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[RP] Epousailles d'une petite Reyne et de son Dukaillon

Rosedeplantagenest
Se diriger vers Nostre Dame...A première vue, rien de bien compliquée, ses hautes tours étaient visible de loin, mais le trajet fut un peu plus compliqué que prévu!

Une ruelle à droite, une à gauche...Flute une impasse...Demi tour...On reprend...Pfff c'est étrange mais quand elle est seule Rose a un don inné pour se perdre!

Bref, plusieurs minutes (ou heures) plus tard, la voici enfin sur le parvis de Nostre Dame, maudissant intérieurement son idée de venir à cheval plutôt qu'en carrosse familiale mais bon elle est belle et bien arrivée à destination!

Regards circulaire sur la place ou tant de monde se presse à l'intérieur, elle espère que sa mère n'est pas encore arrivé ou sinon qu'elle luy a gardé une place à ses cotés!

Son regard se stoppe alors sur les gargouilles, émerveillés par ce travail de minutie...

En entrant, elle cherche le peu de personne qu'elle serait susceptible de connaître, Denéré ou Plantagenest, qui sont ses familles... Mais la beauté de l'Eglise lui ôte cette idée, elle désire se recueillir et admire le tout qui se trouve face à elle en se dirigeant vers une place...
Montmayeur
Mont, avec Esta à son bras, gravit les marches et entra enfin dans la Cathédrale, il y avait un monde fou, mais la batisse pouvait en recevoir encore, on se sentait tout petit dans un tel édifice. Il reconnaissait déjà quelques personnes, un scott qui essayait de se faire discret dans un coin sombre mais avec un Kilt que Mont connaissait bien, c'était son vieil ami Holaf, anciennement son frère Rusé de Touraine. Il le salua et continua son avancée plus avant vers l'hôtel. La décoration était florale, un doux parfum de rose se difusait, ça ne pouvait que plaire au Rusé. Le Renard salua au passage le Recteur de l'université de Bourgogne, sa dame, d'un petit geste amical, leur Duc aussi qui était pas loin. Ils décidèrent donc de s'approcher des Bourguignons, pour prendre place à leurs cotés. Le vieux cherchait son ami Snell du regard mais ne le voyait pas, surement avec sa Princesse, entrain de se préparer ou même de batifoler.
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UNGUIBUS ET ROSTRO
Seigneur Rusé
Soizic
Il y a deux jours, elle avait reçu un courrier, scellé d'un sceau qu'elle ne connaissait que trop bien, celui du tri-duc de Bourgogne. Pendant longtemps, elle n'avait eu aucune nouvelle d'Erik, et elle lui en voulait un peu de ce silence. Cependant, elle ne lui en tenait pas rigueur, puisqu'elle aussi s'était montrée bien silencieuse.

Bref... Il y a deux jours donc, Soizic recevait un courrier d'Erik. Après ouverture, lecture, etc, elle commença à sautiller un peu partout dans sa maison à Cosne. Son fils, qui jouait non loin, regarda sa mère d'un œil perplexe : avait-elle une fois de plus perdu la tête ?
Voyant le regard inquiet de sa descendance, la Cosnoise s'était posée sur ses deux pieds, avait sourit, et avait ajouté :


Mon Tityanis, nous partons pour Paris !

Paris, cette grande ville qui tenait plus du rêve que de la réalité pour la plupart des gens. Combien de jours faudrait-il pour y arriver ? Cette question, Soizic ne se l'était pas posée de prime abord, mais à bien y réfléchir, il lui faudrait au moins 4 ou 5 jours... et elle n'en avait que deux devant elle...

Tityanis, nous partons tout de suite pour Paris ! Allons allons, remplis la malle de tes plus beaux habits ! Ceux du Dimanche de préférence. Je veux que tu sois le plus beau des petits garçons !

J'suis pas petit... avait essayé d'ajouter l'enfant agé déjà de huit ans. Mais l'ouragan qu'était sa mère quelque fois avait commencé de s'abattre sur la maison : quantité de vêtements volait dans la malle ouverte précipitamment. Soizic y mettait ses plus belles robes, celles qu'elle ne portait que très rarement, pour les grandes, les très grandes occasions. Paris en était une, et le mariage d'Erik venait s'y ajouter !

