Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, 10   >   >>

[RP]..."Noces Gitanes"...

Sandino
…D’aucuns seraient surement surpris de voir le curé laisser ses objets du culte sur le sol de l’église sitôt la messe terminée, et cela pour se précipiter sans se retourner dans la cuisine de son logis afin de raviver les braises sous un ragoût qui n’a besoin que d’être réchauffé.

Et pourtant c’est à cette scène que la noce a pu assister à peu de chose prés sitôt le rituel terminé.

Affamé par cette dépense d’énergie autant physique que nerveuse, le patriarche a laissé les mariés aux bons soins des participants pour se ruer en direction du coin où son frère est déjà à l’oeuvre.

Les flammes lèchent maintenant le fond noirci de la poêle aussi grande qu’une roue de vago qu’un forgeron habile, a fabriqué en utilisant un morceau d’armure cabossée ramassé par Sandino durant la reprise du château de Pau deux ans plus tôt.

Il ne faut pas longtemps pour que le plat murmure et manifeste sa joie d’être chauffé, quelques bulles remontent à la surface en faisant sursauter une gambas, figure de style saluée d’un «Olééé » par le vieux gitan.

Concentré sur sa tâche durant le rituel, le vieux gitan ne s’est pas rendu compte de l’arrivée de nouveaux invités dont il prend maintenant conscience de la présence.

Laissant Paim s’occuper seul de la paella, il s’avance vers les derniers arrivés un franc sourire aux lèvres.


- gentes Dames et beaux messires, ravi que vous ayez pu venir jusqu’à nous ! Fait-il aux deux femmes Hersende et Lilli, puis à Sidhi et un inconnu venu sans doute avec ces derniers.

Puis à l'unisson de sa cousine Ladyday et de son frère se met à crier


- aaaaa tavolaaaaa !! il est temps de festoyer !! qu’on perce les tonneaux !!
_________________
Nejma
Vive les Mariés …

Ce cri résonnait dans sa tête, les invités nombreux autour d’eux qui venaient les féliciter , émue, troublée , la jeune femme détrempée restait sans bouger .

Heureuse ! oui simplement heureuse , le cœur en joie d’avoir dit OUI à cette union , elle la sauvageonne qui courrait les routes , qui fuyait les hommes , qui refusait toute relation sauf amicale avait dit oui à celui avec qui elle voulait partager la vie et les aventures à suivre .

La famillia , la kumpania, eux , son oncle et sa tante devenus maintenant en plus ses beaux-parents avec qui elle a parcouru tant de chemins que de chance elle a de les avoir a ses cotés .

Nejma les prend dans ses bras tour a tour et les remercie en les embrassant très fort .

Merci Merci à vous tous, ma famille, mes amis d’être présents en ce jour pour partager notre bonheur !

Soudain elle prend concience de son état la robe rouge collait a son corps , maintenue à Amrohd par le lien , essaie de s’éclipser pour aller se changer . La chose n’est pas facile, elle tire doucement sur sa main et lui sourit

Am je ne peux rester ainsi, viens avec moi , je ne vois pas d’autre solution , allons changer nos vêtements et revenons vite vers la fête .

_________________
Paimbohe
Dans toutes noces qui se respectent, la cérémonie et le casse croûte n'y suffisaient pas.
Il fallait danser et chanter pour que les épousés puissent sans souvenir longtemps.
Et puis, s'il est de coutume de couvrir les nouveaux mariés de cadeaux, en ce jour là, Paimbohé n'allait pas leur offrir une des ses truites odorantes et poilues, elle étaient toutes passée dans la paella. Non, ce qu'il allait leur offrir, leur tiendrait longtemps dans la mémoire.

Pour ma nièce et mon neveu, une petite et modeste chanson.
On peut danser ! Attention, tombez pas dans les gamelles !


Et il donna l'exemple. Tout en levant la jambe et en tapant des mains, il entonna son chef d'oeuvre…
Ah oui, il ne faut pas oublier son immense modestie….

Battez les tambours
Hui est un grand jour
La fête aux mariés
Tirez les archets
Tournez la vielle
La bonne nouvelle
Tout le monde en rond
Pincez psaltérion

Allez ! Yop ! On y va !!!

