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[RP] Epousailles d'une petite Reyne et de son Dukaillon

Olivier1er
Le Seigneur de Sermages, quelque peut épuisé par une recherche de 24 heures demeurée vaine dans le nord est du Languedoc avait dormit dans le coche qui l'amenait directement du Languedoc.



Les traits marqués par le soucis de retrouver Joey et le tourment de ne pas le trouver malgres les renseignements récoltés, il arrivait à Paris et aux abords de Notre Dame.

Le Duc Erik n'était pas son ami - loin s'en faut - mais l'invitation qu'il avait reçus l'avait touché. Il lui avait promis d'etre present et d'oublier leur querelle passée au moins pour la période du mariage.

Il sorti du Coche et se dirigeat vers le parvis de la Cathedrale et penetra dans le lieu consacré.


Il vit quelques tete connus et vint s'assoir vers Emmaline et Angelique.

Bonsoir Emmaline pas trop fatiguant le Voyage ? j'ai eu beaucoup de mal à dormir pour ma part. J'espere que ton coche est plus confortable que le mien ^^


Bonsoir Baronne dit il à Angelique, comment vas tu ?

dit il en se laissant tomber lourdement sur le banc.

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Fifounijoli
Voilà qu’après les louanges de Fitz nous avions droit à Tiss dans toute sa splendeur, y avait longtemps que la brunette nous avait pas fait son show mais ça manquait presque et puis vaut mieux maintenant qu’en pleine cérémonie.

Les quatre commères euh compères enfin amies dans le carrosse qui fonce vers Notre Dame, à peine le temps d’admirer le paysage, les roues résonnent sur les pavés, et la duduche semble s’être assagie, profitant des quelques instants de calme qui restait avant le grand saut...

Tu es magnifique Fitzou enfin madame comme le dit si bien Belli te voilà femme enfin presque … regard vers la blonde et sacrebleu Beliiiiiiii c’est pas possible sursaut de la magnifique mariée et de la brunette qui étaient dans leurs pensées…. on a dit pas de fiole aujourd’hui tu as assez bu hier et surement les jours d’avant aussi tu vas pas faire pire que les angevines nameo, ben quoi Fitz là dit moi je fais appliquer pas la peine de me regarder comme ca

Prend la fiole de la blonde et goute le breuvage
beurk en plus c’est même pas angevin ce truc que tu bois aller oust on jette laissant sa main par la petite ouverture de la fenêtre du carrosse elle jeta la fiole sous le regard toujours aussi médusé de ses cop’s comme dirait Fitz

Tiss retrousse tes manches vous êtes pas possibles les filles pire que euh ouais enfin quoi et toi Fitz j'espère que tu n'y a même pas pensée ? je ne veux pas savoir ne me répondez pas surtout je ne sais rien je ne suis pas complice si on me demande je vous connais mais je savais pas.

Regarde ses amies et préfère devenir sourde et aveugle jusqu'à l'arrivée devant la cathédrale.
Strakastre
Une longue cape noire, rehaussée d'un capuchon relevé, dissimulant un visage sombre arriva sur le parvis de la Cathédrale. Le seul signe distinctif du personnage était un pendentif aux trois clefs tintant à chaque pas. Du monde était déjà présent, un grognement se fit entendre à travers le capuchon...

L'homme monta les marches d'un pas calme, puis s'arrêta quelques instants, semblant chercher quelquechose, ou quelqu'un, du regard...

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en deuil de ses Suzerains Anthony et Numalane de Massigny.
Armoria
Le trajet en coche l'avait vue bien plongée dans ses pensées, de telle sorte qu'elle n'avait pas réagi sur la manifeste incompréhension de ce qu'elle avait dit à Erik. Ce ne fut donc qu'en le voyant sur le point d'entrer qu'elle s'en rendit compte. Ingeburge : quand elle parlait de besogne avec art, il pensait à la noce... Et plus le temps d'y mettre les formes : déjà, Loreleï était entrée, et devant elle, Philippe-Lévan, qui portait, tout fier, le fameux coussin.

Elle fit face au Duc et posa ses mains sur ses épaules.


Erik... Toi écouter. Toi pas besogner jolie épouse comme mort de faim. Toi faire douceur, sinon peut-être elle pas aimer ça de toute sa vie. Toi comprendre ?

