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[RP] Cathédrale Saint Maximin d'Aix

Iseute
Voilà le grand jour arrivé pour son amie la morue. Iseute se leva tôt se matin là afin de ne pas arrivé en retard à la Cathédrale. Elle revêtit sa plus belle robe, plaça ses cheveux et se dépêcha vers Aix.

Elle fut surprise de voir si peu de cheveux attacher aux arbres. Elle entra dans la Cathédrale et parcourus celle-ci des yeux afin de reconnaitre des visages. Son exploration ne la laissa pas vaine puisqu'elle reconnue Fifine et Kalif assit plus loin. Elle alla les rejoindre, saluant au passage les quelques personnes arrivées.

Elle chuchota:


Bonjour Fifine et Kalif! Mais dit donc il n'y a pas foule! Je me suis lever tôt mais je ne pensais pas être dans les premières arrivées. Alors ça va vous deux?
Serafina_
Sera' sourit en voyant Kalif' arriver. Non, c'est vide pour l'instant. Quand vint le vicomte Prouvencao. Elle le salua en souriant. Aurore ne devrait plus tarder maintenant. Elle m'a dit qu'elle aurait du retard mais bon..

Elle vit son amie Zizie qu'arrivait au loin. Elle sourit en la voyant. Elle s'assit à côté d'elle et de Kalifa. Non il n'y a pas foule, tu as raison. Mais ça viendra.Elle lui chuchotta : Sais-tu qui est ce vieil homme là devant ? Il m'a parlé avant en me regardant bizarement...
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Iseute
Iseute rit. Sacrée Kylee! Elle nous faisait attendre la journée de son mariage. Ce n'était pas plus mal puisque beaucoup d'inviter n'était pas encore arrivés. Iseute se ferma les yeux en attendant que la cérémonie commence.
Duchessesherry
Ils avaient chevauché toute la nuit sur les chemins sombres et dans la fraîcheur de novembre s'infiltrant sous les capes hapées par le vent. Dernier instant d'évasion, sentir son âme enchaînée en passant les grandes portes de la Capitale, elle revenait définitivement trop tôt. Cinq mois au loin, instant hors du temps où tout semblait défiler autrement.

La Déesse avait quitté les brumes poitevines pour trois Vicomtes, ce jour-là, l'un d'eux serait à l'honneur, l'ami, le confident, celui vers qui elle se tournait quand un coup de tête lui donnait cette envie de tout laisser tomber. L'amitié, cela, on ne laissait pas tomber.

À son bras en cet occasion, un des visages les plus appréciés de sa personne en les Royaumes, le Vicomte de Laragne Montéglin, un homme intègre lui faisant grand honneur d'avoir ainsi accepté son invitation en Provence.

Franchissant les portes de la cathédrale, qui la connaissait verrait l'effort vestimentaire, la robe du deuil de son petit frère de coeur troquée pour de longs jupons bleus, sur lesquels se brodaient des cordons de rouges et d'or. Pour Marignane, Beuil brillerait déjà mieux!

Tout sourire avec son éternel aura d'indépendance, la Chancelière se rua vers le futur marié, avant qu'il soit de trop accaparé.


- Mon bel Alexis, cela vous fera deux semaines de salaires à vous départir pour m'avoir à vos côtés!

Sourire taquin, elle le détailla un moment, toujours distingué, et déposa chaste bise sur son front. Geste dont peu bénéficiait de sa part.

- Vous me semblez bien serein pour un tel jour, ma foi! Parfait! Nous serons toute aise de vous taquiner...

Et Beuil sourit, heureuse d'avoir mordu la poussière pour y être!
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Hersende
Un carrosse attelé de chevaux noirs s'arrêta devant le parvis de la cathédrale déjà fort rempli et Hersende en descendit. Alors que son cocher écartait la voiture, elle commença à gravir les marches menant au portail, soulevant légèrement sa robe vert émeraude entièrement rebrodée au fil d'or de motifs floraux sur le corsage, au bas des manches et de la jupe qui se déployait derrière elle en courte traîne. Le col fraise en dentelle précieuse qui encadrait son cou avait imposé que ses chambrières lui relèvent les cheveux en un savant assemblage de boucles sur lesquelles reposait sa couronne.