Résonne la viole
Pour la farandole
Tout le monde s'amuse
Sonnez cornemuses
Tapez donc du pied
Soufflez dans l'cornet
La mariée est belle
Vibre le frestel

Et Yahahouuuuu !!!!

Tinte le santour
C'est l'hymne à l'amour
Oyez le rebec
Tchoum sur le bec
Se gonfle la vesse
Pour peu qu'on les laisse
Z'auront douze enfants
Jouez fort l'oliphant

Talalalère
Trala lala
Et vive les mariés !

_________________
Ceriera.
Arrosons cet heureux évènement !
Cerièra avait grapillé ça et là quelques choses à manger, et en était à son deuxième… heu… troisième verre quand Paimbohé entama une chanson, donnant la cadence pour inviter l'assemblée à un peu d'exercice digestif.

La brunette n'avait pas, ou plutôt plus, l'habitude de danser. Cela faisait bien longtemps en tout cas, à part quelques délire avec ses amies en taverne… aurait-elle encore le pas léger ?
Pour l'instant, elle battait la mesure du pied, secouait la tête en rythme, espérant bien qu'on l'y inviterait…

_________________
Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπηCerièra a la bougeotte, mais elle n'est jamais bien loin…
Sandino
…Question gigue et fredaine le ton était donné, et pas par n’importe qui, par le pêcheur émérite, le capitaine qui n’avait connu aucun naufrage, l’éleveur de truite angora, le frère du patriarche et de sa compagne, cousin avec les cousines et cousins, et oncle des plus jeunes, le jovial Paimbohé.

Bien sur qu’un pêcheur donne le ton n’a de surprenant que le fait qu’il ne le fasse pas payer, toutefois c’est jour de noces et la Kumpania régale.

Entre deux libations la paella va être servie. Prévoyant, Sandino a mis en perce des tonneaux de vin nouveau des premières vendanges de début septembre. Le breuvage n’est pas fort et va permettre à chacun de porter des toasts à répétition sans tomber ivre mort en milieu de banquet.



C’est une quinzaine de personnes qui sont maintenant réunis. Comme aux plus beaux jours de la Kumpania a constaté le vieux gitan qui les a comptés pour vérifier que chacun disposera qui d’une assiette, un autre d’un récipient pouvant faire office de plat.

Une pile de contenants devant lui, il fait le service aidé par Zézé et Tayla chargées de faire passer les assiettes pleines aux convives.

_________________
Wallas.romane_chave
On chante… on danse…
C’est la fête qui commence…

Paim venait de finir sa chanson sous des applaudissements quand je m’empresse de
monter sur la plus haute marche du marchepied d’un vago
J’interpelle le jeune couple
-Heyyyyyyyy Amrohd! ….tapant sur ma chope de vin servit par mon père.
Pour toi et ta femme !

Hum !...
Je m’éclairci la voix, et laisse glissé les mots à leur attention



Une étoile se mirant dans l’eau
Perçoit l’astre rêvé, se refléter de tout là haut
Lui, voyage à travers les âges et le temps
Pour trouver sa perle d’orient

Elle, le corps meurtri par un passé confus
Ne baissera sa garde que pour l’être absolu
Il attend avec patience et volupté
Que soit enfin prête sa dulcinée

Alors commence entre eux une danse
Entre le jour et la nuit, auront-ils leur chance ?
Des regards qui se croisent
Des mots qui se couchent sur l’ardoise

Et leur cœur qui s’entrelace
Dans leurs nuits douces de velours
Entre eux, il n’y a plus aucun espace
Sur leur je t’aime pour toujours

Pourtant ce n’était pas gagné
Deux opposés qui sur leur chemin, ont pris mille détours
Mais comme deux notes sur une même portée
Pour seule mélodie d’Amour …

-Pour toi,mon frère!...
Que mes vœux te scelle à jamais à ton étoile.


LJ.WALLAS

Je lève mon verre dans leur direction et en avale le contenue




Zeze5
Les jeunes mariés s'étaient enfermés dans le vago de Nejma pour se changer après leur bain rituel.

Le fait que Paimbohé cuisine le repas des noces, n'était pas vraiment pour rassurer qui le connaissait. Il était aussi fantasque que Sandino et aussi capable que lui de faire des farces.
Une paella farcie n'était pas facile à faire, se dit Zézé de moins en moins inquiète.

