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[RP] La cathédralette du diocèse de Rodez

Marcj

COCO RICOooooOOOOoooo……..cot cot cot …………. COCO RICOooooOOOOoooo…


Marcj ouvrit les yeux, le soleil se levait a peine mais le coq semblait de bonne humeur et s’en donnait a cœur joie ce matin.

A regret Marcj se redressa et posa les pieds au sol.
Il resta assis sur le bord du lit un petit moment la tête entre les mains.



Pourquoi ce coq choisit-il toujours de venir chanter sous ma fenêtre ?..................
L’auberge est vaste, et les champs ne manquent pas ? …………………….
Faudra que je glisse a Nane l’idée de faire un coq au vin un de ces jours……oui l’idée n’est point mauvaise….



Il sourit et se mit debout, mais une douleur lui fit porter de nouveau la main a sur son front.



Hier ….la taverne …… fêter le mariage ……le baptême……. Nola …..Freg …Cast …..Garri…. Missie ….les amis de Castres ….les amis des amis ….. les ….les chopines vides qui s’entassent ….. et la porte !
Oui c’était ça ! je me souviens ! la porte de la taverne ! …. pas pu l’éviter en sortant.
Pourtant j’étais de bonne composition, je devais rentrer avec trois pattes, le chien de Nane, jusqu'à l’auberge. Et je m’apprêtai à sortir quand, Boum, la porte me frappa à la tête !


La soirée de la veille lui revenait par petits morceaux.

Il alla vers le pichet d’eau, en versa dans la cuvette, prit le petit bloc de savon et fit ses ablutions matinale.



COCO RICOooooOOOOoooo……..



Se tournant vers la fenêtre, il saisit la cuvette d’eau mousseuse et en jeta le contenu en direction du coq.




T’a fini oui ! Va donc chanter ailleurs !

COCO RICccc……..



Le coq stopper dans son chant, surpris d’avoir temps d’eau à ne tomber que sur lui, ne demanda pas son reste et fila presto vers le poulailler.

Marcj heureux d’avoir vaincu le coq, s’en trouva tout ragaillardit et une demi heure plus tard, il était habillé, avait avalé un morceau en cuisine, et était désormais dans la cour à atteler la charrette sur la mule de Nane.

Il faisait très attention de ne pas salir ses habits.
La veille dans la matinée, il avait préparé la petite carriole, afin de n’avoir plus qu’à l’harnacher à la modeste monture le moment venu.
Il avait revêtu ses habits de noce et ne souhaitait pas se présenter devant sa promise avec une tache ou encore moins un accro.
Il n’en était pas peu fier de son habit.
Il avait commandé chez un de ces confrères tisserands de Castres, de la laine fine et soyeuse. Une laine issue de moutons vivants sur les hauteurs des montagnes, lui avait on dit. Et bien qu’il ne se souciait guère de ce détaille, le fil qui en résultait était d’une douceur exceptionnelle, et il ne regrettait pas le prix que cela lui avait couté.
Avec, il s’était tissé une nouvelle chemise pour l’occasion, et il avait confié a son ami Fregouille le soin de réaliser quelques belles broderies sur l’encolure et les manches.
Pour ces choses, son ami était le meilleur qu’il connaissait dans tout le conté.
Au final, il lui était même resté suffisamment de laine pour se faire une nouvelle paire de bas.

Ayant fini d’atteler, il glissa la main dans la poche de son gilet, cherchant le contact dur et froid de deux bagues d’argent.
Elles y étaient.
Il retourna donc vers la maison, et voyant que sa douce n’était toujours pas levée, un alla trouver Prudence, qu’il avait croisée en cuisine.
La bonne n’avait pas bougée de place, les yeux encore mi-clos, rêvassant devant une tisane qui refroidissait.


Prudence, pourriez vous vous assurer que Nane se lève suffisamment tôt pour ne pas rater nos noces ?
Je pars au devant avec la mule, dite à Nane que je l’attends devant l’autel.


La bonne grommela on ne sait quoi, puis acquiesça de la tête.

Marcj se mis à détester cette coutume qui voulait que le futur époux, ne puisse voir sa promise avant le début de la cérémonie, et a contre cœur, se dirigea vers la porte.