Sitôt la malle refermée et chargée sur un chariot, la Bourguignonne avait demandé les chevaux les plus forts et les plus vaillants. Elle avait également pensé à s'équiper d'une petite dague, histoire de ne pas se faire attaquer par quelques personnes mal intentionnées. Elle en avait entendu des histoires sur certains quartiers de la capitale... Rien qu'à écouter, ils faisaient froid dans le dos.

Le voyage... long ! Très long ! Enfin, après plusieurs heures en ayant juste sommeiller à tour de rôle, Tityanis et Soizic arrivèrent dans la ville de toutes les légendes : PARIS ! Tant de choses se dressaient dans le paysage : déjà au loin, une cathédrale fendait le ciel - ce doit être la Cathédrale Notre-Dame - pensa-t-elle...


Paris, nous voilà ! - un sourire à son fils, les yeux emplis de bonheur, et voilà le petit chariot qui reprend son chemin.
Devant la cathédrale, une quantité impressionnante de chariots, calèches et autres voitures en tout genre. A croire que tout le royaume de France s'est invité au mariage. Magnifique. Seul ce mot lui vient à l'esprit. Se penchant vers son enfant :


Mon chéri, regarde bien autour de toi. C'est peut-être la seule fois dans ta vie que tu connaîtras ceci ! Ouvre grands tes yeux ! Et.. Et si jamais tu vois une tête connue, dis le moi... je suis complètement perdue !
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Aelyce_h
[Et ils se rapprochent des lieux seins]

Il lui avait remis la flasque comme on se débarasse d'un charbon ardent, mais le venin avait fait son effet et les rires s'enchaînent se mêlant aux hennissements des chevaux.
D'humeur guillerette usinée par les vapeurs d'alcools elle regardait les coches hennir, et les chevaux rire, et le pommeau d'épée du baron qui se lève pour frapper trois coups sur le toit.
Encore une gorgée et les chevaux danseront en tutus roses au milieu de la chaussées tandis que les coches gloussant des rires effrités, l'oeil en dérive, le verbe abscon, feront cavaler cette belle noblesse et bourgeoisie jusqu'à la cathédrale au galop.
Elle prit la flasque pour la porter à ses lèvres, quand soudain la voix du baron, gronde et tonne ponctuant les trois coups.


-Allez-vous avancer, morbleu, ou je vous étripaille! Vos chevaux ont des chaussons aux pieds? Les roues de vos caisses en bois sont-elles de guimauve? Une duchesse s'est-elle prise les cheveux dans un essieu, ou un de ces vicomtes en allant pisser s'est-il coupé la...? Parbleu, avancez, avancez, ou par Jojo, je jure qu'il vous en cuira!

Oh Miracle éthéré, le carrosse dans un crissement de rouess'avance et les deux occupants qui n'avaient guère eu le temps de penser à garder leur équilibre se retrouvèrent ballotés pour enfin tomber sur un siège attirant le mouvant et bien instable support qu'était le baron ivre, dans sa chute.
Ce qui fit entrechoquer le goulot de la flasque métallique contre ses dents la faisant grimacer de douleur. Mais au moment où elle ouvre les yeux elle vit Théognis le menton dans son corsage, se débattant contre la force centrifuge d'un carrosse qui tourne brutalement.
Troublante mélopée que leurs souffles mélangés.
Vibrante volupté que leurs corps emmêlés par accident.


-Par tous les seins Baron, ne me dîtes pas que c'est ici que vous espériez trouver joujou..euh..*hips* Jojo

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--Leluron
Sur le parvis

Merdasse de merdasse, la logeuse l'avait reçu comme une bourgeoise reçoit un crachat sur sa robe, avec le peu qu'il avait ramené de l'enterrement de vie de jeune fille de Fitzounette... La peste soit des femelles ! Restait le mariage lui-même... Croquer d'une petite chanson bien sentie les arrivants, allez savoir ? S'ils avaient des pièces et de l'humour, ça pouvait payer. Héééé... Le grand, là-bas, c'était pas le duc de Normandie, des fois ? Le gars qui préférait l'épée à la plume ? Mais si ! Allez, mon Luron, c'est parti... Et si le type manque d'humour... Ben cours, mon gars !

