Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 9, 10, 11, ..., 22, 23, 24   >   >>

[RP] Epousailles d'une petite Reyne et de son Dukaillon

Otissette
[ Sur le parvis de la cathédrale ]

Les blondes visiblement elles étaient énervée fallait pas leur parler, la rousse elle était au bord de la crise de nerf pis la Tiss ahlala la Tiss … visiblement cette petite balade dans Paris lui avait redonné le sourire et l’envie de rire !

Bouh ce qu’elles étaient pénible ses coupines à pester comme ça, tout ça pour une minable fiole de calva pis elle en était presque certaine ce truc devait être imbuvable.

Là elle avait manqué une étape bah ouais en même temps c’est la Tiss ça, à rêvasser on suit pas toujours tout…. La Garce qui se jette presque sur Aurélien en hurlant à sa Fiole, elle disjoncte complètement l’Alençonnaise, faut la faire enfermer c’est plus possible. Là promis Otissette dès le mariage fini kidnappe la blonde et la ramène à l’asile Saint XIX . Nan nan nan c’est sa coupine elle la laissera pas sombrer dans la folie comme ça, elle tentera le tout pour le tout. Ah c’est beau l’amitié quand même ! ‘Fin faut peut être pas abuser non plus la blonde c’t’une royaliste.

Parenthèse fini la Tiss se reconcentre sur son mouton… La mariée ! Elle croise son regard et note _ que les mauvaises langues s’abstiennent non elle est pas sorcière_ l’inquiétude et l’angoisse de son amie. Pas besoin d’être devin suffit de connaître un peu la Fitz pour comprendre, elle panique le Ficus est pas encore arrivé et elle désespère complètement.
D’abord faut la déstresser un peu et pis réfléchir.

Tiss avait beau avoir un grand cœur surtout quand il s’agissait de la petite Reyne mais se pavaner à son bras dans une Cathédrale devant des centaines de paires d’yeux non certainement pas. Au pire elle lui trouverait bien un homme bien sous ton rapport, veuf célibataire voir marié _rayer la mention inutile_

Fitz’ tu vas te détendre cinq minutes, l’Vad va arriver et toi tu te calmes et tu répètes ta leçon ! Tu sais encore ce que tu dois dire ?
Répète après moi…


Otissette se met à lui mimer un Oui exagéré, quoi ça la calme pas ça la Blonde, ça l’énerve encore plus ? Bah fallait pas prendre la Tiss pour demoiselle d’honneur personne a jamais dit qu’elle était parfaite non plus.

Bon alors tu la répètes cette leçon ! Gné papotib ça c’est pas compliqué quand même O U I.
Répète après moi.


Elle se foutait de la poire de son amie ? Non jamais, elle oserait pas… pas son genre ça.

Pour se faire pardonner pis passer l’attente elle va se mettre à chanter tient, bon bah la pluie tarderait pas à arriver mais y’a pas un type un jour qu’a dit mariage pluvieux mariage heureux ?
_________________
Arielle_de_siorac
Au milieu de sa mesnie, Arielle se détendoit quelque peu. Sa fille estoit sauve, tout son petit monde estoit réuni, chacun se tenant avec la dignité de leur rang. Hum... Certes, Jeanjacob arboroit sa mine nonchalante présageant d'imposantes ripailles et libations sitost le rituel prononcé... et les garçons jouoient discrètement du coude en se désignant les paons et les fées qui se pressoient tout autour d'eux. Et hem... le géant mauresque qui servoit d'ombre à la comtesse manifestoit quelques signes d'impatiente agressivité par devers tous ces potentiels assaillants... mais enfin, Rose et Fusette estoient impeccables. Bref, tout estoit sous controsle.

Pendant un moment, la Dénéré promena ses prunelles sur cette marée humaine, bigarrée et bruyante, d'où jaillissoient exclamations et rires. Quelques parentés luy accentuèrent le sourire en passant, visages entr'aperçus à peine un instant. Des souvenirs ambulants, projetés fugitivement, avant d'estre à nouveau happés par toute cette folie, semblable, finalement, à l'existence.