Ne tardez pas trop Prudence, Nane était un peu fatigué hier au soir, et je crains que son réveil ne soit pas des plus faciles.


Marcj ne comprit rien de ce que la bonne lui répondit, mais ça, il en avait l’habitude….

Il arriva à la cathédralette et vit, a sa grande surprise, que les carrioles et montures étaient déjà en nombre devant l’édifice.
Un pincement au ventre se fit sentir.
Puis, sur le parvis de l’édifice, il prit une grande respiration avant de rentrer.

L’allée centrale de la cathédralette était impressionnante, et plus encore les regards de tous qui se tournaient vers lui.
Il décida d’avancer directement vers l’autel, lentement, saluant d’un signe de tête ou d’un sourire, parfois même des deux, les invités qui étaient présents.

Arrivé devant le curé il le salua, et ne sachant que faire, croisa les mains dans son dos attendant l’entrée de sa douce.


Oryax
Un "je t'aime" et Oryax faillit tomber dans les bras de Capoune une fois de plus, en prenant bien sur soin de ne pas heurter Loray dans son atterrissage. Un saut au plus prêt du poitraille de son galant, une main sur le bras tendu et l'autre lui effleurant l'épaule. Elle avait envie de rire en se souvenant de leur arrivée ce matin même à Albi, elle avait envie de rire pour laisser s'exprimer le bonheur qu'elle ressentait d'être avec lui, elle avait envie de rire pour partager les risettes du petit bonhomme qui leur souriait à tous deux, elle avait envie de... se jeter au cou de ces deux hommes qui lui tendaient chacun les bras à leur façon. Ainsi l'hirondelle se retrouva contre Capoune. Une façon discrète pour se plonger totalement dans le regard intense qu'il lui offrait et de l'en remercier silencieusement en déposant une bise furtive du bout des lèvres dans le creux de son cou avant que toutes les convenances de rigueur en public ne les obligent à tenir distance. Une façon ouverte de passer la main dans les boucles blondes de Loray, qui semblait savoir mimer les envies de sa mère, pour le féliciter et surtout l'encourager à garder ses petits bras d'ange autour du cou de Capoune.

Tout s'emballait à toute vitesse depuis qu'ils étaient arrivés à Albi et cela la changeait de la torpeur incitée par le déhanché soporifique du cheval. Oryax se trouva en quelques clignements de cils dans un magnifique édifice religieux dans lequel les bourdonnements autant que la fraicheur ambiante contrastaient avec le poids du silence et de la chaleur estivale qui régnaient dehors. La jeune femme tourna ses yeux incommodés par le changement de luminosité vers Capoune. Sans le cerner avec netteté, l'amoureuse le savait resplendissant dans sa tenue d'apparat mais il n'avait point besoin de cela à ses yeux et ce n'était effectivement pas ce qu'elle observait avec tant de fierté et de tendresse en ce moment même chez lui. Elle posa une nouvelle fois sa main sur le bras tendu, avec douceur et fort solennellement. Enfin, elle plissa les yeux pour garder cet instant gravé en son coeur : celui où elle faisait son entrée dans une église au bras de son tendre, celui où elle comprenait que son fils était entré dans le monde de son bienaimé en s'endormant déjà dans ses bras, celui où ils entraient tous 3 dans ce lieu empli de symboles, d'amour et de bonnes paroles.


Oryax s'avança, sans oser regarder autour d'elle. De toute façon, elle ne connaissait personne encore ou presque. De toute façon, on ne remarquerait pas une inconnue parmi tant d'inconnus. De toute façon, elle n'avait d'yeux que pour l'homme à ses côtés et l'enfant qu'il tenait. Magnifique image de bonheur pour une femme comblée qui venait assister au couronnement d'un amour en cette cérémonie nuptiale. La jeune licéroise n'osa quitter des yeux le visage de Capoune que pour s'installer à la place qu'il venait de lui désigner. Elle tendit les bras pour récupérer son fils mais comprit rapidement que ce geste serait vain et sourit de plus bel tant elle en était touchée. Magnifique image de bonheur pour une mère comblée qui souhaitait déjà aux futurs mariés de connaitre un jour la joie qu'elle ressentait et qu'elle partageait visiblement avec l'homme qu'elle aimait.