La chanson de Paim, entraîne quelque uns des invités, d'autres frappent des mains et des pieds. Puis c'est le tour de Wallas de donne une ode pour le jeune couple.
Zézé sourit en écoutant son cadet, elle était aussi fière de son "petit dernier". Elle lui dirait plus tard sa fierté de mère, pour le moment le repas attendait et elle devait finir le service avant que la paella refroidisse.
_________________
Tayla
Tout le monde est invité à festoyer, se remplir la panse et boire. Pendant quelques secondes la brunette reste là indécise ne sachant pas trop quoi faire puis elle secoue légèrement sa tête. Elle rejoint Sandino et Zézé pour les aider ayant pris l’habitude de faire au mieux.
Le pied tape la mesure en suivant le chant de Paimbohé tout en souriant aux paroles. Tayla aide à servir chacun avec Zézé au fur et a mesure que Sandino faisait le service. A la fin de la chanson de l’Oncle, la brunette applaudit et reprend le service et regarde vers Wallas quand il interpelle son frère. Les paroles sont belles et touchante, elle sourit en les entendant…
Tayla fait attention que chacun a bien ce qu’il faut pour se régaler, impatiente a gouter à la paella, la première qu’elle va manger.

_________________
Ladyday
" bohémiens du ciel
énamourés dans le vent
chantent les noces "


C'est sans aucune hésitation , que Lady voyons les tonneaux de vins nouveaux ,que Sandino avait gentiment mis à disposition , elle se servi trois chopes ,qu'elle posa à cotés de son écuelle de paella.

Tayla avait servi généreusement son écuelle qui , ressemblait a un dôme de pierre , comme la pierre d'équilibre ,trouvé en Armagnac , près du donjon du patriarche .

c'était divinement bon et tout en mangeant et buvant , Lady écoutait les chansons , le dernier refrain de Paim là fit rire .

Tinte le santour
C'est l'hymne à l'amour
Oyez le rebec
Tchoum sur le bec
Se gonfle la vesse
Pour peu qu'on les laisse
Z'auront douze enfants
Jouez fort l'oliphant

____ Boueee , rebec , vesse , bec , douze enfants ! ohh mais vont devoir agrandir le vago ! un étage pour chaque enfant leur vago va ressembler à limaginarium !!!

Tayla merci de m'avoir servie richement ! si je mange tout je vais exploser !mais je vais faire en sorte que cela ne se produise pas !

tout en buvant lady se mit à rire .

tout près Wallas de sa voix de démon romantique envoyer sa chanson , c'était charmant et grandiose comme toujours .

elle bu une rasade de vin nouveaux qui pétillait sous sa langue ,et son regard se porta vers la mer dansante qui était calme ,le vent iodé accompagné les paroles de Wallas ,et semblait même répéter
" a toi mon frère , a toi mon frère .....
tout était calme et pour Lady c'était parfais .

les mouettes tout autour picoraient les miettes de paella et les poulettes de Lady couraient après les mouettes .

la vie à la plage était belle et l'amour des épousés aussi
_________________

Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière
Heimrich.
Heim avait suivi un peu ému la cérémonie, il avait malgré tout intérieurement du mal à être joyeux comme tous l’était, il s’efforçait cependant a ce que cela ne se voit pas. Le mariage était fait, tout le monde s’approchait du banquet pour festoyer, il en fit de même, demain il reprendrait la route… Mais il devait avant trouver les marier dans tout ce monde, il s’approcha d’eux

Nej et Amrohd, mes amis… Je vous souhaite tout le bonheur du monde, que la vie vous soit douce et qu’elle vous offre le meilleur, je vous ai apporté un petit cadeau que j’ai confectionné de mes mains dans mon laboratoire d’alchimie, il pourra peut être vous être utile un jour, cela soigne presque tout et l’on raconte que pris a temps, cela ressusciterait un mort

Il sourit en disant cela

Mais je n’ai pas encore eu la confirmation et n’ai pas envie de l’avoir !

Il tend une petite fiole et leur donne





Il prend ensuite un verre sur la table, puis le lève et porte un toast

A votre bonheur et soyez heureux !

