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[RP] Epousailles d'une petite Reyne et de son Dukaillon

Occitane


Occi attendait l'arrivée des mariés comme tous les autres invités lorsqu'un cri derrière la fit se retourner :

' "Hors de ses murs catin ! Les langues de vipere n'ont pas leurs place dans ce lieu saint !" '


Un homme encapuchonné dont elle ne pouvait distinguer les traits semblait être celui qui venait de lancer ces mots d'une voix assez forte pour être entendue dans tout l'édifice ... il cracha en direction d'une femme qu'elle ne connaissait pas et il ajouta même :


""Longue vie à la petite reyne d'Anjou et tout les voeux de bonheur du vil borgne que je suis ! "


Puis sortit sans plus attendre ...Occi intriguée le suivit du regard alors qu'il disparaissait à sa vue puis regardant à nouveau elle crut distinguer un visage connu parmi les gens installés non loin ; elle plissa les yeux ,dubitative...mais oui c'était bien Rani à quelques rangs ....Occi s'apprêtait à aller la saluer lorsque le brouhaha ambiant s'amplifia ...les mariés étaient peut-être sur le point d'entrer ? Elle choisit donc de faire un signe de la main à son amie angevine ,et lui faisant un signe de la tête pour lui montrer l'extérieur de la cathédrale , espéra que cette dernière comprendrait qu'elles se verraient après la cérémonie ...elle lui adressa un large sourire ,ravie de la revoir après toutes ces semaines ...il faut dire qu'elles avaient passé de bons moments à La Flèche ...
Gdr quant à lui patientait calmement ...
Erikdejosseliniere
[... M'a touché, ch'uis l'élu...]

Fripon-flippant, Erik attendait qu'ELLE arrive... Elle, sa belle, son unique, sa douce, sa fée blonde, son adamantine espiègle, son angevine insoumise, sauf, peut être, lorsqu'ils étaient dans les bras l'un de l'autre, Sa Petite Reyne bientôt rien qu'à lui comme il ne serait plus qu'à elle, son mauvais petit caractère qui lui allait si bien, sa perle aux cheveux couleur de feu, son ange intenable, sa chopine préférée, sa -presque- maitresse et déjà si souvent confidente, sa mie, son roudoudou épicé, sa pomme d'amour, l'ombre de son ombre, le jour de ses nuits solitaires, sa lumineuse, sa sirupeuse coquinette, sa coquillette saveur des blés -aux yeux frais-, sa Dulcinée, son pur aimant...

Pas même besoin de se retourner, ne serait-ce que d'un iota : il la sent arriver, il reconnaitrait cette aura à travers le voile d'une cuite ou d’une famine involontaire, le regard bandé, les mains dans le dos -remarquez, ça n'empêche pas grand chose ça, visuellement parlant- transbahuté comme un sac de maïs sur le dos d’un cheval… Insidieusement, une bien vilaine image s’était insinuée dans son esprit qu’il s’efforça, avec un vif succès, à oublier tout aussi vite, la pression liée à la cérémonie reprenant de plus belle, et, plus encore, le bonheur immense de la revoir enfin, après s’être retrouvé séparés une paire de jours…

Dans son dos, il commençait à sentir comme une vague de silence, une ola de respirations brutalement retenues, contenues sur le passage de sa future hyménée. Nul doute désormais : c’était bien ELLE qui approchait au bras de son quasi-père et témoin qu’il n’avait guère pu croiser jusqu’à ce jour. Tous les muscles de notre Duc intimidé par la suave et cotonneuse gravité de l’instant s’en trouvèrent immédiatement bandés -Tous ? Oui ! Tous, Ô Grand Caesar !-, rendant douloureuses les extrémités de ses membres en émoi, lui faisant craindre de tourner de l’œil, une fois encore… Son Altesse l’avait très certainement mise en garde sur le mode d’emploi ikéen de la nuit de noce, mais elle s’était franchement abstenue de le prévenir que le mariage en lui-même était affaire si étrangement faite de souhaits, de craintes, de tensions et de décomposition du cœur, même des plus endurcis… Bien heureusement, cela ne devait advenir qu’une seule fois… Une seconde épreuve de ce genre et ses artères n’y résisteraient point !