C'est insensé, j'en reviens pas
Vous deviez bien vous en douter
Vous réfléchissez pas ou quoi ?
Qu'est-ce que vous vous imaginiez ?
Qu'on peut débarquer chez les gens,
Leur piétiner les potagers,
Leur passer des trucs en tournant
Sans qu'un malaise vienne à planer ?

{Refrain:}
Y en avait d'autres à embêter
Vous faites pas gaffe ?
Pourquoi c'est nous que vous venez chercher ? Nous !
Pif paf ! On colle des baffes ! {x4}

Y a un principe élémentaire
Qui s'applique à la Terre entière
Quand on embête un être humain
Il a tendance à mettre des pains
Assez causé ! C'est à qui le tour ?
Qui veut tenter du gros balourd ?
À qui les bosses ? À qui les croûtes ?
Qui qui veut l' bonjour du mammouth ?
Le p'tit jeune homme, là, il en veut ?
Combien j' lui en mets ? Une ou deux ?
J' fais un paquet avec ruban
Ou c'est pour s' les manger maintenant ?
Pas d' panique, mollo, y a pas l' feu
J'en termine avec le monsieur
Vous êtes gentils, vous vous calmez
Tout l' monde aura sa giroflée

{au Refrain}

{Parlé:}
Qu'est-ce que t'as dit ? J'ai pas saisi
Ça veut dire quoi ça «Ca suffit» ?
Ce serait dommage de s'arrêter
T'es tout rouge que d'un seul côté

Nous, on veut bien être vos copains
Vous avez qu'à nous tendre la main
Nous, on demande qu'à se bidonner
Mais faut pas trop nous chatouiller

{au Refrain}


Sur l'air de...
Eyvidence
La tête plongée dans les notes qu'elle avait prises, (point de dépêche, seulement les routes à emprunter) Eyvidence avançait vaillamment dans les rues de Paris en direction de Notre Dame, espérant que les indications recueillies de ci de là se révèleraient exactes.

Comme ses Flandres lui semblaient lointaines, mais elle n'était point mécontente d'en quitter l'atmosphère délétère qui y régnait... D'autant plus pour répondre à l'invitation du Duc et Pair !

Un vacarme de babillages et d'interpellations viriles lui indiquait finalement le point de chute... La volubilité ambiante s’élevait comme un cœur dans les airs de l’Isle. Que de soies, de camocas, de mousselines, de velours, de satins et de menu vairs caressaient le sol du parvis, d'où émanait un doux et majestueux parfum de solennité…

Mais qu’importent les tissus et les perles. La plus belle parure d'Eyvidence était sans nul doute la plume qu'elle conservait dans sa besace, à portée de main, et bien sur les pièces de parchemins qui s'y amoncelaient, sur lesquelles elle prendrait bonnes notes.

Elle espérait ainsi pouvoir répondre à la commande du marié…

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Anne_blanche
Paris, Anne connaissait. Elle y séjournait régulièrement, à l’Académie. Et contrairement à son frère Gabriel, s’y rendre ne lui était plus grand sujet d’intérêt. Mais elle évita soigneusement de lui faire sentir qu’elle connaissait mieux que lui la capitale. Le voyage, comme de coutume, traîna en longueur. Au moins, quand Bacchus conduisait, on n’était pas secoué comme truffe d’ours en ruche, alors que ce Jannequin … Cent fois assoupie, cent fois éveillée par un cahot ou un brusque écart, la jeune fille n’aspirait qu’à l’arrêt.

On arrive presque, M'sieur!

Je lui ai posé une question? Qui lui a permis de m'adresser la parole de cette manière? Le rustre sera fouetté aussitôt que nous serons sortis de Notre-Dame.

Profond soupir…
Quand donc Gabriel comprendrait-il que, fouet ou pas fouet, Jannequin n’apprendrait jamais à se tenir, ni à conduire ? Elle ne répondit même pas.

En passant la Seine, elle ne put réprimer un frisson. C’était là, à quelques toises, que son père était tombé sous le poignard d’un faux poète. De toute son enfance viennoise, jamais Anne ne s’était approchée du Rhône. L’eau lui faisait peur. Ses cauchemars étaient toujours peuplés de brigands pâles comme des naïades, surgissant ruisselants d’un fleuve large comme un bras de mer pour se jeter sur elle et la noyer. Elle leva les yeux sur les tours de Notre-Dame.