Ignorant à dessein les figures mésaimées, Arielle vouloit saluer les amis et cousins, mais le remue-ménage estoit tel que nulle fraternisation ne sembloit pouvoir estre possible pour le moment. De surcroist, une clameur s'éleva bientost de la gueule béante de Nostre-Dame. Tous les visages se tournèrent à l'unisson.

Les promis alloient faire leur entrée.

_________________
Sorane
Autun : A la recherche de temps perdu

Après avoir reçu l'invitation d'Erik à venir partager son bonheur durant la cérémonie de mariage, Sorane avait eu soudain l'impression que les journées étaient encore plus courtes que d'ordinaire... Et ces nuits l'étaient encore davantage.

Lorsqu'elle pouvait délaisser les affaires d'Autun et son bureau où des courriers et des dossiers commençaient à s'empiler, avec un penchant pour imiter la tour de Pise, elle se piquait les doigts à coudre une nouvelle robe qui ne la ferait pas paraitre trop paysanne.
Un temps, elle se demanda si à force de se faire des saignées des doigts, elle n'allait pas s'endormir pour au moins un siècle.

Son esprit avait dû prendre du repos, car quand il lui vint l'idée d'aller toquer chez ses amis, sa marraine, son filleul ou son ami, Vaxilart pour profiter de leur compagnie le temps du voyage, ils suivaient déjà tous la voix vers Notre Dame.
Tant pis, à défaut d'être prévoyante, elle allait devoir s'accommoder de la solitude et de tête à museau avec sa monture !


A paris : Les malheurs de So...rane

Elle n'avait guère quittée sa ville d'adoption depuis sa fuite familiale, elle n'était guère habituée aux voyages, ni aux villes qui comptaient plus de rues principales que de doigts sur deux mains.

Elle se rendit vite compte que l'orientation urbaine n'était pas son fort, ni la concentration. Ses yeux étonnés et émerveillés couraient d'un bâtiment à l'autre, et c'est ainsi qu'elle se perdit et faillit bien y perdre sa tête.

L'obscurité du soir lui fit retrouver son sens pratique, elle devait trouver un endroit où passer la nuit, projet qui lui sembla subitement ardu !
Désemparée, elle se souvint d'un adage que sa grand mère lui répétait souvent :
"Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles."

Son regard quitta les pattes de sa monture qui pataugeaient dans le caniveau pour se tourner vers les étoiles... et s'accrocher à son phare, les flèches de la Cathédrale lui indiquaient son chemin.

Elle eut tôt fait de dénicher une auberge modeste, pas trop loin de la Cathédrale.


Le lendemain : Au malheur des Dames

Les mâtines la trouvèrent déjà à sa dure besogne : se rendre présentable !
Elle fit sa toilette, se frotta la peau avec de l'huile parfumée de sa composition, enfila sa robe qu'elle avait mise à défroisser la veille, ajouta un pendentif tout simple et tenta de dompter ses cheveux rebelles avec quelques peignes sertis de perles.

Le résultat fut tout juste acceptable au vu de ses efforts pour y arriver !




Entrée à la Cathédrale : Là tout n'est que désordre et beauté, luxe, brouhaha et peut-être volupté (pour les mariés du moins !)

Que de monde ! Une marée humaine se pressait et s'oppressait sur le parvis de la Cathédrale ! Ses pieds furent copieusement piétinés avant qu'elle ne parvienne à atteindre le sanctuaire.
Elle prit cependant le temps d'admirer le magnifique ouvrage, oeuvre des hommes sans nul doute inspirée par le Très-Haut.
Elle se demanda d'ailleurs pourquoi cette Cathédrale était nommée Notre-Dame.

A l'intérieur, elle se faufila, son regard cherchant des visages connus... La pêche fut bonne !
Elle alla saluer ses amis Autunois pour commencer, le père Graoully, elle sauta dans les bras de Clothylde trop heureuse de la revoir en pleine santé, elle salua Mallory, Nadkiroul, Louis-Philippe, Saxotenor, Keltica, Emmaline, Lenada.

