Benjen
Libre à vous de taper l'incruste mais merci de me consulter avant de poster on recherche un moine PNJ ou pas si ca intéresse quelqu'un !
- [Il y a plusieurs mois, mais moins dun an !]
Sa grandeur, que dis-je !? Sa grâce la blondeur en chef lui avait encore une fois demandé, ne nous voilons pas la face Lui avait encore une fois « ORDONNEE » :
- -"Ramènes tes fesses. Je vais faire les boutiques !"
Inutile de protester, elle avait toujours le dernier mot et parvenait toujours à ses fins avec lui. Pourtant ni marié, ni frères et surs, pas même cousin éloigné !
Bah Allait savoir, les voies de ce trouffion dAristote sont impénétrables quil disait à léglise Mon il ouais Devait bien couler des bronzes comme tout le monde celui-là !
Bref, cest ainsi que commença toute cette histoire, par une calme (jusquà ce que la blonde se pointe) journée dété. Ils se trouvaient tout deux pour affaires à Paris, cela devait prendre tout au plus une journée quelle disait Ca faisait déjà une semaine quelle dépenssait largent dautrui dans cette maudite Galerie.
Alors que sa tyrannique compagne de route se crêpait le chignon avec une chiffonnière qui ne démordait pas que le bleu de ses chausses était plus céruléen quazur. Lenvie lui prit de faire prendre lair à son petit oiseau. Ni une, ni deux, les yeux se plissent et les amandes glissent à droite, puis à gauche, parfait Il avait repéré une petite ruelle pas loin, cétait exactement ce quil lui fallait !
- -"Ni
Nik
Je
"
Les amandes se levèrent vers la voute de la galerie en un ballet des plus explicite quant à son agacement. De toute façon, elle nétait pas prête de bouger.
Le voilà qui se dirige donc telle une ombre vers sa ruelle au trésor afin de se décharger de son lourd fardeau liquide.
Une fois assuré quaucune pair dyeux ne pouvait le voir, il délassa ses braies et laissa séchapper les flots! Observant le minuscule lac qui prenait forme lentement entre ses pieds, il entendit un bruit puis Le noir
[Aujourdhui on a plus le droit]
Courir Courir Sarrêter Regarder à gauche Regarder à droite Courir à gauche
- -"Là-bas !"
Enfin les galeries étaient en vue, pour une fois, il était heureux de les apercevoir. Cela faisait des mois que ces foutu moine le garder parmi eux, prisonnier de leur communauté barbante. Le père supérieur était persuadé quil était une âme égaré quil se devait de sauver. Encore heureux quil ne fut pas au courant quil nétait pas baptisé ! Il leur était bien entendu reconnaissant de lavoir recueilli et soigné après cette agression dans la ruelle, mais lorsquil avait voulu prendre congé deux à renfort de grands remerciement, le vieux nentendit pas de cette oreille et le garda de force. Pour son bien quil disait Mouais Cest plutôt quil manquait de larbin pour travailler dans son foutu monastère!
Il tenta bien de fuir à de nombreuses reprises mais sans succès Les moines veillaient au grain et puis tout gringalet quil était, il ne faisait pas le poids !
Par chance Un jour Il saisit sa chance à linstant parfait. Lun des moines bedonnant qui soccupait à ranger les vivres, quun nobliau soucieux de plaire à Aristote avait expédié au monastère, oublia de refermer les lourdes portes. Ainsi il plongea vers le grand jour et prit ses jambes à son cou, vêtu de la pieuse de tenue dont les moines lavait affublé et les cheveux tondu à la mode monastique !
Il avait parcouru quelques lieux déjà lorsquil prit une pause. Non loin, il pouvait apercevoir Paris et ses bâtiments imposant. Il prit le temps de réfléchir à ce quil devait faire Retrouver la blonde ! Oui mais comment Elle ne devait plus être à Paris depuis le temps. Cest alors que surgit le père Thomas.
- -"Benjen ! Comment as-tu osé !?"
Les amandes presque hors des orbites, le jeunot fixa le moine avec horreur
- -"Je ny retournerai pas ! Non ! Jamais ! Fichez-moi la paix à la fin !"
-"Aristote te garde mon fils Tu ne sais pas ce que tu dis !"
Cest sur ces mots que Benjen se remit sur ses pieds pour se remettre à courir à toute allure vers Paris. Il aurait là-bas, plus de chance de semer ce maudit aristoclétien.
De longues minutes sécoulèrent avant quil ne sarrêta non loin des Galerie, pour reprendre son souffle. Les amendes scrutant lautre bout de la rue pour finalement apercevoir le moine
- -"Cest pas possible ! Cest pas possible !"
Reprenant sa fuite là où il lavait laissé sans regarder où il mettait les pieds, il percuta une autre personne de plein fouet.
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