[RP] Du Languedoc à la Bourgogne ...

Jenifaelr

Une affaire avait était en Languedoc et la Vitalis voulant faire prospérer la Vaunage par-delà le Languedoc, alors une idée avait germée et mûri, elle écrivit à une certaine intendante Bourguigonne :

De moi, Jenifael Lisbeth Vitalis da Roma, Dame de Boissières-en-Vaunage
A vous, Zoé Lisreux, Intendante des terres de Rouvres en Bourgogne,

Salutations,

Je me souvient de notre discutions à Boissières. Il me semble que vous êtes intendante consciencieuse alors j'aimerais vous proposer un projet. Un projet qui nous permettrais à toutes deux d’enrichir nos listes de clients. Voici donc l'idée :
Monter un comptoir pour les vicomtés que nous tenons à Paris. Ainsi les produits Bourguignon et Languedociens seraient vendu au même endroit. Nous pourrions également proposer à d'autres intendants ensuite, de s'ajouter. De plus, nos suzeraines respective, pourraient écrire à leurs amies et amis, pour venir acheter à ce comptoir à Paris.

Dans l'attente d'une réponse,

Jenifael Lisbeth VdR-C

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Shirine

Depuis qu'elle est Intendante, Shirine s'efforce de faire se développer au mieux les terres de sa patronne. Entre visite de chacune des Seigneuries, remise en état de bâtiments clefs laissés à l'abandon et recherche de contrats commerciaux... La rouquine ne chôme pas.

Professionnellement, sa rencontre avec Jenifael fut des plus intéressante.

Citation:

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Jenifaelr

La blonde, était à Paris, elle attendait désormais, l'intendante de Rouvres. Jenifael avait trouvé le lieu, pour le projet, maintenant rester à exposer l'idée à Shirine. Il faisait froid et la Languedocienne grelotterais presque. Elle avait répondu à l'autre intendante, pour donner le rendez-vous devant cette boutique des Halles La Fayotte. La boutique avait brûlé un jour, pourtant cela avait été une célèbre et réputée boutique. Tout le monde connaissait les macarons Ladurée? Eh bien voilà que Boissières songeait à faire revivre le bâtiment, sous une autre enseigne.

La vénitienne, patiente à pris peu de chose avec elle, mais elle à un plan bien dessiner en tête, bien établie. Elles sont deux, elles savent comment faire des affaires et elles savent les faire prospéré, l'avenir est prometteur, pour les deux.

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Shirine

Shirine connaît bien Paris. Elle y a passé une partie de son adolescence dans les rues à voler et empoisonner les gens avec son amie Fleur. Chaque fois qu'elle revient à la Capitale, elle s'y sent mal à l'aise. Des souvenirs douloureux et tristes refont surface, ramenés par les odeurs de la ville. Pourtant, en bien des choses, l'endroit est incontournable.

Et pour la première fois, c'est bien parée qu'elle entre à Paris, non plus en paria hérétique. Elle entre aux halles et se perd un peu avant d'apercevoir Jenifael.

Dame de Boissières. Le bonjour.

Jenifaelr

Les mèches courtes, se tournèrent vers celle qui l'interpella et elle eut un sourire en voyant la rouquine.

"- Ciao, Shirine ! Comment allez-vous? Que pensez-vous, de ce lieu? "

Sourire planté sur les lèvres, elle leva les bras, vers la bâtisse qui avait pris feu. Bâtisse à l'abandon et lieu incontournable de paris et du tout-Paris. La Boissiéroise à l'oeil aigue-marine qui brille d'excitation, alors qu'elle fait signe à sa compagne du jour, de la suivre, lorsqu'elle pousse la porte noircit du lieu, pour en découvrir une certaine désolation encore présente. Certains matériaux, avaient été pillé, le reste était resté sur place. Il y a là, un reste de comptoir, autrefois majestueux en sapin, aujourd'hui une partie est calcinée, ne reste qu'un maigrelet bout. Verre, papier et diverses substances recouvre ce qui autrefois le comptoir d'Ella Durée, le sceau délicat à survécut, lui et marque soigneusement le bois intact. Aux murs, des étagères effondrées, des plaques de bronze étaient autrefois là ... plus rien. Le bâtiment est plus grand qu'on ne le croirait, en prouve l'ouverture derrière le comptoir, menant à une habitation simple mais bien aménager. Bien sûr, là aussi tout est calciné.