Tout en disant cela fixa amicalement mais intensément un court instant ses yeux dans ceux d’ Amrohd lui laissant entendre implicitement que s’il ne rendait pas heureuse Nejma il aurait affaire à lui…

Damenic
Dame baigne dans l'euphorie générale, portée par les rires et les chants.
Elle reçoit sa gamelle, comme tout le monde, et une chope de vin dans l'autre main !
Dieu que ça sent bon ! Elle ne savait pas si elle mangerait là, mais elle a déjà la salive qui inonde sa bouche !
Elle fait un signe discret mais éloquent aux cuisiniers
Fameux !
Si elle en a le temps, elle leur demandera leur recette !
Elle n'ose pas donner un petit coup de langue pour nettoyer le fond de son récipient, mais...c'est tout juste !
Elle pousse un soupir de satisfaction repue quand elle voit Heimrich s'avancer vers les mariés.
Elle tâte dans sa poche le petit cadeau que Trol a minutieusement ciselé dans la forge où il a tant travaillé, mais qu'il a définitivement fermée, à présent.
C'est une toute petite bonbonnière en argent, qui tiendra aisément dans la paume de Nejma, gravée à leurs deux prénoms et la date de leur mariage. A l'intérieur, Dame a glissé de toutes petites pastilles au miel de sa confection.
Ainsi, comme un mariage réussi, ils ont unis l'agréable au durable !

Avant de s'approcher du nouveau couple, Dame rejoint Zeze :

- Merci beaucoup Dame pour cette cérémonie hors du commun et des sentiers battus. Merci pour votre légendaire hospitalité. Merci pour tout, vraiment. Elle lui offre un chaleureux sourire et ajoute Vous ne m'en voudrez pas de ne pas m'attarder davantage...Trol m'attend, et nous devons rentrer à Castel..
Je voudrais juste, si je peux ! offrir un petit souvenir à Nej et Am...
Nous aurons d'autres occasions de nous rencontrer !
Bonne continuation, et bonne route !!

_________________
Nous nous sommes dit tu. Nous nous sommes dit tout. Nous nous sommes dit vous, puis nous nous sommes tus.
Poema_lilli
Cris aigus en apercevant Amédé foncer sur elle, pas si bête l 'animal il stoppa net, puis commença à couiner à ses pieds pour recevoir quelques caresses.

T 'es un bon Amédé, gentil.....gentil.... L 'animal resta à ses pieds en attente certainement , d 'une quelconque friandise.

Le questionnement interne était terminé, le moment était venu de crier haut et fort :

Vive les mariés !!!!!

Heureuse de pouvoir à nouveau crier sa voix se fit perçante aux oreilles des jeunes mariés.

Que le bonheur vous poursuive durant votre vie d'enchaînement.

Malgré son empressement de préparation en vue du mariage, rien ne fut négligé, de sa besace elle sortit un immense bouquet d 'églantines sauvages à la couleur de la vie en rose. Dos redressé , le visage altier, ajustement précis pour l'emplacement de ses pas.

Fleurs tendues à la mariée lui dit sans crier.

Soyez heureuse que que chemin de la vie, vous conduise vers votre bonheur en parfaite harmonie avec votre époux.

Mots pour le marié :

Que ce fil ne vous fasse jamais oublier, celle que vous avez épousé ce jour, amour toujours.....

Doigt posé sur le fil, elle s 'écria de nouveau :

VIVE LES MARIES !!!!!!!!!!

L 'appel du patriarche fut moment de joie, rassemblement pour commencer à festoyer.
_________________

Point voleuse ni menteuse, seulement joueuse
Sandino
...Après la remise d'un cadeau aux époux par Heinrich qui a prononcé des belles paroles à cette occasion, tout le monde a continué à se restaurer.

Sans devoir sacrifier aux bonnes manières, il faut bien avouer que parler en mangeant n'est pas recommandé. Raison principale d'un silence gastronomique à peine troublé par le bruit de mâchoires actives et l'expression de satisfaction des convives à base de "huuummmm c'est bon !!"

Rejoints par Damenic laquelle veut leur donner son cadeau avant se retirer et rentrer en Arles, les nouveaux époux partis se changer, tardent à revenir.

Certainement handicapés par le fil de coton qui va les relier jusqu'au lendemain, ils doivent faire preuve de coordination même s'ils ont sans doute compris que sous le coton un fil ténu mais solide est là pour les aider.

Un fil d'argent de l'épaisseur d'un crin de cheval, bien plus solide que le simple fil de coton rouge qu'il renforce et au sein duquel il est dissimulé.