La foule autour du coche aux armes de Culan faisait un autre fleuve, difficilement fendu à coups de fouet accueillis par des quolibets.

Anne suivit son frère, accéléra le pas quand il lui enjoignit de vite entrer dans la cathédrale. Elle ne connaissait pas du tout la mariée. « Une Angevine connue de Père », lui avait dit Gabriel, en détournant le regard. Anne avait aussitôt baissé les yeux. Quand son diacre de frère se comportait ainsi, mieux valait ne pas insister. Mais elle avait soigneusement noté dans un coin de sa mémoire qu’il lui faudrait demander à Bacchus où et comment feu Valatar avait connu Sa Grasce Fitzounette. Une mine de renseignements, les domestiques, quand on ne les menace pas du fouet à tout bout de champ …

Le marié, elle l’avait rencontré une seule fois. Elle ne s’en souvenait que vaguement. C’était lors de la visite royale à Lyon, alors que, toute jeune, elle avait gagné le droit de déclamer devant Sa Majesté un poème de sa composition. Elle était alors bien trop occupée à tenter de maîtriser les battements de son cœur et le tremblement de ses membres pour prêter grande attention à tout autre que Sa Majesté et Son Altesse Armoria. Mais elle savait qu’il avait été Duc de Bourgogne alors que son père occupait le trône du Berry.

Elle avait craint un moment que Gabriel ne trouvât quelque bonne raison de ne se point rendre à ce mariage. Craintes vaines : à deux pas derrière son frère aîné, Anne entra dans la cathédrale.
Belialith
[Une méchante gueule de bois plus tard]

Secoues pas cette foutue litière, j'vais ... Beuuarrp ..
En toute classe, la Blonde alençonnaise réussit à retenir la masse dorée de sa chevelure avant de rendre ce qui lui avait servi de collation du matin ainsi que l'alcool frelaté angevin ingurgité la veille. Haletante et hagarde la jeune fille releva la tête péniblement pour tomber nez à nez - ou à tours c'est selon - avec la majestueuse Nostre Dame. Elle avait réussi .. Tu parles d'un périple .. Se faire sortir d'un bouge par son valet, c'est déjà pas glam', si en plus, la valetaille en question devait vous réveiller pour arriver à l'heure au mariage d'une amie, ça devenait carrément honteux, 'fin bon .. Le Ridicule, ça tue pas, et la Blonde aurait plutôt tendance à jurer d'avoir sa peau.

La porte qui s'ouvre sur un cadavre blond, blonde qui d'ailleurs manque de s'affaisser sur la chaussée, rien que pour l'avoir retenu, elle l'annoblirait bien son valet. Sourire niais au pauvre valet qui se dit que la Noblesse c'franch'ment pu ce que c'était, avant de foutre sa maitresse debout et de vérifier qu'elle tient toute seule. A peine son domestique qui tourne le dos que la Blonde s'affaisse contre la paroi de la litière pour rendre les miettes. Bon, c'est tout bon .. Y a pu rien. Maintenant se réveiller, elle hésite entre un bon coup ou de l'eau froide, quoiqu'à bien y réfléchir le coup risquerait de la tuer vu l'état dans lequel elle est. On lui avait dit certaines fois qu'elle n'avait rien dans la tête, à bien y réfléchir, actuellement, elle prônerait que son crane est bien rempli .. mais de vase.

Le valet qu'arrive avec d'autres collègues à lui, fichtre, ils se multiplient .. pour porter ses malles et .. la porter elle. Ah ouais mais non..


AAAAAAAAH ! LACHEZ MOI ! Nom d'une pucelle effarouchée, z'allez me fout' la paix ! Ch'ais 'core marcher toute seule, guettez !

Et la Blonde sous la mine affligée de son valet, qui titube sur 5 mètres .. en fait, juste assez près de la table d'une auberge pour réclamer une bouteille de gnole. Et la jeune fille qui avale une gorgée cul sec avant de reposer le cruchon en toussotant et jurant tous les seins des saintes. Puis de se retourner en levant un index triomphant.