Un contact… Erik n’avait toujours pas été capable de faire le moindre mouvement, sa vue toujours aussi trouble, mais, avec la fraicheur de sa nubilité de vierge folette, ELLE s’était avancée face à lui, de cette manière tout à la fois tendre et espiègle qui le faisait tant fondre, posant sur les siennes des mains légèrement refroidies, sans doute, par l’extrême tension qu’il devinait à son tour aux soubresauts qu’effectuait ses pommelettes poitrines sous les plis de sa robe magnifique. Souriant de son plus aimable sourire aux premiers mots qu’il entendait d’elle depuis qu’elle s’était avancée jusqu’à lui, il répondit, tout aussi joueur :


Z'avez les yeux d'un beau vert, m'avez r'gardé la première, m'avez aimé, suis-je l'élu ?

En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il avait compris qu’elle était tout aussi peu fiérote qu’il pouvait l’être… Et qu’en un cillement de paupières, elle savait qu’il en était de même pour lui lorsque, faisant écho tout le long des huit travées de l’immense nef, s’insinuant tout le long du jubé, s’écartant par les transepts et revenant presque aussi vite, un cri, que le Duc prit tout d’abord pour une juste acclamation de réjouissance, comme une grande vague où les mots s’entrecroisaient, mais point assez pour ne pas en saisir le contenu exact, lorsqu’il comprit de qui elle venait :

"Longue vie à la petite Reyne d'Anjou et tout les vœux de bonheur du vil borgne que je suis ! "

La mine brièvement pâlissante, le Pair serra un peu plus fort les menottes de sa blonde duchesse, répondant, mi-badin, mi-sincère :

Félicitons votre admirateur : Je n’aurai su mieux dire… Fors la fin !

Adressant un ultime regard au plus profond des pupilles de Fitzounette -de ceux qui grondent gentiment tout autant qu’ils comprennent- , enturbanné du plus doux des sourires, Erik accompagna du geste sa future épousée afin qu’elle puisse prendre enfin place face à leur Célébrissime et Sublimissime Célébrant…
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Duc de Corbigny
Saxotenor
Le Recteur de Bourgogne qui -une fois n’est pas coutume- cédant aux exigences de son ex duchesse d’épouse, avait revêtu son vicomtal habit , déambulait parmi la foule de plus en plus dense……Il n’avait d’yeux que pour cet édifice somptueux, et rendait un hommage silencieux à l’Eveque de Sully qui en avait posé la première pierre en 1163 sous les yeux bienveillants du Roi LouisVII et du Pape Alexandre III….
Que de pierres bâties depuis… Que d’art de maistres artisans, de sueur de simples maçons, de pugnacité pour en arriver à ce monument ….édifiant…

Il reconnut au fil de sa promenade quelques tetes connues qu’il salua joyeusement .. Messire Asclepiade, Dame Fagiang, le Duc Asdru, les Baron et Baronne d’Ancy, …

Mais la suite aux armes de Mortain venait de s’arreter sur le parvis… salué par les cloches de Notre Dame… Il était temps d’aller rejoindre le prie Dieu d’où il assisterait à la cérémonie tant attendue…

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Krystel_van_hoedezee
[Ath, une semaine plus tôt]

Krystel compta et recompta une dernière fois les tonneaux. Trois pour le voyage, dix pour fêter les noces, cinq tonneaux de "bulles carrées", plus deux tonnelets d'eau-de-maïs (dont un qui datait de sa pauvre mère), voilà qui ferait l'affaire pour une noce. Point besoin de trop enivrer les flamands, qui, de toute manière, avaient toujours sur eux de quoi lamper. Et puis, Paris n'étant pas un village, tous les charretiers trouveraient un débit de boisson pour s'y souler !

Son paquet soigneusement emballé, son bâton à portée de main, l'intendante sauta dans une charrette, et roulez jeunesse !


"Ga ervoor Gus ! En avant, Gus !"