Eh oui, avec un quasi-marié, il fallait parfois aller droit au but, et laisser là les fioritures du discours.

Jolie tenue, au fait, très seyante. Allez, on y va !
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Killijo_de_denere
Killijo avait reçu un joli courrier annonçant les fiançailles de sa cousine Fitzounette. Il ne manquerait pas d'y aller, pour retrouver la famille, qu'il n'avait pas vu depuis bien longtemps, sa mère, et célébrer ce beau mariage. Il avait galopé des jours durant, sur Illusion, son cher cheval. Après une courte halte dans une auberge où il avait pris bain et s'était fait soigner par une servante avenante, il était reparti. Juste le temps de se dépoussiérer un peu de la route, il courut vers Notre Dame.

Sur les marches de l'église, il vit quelques belles jeunes femmes. Il n'en reconnut aucune. Il y avait pas mal de temps qu'il était parti. Les voyages l'avaient forci, il avait plus l'air d'un homme, et avait quelque peu vieilli. Il s'avança et se présenta aux dames en leur faisant une révérence


Mes Dames, je suis à votre service.

Après quelques galanteries prononcées, des baise-mains insistants, il entra dans l'église, faisant une entrée assez discrète, à la recherche de sa Mère, la seule femme pour laquelle il abandonnerait tout du jour au lendemain.
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Poulet de 16 ans
Fils du célébrissime Blademaster et de la non-moins talentueuse Joffrey de Dénéré
Explorateur sans frontières
Wuggalix
Enivré par la présence de sa Comtesse d'épouse, le Patriarche de Clairambault avaict faict route lui tenant main et comptant fleurette comme jadis, sans doute quelques folies dues au long temps qui séparait l'instant présent du précédant en sa compagnie...
Wuggalix s'en esté allé - en cette belle matinée de juin - une fois de plus en la capitale du grand Royaume françois.
Jadis il y fut allé avec un coffre que lui mesme avaict apporté au Cabinet des finances, en symbole des derniers écus que les Flandres rendait à Majesté, il avaict aussi passé quelques nombreuses heures en le Conseil des Feudataires au côté de ceux, qui ce jour allaient se marier.

Une angevine et un bourgignon.
L'heure estait pour le moins singulière, et lorsque missive du vieil ami qui aujourd'hui s'unissait parvint au Comte de Valenciennes, ce dernier sourit et fit envoyer son valet chez le tailleur le plus renommé des Flandres.

Agréablement paré, et en encore plus agréable, compagnie, le Patriarche de Clairambault offrit sa main à son épouse pour qu'icelle descende du carosse qui les avait mené jusqu'en Nostre Dame... La Cathédrale se dressait devant eux, implacable, inaltérable, et d'une magnificence sans pareil.

Quelques pas en compagnie de Léalie, le parvis approcha.


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Wuggalix de Clairambault,
Ancien Comte des Flandres,
Ancien Bourgmestre de Tournai,
Seigneur d'Eclaibes.

"Mon Dieu, mon Roy, mon Sang !"
Fitzounette
[Fast car.]

Les voici dans le carrosse. Toujours cette étrange sensation au creux du ventre. Elle est anxieuse, peut être un peu trop… Et elle est ailleurs, malgré les drôlesses qui l’entourent, elle a du mal à leur balancer une bonne vanne dont elle a le secret… L’équipage fonce, faisant fi des obstacles et autres déconvenues qui pourraient se présenter sur le trajet. Pas d’essieu pété, tout juste un malandrin fouetté pour qu’il déguerpisse et libère le passage.

Quand l’œil de la petite Reyne est attiré. Du calva ? Gnépapotib ! Même goût que les sucettes qu’on lui offrait quand elle était minote ! Rhhhhooo si ça ce n’est pas une bénédiction ! Mais à peine a-t-elle le temps de tendre la main vers le flacon que celui-ci se trouve renversé sur la chaussée. Elle retient à grand peine un hurlement de contrariété ! Rouge de colère, aussi intense que passagère, elle se met à pester :


Fifou mais où qu’c’est qu’t’as la tête ! Mais c’est incroyable ça ! Gaspiller un si délicieux breuvage !