Franchissant le porche, elle pénétra dans l'église et s'avança vers les personnes déjà réunies pour la célébration. Il y avait là le Vicomte de Marignane et son vassal bien entendu, Deminerve qu'elle aurait eu du mal à reconnaître mais dont la présence la réjouit, sa Chancelière préférée qui lui avait tant manqué, Rethy à qui elle adressa un sourire et plusieurs personnes qu'elle ne connaissait pas mais qui semblaient attendre la mariée
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Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Mme_de_maintenon
Le 15 novembre 1457, déjà. C'était donc le grand jour pour sa tendre filleule et fidèle amie, Aurore : le mariage ! Quelle jeune femme n'en rêvait pas ? En plein travail, Mimie décida qu'il était temps de faire une pause et d'aller se préparer pour le grand évènement. De toute façon elle avait la tête ailleurs... ses affaires n'avanceraient pas. Elle balaya d'une main tous les papiers éparpillés en poussant un long soupire. Alors qu'elle se levait, elle entendit frapper à la porte. Elle invita la personne à entrer, c'était la nourrice d'Arthur qui venait annoncer que l'enfant était prêt. Elle la remercia et lui demanda de veiller encore un peu sur son fils le temps qu'elle se prépare. Dès que la porte fut close, Mimie se plaça face au miroir, il y allait avoir du travail... Elle commença par ôter chemise et braies, pour se vêtir de la robe qui l'attendait sur son lit. Celle-ci était rose pâle ornée de dentelle et d'une ceinture de tissu blanche. Elle glissa un pied, puis l'autre dans ses chausses. Presque prête ! Elle détacha ses cheveux qui ondulèrent le long de son dos, elle les brossa négligemment. En guise de touche final elle appliqua un baume sur ses lèvres qui leur donnèrent une légère couleur rosée.

Elle se rendit à la cathédrale accompagnée de son petit homme. Il leur fallut peu de temps pour arriver.

Déjà un grand nombre de personnes s'était présenté, elle alla en premier lieu saluer ses compagnons brignolais. Ainsi elle fit la bise à Iseute et Serafina, elle s'éclipsa ensuite pour aller voir le futur marié car aujourd'hui Arthur aurait un rôle important à jouer. Se dirigeant vers l'homme du jour elle aperçu sagement assis un viel homme, elle ne le connaissait pas mais pourtant son visage lui semblait familier...

Arrivée aux côtés d'Alexis, qu'elle salua d'une révérence, elle se permit d'interrompre la conversation :

- Bonjour, Excusez moi de vous interrompre... Alexis, voici Arthur, c'est lui qui portera vos alliances.

Mimie poussa doucement l'enfant en avant. Arthur fixa l'homme sans dire un mot, mais lui adressa un grand sourire.
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Rethy
En bavardant avec le futur marié, Rethy se posait les questions existentielles suivantes..."Et si, au lieu de tomber amoureux de Richelieu, son Monseigneur et futur pape, il avait eu une aventure courtoise avec Prouvencao? La face de la Provence aurait-elle changé? Serions-nous encore dans un Marquisat? Et Hersende porterait-elle cette robe somptueuse?"

Il éloigna ces vilaines pensées, salua la Marquise et lui sourit à son tour...L'idée de la fraise ne manquait pas d'audace... Rethy aimait le miel, et l'association des deux saveurs, fruit et sucre, était une de ses spécialités. Etait-ce une façon pour Hersende de demander à être invitée à Bonnieux?
Doch
Une dizaine de jours en Lyonnais-Dauphiné... terminés sur la rencontre du Vicomte de Laragne Montéglin et des retrouvailles avec Beuil, et les voilà tous trois sur les routes de Provence.
Juste à temps pour assister au mariage d'Alexis et Aurore en la cathédrale d'Aix. Minutage plus parfait, non, ce n'était pas possible.

Une fois arrivés en la Capitale, elle laissa ses compagnons de voyage quelques instants, le temps de repasser chez elle se rafraichir quelque peu.
Changée, vêtue d'une robe à reflets bleus profonds, elle prit alors la direction de la cathédrale.

Quelques personnes déjà présentes, chancelière comme ex-chancelier déjà là, Hersende, Rethy, Iseute également...
Souriante, elle s'avança dans la nef et en leur direction les saluer, prendre place ensuite, avant que la cérémonie ne démarre.