Le paisible ivrogne claqua la langue, et le cortège de charrettes pleines de Blanche se mit en branle... vers Paris.


[Ils partirent à cinq, ils arrivèrent... pleins comme des vaches]

Quatre essieux de cassés, dix-huit tavernes, trois gargotes, un mal de ventre et deux cuites plus tard, le cortège athois débarqua dans une grande ville en pleine effervescence. Paris ! Capitale de ce beau Royaume qu'on appelle France ! Paris, qui, sous son ciel, marchent les amoureux, et cætera, et cætera...

Le cortège des flamands ivres était
enfin arrivé à Paris, et cherchait une place où se loger. Il essayait d'avancer à travers les ruelles sales, mais ce n'était pas évident, avec toute cette cohue. Krystel, juchée sur un tonneau, faisait de grands gestes d'une main et tenait un mouchoir de l'autre. Elle aurait bien voulu ne pas trop ouvrir la bouche, mais impossible de ne pas répondre aux insultes des parigots.

"Va donc, hé, pisseuse ! Retourne voir ta mère !

- Tais-toi et avance ton char, grand couillon !"

Quelques échanges d'amabilités plus tard, les flamands traversèrent sans trop savoir comment un pont et se retrouvèrent sur une île. Des voitures* étaient garées et bouchaient les ruelles. Excédée, l'intendante sauta à bas de son tonneau, et, laissant à ses compagnons la garde de ce qui restait de tonneaux, avança à travers une foule de badauds qui se pressaient vers une grande bâtisse. Plus poussée par la foule qui la traînait et l'entraînait, sans le savoir, vers Notre-Dame, Krystel se retrouva sur le parvis d'une gigantesque église.

"Sainte-Illinda ! L'homme peut donc aussi faire des merveilles !"

La jeune fille écarquillait les yeux, éberluée devant une splendeur pareille. Mais la foule poussait toujours, et la jeune fille se retrouva bien vite dans les premiers rangs des curieux, qui, devant la cathédrale, regardaient passer la noblesse et les étrangers invités pour la cérémonie.

*Ben ouais !
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Amberl
Même pas le temps de jouer au jeu kikiélà que la mariée rapplique. Tremblante comme une feuille, mais resplendissante au fur et à mesure qu'elle avance. D'une beauté rare, enveloppée par un je-ne-sais-quoi... Ah si. Un truc qu'on appelle l'Amour.

Amberle sourit, suivant du regard sa reyne avancée jusque l'autel. Attendrie de voir la jeunette se marier, elle entrecroise ses doigts dans ceux d'Hiji. L'idée d'un éventuel mariage s'amorce enfin dans son cerveau, même si ce sera complexe à réaliser. Elle fronce le nez, son compagnon étant sur le point de devenir Seigneur, la brune doit de fait se trouver fief si elle souhaite que mariage il y ait avant la naissance du mioche. Norf. Et la lumière fut dans son esprit ... Oui oui, ben trop tard. Fallait appuyer sur le bouton ON avant. Avant qu'il ne soit anobli... Boarf. Elle trouvera un moyen pour arranger cela.

C'est une voix bien connue qui la sortie de ses pensées... Maleus, son aîné.


' "Hors de ses murs catin ! Les langues de vipere n'ont pas leurs place dans ce lieu saint !


Maleus d'Assay, quand auras tu compris le sens du mot "discretion" ?
Pour un scandale avant la cérémonie, d'mandez le borgne ! Tss. Elle secoue la tete négativement, la brune, mais sans réussir à lui en vouloir. Il ne se serait pas démasqué sans vrai message à faire passer. Les mots resonnent dans la cathédrale, empreignent chaque pierre de la colère du borgne.

Catin ? Mais de qui il parle ? La femme à qui il s'adresse ? Amberle se redresse, dévisage de la tête au pied une rousse qui gloussait ... Mhm.. Pour mettre son frangin dans un tel état, c'est que c'est une sacrée garce. Maleus, tout grognon qu'il soit, est par moment impulsif, soit. Mais envers les femmes, nenni ... Catin, vipère, capuche retirée .. Non, y a anguille sous roche, la donzelle est un vrai fléau. Pas de doutes pour la brune, qui fustige du regard l'impertinente rouquine Eoline.