- Tu vois mon bon Albert ..
- J'm'appelle Jeannot, M'dame
- S'en fout .. Tu vois Albert ! Il faut combattre le mal par le mal ! .. Bon pas toussa .. mais j'ai des greluches angevines à trouver ! En route, sac à foutre !


Donc, not' Blonde - "fin .. c'est d'abord la mienne - qui interpelle les gens dans la rue pour savoir s'ils ont pas vu une troupe angevine ou une armée de ragondins ou un aut' truc totalement bizarre dont seuls les angevins ont le secret. Direction, un hotel particulier qu'on lui indique, c'est vraiment le foutoir à Paris et les gens pas aimables pour un sou, si elle était pas si bourrée, elle aurait peur, le regard douteux des jeunes de la cité, leur air avide en direction de son sac à m.. de ses malles, on sent que l'insécurité règne dans la Capitale, et comme chacun l'insécurité est tout d'abord un vrai problème de s..écurité ? Bref, donc elle arrive dans un endroit rempli de gens qu'elle connait pas mais à dire vrai, elle s'en caisse comme de sa première cuite même si elle est franchement mémorable - j'vous raconterai si z'êtes sages ! - Et voilà, notre tout sauf belle et fringante, Blonde qui se lance à la recherche de ses potes de beuverie et de sauterie et pis de mariage puisque c'est quand même ça qui l'a amené à Paris.


TISSIAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! FITZYYYYYYYYYYYYYYYYY !!

Porte qui s'ouvre à toute volée sur une Blonde royalement arrachée qui s'accroche à la poignet avant de noter la scène, un coït, un couple -logique tu me diras ..'fin faites ce que vous voulez - un haussement de sourcil avant de lâcher le magistral et blondal :

Bonne continuation

Ce n'est pas la Porte 1, ce n'est pas la Porte 2 ! Allez Public !! On applaudit la gagnante du jeu d'aujourd'hui ! Derrière la porte 3, p'tain, elle s'ouvre pas c'te saleté ! Au moment où elle s'apprête à coller un coup d'épaule dans la porte, la jeune fille entend une calvacade puis un bruit de porte qui claque

En avant Ivan !
- Jeannot ..


Il court, il court le furet .. Meuh .. on vous cause de Blonde, suivez un peu ! La Vicomtale Blonde qui se jette contre la porte complice de l'évasion de la Vicomtale Brunette, et qui l'ouvre à l'arrachée -presque autant qu'elle - avant de beugler.

SALUT NOUNOUUUUUUUUU .. L'est où la Blondasse ?
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¸.• Amoureuse des mots & Soigneuse des maux •.¸
Sylviedelaforet
Sylvie était encore sur la route, elle n'en pouvait plus... Enfin c'est surtout son arrière train qui n'en pouvait plus, ben oui quelle idée de se rendre à Paris seule et en plus les fesses sur le dos d'un canasson... C'est qu'elle n'avait pas trop l'choix la brune, pas de carrosse pour elle, c'était réservé à la noblesse tout ça...

Tout en continuant sa route elle pensait au jour où elle avait reçu la missive de son Dukaillon, elle avait failli avaler sa chope de travers... Rooooh il avait enfin décider de se marier le bougre... C'est avec un énorme sourire au lèvres qu'elle avait répondu à son courrier... Mais bien sûr qu'elle allait s'y rendre à ce mariage, seule, mais elle s'y rendrait coûte que coûte. Non non non elle ne pouvait manquer cela, elle se devait d'être présente.

Tout le long du chemin elle s'était remémoré toutes les fois où elle avait embêter son Dukaillon lorsqu'elle était maire à Semur, qu'il avait été bon avec elle, toujours à l'écoute, cela lui manquait... Puis il y avait eu la guerre en Bretagne et enfin son retour et depuis tout avait tellement changé... Tout ses amis avait disparu et elle s'ennuyait ferme maintenant en Bourgogne... Ce périple à paris allait lui faire grand bien.

Elle s'était demandé aussi si un jour elle allait elle aussi se marier, mais seule comme elle l'était cela n'était pas prêt d'arriver. Il était vrai que depuis son retour de Bretagne elle n'était guère sortie de chez elle, d'horrible images la hantait toujours et elle n'était pas de bonne compagnie, mais le changement avait eu lieu... La brune s'était enfin réveillée et le regard émeraude n'était plus triste et bien entendu ce mariage lui avait remit du baume au coeur, la vie revenait en elle...