Son sourire se dirigea vers un homme, celui qui se tenait devant l'autel. A en juger la posture qui trahissait une certaine nervosité, il semblait que c'était l'un des protagonistes de cet évnement. Elle tira donc doucement sur la manche de Capoune et attendit qu'il se penche vers elle pour lui murmurer :
C'est bien lui, sieur Marcj ? Celui qui est là, debout devant tout le monde ? Elle ne sut retenir une petite bise pour ponctuer sa phrase tant son tendre était proche et... elle se mit à rougir de son audace en un lieu sacré.
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Madrigal
Madrigal connaissait bien la Cathedralette entre albi et castre pour y avoir voyagés a plusieurs reprises.
Elle était seule,suivant certain couple et groupe partant d'albi.
Madrigal préférait suivre les gens qu'être completement seule. Il etait plus prudant ainsi.

Devant la porte de la Cathedralette, Madrigal retroussa sa nouvelle robe, prit un énorme respire et son courage a deux mains.

Elle ouvra la porte et prit la place la plus loin derriere.

Elle était très émue pour Nane et avait hâte de voir la magnifique cérémonie fidélisant leur amour devant Dieu.
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Capoune
Confortablement installer sur le banc, caressant d’un doigt le poupon qui venait de s’éveiller explora du regard les lieux environnant, capoune souriait de bien-être à être ici-lieu avec l’élue de son cœur et entouré de gens qu’il appréciait pour la plupart, savourant pleinement ce moment. À son oreille coula la douce voix cristalline de sa nymphe lui demandant :

Citation:

C'est bien lui, sieur Marcj ? Celui qui est là, debout devant tout le monde ?

En effet, c’est sieur Marcj l’heureux élu, cet homme de par sa gentillesse, sa ténacité ainsi que sa vaillance à toute épreuve, A su se faire aimer du cœur de Nane

…lui répondit-il dans un murmure glissé à son oreille, pour ne point troubler les gens autour qui se recueillaient, en attendant l’arrivée de la future mariée.

La dite mariée, comme de coutumes, se fait attendre... se dit-il… Au même moment qu’un son retentissant à son oreille, amplifier par la voute du lieu, sortit de la bouche de Loray


BLURPS
*rot*




Le visage rayonnant d’un sourire soulagé, l’enfant regarda Capoune qui sous l’effet de la surprise, ainsi que du fait que tous ici présent eu remarqué la formidable éructions de l’enfant. Rougit légèrement sous la gêne d’être momentanément la mire de tous, mais surtout et jamais il ne l'avouera jamais mais c'est qu'il se sentait fondre à chaque fois de ce sourire inocent, puis sourit embrassant le poupon pour le donner à Oryax.

Le sourire aux lèvres, tentant de dissimuler son trouble, Capoune se leva et alla à la porte, regarder voir si la mariée arrivait ou non

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Nane94140
Bong !!! Bong !!!

Encore ce foutu carillon qui lui résonne dans le crane !

Ah non cette fois ce sont vraiment les cloches !

La jeune femme complètement affolée cherche dans tous les coins oubliant son mal au crane pour retrouver les différents éléments de sa tenue.

Pff qui a bien pu mettre un tel foutoir ici ???

Elle rougit d’un coup en se disant qu’avec un peu de chance ca doit être elle-même qui a mit un tel bazar. Elle pêche au hasard de ses recherches la robe facile c’est ce qui prend le plus de place.

Le bouquet ? Mais par le très haut ou a-t-il bien pu aller se fourrer ?

Elle enfile la robe !

Non d’un p’tit bonhomme, me voila toute seule ! Les autres doivent m’attendre, ils sont probablement déjà à l’église et moi je suis en retaaaaaaarrrrrrrrrdddddd !!!!!

AAAAAAAAAHHHHHH !!!!!!!! Le voila ce fameux bouquet !!!

Elle le récupère caché sous une bassine, mais que fait elle donc celle la ?