Elle rejoignit Olivier1er qui était en compagnie de sa marraine Angelique et de Dame Poupounet. Elle leur adressa un sourire.
"Et bien, quelle élégance ! La bourgogne est dignement représentée aujourd'hui."
Elle embrassa sa marraine, échangea quelques potins.

Elle aperçut enfin son ami Vaxilart et l'invita à rejoindre leur petit groupe.
Elle plaisanta avec ses amis :
"Si l'art des discours est un héritage familial, nul doute que leur descendance sera précoce et endurante dans le maniement du langage avec un père comme Erik !"
Snell

Le Borgne était là!

C'était la première fois que Snell venait en ce lieu, mais il était très heureux d'y voir autant de visages familiers. Il était encore plus heureux de n'y voir que très peu de visages non-familiers. En fait, l'endroit n'empestait presque pas l'angevin. Nul besoin de duel en vue!

L'infâme Borgne entreprit alors de faire une ronde pour saluer ses connaissance. Les dames d'abord, bien entendu, et il en profiterait pour proférer moultes bises.

Coup d'oeil à droite, coup d'oeil à gauche. Aucun signe d'Armoria. Dommage.

Il jeta son dévolu sur une autre proie de choix: Marie-Alice! Bise, bise!

Et voilà Eoline aussi! Bises! Et Clothylde! Bise et rebise! Quel plaisir de les voir toutes deux en vie!

Oh! Et qui voilà! Erwyndyll!! Quel plaisir! Bise, bise et rebise! Voilà si longtemps qu'ils ne se s'étaient vus qu'elle en mérite bien trois!

Estainoise n'y échappa pas. Donc bise et bise. Nadkiroul non plus. Bises! Oh! Et Mallory! Bise et rebise!

Quelle chouette idée ce mariage!

Qui d'autre? Sylvie? Sylvie! Snell hésita un instant, puis la bisa une fois, puis deux et trois! Un sourire et il était reparti.

Il croisa encore Marie-Alice. Bise et bise. Il la trouvait un peu gourmande, mais lui pardonna. Ce fut ensuite Poupounet et Emmaline. De belles bises pour les dames basilics. Et Angelique! Bise et rebise! Keltica aussi. Bisous! Et Sorane! Bises!

Son oeil unique brillant d'excitation suite à tous ces bisous, le Borgne regarda autour et, toujours sans voir même l'ombre d'Armoria, il aperçut d'autres visages connus, mais de genre masculin. Politesse oblige, il alla les saluer, mais retint les bisous quand même.

Il salua le duc Vaxilart bien bas, puis Antoineleroy qu'il avait brièvement connu il y a longtemps. Un signe de la main pour messire Asclepiade et une accolade chaleureuse à Louis-Philippe. Un signe de tête pour Saxotenor, une tape chaleureuse sur l'épaule de Theognis et une poignée de main fraternelle à...

Montmayeur! Quel plaisir de le revoir, lui! Et en vie en plus! Quelques morceaux en moins, mais peu importe!

Ensuite une autre surprise: Phelim! Une forte poignée de main pour le dauphi... euh... dauphinais? Dauphineux? Dauphinois? Pour le type du Lyonnais-Dauphiné, voilà.

Finalement très heureux d'avoir revu tout se monde, Snell retourna prendre place près de son amie Marie-Alice et, question de lui faire un immense plaisir parce qu'elle est folle de lui, il lui donna deux autres bises mouillées et son sourire le plus insolent.

_________________
Jovalpeye
Jo arriva bien entendu en retard à cet ceremonie ,il y avait tellement de monde, un peu honteuse d'être en retard , le couple de marié étaient magnifique, elle fit signe à sorane et ceux qu'elle connaissait.
Jo resta tranquile regardant ce monde honnoré de leur présence ce jour plein d'émotions, l'union d'un grand homme et d'une grande femme.

Son époux ne pouvait venir il était en mission alors elle était venu seul ... Quel monde pensa-t-elle hoo! sorane est trés belle dans sa tenue je lui parlerais aprés.
Mariealice
Toujours à son observation, Marie s'était perdue dans ses pensées et ne faisait plus attention au bal des allées et venues et autres salutations. Ce qui l'arrangeait bien quelque part, il faut bien l'avouer. Pas forcément envie de se montrer sociable en ce moment.