Elle sortit de sa rêverie lorsqu'elle entendit les cloches sonner, elle approchait enfin de Notre-Dame...

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Redshark
Mais je te dis qu'on me l'a volée ! Je t'assure, je l'ai reçue, je l'avais, et je la retrouve plus, c'est pas ma faute. Mais non, je ne suis pas désordonné ! Enfin si, mais pas à ce point quand même.

Il parlait de l'invitation. Pas moyen de remettre le nez, ni la main, dessus. Il avait vérifié une à une toutes les invitations qu'il devait envoyer, pour son mariage à lui, pour voir s'il n'y avait pas eu mélange. Peine perdue. Du coup, il passait ses nerfs sur sa future qui semblait s'amuser de son désarrois.

Ben oui, Notre-Dame, où veux-tu que ce soit d'autre à Paris ? Oui, nous on se marie pas là, je tiens pas à ce que tout le monde nous voie... Mais non je n'ai pas honte, je préfère la discrétion c'est tout. Enfin, discrétion, tout est relatif hein... Mais oui, on me laissera rentrer, je trouverai bien quelqu'un qui me connait, c'est bon t'en fais pas.

Le stress était double. Déjà que d'assister à un mariage, ou à toute autre cérémonie officielle, lui donnait des maux de ventre, voilà qu'en plus ici, cela avait lieu moins de deux semaines avant sa propre union. Une sorte de répétition en quelque sorte, qui allait lui permettre de mémoriser toutes les étapes. Mais qui allait aussi augmenter la pression. Pour se détendre, il essaya de penser à un beau tableau rempli de chiffres se multipliant dans tous les sens. Chacun sa façon de se relaxer hein.

Soupirant une énième fois, sans prendre la peine de s'extasier devant Notre-Dame qu'il avait déjà vue plusieurs fois, se recoiffant machinalement du bout des doigts, il s'apprêtait à pénétrer dans le lieu saint quand il entendit une petite chansonnette. En tournant légèrement la tête, il put apercevoir le Duc de Normandie approcher, et l'original le regarder du coin de l'œil. Entendre caricaturer ainsi le Duc le fit sourire et baisser la tête pour tenter de le cacher. On ne sait jamais, avec un Normand, les réactions peuvent être vives.
Otissette
[ Dans une chambre Parisienne ou y'a pas moyen d'être tranquille ]

Alors que tranquillement la brune se prépare et qu’elle est même déjà quasi prête parce qu’elle est rapide et qu’elle veut surtout pas arriver en retard au mariage de la Fitz’ vla qu’une tornade blonde déboule comme une furie dans sa chambre.
Pas le temps de dire ouf qu’elle se retrouve avec la Garce Alençonnaise à ses côtés et là plus qu’une seule idée lui passe par la tête… fuir … fuir on ne sait pas ou mais fuir le plus loin possible de cette ville.

La brune lève les yeux au ciel avant de pester

Mais Aristote qu’ai-je fait pour mériter ça ! Comme si j’avais pas assez avec une blonde complètement alcoolisée faut qu’on m’en envoie une deuxième.

Pas la peine de sortir de l’université d’Anjou pour se rendre compte que la Garce est encore sous les vapeurs de l’alcool qu’elle a ingurgité la veille. La Tiss regarde Belli deux secondes avant de lui balancer deux trois paroles bien aimable.

Hep la Garce faut pas vouloir jouer dans la court des grands quand on supporte pas ! La gnôle Angevine si tu baignes pas dedans à la naissance jamais tu pourras la tenir !

Bon sang Belli tu as vu ta tête ! Pis ton look wahou ta robe tu l’as acheté ou ? Sous le mantel d’un des vendeurs à l’arrache sous les ponts de la Seine ? Nan mais ça va pas du tout là ! faut faire quelque chose.


Avant de fouiller dans ses malles la brune lance un regard assassin à la blonde … qui veut dire si tu oses te pointer comme ça à la Cathédrale ma fille j’te connais pas. C’est qu’il a même une tache suspecte sur le devant de la robe que Tiss attribuerait bien à ..du V … à quelques remontées Alençonnaises.

Bref la Tiss sort une robe complètement potable et surtout sans tâche de ses bagages et la balance à la blonde.