Plus que quelques fleurs à glisser dans ses cheveux … Ça y est la voila prête. Espérons que Galopain soit sellé ?


PRUDEEEEEEEEEEEEENNNNNNNNNNNNNNCCCCCCCCEEEEEEEEEEEEE Active ma fille !!! Faut me seller Galopain !!! Je suis en retard !!!!!!!!!!

La bonne, bougonnante avec le surcroit de travail que lui ont donné les préparatifs, se hâte cependant d’aller obéir à sa patronne.

Pff c’tencore l’pov mond’ qui trinque c’étiont encore moué qui m’payons les corvées !

Tout en râlant elle selle cependant de main de maitre l’étalon favori de sa patronne et l’amène dans la cours.
Elle reste les yeux écarquillés et la bouche bée en voyant sa patronne débouler comme une furie jupes relevées jusqu'à la taille qu’elle laisse retomber au moment ou elle s’apprête à monter en selle.


MA DOUEEEE !!! Qu’vous êtes ty don belle comme ça !! j’en r’vient po !!! vous aller les laisser comme deux ronds d’flancs !!!!

Rougissante mais contente du compliment Nane se hisse en selle et pique des deux en direction de la cathédralette.

Elle lance avant de partir :

Retrouve nous à la fête Prudence……… sa voix s’éteint dans le galop du cheval.

Les lieux défilent vite sous les sabots agiles, bientôt la cathédralette est en vue mais Nane complètement échevelée.


Stooooooopppppppp !!!!!! Galopain hoooooooooooo !!!!!

Le malheureux étalon glisse quelque peu sur les pierres de la chaussée mais parvient tout de même à s’arrêter sans faire vider les étriers à sa cavalière. Elle saute en bas de sa monture prenant toutefois garde a sa longue traine dont elle n’a pas l’habitude. Un coup de doigts dans ses cheveux, quelques ajustements des fleurs tant sur la robe que sur sa coiffure la voila prête. Elle glisse semble t’il plus qu’elle ne marche en traversant le parvis future mariée solitaire, et pénètre enfin dans la bâtisse.


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Capoune
Sur le pas de la porte, Capoune vit au loin un cheval surmonté d'un paquet blanc chevauchant ventre à terre jusqu’à ce que l’étalon glisse quelque peu sur les pierres de la chaussée avant de parvenir tout de même à s’arrêter sans faire vider les étriers à sa cavalière. C’est alors qu’il reconnu Nane qui sauta en bas de sa monture prenant toutefois garde à sa longue traine dont elle n’a pas l’habitude. Un coup de doigts dans ses cheveux, quelques ajustements des fleurs tant sur la robe que sur sa coiffure la voila prête. C’est d’un sourire chaleureux, emplit d’une amitié à toute épreuve, le cœur débordant de joie d’assister à cette union dont son amie rêvait depuis fort longtemps déjà. Il était plus que temps que cette femme si dévouée, toujours présentes pour les autres ainsi qu’une générosité sans égale. Puisse enfin vivre pleinement cet amour qui l’unissait à Marcj.


Tentant d’être discret, Capoune ne pu s’empêcher de pouffer en la voyant s’avancer jusqu’à la porte, d’un pas guère assuré.


Les joies de l’alcool
…se dit-il tout bas en souriant. Puis, lui offrant appuie de son bras, il lui murmura : Ne t’inquiète point, je ne marcherai pas trop vite …pour que tu puisses me suivre
…rajouta-t-il d’un moqueur.

Lui déposant un bisou sur la joue en rajoutant sur le même ton :

Je suis content pour toi, sincèrement. Tu le mérites pleinement! ...et essaie d'empêcher tes genoux de claquer



De là, la soutenant plus que lui donner simple appui, progressant à petit pas et lentement pour ne pas la déséquilibrer, Capoune conduisit Nane à son futur époux.

Arrivé à la hauteur de l’Autel, Capoune fit un signe de tête en guise de salutation à Marcj, lui exprimant du mieux qu’il pouvait par son regard sa joie de les voir enfin s’unir. Puis sourire aux lèvres, retourna s’assoir à sa place aux cotés de sa bien aimée.

