous, j'ai eu ce que jamais je n'aurait pu imaginer et j'ai pu devenir une nouvelle Jenifael. J'ai permis à mes filles d'êtres élevés dans des conditions différentes aussi. Une chose impossible, pourrait faire mon bonheur, ma suzeraine. L'amour.
L'amour d'un homme, aimer un homme, lui sourire de bonheur et être à ses côtés. Malheureusement, cette amour est mort, il y à deux ans, je n'est donc plus à espérée de telles choses, un époux sera donc largement suffisent, car il me donnera peut-être des conseils, surtout s'il est aussi sage que ce que vous me dite.
Je suis respectueuse, envers ceux qui le sont envers moi, pour la dote, je doute être mal lotie. Noble, grâce à vous, de l'argent de ma famille et son commerce.
Si c'est mon avis que vous demandez je me plie au vôtre, si vous pensez qu'il s'agit d'un homme bon, alors je vous écouterez, car vous êtes de bons conseils.

Mes enfants, comment vont-ils ... Chloé Lisbeth, c'est désormais mis en tête de manier l'épée, j'essaye de l'arrêter, mais elle à hériter je crois, de l'amour des armes, de son père. Quand à Mélénia Lisbeth, sa dernière trouvailles était de faire des nœuds en ruban rose, sur la barbe d'un barbu bourru, tavernier de la taverne d'Enguerrand. J'ai bien rit de voir le barbu ainsi coiffé, mais bon, il n'avait pas l'air des plus heureux. Quand à Erika, elle c'est mit en tête de réclamer des poupées à Enguerrand et d'en faire une sorte de papa de substitution pour lui offrir ces poupées ! J'essaye depuis, de lui expliquer que les choses ne fonctionne pas ainsi, mais bon. Erika c'est également fait un petit ami, de son âge, au moment ou d'ignobles on expliquer à mon aînée, comment l'on faisait les enfants. J'ai essayer de lui faire oublier, en vain ... Me voilà bien embêtée !

Et vous ma Suzeraine? Ternant est si calme? N'avez pas, demoiselle de compagnie? Je me souvient, que lorsque nous nous étions rencontrés, vous en cherchiez une.
Racontez-moi, votre fief de Ternant, comment est-il? Quels sont les productions? Est-il agréable?

Que le Très-Haut veille sur vous,
Jenifael Lisbeth VdR-C

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Jehanne_elissa
Jehanne Elissa apporta la lettre elle-même en Béarn, car elle venait à Mauléon pour un baptême. Elle trouva là des grouillots qui, contre rémunération, portèrent sa courte lettre à qui de droit :

Citation:
Bien chère vassale,

Puisque nous nous manquons, retrouvons-nous. J'arrive tout juste à Mauléon, nous pourrions nous revoir, et parler en face, à bâtons rompus. Il y a tant de chamboulements !

Je voudrais vous entendre parler de l'Italie, je voudrais savoir ce qu'il en est de vos apprentis et si j'en remporterai une dans mes bagages vers la Bourgogne. Je voudrais revoir vos enfants, à qui j'ai apporté des petites choses.
Je vous recommanderai en Languedoc à quelques amis qui y résident, que vous pouvez d'ores et déjà contacter : la vicomtesse Aimelina de Sìarr et ses vassaux, Skip et Ariana del Casalièr ; la mestra Boulga, qui est intendante des terres d'Apcher et Randon et est toujours enjouée et de bonne compagnie, du peu que je me rappelle. Magalona Eufrasia d'Alanha, si elle est revenue de son couvent ; j'en ai entendu des rumeurs qui m'ont réjouie. Je mets là les noms par écrit, parce que même si je vous en parlerai de visu, mieux vaut les noter quelque part !

Je dois vous avouer qu'en revanche, je vous parlerai peu de vos noces à venir. J'ai l'impression d'aller d'impasse en impasse, mais nous trouverons ! C'est juste une pitié qu'il y ait en ce royaume plus de femmes à marier que d'hommes. Et nous parlerons d'amour, et si vous le trouviez, ou même une tendre amitié, soyez sûre qu'après avoir testé l'homme, sa résolution, ses dispositions pour la noblesse, je pourrais l'y élever. Un cœur bon, s'il fait votre bonheur, suffira. Parfois, il faut prendre le taureau par les cornes !