Tu enfiles ça fissa et tu bouges tes fesses un poil plus vite on a un mariage …


Et comme la blonde est deux de tension c’est la brune qui prend les choses en main et commence à lui enlever la robe la plus pour**** la plus moche qu’elle a jamais vu même à Saumur et pourtant …. On a beau avoir la meilleure des couturières du royaume à Saumur ça n’empêche pas de voir ces choses des fois …

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Mariealice
Cela rentrait, cela sortait, cela prenait de la place sur le parvis et pour finir sur les bancs, emplissant lentement les travées.

Les pensées aristotéliciennes peinaient à trouver son esprit tout comme le calme d'ailleurs. Encore un mariage, c'était la période, et encore une cérémonie seule. Profond soupir alors que son regard se promenait sur les invités et qu'elle savait désormais être maudite, d'une façon ou d'une autre. Haussement d'épaules, le savoir et l'accepter voilà tout ce qu'elle pouvait faire.

Pour le moment, nez en l'air, elle admirait les vitraux, détaillait la finesse d'un arc boutant, se demandait à quelle hauteur montait les flèches. Rien de bien palpitant mais au moins elle s'occupait l'esprit, comme elle le pouvait. Plus facile ainsi pour éviter de se morfondre.

Sa tenue était plutôt sobre, son deuil bien trop récent pour qu'elle ait ne serait-ce que l'envie de porter tissus chatoyants.

Une silhouette attira son attention et lui fait tourner la tête. Impossible de savoir qui se cachait sous cette capuche et pourtant, quelque chose lui était familier. Mais si on lui avait demandé quoi... Elle aurait été bien en peine pour trouver une réponse.

Froncement de nez alors qu'elle l'observait à la dérobée, moult questions et autres propositions se croisant derrière les noisettes et pourtant rien ne la satisfaisait. Et pourquoi il ou elle restait debout?

Finalement assis pas si loin que cela, comme s'il l'avait entendue, toujours caché par cette capuche... Pourquoi...

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Arfee
Elle devait se mordre les lèvres pour ne pas éclater de rire.
A le voir ainsi noyé dans le désarroi, elle ne pouvait s’empêcher de l’accabler un peu plus, pour son amusement personnel, et pour se venger de la noyer sous la paperasse pendant la journée.


T’es sûr ?
T’as bien fouillé toutes tes poches ? Non mais je t’avais bien dit de me la confier, maintenant si on a fait le voyage pour rien, m’en fiche tu repars à pied !
Quoi tu seras en retard pour notre mariage ? Ben tu marcheras plus vite !



Levant le nez devant la grande bâtisse, un petit sourire mutin vint hanter ses traits.


T’es sûr que c’est ici ?
Et pourquoi on se marie pas là ?
T’es sûr qu’on nous laissera rentrer sans l’invitation ?


Le voyant sortir leurs invitations, elle prit un air outré.


Quoi tu les as pas envoyées ?
Ha oui ? Dans ce cas qu’est ce qu’elles font dans ta poche.


Elle tendit la main pour lui faire les poches, mais il s’y déroba de justesse.


M’en fiche, je les ai vu tu peux pas le nier !

Arrivés sur le parvis de Notre-Dame, elle marqua un arrêt, quitta son air outré, prenant le bras de son promis d’une main angoissée.

T’as pensé à prendre du parchemin et une plume pour prendre des notes pendant la cérémonie ?



Les cérémonies… à moins d’être complètement imbibée, elle n’y trouverait pas grand intérêt, mais le futur avait décidé de sa sobriété, l’avait éloigné de toute source éthérée, quand à se planquer, pas la peine d’y penser, il était malin le bougre !
Puisqu’il en était ainsi, elle s’amuserait de son Aimé, et saurait bien se faire pardonner.
Fifounijoli
[ juste à coté de la chambre de Tiss ]