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Wendoline
Qu'ils étaient beaux tous les deux !!!! Que la mariée était resplendissante d'émotion...
Wendyne les quittait pas des yeux. Sur leur visage, dans leur regard...Le bonheur existe vraiment !!!!! il est là devant elle...
Ciboulette
OH !
Ciboulette aperçut la mariée ! Oh ! Comme elle est belle ! Cette robe est magnifique !
Son futur époux n'est pas mal non plus certes...mais une si belle robe... çà donne envie à toutes les damoiselles...

Auparavant elle avait aperçu Capoune avec un poupon dans les bras ???
Aurait-il retrouvé le bonheur lui aussi ? tant mieux se dit-elle.
Elle regarda ce petit être et chercha quelques ressemblances avec Capoune...mais oui se dit-elle il lui ressemble....
Oh ! comme je suis contente pour lui !

Puis elle s'installa dans l'église en attendant la suite de cette cérémonie qui s'annonçait fort belle...Nane a toujours su organiser de mains de maitres toute sorte d'animations ! j'suis pas inquiète... mais comme elle a l'air troublée...un si beau jour !

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Drumgray
Drumgray était en retard, et arriva ventre à terre. Heureusement que sa nouvelle monture se révéla des plus rapides. Il avait quitté Albignac le plus rapidement possible, pour tenter de rattraper Nolanna et les enfants, menés par Cyclopède... Ce cochon n'avait pas voulu manqué la noce de celle qu'il appelait "la petite dame qui parle si fort".
Devant le parvis, chevaux, calèches et attelages étaient déjà à s'agglutiner, et Drumgray mit pied à terre. Il attacha Inçi à un des rares anneaux encore libre et monta les marches quatre à quatre pour entrer dans la cathédrale. Il n'avait aucune inclinaison pour ce genre d'édifice, et encore moins pour ceux qui y officiaient. et malgré cela, il n'aurait manqué pour rien au monde les épousailles de ces deux albigeois.
En refermant la porte doucement, il s'avança discrètement pour se glisser dans le coin favori d'un infidèle qui ne souhaite pas perturber les offices. Toutes les dames avaient leurs plus belles toilettes, et Nane brillait au centre. Il remarqua la discrète Ciboulette et lui adressa un petit sourire. Puis se fit remarquer de Nolanna, qu'elle sache qu'il était là, enfin, et qu'elle ne s'inquiète pas...
Azaleah


Azaleah vit entrer un bon nombre d'invité, ceux qui appréciaient Nane et Marcj étaient nombreux. Finalement, dans la foule il s'éleva un murmure d'admiration.

Azaleah se retourna et vit Nane entrer, discrètement, elle donna un coup de coude a Freg.

Chéri, regarde Nane arrive, elle est magnifique n'est-ce pas.

Ses doigts se serrerent sur ceux de Fregouille, elle était submergé par une belle émotion, son amie allait unir sa vie et ils étaient nombreux pour y assister.

Elle poussa un soupir nostalgique, pensant au jour où elle s'était elle même unie a un homme aujourd'hui décédé, pensant aussi que l'homme qu'elle aimait n'était pas prêt pour le mariage, patiente, elle attendrai parce qu'elle l'aimait.

Elle promena son regard sur la foule, certain pleuraient de joie de voir Nane, d'autre avaient le regard brillant d'admiration devant la beauté qui venait d'entrer.

Elle regardait Nane desendre l'allée avec grâce, son amie semblait heureuse et c'est tout ce qui comptait pour l'heure.

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Baronsengir
Après avoir bien sonné, le blond s'épongea et sortit de sa pièce pour voir les fidèles arriver. Souriant, il salua les gens présents, tout en se dirigeant vers l'entrée. Une paroissienne un peu perdue vint vers lui :

Mais oui c'est bien ici, chère Ciboulette! Nane avait publié les bans ici-mesme.

Il salua Missie d'un signe de teste, et leva le sourcil en voyant un Castelreng boisteux. Qu'avait-il donc fait encore? Un coup d'œil vers les premiers rangs... Oui les places réservées aux nobles étaient bien libres. Plus qu'à attendre que la cathédralette se remplisse et la cérémonie pourrait commencer. Il avisa le marié et le salua avec le sourire. Bien. Il profita de l'attente pour allumer quelques cierges, afin d'illuminer plus encore l'intérieur de l'édifice.