Elle n’a pas l’opportunité de s’épancher en pleurnicheries et invectives que déjà les flèches de Notre Dame apparaissent dans l’entrebâillement des fenêtres du coche. Son cœur s’emballe, elle déglutit péniblement. Il est l’or, Mon seignor… L’or d’aller se marier ! Elle se met à trembler bien malgré elle et murmure :

R’gardez ça les pimbêches, si c’est pas magnifique…

Elle se plonge dans un silence religieux, répétant ce fameux oui qu’elle devra prononcer. Ne pas s’planter surtout. Elle réitère mentalement sans discontinuer : Oui oui oui oui oui… Trop tard, plus le temps de s’entrainer, le parvis est en vue et le foule compacte… Elle inspire profondément et expire. La porte s’ouvre soudainement et les filles descendent promptement, surexcitée, et visiblement ravies.

Tout s’accélère. Une clameur enfle le long de la cette marée humaine, qui la pétrifie. Comme un automate, elle pose un peton sur le marche-pied (malin les types qu’ont imaginé c’concept, c’quand même pratique !) et s’extrait de la voiture.




Elle cligne des paupières, éblouie. Elle cherche désespérément quelqu’un, scrutant tant qu'elle peut l'attroupement bigarré.
L’homme qui l’a élevé comme sa propre fille… Papou, mon papou, mon ficus, mon tout... Où es tu ?

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Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duchesse de Chateau Gontier.
Poupounet
Visiblement Esta était contente de la voir. Elle lui présenta Montmayeur.

Enchantée mais je ne connais ce messire que de nom.

A peine Esta lui fit une place qu'elle vit des amies arriver. Elle se releva et leur présenta Thaïs.


Bonjour à toutes. Je suis contente de vous voir nous allons prendre un banc rien que pour nous. Mais avant tout je voudrais vous présenter Thaïs, ma fille.


Elle prit la mains de son petit ange et la poussa gentillement devant les femmes.

Tout à coup Ange disparut, peut être avait elle vu Stam ou un de ses amants .. heu pardon des testeurs de latte Elle reviendrait surement plus tard. Elle garderai une place pour elle et Stam.


Olivier arriva, il ne la vit même pas.


Bonjour Olivier.


Plus le temps de discuter SE Ingue arriva. Poup proposa à ses amis de s'assoir. Elle installa Thaïs et laissa la place pour les suivants.
Eoline1
Eoline ne perdait pas une miette de ce qui se jouait devant elle. Entre les uns qui se faisaient des courbettes, les autres rivalisant en politesses affectées, doucereuses, elle se divertissait le sourire aux lèvres... C'est alors qu'elle fut tirée de sa contemplation par une voix qui ne lui était pas inconnue. Elle détourna la tête et le vit, là devant elle :

- Théo!! Bar...

Elle allait lui donner du titre en bonne petite roturière, quand il l'embrassa. Sincèrement ravie de le voir ici, elle se recula pour mieux le regarder. Il était parti de Bourgogne avec un teint cireux, il en revenait épanoui avec un "elle ne savait quoi" de nouveau dans l'œil.

Elle n 'eut pas le temps d'y réfléchir qu'un flot de questions s'ensuivit auquel elle répondit de façon toute aussi brève :


- Ian il va bien, il n'a pas voulu m'accompagner trouvant les mondanités et ce mariage en particulier assez ineptes. Le Bébé, presque 4 mois bientôt cinq... Le pèlerinage ne m'en parle pas!! Je suppose que tu as appris pour l'armée d'Urguell et Pignon... Montmayeur et Estainoise doivent venir tu en sauras certainement davantage...

De babillages en babillages, elle eut le temps de comprendre que la jeune femme qui était à son bras s'appelait Aelyce, se demandant en une fraction de seconde ce qu'était devenue Laelys... Peu importait, elle était heureuse de le revoir. Elle se présenta, essaya de se montrer courtoise et affable envers la jeune femme, puis se tournant vers Théo :

- Dis moi en parlant de Guyenne et de ton voyage, tu m'as l'air bien changé... Il faudra que tu me racontes par le menu tes aventures... Tu restes combien de temps?... L'amouuurrrr dis tu?

Lui lance une œillade perplexe et amusée, enroule son bras libre autour du sien et lui murmure à l'oreille :

- Tu ne nous l'as pas déjà fait plusieurs fois ce coup là ?