Fifou avait retrouvé sa chambre et un peu de calme, elle se prépara toujours hésitante quand au choix de sa robe, et surtout très impatiente de revoir son ours qui ne devrait plus tarder à arriver… Et si son pigeon s’était perdu en route ? Non il savait que le mariage avait lieu à Paris de toute façon donc dans le pire des cas ils se retrouveraient devant la cathédrale….
Ayant enfin porté son dévolu sur une magnifique robe légèrement nacrée, sertie de fins rubans de soie auburn, elle poudra ses joues avant de déposer quelques gouttes de senteurs de roses au creux de son cou, ajustant son pendentif qu'elle porterait comme unique bijou ... perdue dans ses pensées elle fut dérangée par le vacarme qui venait de la chambre voisine
Mais qu’est ce que fabriquait encore la Tiss c’est pas possible que notre petite Reyne nous affliges de ses caprices oui mais Tiss … se précipitant dans la chambre de son amie, elle ouvrit la porte

Mais qu'est ce que tu fiches encore Tiss tu fais pas de maçonnerie aujourd'hui la brunette là t’as pas finie de faire tout ce bruit oups bonjour la Garce euh la blonde enfin Belli il me semble vous reconnaître moi c’est Fifou Fifounijoli de Penthièvre fille du duc et grande allié enfin amie de votre fiancé si je n’m’abuse
replaçant une mèche de ses cheveux roux derrière ses oreilles elle regarda les deux jeunes femmes avant d’ajouter
je ne voulais pas vous déranger je pensais que tu avais encore besoin d’aide Tiss et vous dame Belli n’hésitez pas surtout les servantes doivent bien avoir garder un peu de queue de lézard ainsi due quelques des graines de fenouil, de cardamome vous devriez essayer je vous assure

Large sourire de la rouquine qui marchait à reculons ne voulant pas risquer que la blonde au teint grisâtre lui vomisse dessus… bon j’ai encore à faire moi hein et heu le carrosse qui s’occupe du carrosse ?
Poupounet
Départ de Cosne

Depuis la réception de cette missive, des lettres avaient été envoyé, des couturiers affairés, une mairie gérée. Le temps passait vite et celui du mariage du Tri-duc approchait. Les derniers essayage de sa robe ainsi que celle de sa fille se faisait. Le couturier lui avait confectionné un robe en brocart bleu nuit aussi sombre que le bleu de ses yeux, il en avait fait de même pour la robe verte de sa fille. La petite connaissait les consignes, ne parler que lorsque que quelqu'un vous parle, ne pas faire de bêtises, bien se tenir comme se le doit une petite fille. La pauvre petite n'avait que deux ans et voilà qu'elle l'a lançait dans un monde inconnu.

Le coche arriva, en effet, il n'aurait point été décent d'arriver à califourchon sur l'un de ses chevaux. Non, elle se devait de ne pas se conduire en paysanne, bien qu'elle était née ainsi. Bon les malles étaient finies, les cadeaux de mariage emballés précautionneusement, Aston brossé, bref prêt au départ. Le cocher installa tout, regarda le loup d'un œil mauvais mais finit par le laisser monter.

Paris nous voilà ...


Arrivée à Paris, deux jours avant le mariage

La petite famille, bon d'accord composée de deux personne plus un loup c'est pas vraiment une famille, enfin bref passons. Les merveilles de la capitale s'ouvrirent devant elles, que se beauté en un seul lieu. Bon le principal était d'aller à l'auberge pour commencer. La mère et la fille iraient se balader dans la ville pour faire des emplettes. La réception à l'auberge fut bonne, parfaite même, on voyait la différence avec la campagne.

Les deux journée furent chargées, elles avaient été chez le coiffeur, elle étaient aller voir le Louvre et ses jardins puis elle fanèrent dans la capital à la découverte de ce lieu magnifique.

Le jour du mariage

Reposée, sereine et toute excitée de se rendre à un si grand mariage. Elle se leva avec les poules, arf elles sont où les poules à Paris ? (heu au bois non ?? ok je re). Thaïs était elle aussi réveillée. Il était grand temps de se préparer pour aller à Notre Dame. Tout y passa chaussure, robe bijoux. Un fois prêtes, elles descendirent rejoindre le coche qui les attendaient. Mais elle oubliait quelque chose ... les cadeaux, elle fit demi et tour et força dans sa chambre chercher ce cadeau. Le coche les déposa devant le parvi de cette splendeur de cathédrale. Elles étaient émerveillée devant el bâtiments. Au loin Poup reconnu Esta, elle alla rejoindre son ami e, lui murmurant :


Tu a gardé une petite place pour nous ?
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