Sauf que là, une espèce de tornade blonde et borgne se présenta devant elle, et, sans lui demander son avis, lui colla d'autorité deux bises avant d'aller en faire autant à toutes les femmes que la dite tornade connaissait.

Nez froncé, sourcils qui commençaient à faire de même mais pas le temps de l'ouvrir qu'il revenait à la charge, en rajoutant une couche avant de repartir à nouveau continuer sa tournée.

Sourcils se fronçant pour de bon tandis que les noisettes le suivaient, ayant complètement oublié, un instant, l'encapuchonné objet de toute son attention. Un instant qui ne dura guère puisqu'il retomba dans son champ de vision et que sa curiosité naturelle fit se remettre en branle son cerveau. Bon sang de bonsoir où l'avait-elle vue cette fichue silhouette.

Et vlan, troisième couche de baisers, des fois qu'elle fut en manque, par le plus grand des hasards. Il s'asseyait à côté d'elle en plus et avec un sourire qui signifiait son contentement.

Rapide coup d'oeil pour voir si le second du duo infernal ne serait pas dans les parages des fois, histoire de se prémunir de toute nouvelle surprise du genre. Pas de trace du Mauvais, ce serait donc entre l'Infâme et elle.


Bonjour Snell.

Index se pliant et s'agitant pour lui indiquer de se rapprocher plus près d'elle, sourire angélique, murmures.

Je suis certes heureuse de vous voir mais vous êtes prié de garder vos lèvres loin de mes joues sous peine d'y perdre des dents.

Et hop de se redresser comme si de rien n'était.

Comment vous portez-vous?

_________________
Forrest_le_dru
Enguirlander comme un vieux tas de purin qui empeste et dont on ne sait plus quoi faire. C'est à peu près ce qui était arrivé au bon Forrest après que le Duc et Pair ait ressenti quelque frisson lors de ses ablutions.

Le bon Forrest comprenait bien sa réaction : le pauvre soiffard, tout noble qu'il soit, était en retard à son mariage parce qu'il avait liché pendant des heures à en oublier quasiment l'heureux évènement du lendemain; Ces gens riches et puissants avaient cette manie de pouvoir oublier jusqu'aux choses les plus essentielles, sans doute parce qu'ils ont les moyens de s'offrir encore mieux.

Toujours est-il que le bon Forrest avait trottiner en grimaçant pour apporter ce que le colérique Erik voulait. Les voilà enfin partis à toutes allures à travers les ruelles parisiennes. Perché à l'arrière de la voiture, le bon Forrest entendait tout des conversations intimes des deux nobles et ne pouvait s'empêcher de les ponctuer de soupir plus ou moins fort.

Pourquoi donc sa maistresse s'occupait-elle de choses qui ne regardaient que l'homme fort et puissant. Et quelle idée donc de penser que la promise était encore pucelle; Il fallait ouvrir les yeux. Chacun le savait, et ce grand coureur de jupon de Forrest en premier, que l'angevine était chaude comme une gargote à frites ainsi qu'on le disait parfois dans les Flandres.

Et puis enfin Nostre-Dame ! Quelle bâtisse prodigieuse. Devant la foule rassemblée sur le parvis et qui commençait déjà à emplir la nef, le Bon Forrest se fit discret. Il n'était que valet et ne devait pas oublier sa condition. Restant à proximité de la Princesse au cas où, il décida qu'il s'installerait au fond de l'église et scruterait plus sa maistresse que le reste de la cérémonie si des fois elle lui commandait de venir vers elle.
Friandise
Friandise entendit un brouhaha venant du parvis de Notre dame... Les gens semblaient se diriger vers celui-ci. Curieuse de nature, elle se leva et fit de même... Après avoir balayer la foule du regard elle le vit! Il était enfin la... Sa tenue était magnifique. Il semblait un peu ailleurs... Un peu stressé par ce qui l'attendait en ce lieu... Cette journée serait, pour sûr, la plus mémorable de sa vie... (Après son mariage avec Enguerran et la venue de ses bambins au monde...) Friandise sourit un instant et chercha la fleur qui à su apprivoiser son fillot... Lorsqu'elle l'aperçu enfin... Un sourire vint égayer son visage à nouveau... C'était une beauté sans non... Une amazone au teint léger et clair.... Elle était stupéfiante... Friandise reconnaissait qu'Erik avait de très bon gout en matière de femme...