Et ne peut finalement résister au plaisir de lui décocher un clin d'œil tout aussi espiègle qu'entendu.
Olivier1er
Poupounet a écrit:
Bonjour Olivier


Le fit sursauté. Il leva sa tete fatigué avec des cernes de fatigue et sourit à Poupounet

Bonsoir Poupounet, désolé, je ne t'avais pas vu... Comment vas tu ?

puis en pretant un peu plus attention aux personnes qui l'entourait il reconnu le Baron Stam

Bonsoir Baron, dit en lui souriant et lui tendant une main amicale

Que du beau monde ce soir !
[/i]
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Aurelien_de_dhoye
[Les Bords de Seine , dernière trotte et on y est]

Voila , il y était presque , c'était énorme , il avait trouvé le bon chemin . Ah , c'est qu'il était bon le jeune Penthièvre pour ce genre de foulé à travers les villes , et toujours lui fallait une jolie bourde qui arrive et encore une fois , il ne passerait pas au travers. C'est que foule il y avait sur cette route qui menait droit au mariage de l'année ,des manants venu voir , des nobliaux venus trainer leur cul jusqu'à la cérémonie , et ça défilait , Aurélien , lui faisait avancer son canasson au pas , mais bon , faudra bien le parquer aussi quelque part celui-la .

Quelque bruit de voiture , derrière lui , il tourne la tête et voila que débarque , une coche préparé pour les grands jours , mais oui , c'est elle , la voiture qui doit voir débarquer la Petite Reyne , puré de non didiou ! Il était à la bourre , il fallait plus trop se trainer , si il voulait pas rater le début de la cérémonie. Tout doucement , elle s'approcha de lui , il avait arrêté son avancée , pour la voir passé , juste pour le coup , voila les roues qui était à ses cotés et qui il ne vit pas assis à l'arrière ? Sa mère . Il lui ferait bien le salut , mais voila que sa folle de mère lui envoie une bouteille en pleine tronche , directement dans le nez et voila que le sang coule , et la voiture qui continue à avancer et le jeune homme qui se tient le nez.


Mais ?

Du sang coulait , bon rien de dramatique , il sortit un vieux tissus de son mantel , se le mit sur le nez , mais bon ça faisait quand même bien mal , il descendit donc du cheval pour se remettre de son émotion passager , et ... oh ? voila que la fiole était restait intact , connaissant la Fitz , à coup sur que ça lui appartenait , mais pourquoi la jeter ? Il ne le saurait pas , en tout cas pas maintenant . Encore la main sur le nez , l'autre qui tient la fiole , il va falloir du courage pour tenir la cérémonie sans gémir , et alors quel fut la super idée du jeune homme ? Ben ce crétin s'enfila tout le reste de la bouteille et fallait avouer il en restait une bonne dose , genre celle qui vous fou un claque à vous renverser une chevalier prêt au combat.

grumpf ... hum ... mouahh...

Il se frotte une dernière fois le nez , c'est bon ça ne saigne plus , se tourne vers le bout de la route , et la voiture avait déjà bien avancée . Ah sa mère , il va lui faire parler du pays pour sur ! Mais bon , il n'y avait plus de temps à perdre , il reprit place sur l'animal qui lui s'en fichait bien de ce qui pouvait arriver à l'angevin . Merci bien .

Il reprit la route vers la cathédrale , restant bien à distance de la coche , faudrait pas se retrouver avec une seconde attaque en pleine tête , c'est pas qu'il en aurait pas envie de boire un nouveau coup , mais bon , encore un peu et son nez , il pourra se le remballer. Voila le pont de L'isle de la citée qui se pointe et à coté , oh divine chance , un lieu ou ranger les chevaux , quelque écus au gardien et il prit route à pied vers la place ou la voiture venait de s'arrêter et la promise du bourguignon qui descendait , belle , prête à honorer ses engagements.


Ah !

Et le nez qui se remet à couler ...

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Un jour, à la taverne, Aurélien a commandé un steak. Et le steak a obéi.
Pas très grand , pas trop petit , voila Auré'
Chabinne
[ Polignac ]

Quelques jours auparavant.