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Sagaben
Arrivés tout droit du Dauphiné. Répondant à une invitation de la Chancelière, le Vicomte de Laragne-Montéglin avait entrepris un petit séjour en Provence. La route avait été fort agréable avec la chancelière et la vice-chancelière. Aucun souci à signaler.

Il avait eu le temps de se changer pour se parer de ses plus beaux atours pour sa première présence provençale. Pourpoint bleuté, amples manches, bottes noires parfaitement propres, épée d'apparat, dague de même, couvre-chef avec plume de côté, ample cape rehaussée de quelques fourrure pour briser le froid naissant.

La Chancelière avait pris les devant. C'est à cheval, qu'il avait fait brosser à l'auberge, que celui que l'on nommait le Tempéré arriva. En vue de la Cathédrale, il ralentit l'allure et finalement descendit, laissant les rènes à un page qui l'accompagnait. De nombreuses personnes étaient déjà présentes. L'ancien chancelier, qui n'avait pas non plus voulu faire trop tape à l'oeil avec bannière et tout le reste, n'avait que quelques insignes de ses armes sur lui. Il plissa les yeux pour tenter de repérer une connaissance tout en s'avançant vers l'entrée de l'édifice.

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Prouvencao
Alexis venait de quitter un Rethy bien pensif, il espérait qu'il n'en était pas la cause, il fallait s'attendre à tout avec cet oiseau-là. Obligé de le quitter, en effet déjà sa belle amie la baronne de Beuil paraissait toute resplendissante dans la cathédrale aixoise. Il était rare de voir allier noblesse de corps et d'esprit en plus de ses lettres. Elle se précipitait déjà sur lui pour l'assaillir espiègle comme tout avant de l'embrasser.

« Mon bel Alexis, cela vous fera deux semaines de salaires à vous départir pour m'avoir à vos côtés! »

Le vicomte entendit un bruit de chaises, et en tournant légèrement la tête, il remarqua que son intendant venait de s'évanouir. Se retournant vers DS, il ne put que lui adresser un large sourire, ça devait être cher, très, mais elle n'avait pas précisé si elle comptait le repos dominical dans ses semaines, et si elle travaillait à la mine... Mais c'était à son tour de la questionner sur son long voyage, un périple de l'amitié.

Serein, serein... serein est un bien grand mot, j'ai l'estomac noué! Sinon, ce voyage ? Des brigands ? Vous n'avez guère souffert visiblement!

Il la dévisagea quelques instants pour goûter de son amie qu'il n'avait plus vu hélas depuis quelques temps, quelques mésanges échangées de ci de là à travers le Royaume de France. Mais avant qu'elle ne poursuive, ils furent interrompus par l'arrivée de la marraine d'Aurore, accompagnée du fils adoptif de cette dernière, Arthur. Et après un bref salut courtois pour Maintenon, Alexis s'accroupit pour regarder dans les yeux le garçon souriant.

Salut toi! lui dit-il en lui rendant son sourire amical tout en autant délicatement l'anneau qui était déjà à son doigt. Vois-tu mon jeune ami, ceci est la bague qui se transmet de père en fils dans ma famille, ne le perd sous aucun prétexte, donne ta vie pour lui, le dragon que tu vois gravé sur ce sceau sera ta force!

Tandis qu'il la déposait dans les paumes de ses mains ouvertes, il en sortit une autre de la poche de son pourpoint et continua.

Celle-ci, c'est le chevalier Beogora qui la donne à l'élue de son cœur, sa future princesse! Plus fine, mais n'en moins identique! ajouta-t-il en la lui donnant, Veuille dessus comme sur la prunelle de tes yeux!

Posant tendrement sa main sur la joue de l'enfant qu'il laissa repartir vers la marraine d'Aurore, il se releva ainsi, souriant à cette dernière et la saluant d'un hochement de tête. Alexis au plus profond de lui-même espérait que l'enfant ne perdrait pas les bagues, et que madame de Maintenon veillera sur l'escorte. Quelle perte inestimable cela serait pour lui. Mais ses pensées s'évaporèrent comme par enchantement lorsqu'il croisa de nouveau le regard de la chancelière pour continuer leur conversation commencée.