- aux mariés !! Crit le patriarche avant d'écluser sa timbale de vin clairet.

Prenant le relais de son frère et de son fils, il se met alors à chanter sans avertissement, provoquant des sursauts chez les mangeurs surpris.


- Sans bruit, emportes moi ma promise, sur la voie invisible.
Quittons cette terre piétinée par le pas lourd des hommes,
Les fleurs y sont nuisibles et les fruits empoisonnent.

Sur ton autel le jour de ma venue, quand le chemin parcouru
Aura brisé ma lampe,

Je découvrirai dans le jeu subtil de la Lîla, que nul regard n’est autre
Que le tien Sita.

L’aurore alors dans sa danse cosmique, de ses lèvres aux silences d’or,
Au milieu du chaos que le monde sécrète lorsqu’il dort,

L’aube me murmurera ce que disent les eaux,
me chuchotera dans le langage des pierres le rythme secret du vol des oiseaux,

Et le vent dans le bleu, à mes oreilles chantera les romances que lui dicte le feu.

Ma voix sera la tienne, mes yeux les tiens, dans ta douceur où toute chose repose,
Félicité divine, mots de ma prose,

tu danseras comme la palme au vent du soir que mon âme calme accompagnera en chantant l’espoir.

_________________
Sidhi
La cérémonie était emprunt de ce quelque chose qui parlait tant à mon âme... simplicité mêlée de mystique. Par ailleurs mon coeur se réjouissait de revoir une bien ancienne connaissance. Une fois la chansonnette poussée, main sur le coeur...

"Sandi! Je suis honoré de te retrouver en de si joyeuses circonstances. Les chemins des fils du vent finissent tôt ou tard par se recroiser.
Que les étoiles veillent sur celui de ton fils et de son épouse!
Laisse moi te présenter une amoureuse des effluves forestières, une farouche defenseuse du gallopavo, une cavalière porcine hors pair..."


Je m'écartai laissant place à la subtile hurlante... et levai haut ma timbale...

"Dense vie aux nouveaux unis!"

_________________
Ceriera.
Manger un peu, pour ne pas finir complètement ronde, *une riche idée* se dit-elle quand elle vit Tayla approcher avec un peu de paëlla à son encontre.

Merci Tayla ! Voilà qui tombe à point nommé !

Elle se rua sur son écuelle – le grand air, les émotions, ça creuse ! Les époux s'étaient retirés, chacun discutait, grappillait, festoyait…
Damenic quittait le camp improvisé pour la fête, Cerièra alla la saluer avant son départ :


Bonne route Damenic, et à bientôt en nos contrées !

Puis revient à la fête, lever sa timbale avec Sandino avant qu'il n'entame à son tour une chanson :

Aux mariés ! en chœur avec les fêtards.

Une chanson d'amour… Cerièra ne lui referait pas le coup de quitter subitement les lieux, comme elle l'avait fait cet été à son spectacle. Le pauvre en avait été tellement désolé ! Elle était moins fragile qu'alors, et bien que parfois un peu mélancolique, un seul mot résonnait en elle : «confiance». Et Dieu sait qu'il lui en fallait, puisse-t-il lui en apporter suffisamment.

Il était temps, justement, de laisser toutes ces têtes amies à leur bonheur partagé, et d'aller s'enquérir… du sien, peut-être ? Pas de nouvelles… bonne nouvelle ?

Elle fit un tour des présents, pour les saluer un par un, avant d'arriver à Zézé et Sandino, pour lesquels elle osa une bise émue. Ils étaient leur bonne surprise humaine de l'été…


Du fond du cœur je vous remercie pour cette invitation, pour avoir généreusement partagé cet instant de votre vie familiale avec la presque-inconnue que j'étais pour vous.
Mes amis, mes occupations, m'attendent chez moi, mais je vous garde proches, là…


… en serrant son poing sur sa poitrine. Un grand sourire, avant de prendre la route vers l'auberge arlésienne où elle passerait une dernière nuit.
Une petite larme aussi, une fois loin de la vue des convives bien évidemment. *Mais c'est pas possible d'être aussi émotive, tu vas te calmer ?*

_________________
Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπηCerièra a la bougeotte, mais elle n'est jamais bien loin…
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, 10   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)