La brune rêveuse, flânait dans les ruelles de la cité Polignac, un sourire aux lèvres en songeant au beau jour qui pointait lentement son nez.
Mariage de son amie Fitzounette et d'un prénommé Éric. Homme dont elle lui avait parlé brièvement au cours de quelques discussions féminines. D'ailleurs, suffisamment pour lui avoir montré l'amour qu'elle lui portait, ce qui était aux yeux de la brune l'unique chose qui comptait.
Mais depuis, elle avait fait sa route, quitter l'Anjou suite à un désir d'évasion, les jours avaient filé à une vitesse impressionnante. Les histoires s'étaient mêlées à la partie. Le voyage n'était que distrayant. Le point noir? Un brigandage qui avait laissé la brune sur le bas côté du chemin, telle une alcoolique qui n'avait pu rentré à bon port. Contretemps qui l'avait retardé pour son rendez vous avec Reese et Rani, compagnons de route. Dire qu'elle avait tenté de détrousser le château limousin avec eux, idée saugrenue qui lui était passé par la tête. Elle s'en rappelle encore très bien, de sa vie elle n'avait jamais couru aussi vite, ou peut être que si, la fois ou elle avait croisé le Tam' et le Maistram sur son chemin, exact, ça devait être l'autre fois ou elle avait été ébloui par sa rapidité. Échec total de cette péripétie donc!

Arrivée devant l'auberge, un sac sur l'épaule ou se trouvait sa tenue de soirée, l'Angevine rejoignit ses deux comparses pour une nouvelle fois faire la route ensemble. Sur place, elle ne croisa pas Yuna et se demanda si celle ci comptait venir. Peut être qu'elle viendrait plus tard?
Pour l'instant, sur Coraje, son étalon d'un noir aussi marquant que celui des yeux de la Chabinne, elle attendait patiemment, en vain.
Grimace sur son minois et elle saute à terre, attachant les rennes de Coraje à un soutien quelconque avant d'entrer dans l'auberge.
Raclement de gorge et un son, plutôt un cri s'échappa de sa bouche.

L'vieux, la gamine, en bas et plus vite que ça! J'veux pas louper le fameux OUI, didiou!

Sans attendre réponse, elle rejoignit son étalon, le Reese et la Rani finirent par arriver. Et c'est au trot pour le moment que le groupe partit en direction de Paris, à nostre dame, avec une Chabinne toujours aussi curieuse et parfois même énervante.

J'suis jamais allé à Paris, c'est comment?
C'pas un truc remplis de bourgeois et de nobles?
C'est comment nostre dame?
Et la place hein?
C'est loin la cour des miracles?
Belialith
[J'suis pas alcoolique ! J'suis Ethyliquement mondaine !]


Après la Brune, la Blonde, voilà que la Rousse aussi s'y met à lui crier dessus, bon sang mais oh ! On se calme, elle aussi, elle peut gueuler !

Et alors qu'elle allait se jeter par la fenêtre pour récupérer sa fiole, elle avait vu un jeune homme à cheval se la prendre dans la tête, puis la ramasser et pour finir la boire. Les mèches blondes fouettant son visage furent rabattues rageusement, elle ne le connaissait pas et pourtant, elle le détestait déjà. SON calva ! Le Sien .. La seule fiole qu'elle avait pris pour la cérémonie .. Dans le gosier d'un garçon à peine plus jeune qu'elle sûrement. La Jeunesse c'est plus ce que c'était.

Rentrant la tête à l'intérieur assez pour entendre la Môme râler après la Roussse, Nyark ! Elle jubilait à l'intérieur l'Alençonnaise mais pas le temps, Nostre Dame, point de départ et point de non-retour pour sa Môme. Oula, elle vibre d'ailleurs la Buse, un sourire en coin en entendant la bécasse qui chuchote. Y a pas à chier des bulles, clair que la Grande Dame a de la gueule.

Franchement, c'quoi ce boucan, ah ? C'pour la mariée ? On situe la chose, la Môme qui sort et elle qui descend du carosse, maintenant, elle va devoir la laisser. Blonde à Blonde, sourire attendri devant la cadette des blondes avant de pencher vers elle et de déposer un baiser sur sa joue en faisant gare de ne pas déposer de fard sur le visage de la buse.


Tu es magnifique. Sois heureuse la Môme.

