Zoyah
Posons le décor....
Une chambre, une chambrette même, de forme oblongue et dont les murs sont couverts de tentures illustrant des scènes de vendanges. Le sol est fait de lames de parquet en chêne et le ciel est un plafond à la français sans ornement trop ostentatoires. Les tons consistent en des beiges, des pourpres, des verts et des ocres, une gamme de couleurs qui associées aux bouquets de bougies allumés en toute hâte pour donner de la luminosité à la pièce, lui offrent aussi une atmosphère tamisée. Un des murs est percé d'une baie rectangulaire à croisée de pierre. Le verre coloré filtre la lumière naturelle et dans certains carreaux, on peut voir les armes de Clichy.
Une cheminée dalbâtre occupe un autre mur, le seul ornement consistant en un archer sculpté sur le manteau. Puis, on y trouve le mobilier d'une chambre normal : un lit recouvert de couvertures rouges et de coussins ocres, un coffre-bahut, une petit table, une chaise et une étagère en cerisier. La petite Nathalie a courut bien vite et à prévenus quelques femmes du château avant de partir à mettre chauffer l'eau. Une soubrette prépare des linges propres qu'elle pose consciencieusement sur le coffre. Une seconde a préparé le lit et tiré les couvertures. Et c'est dans cette ambiance que la vicomtesse débarque avec une duchesse accrochée aux épaules.
Quel âge avait donc la duchesse ? Un fils de 20 ans diantre ! C'était donc une grossesse tardive. La jeune vicomtesse devint pâle car elle commençait à envisager le pire.
« Mes enfants ont 7 ans, 2 ans et 9 mois ...tous des garçons. ».. répondit-elle en déposant avec délicatesse la parturiente. Elle ne précisa pas que le père des deux derniers n'était autre que le prince lui-même ce qui expliquait qu'elle évoluait avec une grande liberté sur le domaine.
« Vos premiers accouchements ce sont bien passés ? » .. demanda-t-elle en lui calant quelques oreillers dans le dos.
Et Zoé se trouva bien dépourvue. Elle avait accouché, elle avait assisté à des accouchements, mais jamais, non jamais, elle n'avait aidé une femme à mettre au monde. Bon, bon... on commence par quoi ?
« je vais vous aider à enlever vos vêtements si vous voulez-bien. »....oui, c'est certainement mieux.
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Une chambre, une chambrette même, de forme oblongue et dont les murs sont couverts de tentures illustrant des scènes de vendanges. Le sol est fait de lames de parquet en chêne et le ciel est un plafond à la français sans ornement trop ostentatoires. Les tons consistent en des beiges, des pourpres, des verts et des ocres, une gamme de couleurs qui associées aux bouquets de bougies allumés en toute hâte pour donner de la luminosité à la pièce, lui offrent aussi une atmosphère tamisée. Un des murs est percé d'une baie rectangulaire à croisée de pierre. Le verre coloré filtre la lumière naturelle et dans certains carreaux, on peut voir les armes de Clichy.
Une cheminée dalbâtre occupe un autre mur, le seul ornement consistant en un archer sculpté sur le manteau. Puis, on y trouve le mobilier d'une chambre normal : un lit recouvert de couvertures rouges et de coussins ocres, un coffre-bahut, une petit table, une chaise et une étagère en cerisier. La petite Nathalie a courut bien vite et à prévenus quelques femmes du château avant de partir à mettre chauffer l'eau. Une soubrette prépare des linges propres qu'elle pose consciencieusement sur le coffre. Une seconde a préparé le lit et tiré les couvertures. Et c'est dans cette ambiance que la vicomtesse débarque avec une duchesse accrochée aux épaules.
Quel âge avait donc la duchesse ? Un fils de 20 ans diantre ! C'était donc une grossesse tardive. La jeune vicomtesse devint pâle car elle commençait à envisager le pire.
« Mes enfants ont 7 ans, 2 ans et 9 mois ...tous des garçons. ».. répondit-elle en déposant avec délicatesse la parturiente. Elle ne précisa pas que le père des deux derniers n'était autre que le prince lui-même ce qui expliquait qu'elle évoluait avec une grande liberté sur le domaine.
« Vos premiers accouchements ce sont bien passés ? » .. demanda-t-elle en lui calant quelques oreillers dans le dos.
Et Zoé se trouva bien dépourvue. Elle avait accouché, elle avait assisté à des accouchements, mais jamais, non jamais, elle n'avait aidé une femme à mettre au monde. Bon, bon... on commence par quoi ?
« je vais vous aider à enlever vos vêtements si vous voulez-bien. »....oui, c'est certainement mieux.
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