Elle réajusta sa robe se sentant un peu en décalage au vu des toilettes exposé par les dames présentent... Il faut dire qu'elle n'avait pas les moyens de s'offrir de merveilleuses robes. Elle avait, pour l'occasion, revêtue la tenue que son ex époux lui avait confectionné...



Puis elle s'avança dans la foule pour les admirer encore un peu avant de reprendre place dans ce lieu saint et magnifique...
Antoineleroy
Continuant de fumer sa pipe, dégageant des beaux volutes de fumée qui disparaissaient au fil de leur élévation vers les cieux, le médicastre sentit une présence derrière lui... Il se retourna timidement, gardant un oeil au loin afin d'échapper à la vue de son Exellence Ingeburge, et vit une magnifique jeune femme. Il ne la connaissait pas mais ses armoiries laissaient comprendre que c'était une Duchesse, qui était devenue immobile d'ailleurs, une légère grimace se dessinant sur son joli visage!
Elle aussi avait peur du Cardinal?


* Fichtre, décidemment je ne doit pas être le seul... *

Le regard du chancelier se perdit à travers les bancs où il reconnut le Duc Vaxilart, son Excellence Asclepiade ainsi que Messire Saxotenor. Les Bourguignons étaient présents, et pas des moindres!

Pendant ce temps, une foule toujours importante ne cessait d'entrer dans la belle Cathédrale. Il aperçut Emmaline, Dame de st Hilaire en Morvans, Olivier 1er, Seigneur de Sermages ainsi que Snell, Seigneur de Moulins-Engilbert. Le Vicomte leur adressa un signe de tête accompagné de son traditionnel sourire chaleureux... Se souvenaient-ils de lui après tout ce temps passé?

Dans toute cette foule, il aperçut un homme avec une capuche qui marchait comme une personne qu'il connaissait, la démarche lui était familière, mais qui était-ce donc?


* Groumph, fichue capuche! *

Vidant sa pipe et la rangeant dans la poche de son mantel, Antoineleroy continuait à regarder le monde présent. Ses yeux se posèrent ainsi sur Theognis...
Le Chancelier avait eut du mal à comprendre l'actuel conflit avec le Cartel, l'armée du Renard, la Guyenne et la Gascogne, mais une fois plongé dedans il avait appris que Theognis faisait partie du fameux Cartel.
Le médicastre haussa les épaules


* Arrête de te poser des questions et suit la cérémonie... *
_________________
Fifounijoli
Petit coup d’oeil dans l’édifice personne c’est pas possible, malgré le nombre impressionnant d’invité déjà présent pas le temps pour les salutations la rouquine reprenait ses esprits peu à peu tournant la tête dans tout les sens, pas de ficus à l'horizon, pas de duc mais où étaient ils donc passés, ce n’était pas le moment pourtant d’aller faire un pique nique elle ressortie de la cathédrale tenant toujours la main de son ours qui devait se demander ce qui se passait.
Regard échangé avec la brune et petit pincement de lèvres faisant fit qu’il n’était pas en train de dormir sur un banc avant de sourire malgré tout à la blonde tachant de la rassurer il allait arriver tout allait bien se passer. …
Graoully
Plus le temps passait et plus Graoully commençait à s'ennuyer d'attendre aussi longtemps le mariage. Aussi fut-il heureux de rencontrer une paroissienne, qu'il s'empressa de saluer.

Bonjour Sorane, ravi de vous voir en ces lieux, dommage que ce soit si loin, le voyage est d'un long ! Enfin je ne regrette pas vraiment car je peux ainsi admirer la capitale et son lieu de culte. Merveilleux tout ceci.


