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[RP] Cathédrale Saint Maximin d'Aix

Samuel_de_treviere
Tout le cortège de la maison de Marignane était donc entré dans la cathédrale.

Samuel en seigneur de Vitrolles suivait son suzerain avec à son bras sa douce maintenant son épouse. Fier et encore toucher par l’euphorie douce qui le gardait éveillé malgré les soirées à répétitions. Il salua d’un regard, d’un hochement de tête, tout le monde a la suite d’Alexis.

Gardant, il en va de soi, à distance, il restait alors à quelques pas. Aujourd’hui il avait pour la première fois la joie de voir Prouvencao aux premières loges. Son envie de se venger de la cérémonie de son baptême le titilla quelques instants. Il en chuchota deux mots à la Dame de Vitrolles puis riant intérieurement se fondit dans le regard gris bleu de sa chère et tendre.

Il appréciait de voir autant de monde et de trouver la Provence un peu plus animé qu’a l’habitude dans la capitale. Il prit donc place au second rang pour assister au remariage du Vicomte. Samuel n’oubliait pas feu Heloise qui restait toujours dans son cœur mais de revoir Alexis avec le sourire lui faisait grand plaisir.

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Duchessesherry
Un large sourire du Vicomte l'accueillie. Puis le bruit d'une chaise et... un homme qui tomba. Regard de surprise, pas même le réflexe de s'approcher, l'esprit complètement offert à cette rencontre et la redécouverte de cet endroit comme s'il lui fut étranger. À quoi ressemblaient donc les jours passés à s'en revenir, outre pester contre le silence de la Comtesse du Limousin et penser à des rêves déposés sur des promesses?

Lueur éclairant la Sauvageonne, observant son cher ami se nouer l'intérieur, et connaissant sa saine prétention à la taquinerie de répliquer:


- Détenant langue sachant si bien se dénouer, Vicomte, l'estomac ne peut qu'en faire autant! Ce mariage sera parfait! Comme mon voyage je vous assure... où sur les chemins promener des armées et s'abattre est devenu plus de coutume que de raison, me dis-je parfois! Les Royaumes sont fous, fascinant tomber dans le conflit! finit-elle plus bas, heureusement coupée dans son élan d'âme passionnée de politique extérieure, par l'arrivée de Mme de Maintenon et un jeune garçon.

Inclinaison de la tête en guise de salutation, l'attachement de Marignane à ces anneaux la fit ensuite sourire. Quel effet cela faisait de "matérialiser" son ressenti ainsi? Elle connaissait les sentiments pures et simples mais au-delà.... au-delà, le Très-Haut ne lui accordait pas encore, semblait-il! D'ailleurs, son attention de retour sur elle, le rire franc de la baronne teinta. Un amant....?


- Ho Alexis... il manque encore une chose au Vicomte pour convenir à la Déesse: être amoureux!!

Sourire d'amusement, se prenant au jeu sans vouloir choquer, et le regard océan se posa sur le Dauphinois finalement plus si loin, la prunelle réjouie.

- Magnifique très cher! Je vois que la ville ne vous a pas fait trop de misères! - sourire - Je vous présente d'ailleurs notre taquin futur marié, le Vicomte de Marignane, Alexis "Prouvencao" Beogora. Et bel ami, l'invité de Beuil à déjouer aux joutes, Bastien d'Amilly Vicomte de Laragne - Montéglin entre autre!

À peine le temps d'un ouff que Richelieu se hissa parmi eux en lui balaçant un "vous". À se croire en l'une rencontre diplomatique, la Chancelière s'en sauvait décidément pas!

- Un plaisir de vous revoir, Monseigneur! Je présume que l'on se recroisera sur Brignoles?

Brignoles... lui avait-on laissé sa demeure? Et le Portail Ailé à Forcalquier? Déesse se recentra sur les trois hommes, la cérémonie commencerait sans doute betôt.... et elle se réjouissait que déjà le Vicomte de Laragne puisse découvrir "son entourage".
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Rethy
Richelieu n'avait pas mis sa bague en émeraude, cadeau de son amant! Bonnieux pestait, rageait...Mais pourquoi donc son petit farfelu s'obstinait -il à poser sur son doigt cette horreur d'améthyste. Il soupira un peu, se promit de fesser la nuit tombée son Tendre, et regarda les arrivées des Provençaux.