Ne serait-ce point là votre noble amant dont vous m'avez fait tant d'éloges que vous n'osez point me présenter ?!?
Bellabs
A peine rentrée à draguignan, bellabs avait appris le mariage de Kylee, sa maman cigale. Elle revêtit alors pour l'occasion, une robe bleu nacré, avec une ceinture de soie verte pale. Les manches larges étaient faites de dentelles noire, et le bustier étaient ornée de motif couleur or. Pour l'occasion elle s'étaient relevée les cheveux en un chignon plutot laches, laissant ses anglaises tomber par ci par là.

Elle demanda à son vieux voisin de lui preter un cheval car elle n'arriverait jamais à tant. Celui-ci fit preuve d'une grande gentillesse et lui laissa un bel alezan noir.

C'est au triple galop que bellabs traversa la provence et arriva enfin à la cathédrale. Elle attacha le cheval avec les autres, c'était la première fois qu'elle avait à faire cela. Elle se remit la robe correctement, jeta un dernier coup d'oeil à la monture et se dirigea vers l'entrée de la cathédrale.

Une fois à l'intérieur elle se signa et balaya la cathédrale du regard. Beaucoup de personnes de la noblesse y étaient présentes, des personnes qu'elle connaissait de vue mais pas tant que cela. Elle aperçut le futur marié, ancien cigale, et lui adressa une révérence. Voyant qu'il semblait être en conversation avec une dame, elle préféra ne point le déranger et chercher un place qui lui conviendrait.

Elle n'était pas à l'aise au milieu de toutes ces personnalités, elle préféra donc s'assoir vers un banc plaçé au milieu de la cathédrale, saluant hommes et femmes qu'elle croisait
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Richelieu1


L’archevêque était à Aix depuis le vendredi 13. Il était venu pour officier le mariage de Dahut et de sa promise. Connaissant très bien la Grande Cathédrale Saint Maximin, sa Cathèdre, siège de son Archidiocèse il ne s’était pas pressé et à force d’avoir le temps, il était en retard. L’avantage de la cathédrale était cependant qu’en passant à l’extérieur par la crypte il pouvait regagner la sacristie, ce que fit l’archevêque.

Une fois dans la sacristie, l’Archevêque otait son tabarro qui le protégeait du froid et se dirigeait vers une armoire ou il posa le fameux manteau de laine doublé de soie, agrémenté sur les épaules d'une pèlerine ouverte par devant et d'un col de velours rabattu et attaché au cou par des brandebourgs.
Il enfila une soutane verte sur laquelle il ajouta un rochet blanc et sa mosette, - signe du pouvoir de juridiction - verte elle aussi assortie à sa soutane. Il enfila sur sa tête une calotte qu’il dissimula sous une belle mitre, symbole de sa charge pastorale.
Il mit autour de son coup une belle étole, symbole par excellence de son état de prêtre, et une croix suspendue au bout d’une chaîne en or. Il avait déjà son anneau pastoral orné d’une améthyste à l’annulaire de sa main droite que certains fidèles se plaisaient à embrasser.

Bien avant l’arrivée de l’Archevêque les 2 acolytes avaient orné l'Église de bouquets de fleurs blanches, et préparé le Maître Autel et le registre final. Les certificats étaient aux mains de Ludovi et ne seraient scellés qu'à la fin de l'office.

Alors que Gabriel faisait résonner la Cloche de Saint Maximin, l’officiant fit son entrée dans la cathédrale. Bien du monde était là. Evidemment, vu le retard qu’il avait … Il scruta la foule et aperçut de nombreuses personnes.

Bien entendu Le Vicom de Marignane était là, et en grande discussion avec la nouvelle Baronne de Beuil, et un Homme qui ne laissait pas Ludovi indifférent. Non de par son aspect esthétique, comme certains mauvais esprits auraient pu penser mais l’archevêque était sûr de le connaître …
Non loin de là, la nouvelle Fayence se tenait, bien différente de l’ancienne Heulynn.
Sa Majesté avait prit le temps de venir également, vêtue toujours plus magnifiquement chaque jour, les souterrains puants de Marseille semblaient loin. Le Très Haut la Protège ! Souhaita l’Archevêque.
Le Comte décela aussi une petite troupe Brignolaise, Sa ravissant et très chère filleule bien sûr et son fils adoptif un certain Arthur selon la mémoire de Comte, mais aussi Iseute l’ex Tribun de la ville et la jeune Serafina tous au 3ème Rang coté allée.
Bonnieux le fidèle et fringuant qui examinait la marquise. Certainement en méditation, il veillait sur Sa Majesté de façon Quasi-Divine. Et quelle tenue, un ravissant mantel en astrakan, paré de perles, décidément il avait du goût !
L’archevêque aperçut parmi une foule d’inconnus Deminerve qu’il n’avait pas vu depuis longtemps et Bellabs, très récemment baptisée.