BLURPS

Eh bien? Quel était cela? Un proche des mariés avait trop festé les futures noces et cuvait peau du ventre tendue et bouche ouverte sur les bancs de l'église? Ne manquerait plus qu'il décore ses voisins ou le sol dans un accès de haut-le-cœur! Lançant sur l'assistance un œil inquisiteur ; il avait de la pratique dans l'exercice ; il avisa le coupable, et sourit à l'enfant. A ce moment, il vit la mariée arriver. L'on n'aurait pas pu débuter sans elle!

Très chers amis, bienvenue en la maison du Très Haut! Nous sommes ici aujourd'hui en cette belle cathédralette de Rodez afin de célébrer les noces de Nane et de Marcj. Que tous ici présents, d'Albi ou d'ailleurs, partagent la joie et le bonheur que ressentent nos deux fiancés de longue date.

Marchant avec grasce et solennité, il remonta la nef pour s'installer à l'autel ; autant pour marquer le cérémonial, que pour offrir aux fidèles la plus longue et meilleure possible vision du bel et blond prestre qu'il était. Car l'on ne pourra dire que BaronSengir n'était pas généreux. Il diffusait les paroles des prophètes, aussi bien qu'il apaisait les asmes, de par ses mots ou encore sa frimousse. Vraiment, BaronSengir était trop bon. Et il était arrivé à l'autel d'ailleurs.

Ouvrez grand vos oreilles, nettoyez les si besoin du doigt ou de la chemise du voisin, et écoutez cet extrait du Livre des Vertus.



Il avait ouvert l'épais ouvrage à la page choisie, et énonça d'une voix claire et forte :



Vita de Christos, chapitre XIII

[...] Natchiachia versa le vin de sa cruche dans la corne de Christos, et lui demanda :
" Maître, je suis en proie à un profond tourment de l’âme. Je voudrais te suivre dans tes enseignements, mais j’aime un homme qui habite ici et qui se nomme Yhonny, je l’aime d’un amour pur comme le diamant… Que dit Aristote sur cette question que dois-je faire ? "

Christos lui répondit: " Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait. Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie, aussi, Natchiatchia, choisis judicieusement, car une foi que tu auras épousé Yhonny, vous ne pourrez plus vous y soustraire. "

Comme cette dernière parole frappa d’étonnement l’assemblée, car l’époque était à l’inconstance… Natchiatchia reprit :

" Mais, Maître, serons-nous assez forts pour respecter ce choix et vivre sans pécher ? "

Alors, Christos répondit :
" Sachez que l’humain doute par nature, que l’amour qu’il éprouve pour Dieu et pour son prochain peut connaître autant d’aléas que la vie comporte d’épisodes. Mais la vie vertueuse est un idéal vers lequel l’homme doit tendre. Et, dans son chemin, il peut s’aider de la prière. La prière peut en effet être le moyen pour tous de renforcer cet amour lorsque cela est nécessaire. N’oubliez pas non plus la puissance de la miséricorde, qui est accordée grâce à la repentance. " [...]

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Reinemab


[à castres]
Reinette séjournait quelques temps au dispensaire de Castres, espérant être rappariée d'ici peut sur Albi....

Sa chute de l'arbre lui avait commotionné l'arrière de la tête, mais le pire fût peut être que son corps durant plusieurs heure eu disparut...

Retrouvée enfin dans une grotte par ses compagnons d'arme, où un homme d'allure et réactions impulsives, l'avait installée et commencé a la soigner...

Elle y reprit conscience, mais les affrontements entre ses camarades et cet homme, la replongea dans le sommeil...

Trimballée de droite à gauche, elle perdit beaucoup de sang...

Mais a présent en sécurité au dispensaire, se faisant soigner, elle allait peut être pouvoir réouvrir les yeux, et rentrer enfin chez elle...

En attendant, les cloches de la cathédralette raisonnaient si fort, que même perdue dans ses rêves, le son de celle ci raisonnait aux oreilles de la petite grenouille...