Courbette de son frangin dans sa direction... Ben pourquoi ? Depuis quand il s'incline respectueusement ? Étonnée, Amberle tourne la tête et regarde derrière elle ... et esquisse un grand sourire en voyant la Vicomtesse Marie Alice présente, assise non loin d'elle. Hochement de tête en guise de salut, la brune entend les bottes de son ainé claquer contre le sol de la cathédrale. Elle ferme les yeux, un court instant, le maudissant de partir avant la fin. Comme toujours. Il n'aura donc jamais assez de patience pour assister à une cérémonie en entier ? Au moins, cette fois ci, il aura laisser un message de félicitations aux mariés ...
Crétin d'borgne impatient.


Ben ca promet pour la suite.

Soupir, elle croise les doigts pour que le Marié ne tienne pas rigueur à son frangin et ne se mette pas en colère ... L'animosité de l'un envers l'autre n'est pas secrete.. Pourvu que cela ne fasse pas tâche d'encre en ce jour si spéciale pour la blondinette...


Edit pour changer une couleur de cheveux ^^
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-- Rajoutez un "E" final à Amberle pleaze ! --

Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente ... Ou pas.
"Y a Amberle, une vraie perle"

[Accessoirement, Co-fondatrice du Fanclub Constantéicien avec Apolonie]
Alatariel
[Cathédrale, rang réservés à la Famille de Penthièvre ]

Alatariel avait laissé filer Kilia... qui était plus nerveuse que jamais... La baronne, veuve d'un courant d'air, n'était pas troublée plus que ça par la cérémonie... elle aurait juste souhaité retrouver Gerfried à ses côtés...
Le temps lui semblait long, entre deux instants de recueillement, elle scrutait la foule de sa place, espérant voir de visage connu...

Son Altesse,
Normandie, Le Grand Maitre de cérémonie... La Vicomtesse MarieAlice... rien que ça montrait l'importance du mariage... mais le reste n'était que tête couronnée, dame, Baronne, Vicomtesse Comtesse... et des Buses !

19 fit son apparition, Alatariel dut se retenir pour ne pas aller se jeter au coup du Parrain... fallait pas qu'on lui pique sa place et celle de Kilia...
Puis, une voix tonna, et Alatariel eu le temps de reconnaitre un borgne angevin. Elle devine qui il est, elle sait qu'il est le vassal de la Petite Reyne...

La vieille buse se redresse, porte sa main vers la dague qu'elle a enfoui sans sa vesture et attend le moindre geste du Duc XIX ou de Kilia ... Mais rien, le dit "Maléus" semble hésité, honore les convives et s'en va...
Alatariel reprend son air de veuve impassible, le visage affable...

Elle était peut un peu trop sur les nerfs pendant le mariage... faut dire que la dernière fois qu'elle avait assisté à ce genre de cérémonie, elle s'était retrouvée inconsciente sur le parvis de l'Eglise face au corps sans vie d'une de ses plus chère amie.

Alatariel chassa ses idées noirs, le jour était à la fête... la Petite Reyne d'Anjou, merveille Penthièvrique sur tous les plans s'avançait dans l'allée principale, son paire d'aimé à ses côtés. Elle avait fait la robe et la tenue d'Erik, elle avait habillé la jeune femme quelques heures auparavant, mais elle s'étonnait de les voir ainsi... comme si ce n'était pas elle qui avait fait se travail... L'amour rend niais disait-on... Alatariel se dit que finalement, ça rendait beau... car ils étaient beaux, ces deux là.

Alatariel suivit du regard sa nièce tant chérie et eu subitement envie de prier, prier pour que le Très Haut protège ces deux êtres et surtout pour le remercier d'avoir apporté à Fitz' tant de bonheur.