Madame de Maintenon, divine comme un rose , la sensuelle Doch, quasi Réthylienne dans son élégance, Duchesse Sherry,archi banale comme d'habitude , quelques personnes qu'il ne connaissait pas et enfin le Dahut accompagné de sa greluche. Et dire qu'il n'avait pas été invité au mariage de cet impoli...Quel jeune freluquet!

Il se remit à méditer...L'absence de sa femme, Yluxe, commençait à lui peser. A quoi pouvait-elle encore servir, cette stérile, si elle n'apparaissait même plus aux événements mondains? Il soupira, puis songea à l'Enseignement d'Aristote...Seigneur, il avait encore eu des mauvaises pensées!

Cianfarano se mit à rougir, et se promit de ne plus recommencer...Pas en un si beau jour! L'aérienne et douce Aurore, le viril et sensuel Prouvencao ne méritaient pas ces ondes négatives.
Deminerve
Plus qu'énervé par ses deux brutes qui étaient, contrairement à ce qu'on avait l'habitude de voir, des entreurs, Deminerve n'avait pas trop fait attention aux nombreuses personnes qui étaient entrés. D'un oeil, toujours habitué aux différentes armes, d'artiste, il jetta l'un ou l'autre regard vers tout ça. Ne venez pas croire qu'il ne sait plus rien faire avec un écu et des pinceaux. Finalement, il se demandait combien de temps les hérauts pourraient se contenter d'exprimer un art en écrivant simplement des bouts de parchemin. Il salua l'homme à cause de qui il était là, amicalement.

Il me semble cependant que j'aurais pu entrer de moi-même... Vous ne voudriez pas dire à ces deux... personnages de vider la place?

L'un ou l'autre le regarda encore, ceux qu'il connaissait devaient peut-être savoir qui il était, les autres certainement pas, il en était très bien ainsi.
Kylee
Et voilà, elle avait réussi à claquemurer Maxie dans son carrosse tout doré, et ils s'étaient mis en route, elle faisant la sourde oreille aux grommellements de son parrain, et lui souriant mystérieusement. Et quelques instants plus tard, qui lui semblèrent arrivés bien trop tôt, le trajet s'était déroulé en un éclair, ils étaient devant la cathédrale.

Le nez collé à la fenêtre, elle observait. Étaient-ils tous arrivés ? N'était-elle pas trop à l'heure ? On respire, on respire... Pas d'accouchement prématuré, ça ne serait pas gentil, bébé. Pas avant la nuit de noce, par pitié ! Pas pour rien qu'elle faisait abstinence depuis bientôt deux mois... Seigneur, déjà deux mois ? Et ce soir... Elle en avait des fourmis dans les orteils rien qu'à y penser.


On y va ?

En fait, ce n'était pas vraiment une question. De près ou de loin cela ressemblait plus sûrement à un ordre. Donner des ordres à un Comte de Provence, voilà ce que peu de demoiselles non-maîtresses d'icelui pouvaient se vanter. Elle ouvrit la porte et descendit de la voiture, dégrafa sa cape et la jeta sur la banquette.

J'espère que tu as conscience que je suis morte de trouille et qu'il y a de fortes probabilités que tu doives me ramasser après que je me sois évanouie en plein milieu de la nef.
Atchepttas
Elle était là, face aux lourdes portes de la cathédrale d'Aix. Du monde se pressait déjà pour rentrer, elle en fit de même.
Le grand jour pour ses amis était arrivé; ils allaient enfin se marier et elle en serait l'une des témoins.
La jeune femme resserra doucement le ruban dans ses cheveux afin qu'il ne lui fasse pas fausse route dans un moment peu opportun.
Son regard balaya rapidement les personnes déjà présentes. Elle tomba sur Alexandra et sa fille qu'elle salua avec un grand sourire avant de continuer son chemin. Sa route croisa celle de la Marquise, heureuse de la revoir, elle alla vers elle.


Bonjour Hersende, as-tu fait bonne route ?

Après quelques mots échangés de ci et de là, elle remonta la file jusqu'à arriver vers un jeune homme un peu stressé et une jeune femme qu'elle connaissait que trop bien.