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Shirine

Les émeraudes de la Lisreux se lèvent sur la boutique tristement noircie par un horrible coup du sort. Elle hausse les sourcils, interrogative, avant de reporter son attention sur Jenifael.
Elle ne cache pas vraiment son scepticisme et sa grande prudence.

Eh bien avec de l'imagination cela peut surement donner quelque chose de bien.

Elle esquisse un sourire, se doutant bien finalement que la jeune noble ne comptait pas ouvrir la boutique en l'état.

Est-ce visitable ?

Jenifaelr

La blonde, annonça :

"- Nous sommes dans l'ancienne boutique Ella Durée ! Je vous laisse imaginer, la réputation de cet endroit, autrefois fréquenter par tout le gratin parisien, Shirine, si nous parvenons à vendre quelque chose d'intéressant, la noblesse friande de délices se souviendra de ce lieu comme elle se rappelle les noms de ses terres. "

Quand on était duchesse de bidule et comtesse de machin, il valait mieux s'en souvenir, non? Elle fit un pas en avant, faisant signe de nouveau à la rousse de la suivre, pour visiter l'arrière-boutique, le lieu de vie.

"- Je trouve cet endroit ... inspirant, oh certes, il faudra rénové un peu, mais cette adresse, en plein dans les Halles ! "

A l'arrière c'est un logis simple et spacieux, en mauvais état depuis l'incendie, lui aussi c'est retrouvé piller de tout ce qui pouvait l'être ...

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Shirine

La rouquine écarquille les yeux en découvrant la véritable nature du lieu.

Oh !

Son regard balaye la devanture qu'elle voit soudainement différemment, moins miteuse et plus intéressante.

Oh...

Elle sourit en coin, comprenant le choix de Jenifael. Tellement judicieux... Si bien calculé...
Une bouffée d'orgueil la fait se redresser et afficher un air satisfait.

Vous avez parfaitement bien choisi. Pouvions-nous vraiment rêver mieux... ?

Et la rouquine d’emboîter le pas de la Dame de Boissières pour la suivre dans l'arrière-boutique.

Vous estimez à combien de temps la durée des travaux de rénovation ?
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Jenifaelr

La jeune femme sourit et répondit à la rousse:

"- Non, nous ne pouvions rêver mieux, à moins d'acheter le Louvres ! "

Elle rit, amusée, puis continua :

"- Les travaux pourrons se faire rapidement, peut-être trois ou quatre mois? Ainsi nous ouvririons pour le printemps et pourrions lancer notre campagne de pub aussi. Qu'en pensez-vous? Avez-vous une idée, Zoé, de comment pourrions-nous promouvoir les produits, rendre l'établissement beau? Et de comment le gérer? Quels produits mettrions-nous en vente, aussi? "

Il était temps de parler affaires donc. La Lisbeth s'accouda au reste du comptoir, ce qui tenait debout encore, du moins, pour pouvoir discuter avec la Lisreux. La rouquine serait-elle totalement en accord, avec les plans de la blonde? La blonde ferait-elle peur? Des tas de questions se posaient aussi dans l'esprit Vitalis, sans pour autant y trouver de sens, ou de réponses.

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Shirine

Shirine rit de concert avec la blonde avant de répondre à ses interrogations sur sa vision de la boutique.

Je pense que nous ne devons pas mettre de côté certains produits. Je pense qu'ils ont tous leur place ici car nous accordons beaucoup d'importance à leur qualité, toutes deux je gage. Qu'ils soient alimentaires ou non.

Le temps de déglutir discrètement avant d’enchaîner.