Laissant partir Sorane qui allait saluer d'autres connaissances, Graoully se décida à rentrer définitivement, quitte à sortir par la sacristie moins encombrée, car le flot de gens ne s'interrompait pas, et qu'il n'allait bientôt plus pouvoir pénétrer dans la cathédrale.
Jouant des coudes, il se faufila dans la nef qu'il commençait à connaître, retraversa le jubé, et rajusta sa soutane avant d'entrer dans la sacristie.




Là, il salua les clercs qu'il n'avait pas encore vu, et attrapa la Livre des Vertus pour voir si un marque-page n'avait pas été placé à l'endroit de la lecture.
_________________
Belialith
[Je fais rien que des bêtises, des bêtises quand t'es pas là !]


Elle va se le faire. Clair qu'elle va se le faire ! Récupérant d'un geste vif sa fiole, elle l'ouvrit pour essayer d'en extraire les dernières gouttes, désespèrément. Se mordant les lèvres, la jeune fille se retint de verser des larmes de rage, elle avait oublié la valériane, on lui avait vidé sa fiole, et elle était censée tenir ?

Et alors qu'elle pleure intérieurement la disparition de sa fiole tant aimée, et l'idiotie qui la poussait à ne prendre qu'elle alors que toutes ses cousines attendent sagement dans ses malles, elle l'entend parler. Aurélien, cousin fils, tordue. Secouant la tête, elle essaya de reconstituer la phrase. Un coup d'oeil vers la Rousse qui est en fait un monstre de cruauté, non seulement elle prive deux blondes de calva mais ensuite, elle blesse son fils ! Oubliant totalement que le fiston s'est quand même sifflé sa fiole, la jeune fille sourit faiblement en retour et plonge dans une révérence.

Bélialith, amie de la future mariée et de la demoiselle d'honneur. Je l'avais rempli avec du Calva directement importé de Normandie. Et maintenant qu'elle est vide...

Blonde nerveuse qui se retourne les doigts dans tous les sens, et manque de mettre en miette le mouchoir qu'elle a sorti de son décolleté pour essuyer les larmes qui commencent à perler. La fatigue, la tension et la privation ont raison des nerfs de la Garce, un dernier regard à la Môme, on ne pleure pas à un mariage, aussi l'Alençonnaise ravale ses larmes de dépit et range son mouchoir, puis la fiole dans l'échancrure de la robe. Où va-t-elle trouvé de l'alcool .. Un regard alentours et les amandes se posent sur un homme qu'elle a déjà vu .. Armagnac et Conminges ! Un signe de la main bref au jeune homme avant de disparaitre à travers la foule pour rejoindre l'homme.

Arrivée devant lui, la blonde qui fait une révérence du mieux qu'elle peut et c'est parti pour une plaidoirie des plus détonnantes.

Bien le bonjour messire Antoine, vous souvenez vous de moi ? Aux Feudataires ? J'ai une demande à vous faire .. Nervosité quand tu nous tiens, mouchoir en main, mouchoir froissé, défroissé, refroissé, facile à bousiller de la dentelle. J'ai cru remarquer quand nous nous cotoyons au Louvre que vous aviez toujours sur vous de quoi .. vous rafraichir. Chose que je conçois tout à fait, je fais de même, sauf que voyez vous aujourd'hui alors que c'est un jour important pour une mienne amie, voici que ma fiole est vidée par un opportun parce qu'on me l a confisqué. Oh Messire Antoine s'il vous plait, auriez vous un petit quelque chose à boire, de grâce ..

Vous trouvez que ça fait désespérée ? Le narrateur est d'accord avec vous, donc revenons à ce qui nous intéresse ! La Blonde, suppliante qui vérifie d'un coup d'oeil que la cérémonie commence pas, et qui est carrément prête à se relancer dans une diatribe dramatico-pleurnicharde pour arriver à ses fins à savoir .. De la picole !

_________________
¸.• Amoureuse des mots & Soigneuse des maux •.¸
Aelyce_h

Dieu qu'elle aimait l'entendre rire..Le temps s'arrête à chaque fois révérencieux otage de ce bonheur qu'il divulgue à chacun de ses éclats de rire.
Un sourire s’ébauche sur le bord de leurs lèvres, délateur de leur complicité et d'une intrinsèque appétence inextinguible qui aurait banni les convenances s'ils n'avaient pas croqué l'un dans l'autre avant de sortir du carosse.
leurs doigts s'enchevêtrent matérialisant leur sensuelle et inaltérable connivence.