Hello Sherry, un plaisir de te revoir


Puis adressant un beau sourire à Alexis


Alors cher Vicomte, te sens-tu prêt pour ce terrible moment à passer ?
Tes deux témoins préférées seront à tes côtés, rassures-toi


Sur ces mots, elle lui adressa un petit clin d'oeil, puis parcourra à nouveau la salle du regard.
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Sagaben
Le Tempéré aperçut la Chancelière provençale entouré de quelques personnes bien mises. Il s'approcha du groupe, sourire aux lèvres. Il chipotait de sa main droite un chapelet, souvenir familial.

Chère baronne! Il prit un ton beaucoup plus bas, juste un instant. C'est juste pour l'occasion, je vous rassure. Reprenant une voix normale. Je suis bien aise de vous voir. En effet, vostre ville n'a pas eu raison de moi, et j'ai pu retrouver de quoi me mettre correctement pour l'événement.

Se tournant vers le marié à l'énoncé de la présentation. Il inclina le chef pour le saluer.

Messire de Marignane, je suis bien enchanté de vous rencontrer. Il était certes bien prévu de venir à un mariage, mais je dois vous avouer que j'ignorais jusqu'aux titres des futurs mariés. Mais permettez-moi donc de vous féliciter pour vos fort prochaines épousailles.

Les présentations terminées, un homme vint l'accoster et lui adressa la parole. Il se porta directement sur son visage. Richelieu! Un ancien collègue au Commerce.

Messire Richelieu! Quel plaisir donc de vous revoir!

Le Vicomte s'attarda rapidement sur la mise de son ancien homologue. Mince! L'archevêque d'Aix, c'était lui! Ne se départissant pas de son sourire, dissimulant son léger trouble par une répartie.

Veuillez m'excuser... Monseigneur...

Il s'inclina comme il se devait devant le prélat. Reprenant sur un air tout aussi taquin que celui dit par la chancelière du jeune marié.

Il faudrait vraiment que je me renseigne lorsque je prends vacances au Sud du Dauphiné. Laissant un court instant. Oui, je suis de séjour en vos terres. J'y suis sur invitation de votre charmante chancelière.

Le Tempéré jeta un regard daen sa direction.
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Mme_de_maintenon
En s'avançant vers le futur marié, Arthur avait tendu ses mains vers lui paumes ouvertes prêtes à recevoir les anneaux. Ses yeux plongés dans ceux d'Alexis, il écouta avec passion son discours. Les mots dragons, force et chevalier suffirent à l'emplir d'émoi. L'enfant ferma chacun de ses poings les serrant fort pour protéger les précieux biens qui lui avait été confié. Mimie lança un regard rassurant au propriétaire des anneaux pour qu'il ne s'inquiète point, ses bijoux de famille seraient en sécurité.

Elle quitta le petit groupe, puis diminuer les risques de pertes des anneaux, la jeune femme emmena s'assoir le petit garçon. Ils se placèrent au premier rang, assit confortablement sur les genoux de sa mère adoptive, Arthur contemplait les bagues.


- Elles sont belles n'est ce pas ? Fait très attention mon chéri, elle sont très précieuses.

Mimie déposa un baiser sur son front, sans pour autant quitter les anneaux des yeux.
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Khaliama
La jeune dame de Vitrolles encore sous les effets de son propre mariage eut la sensation un moment de revivre le sien... Elle suivait son époux avec fierté et déférence. Le suzerain de son époux, d'ailleurs elle se devait de penser aussi le sien, était des plus élégants et un tantinet anxieux... Sentiment qu'elle ne pouvait que trop comprendre vu sa récente expérience. Elle n'en salua pas moins avec respect tous les invités croisés auxquels elle fut présenter. Un léger sourire flottant sur son visage et un pétillement en croisant des visages déjà connu pour lesquels, icelieu, elle n'était qu'une inconnue...
Son aimé lui souffla quelques mots à l'oreille évoquant un souvenir de baptême. Elle se mordilla la lèvre inférieure pour ne pas rire de l'espièglerie prononcée. Un regard gris bleu lui répondant "non tu n'oserais pas tout de même si je serais aussi tentée que toi de rendre la pareille".
Elle appréciait de pouvoir ainsi découvrir une provence plus animée qu'elle ne connaissait... Ce qui en regardant son époux semblait lui satisfaire pleinement.