Naturellement l’officiant se serait dirigée vers La Marquise sa meilleure amie ou encore vers Bonnieux ou sa filleule. Mais non, ces devoirs l’appellaient au devant de Marignane. Il alla donc à sa rencontre, souriant et le saluant.

Vicomte, soyez le bienvenue à Saint Maximin. Comment allez vous ? Fin prêt ?
En s'avançant près de DS, la mémoire lui revint !
Baronne, ravi de cous savoir rentrée. Se tournant vers l'Homme. Messire Sagaben il me semble. Je ne sais si vous vous souvenez mais nous nous sommes déjà rencontrés alors que nous étions Commissaires au Commerce, vous du Lyonnais Dauphiné et moi de Provence. Ravi de vous retrouver.

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Ludovi de Sabran, Comte d'Apt, Archevêque d'Aix en Provence
Seigneur de Rocbaron et de la Sainte Baume
Juge Suprême de la CSMAO
Drak
Drak était sur le chemin vers Draguignan lorqu'il avait vu passer Bellabs au triple galop.
Elle semblait tellement pressée qu'elle ne l'avait pas vu. Lui pourtant l'avait reconnue:

Qu'elle est belle dans cette robe bleue à dentelles noires ! Et puis ses anglaises lui vont bien.


Il reprit la route le coeur léger en chantant:
Je pense à vous quand je m'éveille
et de loin je vous suis des yeux.
Je vous revoie quand je sommeille
dans un songe mystérieux.
Le seul bonheur auquel mon coeur aspire
c'est d'obtenir un aveu des plus doux.
Voilà, voilà, ce que je voudrais dire
mais hélas... j'ai trop peur de vous.
Pillon
Voilà que le Grand Jour était arrivé...
Pillon eut le réveil dur. Elle peina à s'habiller, à se faire belle. Elle mit sa plus belle robe, une bleue ciel avec un minimum de dentelle. Elle se coiffa, et se maquilla légèrement. Elle n'aimait pas trop... mais pour l'occasion,... elle fit un effort. Il fallait bien qu'elle soit resplendissante la PoilPoil. Surtout qu'elle était une des témoins... ralalaa...

Pillon arriva à cheval à Aix, alla l'attacher avec les autres chevaux présents, et reconnu la belle jument de sa Fifine. Elle entra à l'intérieur de l'église, et put constater qu'il y'avait déjà beaucoup de monde. Elle se promena et essaya de repérer les gens qu'elle connaissait. Elle se dirigea alors vers le futur marié, le salua, pour ensuite saluer Doch, Bella Bella, Mimie, Max, et tous les autres, avant de repartir vers sa filleule Zizi, sa Tribune Fifine et son ami Kalif.
Alexandra1
Alexandra arriva en douce avec la petite Mara, fille du vicomte de Marignane dont elle prenait soin comme à la prunelle de ses yeux mais qui lui donnait un peu de mal vu son âge agité. Presque en retard comme à son habitude pour chacune des cérémonies dont elle avait été présente. À croire qu’elle serait en retard à son propre mariage. Si un jour celui-ci arrivait, quoi que ayant abandonné l’idée puisque décidément son fiancé n’était pas présent ici même l’ayant perdu de vue lors du dernier voyage et s’était perdu lui-même en route …

Quoi qu’il en soit, elle était heureuse de se retrouver en compagnie d’amis soit de longue date ou plus ressent encore. Ni vu, ni connu, elle prit place se disant qu’elle aurait tout son temps après ces quelques instants si Mara le lui permettait bien sûr. Mara qu’elle prit affectueusement dans ses bras pour lui montré la beauté des lieux.
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