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Thomasdeclerel
Le Duc de Dun-le-Roy qui avait reçu une invitation de chacun des deux époux, on a pas idée de dépenser tant d'argent tout de même, c'était promit de ne pas oublier de se rendre au mariage, mais las, la vie étant comme elle est et le temps n'y changeant rien, on fini par oublier, puis par se faire rappeler l'occasion et on arrive en retard..

Thomas arriva donc en retard, se glissa discrètement dans la cathédrale, remplie de monde, sûrement des personnes venu pour le banquet et s'installa discrètement en compagnie de la jeune femme qui l'accompagnait et qui serait tenu responsable du retard, si on venait à lui en faire la remarque.

Saluant d'une inclinaison de la tête les visages connus, et essayant d'apercevoir les futurs époux, il abandonna vite la contemplation de ceux qui l'entourait pour regarder la cathédrale, en se demandant combien l'édifice avait bien pu coûter, et quel fol a bien pu en ordonner la construction.

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Chancelier & Capitaine de Berry et Duc de Dun-le-Roy.
Fitzounette
[Les chiens aboient, la caravane passe…]

Ils sont la crème de ce Royaume. Régnants aimés et respectés, puissants et estimés. Ils ont tous les deux dirigé à plusieurs reprises des provinces dans des conditions difficiles. Ils se sont distingués par leur poigne et leur détermination. Ils ont cependant gardé cette humilité qui les rend si vulnérables parfois. Et regardez les, l’un face à l’autre, étrangement démunis. Leurs prunelles qui pétillent, leurs mines béates et enfantines… Celle qui hante la bouille des vrais amoureux, et dont les autres se moquent, trop envieux...

Ils ne voient plus personne dans cette cathédrale bondée de famille, d’amis chers, et d’autres, venus uniquement pour parader. Il y aura toujours des jaloux qui se glorifient dans l’hypocrisie, persiffleurs et mesquins. Mais qu’elle importance ? Il y aura toujours aussi les compagnons fidèles, prêts eux à exprimer tout haut leur affection, loin de la dissimulation enrobée dans des borborygmes atrabileux et pensifs. Et prompts à crier sincèrement au monde entier qu’ils vous considèrent, bien loin des sourires fades et fardés.

Et c’est ainsi qu’un cri s’éleva :


"Longue vie à la petite Reyne d'Anjou et tout les vœux de bonheur du vil borgne que je suis ! " (Z’avez remarqué ? Ca résonne pas pareil en fonction de l’endroit où l’on se trouve.)

Déjà du rififi dans les rangs des cancres du fond. Ah bah mariage Angevin, hein, on ne pouvait pas s’attendre à moins. Et du fameux dissipé, elle reconnait la voix immédiatement. Maleus, m’enfin, quelle mouche vous a piquée ? … Boarf, elle le saurait probablement très vite, elle avait très régulièrement des nouvelles de son borgne et mercenaire de vassal. Erik lui ne semblait même pas contrarié par ce petit esclandre. Rapide coup d’œil vers le banc familial étrangement appliqué. Papy était en pleine médiation transcendantale.

Elle reporta ses prunelles azurées sur son futur époux qui lui adressait ce regard de profond entendement et se laissa guider pour faire face à la l’éminente Eminence.

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Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duchesse de Chateau Gontier.
Mallory
...enfin...j'espère qu'il aura trouvé une solution alternative et qu'il sera de bonne humeur....

Que diriez vous de rentrer à l'intérieur? je vous ouvre le passage....


Mallory sourit à Angélique.

Faites donc cela Baronne, étonnez-nous.

Mallory observa amusée les invités s'éloigner de Angélique et sa maléfique ombrelle. Puis au moment opportun, elle en profita pour se frayer un passage avec Phelim jusqu'aux portes de l'imposante structure. Grâce à ce subterfuge de la Baronne d'Ancy le Franc, ils furent parmi les premiers à pénétrer dans l'immense édifice.

[Dans la Cathédrale]

Une fois entrée dans la Cathédrale, Mallory s'arrêta quelques instants, obligeant Phelim à s'arrêter lui aussi, pour observer le grand vitrail de forme étoilée qui ornait Nostre Dame.

C'est vraiment magnifique n'est-ce pas?