Quand soudain il l'attire dans son élan pour embrasser une connaissance. Sortir de sa besace le sourire de circonstance, juste assez pour montrer qu'elle ne mord pars, mais pas assez pour charmer. Un séjour en Guyenne ça vous replonge dans la vie sauvage, où nulle place à l'insigne, encore moins aux mondanités. Tandis qu'elle se battait avec ses commissures pour les corner vers le haut, en avançant un "Enchantée Eoline, ravie de croiser une amie à Théo" et pendant que le baron continuait sa discussion, elle vit un borgne à sa droite distribuer allègrement des bisous bourguignons, et se souvint qu'un bisou de borgne ça éloigne le malheur pendant 7 ans.
Elle en prit deux, un pour elle et un pour le délicieux baron, le lui colle d'une petite claque discrète sur la fesse droite, souriant telle une petite cruche nobliaute à Eoline tandis que sa main s'assure discrètement que le bisou du borgne était bien collé à son improbable support.

Soudain un brouhaha à l'extérieur leur parvint jusqu'à leurs oreilles et des gens qui s'empressaient à regagner leur place en urgence, firent régner un silence religieux, attentif à l'apparition tant attendue du couple dont elle n'a jamais oublié la complicité depuis la dernière fois qu'elle les avait croisé cet hiver même.

_________________
Ysabeau
Ysabeau sursauta. Elle s'était assoupie dans la taverne enfumée où Fitzounette enterrait sa vie de jeune fille... Norf de norf, les cloches de la cathédrale sonnaient, sonnaient...
Elle allait être en retard pour le mariage...
Vite, elle se leva, rajusta sa coiffure, lissa sa robe, et s'en fut à pas pressés vers la cathédrale.
Les rues étaient pleines d'une foule bigarrée, elle avait du mal à avancer.
Elle faillit se faire accrocher par une carriole, un maraîcher peu amène lui cria de se ranger...

Enfin, la place de la cathédrale. Une foule s'y pressait. Que d'invités, que de monde ! Elle n'en connaissait pas le dixième.
Elle eut le temps de voir la mariée, resplendissante, descendre du coche qui l'avait conduite.
La tisserande sancerroise admira le travail de la robe écarlate, la finesse des broderies.
Ysabeau entra dans la cathédrale, plissant les yeux. Le contraste entre la lumière du dehors et l'intérieur obscur la rendait presque aveugle.
Elle attendit un instant, hésitant.
Puis elle s'assit à une place libre.
Ouf, elle n'était point en retard, la cérémonie n'avait pas encore commencé.

_________________
dame de Sury sur Léré
Antoineleroy
Alors en pleine réflexion, ses pupilles furent attirées par un geste de va et vient de l'autre côté de la foule qui se pressait. Le Vicomte plissa légèrement ses yeux pour ajuster sa vue et vit avec surprise la Duchesse d'Alençon Belialith avec qui il avait travaillé chez les Feudataires...

" Bien sur que je me souviens de vous Dame Belialith, comment allez-vous? "

Elle semblait nerveuse, ce qui étonna le Chancelier... Ce n'était pas elle qui se mariait pourtant!?
Large sourire en écoutant son discours désespéré


" Mon éducation m'oblige à vous refuser d'étancher votre soif avec ma fiole, cela dit vous avez bien de la chance car je dois avoir quelque chose pour vous dans ma sacoche de médicastre! "

Il la fouilla (sa sacoche, pas Dame Belialith bande de dégénérés!) et sortit une bouteille d'Armagnac, fier alcool de son Comté...
Antoineleroy regarda autour de lui voir si des yeux trainaient puis la tendit rapidement à la blonde


" Cachez là bien! "

Petit clin d'oeil agrémenté de son sourire habituel

" Les temps sont durs Duchesse... Si en plus on nous prive de boisson où allons-nous!? "
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 9, 10, 11, ..., 22, 23, 24   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)