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Après Dijon, Bourges, Bordeaux et Auch, Pau acceuillit récemment l'ouverture du dernier hôtel rural en possession de Enguerrand Mirandole : l'hôtel Mucidan. Le nom, d'abord, faisait référence à la capitale de sa province - le Mussidanais. L'orthographe fut toutefois modifiée en raison d'une envie mélancolique. Par ailleurs, l'intérieur du bâtiment était cossu. Acheté tout prêt de l'église, la présence de l'édifice religieux a proximité fut un choix de luxe. Le borgne était un homme féal et il jurait, souvent, par Saint Georges. Ce chevalier incarnait la chevalerie qu'on pouvait notamment retrouver sur ses armoiries entrain de terrasser un dragon.
La pièce principale de l'hôtel respectait un ordre de calme apaisant. Des meubles à semi-hauteur se plantait dans des tapisseries aux couleurs chaudes. Leur bois sombre entreposait ci et là des vélins neufs, des ceinturons de cuir ou encore un plateau de bouteilles d'alcool. La cheminée dévorait allègrement des buches dans son âtre et le craquement des flammes berçait l'ambiance de cette énorme pièce. Deux tabourets faisaient face à la cheminée, et, éparpillés dans toutes la pièces, des fauteuils simples ainsi que triples apparaissaient sous leurs tissus de contraste verts. Suspendu aux plafonds, des chandeliers supportaient le poids de dizaines de bougies, lesquelles fondaient au fur à et mesure des soirées chaleureuses.
A côté de cela, pas très loin du boudoir se trouvait la cave et le garde-manger. La pièce conservait une fraicheur stable tandis qu'un mélange fruité de saveur naviguait dans la pièce. De l'ail pendait par ci ; des bouteilles sous poussières aux reflets cuivrés par là. De la viande accrochée et des poissons séchés furent fumés et salés selon les envies des convives.
Plus en haut des escaliers on retrouvait l'indispensable baignoire avec un chauffeuse à bois a proximité. L'eau du bain pouvait être à la fois tempérée par sa chaleur et des onguents laitiers ou de fraises pouvaient venir ajouter une touche d'onctuosité pour retirer la crasse des corps. Enfin, les nombreuses pièces feraient sujet de chambrines pour les allers et venus ou tout simplement pour les habitués. De toute façon, pour y pénétrer, il fallait obtenir l'accord du propriétaire des lieux.
A ce propos, Enguerrand Mirandole offrait le couvert et le toit à ses invités. Les écuries entreposaient les différentes montures des hommes dans une étable limitrophe aux murs de l'hôtel. Un fourre-tout, dès l'entrée de l'hôtel Mucidan s'improviserait gardien des épées, des lames et des armes de jets - armes en général. ici, entre amis, pas besoin de se protéger. La pièce principale deviendrait un campement pour tous et le lieux d'histoires plus magiques les unes aux autres ...
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http://flexrr.tumblr.com
Le chant du Mussidanais
La pièce principale de l'hôtel respectait un ordre de calme apaisant. Des meubles à semi-hauteur se plantait dans des tapisseries aux couleurs chaudes. Leur bois sombre entreposait ci et là des vélins neufs, des ceinturons de cuir ou encore un plateau de bouteilles d'alcool. La cheminée dévorait allègrement des buches dans son âtre et le craquement des flammes berçait l'ambiance de cette énorme pièce. Deux tabourets faisaient face à la cheminée, et, éparpillés dans toutes la pièces, des fauteuils simples ainsi que triples apparaissaient sous leurs tissus de contraste verts. Suspendu aux plafonds, des chandeliers supportaient le poids de dizaines de bougies, lesquelles fondaient au fur à et mesure des soirées chaleureuses.
A côté de cela, pas très loin du boudoir se trouvait la cave et le garde-manger. La pièce conservait une fraicheur stable tandis qu'un mélange fruité de saveur naviguait dans la pièce. De l'ail pendait par ci ; des bouteilles sous poussières aux reflets cuivrés par là. De la viande accrochée et des poissons séchés furent fumés et salés selon les envies des convives.
Plus en haut des escaliers on retrouvait l'indispensable baignoire avec un chauffeuse à bois a proximité. L'eau du bain pouvait être à la fois tempérée par sa chaleur et des onguents laitiers ou de fraises pouvaient venir ajouter une touche d'onctuosité pour retirer la crasse des corps. Enfin, les nombreuses pièces feraient sujet de chambrines pour les allers et venus ou tout simplement pour les habitués. De toute façon, pour y pénétrer, il fallait obtenir l'accord du propriétaire des lieux.
A ce propos, Enguerrand Mirandole offrait le couvert et le toit à ses invités. Les écuries entreposaient les différentes montures des hommes dans une étable limitrophe aux murs de l'hôtel. Un fourre-tout, dès l'entrée de l'hôtel Mucidan s'improviserait gardien des épées, des lames et des armes de jets - armes en général. ici, entre amis, pas besoin de se protéger. La pièce principale deviendrait un campement pour tous et le lieux d'histoires plus magiques les unes aux autres ...
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Le chant du Mussidanais