Un bouchon commençant à se former derrière eux, le trio de choc se remit en route et se dirigea vers les rangs réservés aux bourguignons.

Elle salua poliment les personnes qu'elle côtoyait peu et embrassa ceux qu'elle connaissait mieux comme Snell, Emmaline, Saxaltesse, Eoline, Theo et bien d'autres encore...

Ils trouvèrent trois chaires libres, relativement éloignés de l'autel, car les premiers rangs étaient évidemment réservées aux familles et aux proches des futurs époux.

Au moins ils auraient des places assises...ce qui ne serait peut être pas le cas de tout le monde...

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Armoria
Un pas sur le côté pour rester proche de son témoigné - allez donc trouver des synonymes à chaque intervention, vous z'autres, au lieu de vous moquer - et son rôle déjà se faisait plus discret. Pour une fois, elle allait faire de la figuration, et étant délicieusement rare, cela n'était pas pour lui déplaire.

Un témoin voit, entend, et ne dit rien. Même sous la torture. Enfin, bon... Un cri derrière... Un invité aviné ou ivre, mais de joie. Normal. Surtout qu'elle ignorait tout de la participation de Maleus à l'enlèvement, et aurait été bien incapable de le reconnaître.

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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
--Philippelevan
C'était rigolo, cette fête. Et pis le duc, là, l'ami de mammig, il était tout bizarre, tout pas comme d'habitude. Erik de... Jonelissière. Nan. Jolilisière. Euh. Nan. Erik. Sa maman disait Erik, maintenant, alors c'était Erik, et pis c'est tout.

Il regarda autour de lui. Sur les grandes fenêtres, il y avait de belles images en verre, comme dans le livre dévêtu. C'était joli. Les bancs avaient l'air dur : si ça durait trop longtemps, il allait avoir mal aux fesses... Et tout ça, juste parce qu'il devait porter un couss... Hé ! Un coussin !

Ravi de sa trouvaille, il posa le coussin avec soin sur le banc le plus proche - tout près de sa maman, et la seconde chose - paire de choses - qu'il posa, ce furent ses fesses. Sur le coussin.

Philippe-Lévan, toujours prêt !
Victoire_loo
Victoire était venue assister au marriage de celle qu'elle considérait comme sa soeur. Elle avait revetu sa plus belle toilette, s'était faite belle, mais pourtant, en ce jour de fete ou seule la joie devrait occuper son esprit, elle ne pouvait s'empecher de penser a celui qu'elle aimait. Il n'avait pas voulu venir. Elle avait comprit qu'entre le ducaillon de sa cousine et lui il y avait comme une sorte de contencieux, mais elle n'en savait pas plus.

Elle était un peu perdue dans ses pensées quand le brouhaha ambian cessa. Elle se retourna et vit sa cousine au bras de Kilia faire son entrée dans la cathédrale. Elle était majestieuse, l'instant était magique, et elle ne pouvait s'empecher de s'imaginer a la meme place.

Fitzounette continuait d'avancer, Victoire avait envie d'applaudir, mais se dit que le lieu ne s'y prétait peut etre pas. Les angevins avaient la réputation de ne pas savoir se tenir, elle n'allait pas ajouter d'eau au moulin. Elle attendit donc sagement que la cérémonie commence.

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Geulederat
Tout le gratin angevin était là, évidemment .
Le gratin bourguignon , faute d'être dauphinois, était aussi présent .....
Là où ils étaient placés, personne ne les voyait . Ils pouvaient ainsi observer à loisir les comportements des uns et des autres.
Comportements habituels pour la plupart ..... malheureusement ......

GdR donna un léger coup de coude à Occitane :


Eh ! Tu dors ??
Les mariés sont entrés !