[Perdue dans ses rêves]
Reinette se vu se lever subitement, en pleine forme, prêt de l'arbre à souhait de Castres, comme si rien de s'était passé...

Rêveuse, écoutant les cloches tinter, elle se rappela alors que le mariage de nane et marcj allait débuter...

Une robe tout droit sortie d'un compte de fée se dessina doucement sur son corps...
Désormais, vêtue d'une robe de mousse, de lierre, piquée de petite fleurs blanche, jusque dans sa longue chevelure, elle était fin prête...

Reinette courue, (que dis je), elle vola par je ne sais qu'elle enchantement jusqu'au porte de la petite cathédrale, accompagnée de ses deux petites grenouillettes sur l'épaule...

Se vu "dans son rêve", entrer dans l'édifice, glissant sur un tapis de roses et trouver là tout Albi réunit pour l'occasion...

Ô qu'ils sont beaux tous ses hommes habillés comme des princes pour la cérémonie, Hé!!! les femmes de vrais déesses toutes aussi belles les unes que les autres
, se dit elle

Reinette lechouilla tout se petit monde, d'une langue longue comme les bancs... Puis s'installa sens bruit au côté de sa filleule et ses amis...

Se fût ENFIN, le moment, l'instant, où Nane entra... Une lueur derrière elle l'éclairait tel un ange descendu du ciel...

Là voici, la belle, la sublime qui fit son entrée...

Rayonnante dans sa magnifique robe blanche, le sourire aux lèvres... Procurant ainsi une brise d'amour dans toute la bâtisse...

Moment magique, chaleureux, qui envahie les cœurs... Instant que tout un chaque un, voudrait un jour ressentir et partager...

Et v'la qu'enfin !!! De ses petits pas glissants jusqu'à l'hôtel, la mariée rejoignit les bras des son bien aimé...

Assise bien sagement, reinette "dans son rêve " vu tout au long de la cérémonie, une pluie de lumière et des pétales de fleurs tomber du ciel, ainsi que de magnifiques papillons tournoyer autour des amoureux...

Se disant Houaa comment ils ont réussit à faire celà

Sereine, heureuse pour les mariés, la petite grenouille souriait bonnement...

[à castres]
Allongée sur sa table de soin, reinette souriait niaisement à sa rêverie, et même perdue dans ses rêves, n'aurait manquée pour rien au monde le partage de cette instant magique, pour ses amis...

Laissant échapper une inspiration de bien être... Douce brise chaleureuse, qui peut être arriverait jusqu'à eux, afin qu'ils sachent que quelques part quelqu'un pense a eux et est heureux pour leur union...

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Alchimiste1
Emue jusqu'au larmes lorsque la mariée, pénétra majestueusement avançant à petit pas vers le cœur de la cathédrale, vers l'autel. Alchie faillit ne pas reconnaitre la femme qui l'épaule depuis maintenant des années, une mère, une sœur, une amie, en ses joies comme lors de ses plus grandes peines. Toutes deux, sur deux chemins bien différents vécurent sans doute des épisodes bien semblables. Leurs premier enfantement en l'église de Carcassonne, leur déménagements perpétuels, leurs déceptions, leurs moments de félicités aussi. Ainsi, la mère aimante et généreuse en son auberge, la fille rêveuse et timide en ses combat, eurent à avancer l'une près de l'autre, tout en étant souvent, séparé par milles lieues.

Une dame de bonté, en ces quelques mots, Alchie présentait sa mère adoptive, car ses deux mots prenait tout leur sens quand il s'agissait de Nane. L'église emplie de ses nombreux amis et proches, en était le reflet, la preuve pour celui que le doute range.Ainsi, tous le regards étaient rivés sur Nane, splendide et merveilleusement belle. Capoune la conduisait jusqu'à l'autel, et tout comme elle, esquissait de petits pas, chaque seconde se prolongeait. Quel jour merveilleux.

Nouant ses deux bras autour de celui de l'homme qu'elle aime, elle suivait attentivement le spectacle, proche, très proche de lui. A cet instant, et pour rien au monde, elle n'aurait libéré son étreinte, et renoncer à sa présence de plus en plus vitale.