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Prouvencao


[quelques minutes auparavant auprès de Deminerve]



Il avait été dur que de ramener le seigneur de Beaumes de Venise en la capitale. Les deux cavaliers marignanais avaient dû se faire discret et redoubler de ruse pour enlever le jeune hobereau au vu et au su de ses gens. Julien* et Noël** avaient galopé rapidement jusqu'en Aix avec Deminerve en croupe malgré ses vociférations légitimes. Le posant dans la cathédrale sur un banc, et l'encadrant avec zèle, ils virent arriver leur maître devant lequel ils se levèrent pour le saluer. Après les embrassades des deux amis, et les plaintes de ce dernier, le vicomte de Marignane interpela ses gens :

Julian*, Calendau**, vous pouvez disposer, vous avez accompli votre mission avec brio!

Sur ces derniers mots, les deux gens d'armes disparurent rejoindre leurs compagnons, et après un bref salut à son ami Deminerve, Alexis le laissa, souhaitant néanmoins le revoir à la fin de la cérémonie avant qu'il ne disparaisse.


Alexis écouta attentivement la présentation de ce noble ami par la baronne. Il se souvint alors de l'avoir un jour accueilli à la chancellerie du temps où il y travaillait encore. L'homme se tenait dignement mais discrètement, intimidé et perdu d'être ainsi entouré de Provençaux, nobles ou roturiers. Le vicomte de Marignane le gratifia alors d'un sourire amical et lui rendit d'une légère inclinaison courtoise son salut et sa politesse.

Enchanté, et merci de votre présence vicomte! Vous étiez tellement déclamé par la baronne sous toutes les coutures possibles que je souhaitais faire votre connaissance. J'espère que j'aurai l'honneur de jouter contre vous demain si vous me faites ce plaisr!

Se voyant rejoint par le très illustre archevêque d'Aix ainsi que sa seconde témoin qui, avec la baronne de Beuil, complétait le trio enthousiaste du mariage, il ne manquait plus que la promise, et la cérémonie pouvait commencer. Il salua le comte d'Apt et lui répondit enfin.

Merci Monseigneur, je suis prêt pour ma part, il ne reste plus que la belle Aurore qui aime à se faire attendre pour cet important évènement de notre vie! dit-il amusé pour masquer une certaine appréhension dont il avait fait part à DS.

Alors cher Vicomte, te sens-tu prêt pour ce terrible moment à passer ?
Tes deux témoins préférées seront à tes côtés, rassures-toi!
lui dit Atchepttas.

Léger sourire de circonstance.

Oui, je me sens soudain plus rassuré en ta présence! répondit Alexis non sans rire.

Son regard inquiet se porta alors vers le portail de la cathédrale. Attendant l'être aimé apparaitre dans toute sa splendeur qui aveuglerait les personnes présentes. A cela il sourit. Sa nervosité se traduisait par d'idiots sourires en effet... idiot était le terme pour le décrire en ce moment même!
Richelieu1


Et voilà que Pillon, Mairesse de Brignoles arrivait. Par la même occasion DS lui évoquait un possible retour à Brignoles, somme toute une bonne nouvelle. L’archevêque déclara qu’il serait ravi de la revoir sur les rives du Caramy.
Kylee arrivait juste sur le parvis de Saint Maximin. La cérémonie ne tarderait plus. Max l’accompagnait. Atch était là également, et conversait avec sa Suzeraine.

Visiblement Sagaben ne l’avait pas oublié. Il le salua et corrigea son titre en lui redonnant du Monseigneur. Ah ces titres …



Je suis ravi de vous revoir ! Et ne vous en faites pas pour les titres, c’est très secondaire, surtout dans la maison du Très Haut ! Si vous passer par brignoles ou encore Apt, je serais ravi de vous recevoir, avec DS bien entendu.

Se tournant vers le Vicomte.

Vicom, tout vos invités sont ils là ? Le cas échéant je pense que nous pourrions commencer la cérémonie.

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Ludovi de Sabran, Comte d'Apt, Archevêque d'Aix en Provence
Seigneur de Rocbaron et de la Sainte Baume
Juge Suprême de la CSMAO
Max1664
Lui qui avait horreur des voyages en voiture, son dos avait eu loisir d’apprécier toutes les aspérités des rues pavées de la capitale. Que se passait-il, tout le monde devenait-il fou ? Le Cortège qui fut si prudent pour se rendre à l’hôtel de son futur neveu avait parcouru la distance qui séparait celui-ci de la cathédrale en moins de temps qu’il en aurait fallu à un marathonien chevronné. Décidément, sa filleule n’avait pas bonne influence sur son escorte…