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Aelyce_h
Ils s'asseyent tous les trois, elle collée à son compagnon entrelaçant à nouveaux leurs doigts, sa tête brune nonchalamment posée contre son bras, son autre main cherchant à tâtons sous sa robe une fiole de calva pour la porter à ses lèvres biberonnant en cachette la fiole qu'elle tient de la main droite, sa main gauche quitte la sienne pour aller gratter la blessure du duel sur sa cheville.
On ne peut plus sereine, elle a quitté la Guyenne, les cavalcades, la fuite avec les Cartel, les procès pour un ultime bain de famille sur invitation de la petite reyne, Son sourire à quelques visages qu'elle reconnaissait trahissait son plaisir à revoir Kilia, Arielle vit quelques visages qu'elle aurait voulu quitter il y'a quelques mois de manière plus diplomate mais Aelyce ne savait pas faire dans la dentelle.
Une gorgée de calva lui brûle la gorge tandis que ses yeux parcourent la dentelle du plafond et dans son oreille résonne la phrase d'Eoline, lui faisant redresser l'oreille tout en se retournant pour suivre du regard l'entrée des mariés


- Erik et sa gourgan...

Et sa? Elle lève un sourcil intriguée, elle aurait aimé savoir quel surnom affectif elle réservait à son supposé ami puisqu'elle était de Bourgogne comme le marié, de fortes chances que ce soit l'invitée d'Erik.


- Je crois que tu as ta réponse... A t il l'air d'un homme épanoui à l'idée de se marier à une Penthievre? Alors pour l'ensorcellement...

Son deuxième sourcil se lève et son regard quitte les mariés malgré toute l'aura qui accompagne leur entrée pour capter tout le dédain qu'il y'avait sur le visage d'Eoline puisqu'elle ose médire sur sa propre famille devant elle.
Même pas le temps de réagir, qu'elle enchaîne plus perfide que jamais


- Non finalement il est peut-être ensorceler, comme les hommes de son âge peuvent l'être avec une gamine à peine sortie de l'enfance. Cela doit flatter son égo et le ragaillardir le bougre... A voir ensuite s'il ne va pas déchanter très vite et porter aussi fièrement les bois de cerf que sa couronne, vu la réputation de la petite...

De sang chaud la Gasconne se lève d'un bond ses yeux yeux ambres lançant des éclairs de colère, mais précédée dans son élan un borgne s'approche et crache sur la langue de vipère lui demandant de sortir

Aelyce en parfaite nobliaute polie, prit son mouchoir en velours et le tendit en direction de la rousse, pour dévier le chemin de sa main et venir essuyer le banc de micro gouttelettes de crachat avant de le ranger à nouveau, laissant son visage dégoulinant de salive. C'est que c'est connu, si le bisou d'un borgne apporte sept ans de bonheur, sa salive guérit contre la peste.
Elle avance son visage jusque son oreille et tout en détachant sa main de celle de Théo pour la reposer sur sa propre cuisse elle lui chuchote d'une voix grinçante mais néanmoins inaudible même de son compagnon.


-l'honneur se lave dans le sang je t'attends demain, sitôt le mariage fini ici même devant la cathédrale

Elle se rassoit un petit sourire sur la commissure de ses lèvres en lissant sa robe, retrouvant des manières quelques peu oubliées, le regard brillant à nouveau reporté sur les mariés

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Rosedeplantagenest
Rose avait fini par retrouver sa mère et les siens au beau milieu de tout ce monde. Elle avait participer à de nombreux mariage ces derniers temps mais jamais elle n'avait vu autant de personne.

Bien installé à leur place, Rose se tenait aux cotés de sa mère, ses frères se trouvant plus loin en compagnie du Maure.

Un certain brouhaha s'était installé, ce qui empechait Rose de se recueillir intérieurement quand tout les visages se tournèrent vers l'entrée.

Machinalement, elle fict de mesme et vict alors Fitzounette faire son entrée.

Un sourire s'afficha alors sur son visage angélique, Fitzounette était magnifique, majestueuse, son surnom de "petite reyne "lui allait à merveilles.

Rose suivit sa progression, les mirettes vertes pétillantes de voir Fitzounette aussi rayonnante de bonheur.

Rose la connaissait à peine, mais l'envie d'apprendre à la connaître était là, et elle esperait que ces noces seraient l'occasion de pouvoir discuter un tout petit moment avec la belle mariée...

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