J'imaginais séparer la boutique en deux "secteurs". D'un côté les produits bourguignons de Rouvres et de l'autre les produits languedociens de Cauvisson, afin de mettre en avant la provenance.

La rouquine passe une main sur le comptoir avant de s'y accouder aussi.

Mmmmh pour la gestion j'imaginais en toute simplicité du moitié/moitié. Nous nous partagerions la gestion et les gains à parts égales sans vraiment prendre en compte de ce qui se vend le plus, les produits de Cauvisson ou ceux de Rouvres. A moins que vous ne préfériez que nous séparions vraiment les bénéfices, ce qui rendrait la gestion économique juste un tout petit peu plus complexe, mais c'est faisable. Je pense que comme moi vous n'aurez pas le temps de tenir la boutique, nous allons donc devoir embaucher. Vous pensez qu'un seul vendeur suffira ? Il en faudrait peut-être deux ?

Ses doigts pianotent sur le bois le temps de rassembler ses dernière idées, histoire de ne rien oublier.

Pour la décoration, ce n'est pas encore mon domaine de prédilection malheureusement. Je suis sure que vous ferez mieux que moi, je veux bien vous laisser carte blanche. Quand à la promotion et la campagne de publicité, mis à part les affiches dans tout le Royaume pour commencer, notre force sera de toute façon le bouche à oreilles, notre emplacement et nos contacts que nous pourrions arroser de courriers pour leur annoncer l'ouverture de la boutique.

Elle sourit à Jenifael, l’œil pétillant.

Et vous ? Qu'en pensez-vous ? !
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Jenifaelr

Elle hocha la tête à l'adresse de la rouquine et ajouta :

"- La moitié me va. Pas de jalousie, ou de concurrence idiote, nous sommes là pour faire découvrir au beau monde les délices que nous produisons, nous enrichir toutes deux et enrichir nos suzeraines, alors le moitié seront parfaites. Je suis d'accord pour classer les produits suivant leurs provenances aussi. "

Elle termina

"- Un vendeur suffira je pense. Nous ferons les comptes nous-mêmes, il suffira au vendeur de tout consigner correctement. Pour les comptes, ce que l'une comptera, elle le transmettra à l'autre, ainsi nous aurons les mêmes chiffres. Nous laisserons l'argent au compte du comptoir et chaque mois, en retirerons la même somme par lettre de change, je pense que cela est correct, non? Je gère les finances à Boissières et en Vaunage, au mois, pour éviter de manipuler des chiffres trop importants et d'avoir des rentrées régulières, même si celles-ci sont moins importantes qu'à l'année. "

Et pour finir.

"- Pour la décoration, je pense que nous pouvons faire restaurer l'endroit déjà et lui donner un air de soleil, le vin a besoin de soleil après tout, non? Et vous en avez parfois en bourgogne ... "

Oui, non, mais la Bourgogne et la Florentine ... Comparez Dijon à Florence, ou comme dirait la jeune femme dans sa langue natale " Firenze " et vous comprendrez bien qu'il y a une "petite" différence.

"- Pour les affiches, puis-je vous laisser vous en occupez? Je suis plutôt d'accord, d'arroser tous nos contacts de tracté. Une fois que vous aurez fait réaliser un premier exemplaire d'affiche, envoyez-le-moi, je le ferais imprimer à Boissières à l'encre Rouge. "

Elle sourit. Elles étaient en parfaits accords, les deux intendantes.

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Shirine

Shirine hoche doucement la têtes aux divers mots de l'Intendante, sourire flottant sur ses lèvres roses.

C'est correct, nous avons l'air de fonctionner de la même façon, cela facilite les choses.

Elle lache un léger rire amusé sur l'insinuation du temps bourguignon.

Oui, nous en avons de temps en temps, ce qui nous fait apprécier ces journées de soleil bien plus qu'ailleurs. Je m'occupe de l'affiche, je vous la ferais parvenir dès que possible.

La rouquine passe une main fine aux longs doigts blancs dans sa chevelure de feu, laissant ses yeux émeraudes errer autour d'elle pour observer une fois de plus les lieux.
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Jenifaelr

Elle hocha la tête.