Le carrosse immobilisé, le capitaine de la garde mit pied à terre et fit poster ses hommes le long de l’allée qui menait à la sainte demeure. La main gauche sur la garde de son épée, pour en limiter les mouvements, il s’approcha de la voiture pour en ouvrir la porte…, qu’il prit de plein front, manquant de culbuter si un de ses officiers ne l’avait pas rattrapé au vol. Aurore, dont le voyage n’avait visiblement pas calmé l’ardeur, avait décidé qu’il était grand temps de descendre et dans son empressement, n’avait pas prêté attention au commandant des gardes de son oncle, qui se retrouvait dans une position peu confortable.
Assistant à la scène et se frappant le front de la main gauche, le Comte descendit à son tour, plus sereinement, et tendit le bras en direction de sa nièce.


-Calmes-toi et tout se passera bien, je suis là pour cela. Prends mon bras et suis-moi à l’intérieur, les convives doivent commencer à s’impatienter.

Elle saisit son bras et ils s’avancèrent dans la haie d’honneur qui s’offrait à eux, suivis de prés par le pauvre capitaine...
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E la Nave va
Vero5
Vero avait pris place dos à la pierre à l'air libre, admirant la hauteur de l'édifice et la beauté de la place, distraite par l'arrivée des personnes conviée à l'événement, finalement le carrosse portant la promise arrive et la voit débouler et s'engouffrer, Soupire et se déplace à sa suite avec moult badaud.

Toujours aussi frileuse de son entrée dans ce monstre de pierre. Vero s'aventure à la grande traversée, frayant rapidement son chemin pour pouvoir admirer l'arrivée de celle qui était tant attendu.

Éveille olfactif qui lui signale que l'Homme est non loin, notes fleuri et ambré, s'en approche et pose sa main sur son bras pour ne pas le surprendre, se penche et l'embrasse doucement.


Alors, il y a des teintes qui présage des merveilles?
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Belissende_de_biel
Belissende etait partie tard de Forcalquier et Oural son fringant destrier avait decidé ce jour là de prendre son temps , malgré les vociferations de sa maitresse il continua son petit bonhomme de chemin tranquillement jusqu'au parvis de la Cathédrale.

Bien entendu elle se doutait du retard et celà se confirma lorsqu'elle aperçu le carosse Comtal et la mariée qui en descendait.
Elle laissa donc son cheval au palfrenier qui etait de service

Ils ont pensé à tout , beau mariage de nobles , on voit qu'ils n'ont pas a compter leurs ecus eux marmonna t'elle entre ses dents

Elle avait revetu sa plus belle houppelande et malgré la route , jugea qu'elle n'etait pas trop poussiereuse et que pour le temps de la ceremonie celà ferait l'affaire .
Ses pas la menerent donc sur le côté , une petite porte derobée par laquelle elle fit une entrée discrete comme elle les aime .

Se glissant silencieusement dans les derniers rangs , elle put admirer de loin le faste de la ceremonie , tout le gratin de Provence etait au rendez vous et c'est très mal a l'aise qu'elle se demanda ce qu'elle etait venue faire ici , elle n'y avait pas sa place !

Mais bon , maintenant qu'elle avait fait le chemin , autant profiter du spectacle se dit elle et c'est avec un sourire legerement moqueur qu'elle regarda autour d'elle et savoura le spectacle de tous ces hommes et femmes minaudant et faisant des courbettes alors que leurs pensées veritables , du moins pour certains , etaient surement bien loin d'être pacifistes et ininteressées .
Se faire voir , être vu , tel etait leur plus grand adage ....

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Epouse du tendre et merveilleux Al1 de Koenigs
Misslafan29
Miss arriva, habillée pour cet grande évènement.Croyant qu'elle était en retard, elle se pressa pour arriver à la cathédrale.
quelques minutes après, elle arriva enfin à la cathédrale et fut soulagée en voyant la foule entrer dans la cathédrale. En regardant autour d'elle, elle regretta déjà son mari qui était toujours piégé par les moines...En soupirant, elle dit bonjour à certains, en faisant des révérences. Puis, elle entra silencieusement dans l'église pour prendre une place au hasard.En jetant un coup d'œil autour d'elle, elle s'assit en prenant attention que sa houppelande ne se salit pas.

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Amoureuse de son beau Coquin et proclame au monde qu'elle l'aime, son Comte.
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