J'accueillerai tout bientôt à Ternant une pupille adorable, pieuse et vertueuse comme on n'en fait presque plus, et la joie de vivre renaîtra ! Ma maladie a fait fuir, et je ne les blâme pas, tous ceux dont j'avais réussi à m'entourer.
Je vais aussi prendre pour vassale ma cousine Alessandra Béatrice, sur une terre bourguignonne, mais j'ignore si elle viendra y vivre : elle réside actuellement en Béarn, à Mauléon, d'où je vous écris.

Quant à Ternant... Je n'ai eu que récemment le bornage exact de ma terre, et avec le printemps, l'occasion me sera donnée d'examiner avec plus d'attention toutes ses productions. Mais il n'y a pas grand mystère de sa richesse principale : la chaux, qui aide à la construction de tant de bâtiments ! Je sais que l'on rénove les murailles de beaucoup de bonnes villes, en Bourgogne et ailleurs, et j'y vois l'occasion de commercer avec les commissaires comtaux et ducaux avoisinants.

J'espère vous voir bientôt !
Que sainte Raphaëlle vous veille,

Jehanne Elissa de Volpilhat

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En général peu présente les week-ends — ILS SE MARIENT !
Jenifaelr
[Pau, le 14 avril 1462]
La Belle italienne, ne reçu pas la lettre à Mauléon. Les grouillots c'étaient renseigner, la lettre avait était porté jusqu'à Pau, où elle était retournée.
A peine, elle la reçu, à peine, elle se mit en route, avec ses filles, pour Mauléon, laissant en la capitale, les pirates, les innocentes et tout le reste.


Citation:
De moi, Jenifael Lisbeth VdR-C
A vous, Jehanne Elissa, ma suzeraine ,

Je me rend immédiatement à Mauléon ! Je devrait y arriver le seize avec mes filles.
Pour mes apprenties, je suis dans le regret, de dire, que je ne les est toujours pas rencontré ! Je compte leurs envoyer une lettre, pour leurs demander, où celle-ci se trouvent.

Pour le reste, nous discuterons de vive voix.
Où logez-vous? Avez-vous trouver une bonne auberge? Les gens vous traitent-ils bien? Fréquentez-vous de temps à autre, les tavernes de Mauléon? On fait en Béarn, des rencontres surprenante ces temps-ci.

Bien à vous,
A bientôt,

Jenifael Lisbeth Vitalis da Roma-Corleone,
Fait à Pau, sur le départ, le 14 avril 1462

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Jehanne_elissa
[Mauléon, le 15 avril 1462]
Il fallait un courrier rapide. Jehanne Elissa trouva un pigeonnier qui avait des pigeons élevés à Pau, elle paya ce qu'il fallait pour que l'un d'eux volât rapidement là bas :

Citation:
Chère Jenifael,

Je vous attendrai ! Je loge à l'auberge L'Uhaitz Handia, où ils parlent une langue qui me chagrine, car je n'y entends ni oc ni catalan... Mais enfin, ils me comprennent assez, c'est l'essentiel. J'y mange et dors bien, et paie sans doute plus que je ne devrais, mais c'est toujours ainsi avec les gens qui viennent de loin et ne savent pas se faire comprendre : on paie notre ignorance ! J'évite toutefois les tavernes, mais vous semblez avoir d'amusants récits à m'en conter.

J'ai hâte ! Je demanderai qu'ils préparent un "zikiro" : je viens de découvrir ce plat, et j'espère que vous en serez aussi friande que moi.

Jehanne Elissa

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En général peu présente les week-ends — ILS SE MARIENT !
Jenifaelr
A peine, le pied poser à Mauélon, qu'elle repris ses vieilles habitudes. Celles acquise, avec sa correspondance avec la Cigogne, drôle d'oiseau d'ailleurs.Chopant un môme, elle lui fila un écus pour la confiance, une second écus pour la lettre à porter à l'auberge de Jehanne. Les yeux d'aigue-marine imposèrent le respect au môme, qui couru porter la lettre, ses deux écus en mains. Elle fini de s'installer, seule avec ses filles cette fois.

Citation:
De moi, Jenifael,
A vous, ma suzeraine,

Rencontrons-nous demain, si vous voulez, à votre auberge. Peut-être que si le temps est beau, nous pourrons sortir un peu vers l'extérieure de la ville. Du moins, dit-le moi si vous le voulez.

PS : Le môme me ramènera votre réponse.

Jenifael

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