BLURPS

Elle sursauta, chercha du regard l'origine de cette mégarde, ce n'était qu'un môme...

La cérémonie débuta alors, et le passage du texte sacré laissa la brune au regard bleu troublée. Le vicomte blond n'en laissait rien paraitre, elle si, l'air songeur à le regarder alors; ce passage résumait l'histoire de sa vie, son histoire à présent, c'est pour lui que son cœur bat, il sa voie, quelque soit le rêve, quelque soit le dessein. Plus jamais sans lui...

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Vois y de l'amour, même s'il n'y en a point
Rukainn
Alors qu'il observait la populace entrer à l'intérieur de l'édifice religieux, Rukainn se demanda où se trouvait Bourginette, celle qui lui avait demandé de venir. Mais plus encore, il se demandait aussi où se trouvait Reinette, son amie qui était portée disparue. Il espérait qu'elle n'avait pas été tuée lors d'un affrontement avec des brigands...

L'homme soupira un instant, puis se leva, entendant le prêtre blond commencer la cérémonie.


- Rukainn: 'Bon.. Tant pis..' Pensa -t-il. L'homme se retourna et entra dans l'édifice, silencieux.

L'homme se signa, non par ferveur mais plutôt par obligation et à contre-coeur. Pour lui Dieu l'avait déjà oublié depuis très longtemps.

C'est ainsi que pendant que le prêtre du village racontait la vie de Christos, l'homme de Troyes s'assied sur l'une des derniers bans.
Marcj


Marcj debout devant l’autel, faisait face a la porte de la cathédralette, et de ce fait, faisait face aux invités.
Il les regardait entrer, leur faisait a tous un petit signe de bienvenue, tout en se dodinant d’un pied sur l’autre, pour éviter les crampes dans ces mollets, attendant sa promise le ventre noué.
Quand il s’aperçu qui dansait, il tenta de stabiliser sa pose, écarta un peu les jambes, tourna les pieds pointe vers l’extérieur et ne bougea plus.


Il ne faudrait pas que ceux qui m’ont vue hier en taverne s’imaginent que la chopine a fait son œuvre et qu’une envie pressente ma tiraille !


Il resta donc totalement immobile, le regard rivé sur la double porte d’entrée.

Les cloches ne sonnaient plus depuis peu, et seul le murmure des invités se faisait entendre quand un bruit plus lointain survint.
Il venait de l’extérieur, mais résonnait dans toute l’édifice.
Le murmure de la foule se fit plus fort, pour atteindre son apogée quand les portes dévoilèrent celle que tous attendaient.


Marcj se redressa, ses yeux s’écarquillèrent et sa bouche s’ouvrit.



Par saint Estèphe…..




Les mots lui avaient échappés, s’en rendant compte trop tard il tourna vivement la tête vers le père et demanda un rapide « pardon » avant de contempler de nouveau l’arrivée de sa douce.

Il n’en revenait pas, comme elle était belle.
Dans la pénombre de l’église, aux bras de Capoune, elle rayonnait de milles feux.
Tout de blanc vêtue, arborant une ceinture de fleurs fraiches et un bouquet dans ses mains, sa douce s’approchait, s’emblant glisser sur le dallage de la nef centrale.

Plus elle s’approchait et plus Marcj était ébailli par sa beauté.
Son visage resplendissait, aucune trace de la veille au soir, et même elle semblait avoir rajeuni de plusieurs années, et cela en une seule nuit.
Capoune la laissa au bord de l’autel.
Marcj salua d’un sourire celui qui venait d’amener sa promise jusqu'à lui, avant qu’il ne retourne s’asseoir.
Se retournant vers le prêtre, Marcj retira les mains de son dos et profita du mouvement pour effleurer celle de sa douce.
Il plongea les yeux dans les siens et lui sourit, le cœur rempli d’un amour fou.
Le bon et blond curé commença la cérémonie, et Marcj bien qu’y prêtant une oreille attentive ne pu s’empêcher de se tourner plusieurs fois vers celle qui était a ses cotés, celle qui allait devenir sa femme pour le reste de ses jours.

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