"- J'attendrais avec impatience notre affiche, disons que nous ouvrons le comptoir le premier du mois de mai de l'année 1463? "

La Vitalis attendit une réponse de la rouquine. Elles avaient un marché, l'une et l'autre. Les yeux vert émeraude reverrait bientôt les yeux d'aigue-marine, brillant et malicieux. Elle espérer avoir de quoi vendre à la belle saison, sachant les intempéries dont étaient victimes les paysans de la Vaunage.

"- L'ancienne boutique d'Ella Durée ... je pense que vous aurons du succès Shirine ! "

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Shirine

De leur entente en affaires, Shirine se sent gonflée de motivation.

Le premier de mai, très bien !

La Dame de Bretenière sourit puis les deux femmes prennent congé.

C'est près de trois mois plus tard qu'elles se retrouvent devant la boutique prête à ouvrir dans quelques jours. Les travaux terminés, les produits sont presque tous dans les rayons. Il est l'heure de tout passer en revue et peaufiner les détails.

La rouquine tend son affiche à Jenifael.

Citation:

dès le 1er mai

aux Galeries LaFayotte de Paris

Qu'en pensez-vous ? Il faudrait que vous ajoutiez l'étendard de Cauvisson et nous pourrions mettre en bas de seau de nos suzeraines respectives.

Il faudra ajouter un lien direct à la boutique dans l'affiche.

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Jenifaelr

La Dame de Boissières, aux cheveux court désormais, répondit.

"- Voici l’oriflamme de Cauvisson, en revanche on ne peut pas mettre les sceaux, cela serait usurpé leurs identité. "

Elle termina.

"- Publions, désormais, je pense ... Non?"

Citation:

dès le 1er mai

aux Galeries LaFayotte de Paris

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Jenifaelr

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Shirine

Citation:

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Jenifaelr

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Shirine

Jenifaelr

Les mèches courtes, se tournèrent vers celle qui l'interpella et elle eut un sourire en voyant la rouquine.

"- Ciao, Shirine ! Comment allez-vous? Que pensez-vous, de ce lieu? "

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Shirine

Jenifaelr

La blonde, annonça :

"- Je trouve cet endroit ... inspirant, oh certes, il faudra rénové un peu, mais cette adresse, en plein dans les Halles ! "

A l'arrière c'est un logis simple et spacieux, en mauvais état depuis l'incendie, lui aussi c'est retrouvé piller de tout ce qui pouvait l'être ...

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Shirine

Jenifaelr

La jeune femme sourit et répondit à la rousse:

"- Non, nous ne pouvions rêver mieux, à moins d'acheter le Louvres ! "

Elle rit, amusée, puis continua :

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Shirine

Jenifaelr

Elle hocha la tête à l'adresse de la rouquine et ajouta :

Elle termina

Et pour finir.

Elle sourit. Elles étaient en parfaits accords, les deux intendantes.

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Shirine

Jenifaelr

Elle hocha la tête.

"- J'attendrais avec impatience notre affiche, disons que nous ouvrons le comptoir le premier du mois de mai de l'année 1463? "

"- L'ancienne boutique d'Ella Durée ... je pense que vous aurons du succès Shirine ! "

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Shirine

Citation:

dès le 1er mai

aux Galeries LaFayotte de Paris

Qu'en pensez-vous ? Il faudrait que vous ajoutiez l'étendard de Cauvisson et nous pourrions mettre en bas de seau de nos suzeraines respectives.

Il faudra ajouter un lien direct à la boutique dans l'affiche.

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Jenifaelr

La Dame de Boissières, aux cheveux court désormais, répondit.

"- Voici l’oriflamme de Cauvisson, en revanche on ne peut pas mettre les sceaux, cela serait usurpé leurs identité. "

Elle termina.

"- Publions, désormais, je pense ... Non?"

Citation:

dès le 1er mai

aux Galeries LaFayotte de Paris

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