La Garce qui recule de quelques pas en souriant puis volte-face, sourire aux deux demoiselles d'honneur, avant de se ranger dans les premiers rangs du public et de croiser le regard .. du voleur de Calva ! Oubliant le lieu, la jeune fille attrapa ses jupes à pleines mains et se dirigea vers lui,furibonde

MA Fiole !
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¸.• Amoureuse des mots & Soigneuse des maux •.¸
Aurelien_de_dhoye
[Enfin sur place]

Il ne lui restait plus que à traverser ce dernier pont et il y était , enfin ! De la voiture descend sa cousine et ses poursuivantes , sa mère , Tiss et une blonde inconnu , c'est qu'elle était bien rempli cette voiture , même très bien au vue de la fiole qui lui avait remis les idées en place . Il est fort l'angevin , se remettre les idées en place en picolant , bien coutumier d'un résidant de Saumur. Il passa un dernier coup le tissu sur son nez , cette fois-ci le sang avait bien l'air d'avoir fini sa méchante balade , fort heureusement pour lui , il n'aurait pas à passer la cérémonie sous un mouchoir.

Le débarquement de la coche fini , la blonde qu'il ne connait pas se tourne vers lui , le regard. Mais elle veut quoi celle-la ? Et voila qu'elle s'approche du Penthièvre , mais qu'est ce qu'elle peut bien lui vouloir ? Il haussa légèrement les sourcils quand celle-ci vint à sa rencontre et la sentence tomba net , la fiole , ... sa fiole ! Ah c'est donc par sa faute qu'il a pissé du nez ? Fallait avouer que tout de même elle avait bon gout , on ne pouvait lui retirer.

Ben ... l'était bonne.

Il sourit gaiement , qu'elle aille pas raler , elles étaient pas obliger de la balancer non plus , et surtout pas sur lui . Il décida donc de sortir doucement sa main de son mantel , le sourire toujours bien collé au lèvre , il avance son bras vers la femme , la fiole en main , ... vide . Il n'en démordait pas , c'était bien mérité tout de même namého !

Faudra me dire ou vous l'aviez rempli


Et voila qu'il oubli le minimum syndical d'un bon jeune homme comme lui.

... Ah vi ... me suis pas présenté : Aurélien , le cousin de la futur mariée et le fils de .... de l'aut' tordu qui m'a balancé vot' fiole dans la face.

Légère grimace tendant la bouteille vide à la blonde.
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Un jour, à la taverne, Aurélien a commandé un steak. Et le steak a obéi.
Pas très grand , pas trop petit , voila Auré'
Fifounijoli
La blonde qui se jette pas la fenêtre pour une malheureuse fiole et ma robe qui va être froissée mais c’est pas possible pire que des gosses dans les rues ses Alençonnaises faudra que je cause à Cid tient moi pensa la rousse un sourire aux levres…

Fitz n’avait pas failli et malgré l’état d’excitation et d’angoisse qui devait lui torturer le ventre heureusement que la rouquine avait eu une seconde de bon sens malgré ce qu’elle en disait en jetant la fiole boire du calva avant d’entrée dans l’église …

Voilà qu’elles étaient arrivées, la foule, les gens tout ce monde, Fifou descendit du carrosse suivant Belli puis laissant son regard parcourir la foule espérant l’apercevoir … elle sourit à Fitz l’embrassa avant de rejoindre les invités.
Ne cessant de regarder autour d'elle cherchant son regard, il est là il n'a pas pu ne pas venir il lui a promis qu'il se retrouverait à Paris, un simple retard pensa t'elle avant de l'entendre , à peine perceptible, mais oui elle reconnaissait ce tintement entre tous, portant instinctivement sa main à son cou s'est alors qu'elle croisa enfin son regard, sombre, encapuchonné mais, il était là elle lui sourit s'approchant de lui son coeur s'emballa avant qu'elle dépose ses lèvres sur les siennes oubliant quelques instants où elle se trouvait ....lui murmurant quelques mots au creux de l'oreille Heureuse de te revoir bel ours même si tu te caches un peu sous ta capuche ta présence ne pouvait me faire plus plaisir Un petit sourire se dessina sur le visage de la rouquine laissant dejà place à un regard plus tendre de la part de Charles , elle lui pris la main l’entrainant à l’intèrieur de la cathédrale .
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