Guirre
Arrivé en la capitale, Guilhem fit signe à son mestre d'Armes, Honfrois, de s'arrêter pas loin de l'auberge municipale, afin que les montures puissent reprendre des forces, et eux aussi.
Descendant de cheval, il donna quelques piécettes pour le garçon d'écurie, lui demandant de prendre bien soin de la jument, puis pris un paquet bien enveloppé et ficelé du flanc droit de celle ci.
Hochant de la tête, Honfrois acquiesça mais resta à distance de Guirre, scrutant et restant aux aguets, habitude de protecteur.
Le paquet sous le bras, Guilhem se dirigea vers monseigneur Richelieu et le remercia de l'avoir accompagné sur cette courte chevauchée depuis le village de Forcalquier.
Ensuite, il s'en alla, en direction de la cathédrale, imposante bâtisse où un office devait prendre fin.
Guilhem enleva son couvre-chef en guise de respect, s'approchant des membres de la procession qui allaient sous peu se mettre en marche, pris une grande inspiration et s'avança vers le vicoùm Alexis Beogora, fit les salutations en la circonstance, puis ...
Toutes nos sincères condoléances de la part des membres de la Ciutat, sachez que votre peine ne nous est point indifférente, et sommes profondément navrés de la disparition de votre suzeraine.
à ce titre, un souhait serait qu'un présent de sa part puisse l'accompagner lors de son repos éternel afin de protéger son souvenir contre d'éventuelles agressions.
*lui remettant le paquet qu'il avait entre ses mains et faisant respectueusement un pas en arrière*
Qu'Aristote puisse vous aider à trouver la paix de l'esprit malgré cette douleur qui vous sied en ce moment.
Puis il s'avança respectueusement vers diaconesse Ascram en la saluant, le cur lourd mais avec un sourire de bienveillance et de compassion, n'ayant pu assister à l'office à temps.
Se retirant par une révérence, il pénétra sur le côté du parvis, se dirigeant en saluant au passage les personnalités présentes, et s'enquérant d'allumer un grand cierge à la mémoire d'un de ses filleuls qui était souffrant, espérant qu'il puisse se rétablir, oui, avec l'espoir qu'il savait perdu mais il ne pouvait rester insensible à tant de disparitions.
Allumant le cierge, il se mit à genoux, implorant le très haut par quelques larmes sur son visage durci et gémissant quelques mots imperceptibles :
... notre père ... prend soin ... ... de ton serviteur Darkbrice ... pensée pour sa famille ...
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Descendant de cheval, il donna quelques piécettes pour le garçon d'écurie, lui demandant de prendre bien soin de la jument, puis pris un paquet bien enveloppé et ficelé du flanc droit de celle ci.
Hochant de la tête, Honfrois acquiesça mais resta à distance de Guirre, scrutant et restant aux aguets, habitude de protecteur.
Le paquet sous le bras, Guilhem se dirigea vers monseigneur Richelieu et le remercia de l'avoir accompagné sur cette courte chevauchée depuis le village de Forcalquier.
Ensuite, il s'en alla, en direction de la cathédrale, imposante bâtisse où un office devait prendre fin.
Guilhem enleva son couvre-chef en guise de respect, s'approchant des membres de la procession qui allaient sous peu se mettre en marche, pris une grande inspiration et s'avança vers le vicoùm Alexis Beogora, fit les salutations en la circonstance, puis ...
Toutes nos sincères condoléances de la part des membres de la Ciutat, sachez que votre peine ne nous est point indifférente, et sommes profondément navrés de la disparition de votre suzeraine.
à ce titre, un souhait serait qu'un présent de sa part puisse l'accompagner lors de son repos éternel afin de protéger son souvenir contre d'éventuelles agressions.
*lui remettant le paquet qu'il avait entre ses mains et faisant respectueusement un pas en arrière*
Qu'Aristote puisse vous aider à trouver la paix de l'esprit malgré cette douleur qui vous sied en ce moment.
Puis il s'avança respectueusement vers diaconesse Ascram en la saluant, le cur lourd mais avec un sourire de bienveillance et de compassion, n'ayant pu assister à l'office à temps.
Se retirant par une révérence, il pénétra sur le côté du parvis, se dirigeant en saluant au passage les personnalités présentes, et s'enquérant d'allumer un grand cierge à la mémoire d'un de ses filleuls qui était souffrant, espérant qu'il puisse se rétablir, oui, avec l'espoir qu'il savait perdu mais il ne pouvait rester insensible à tant de disparitions.
Allumant le cierge, il se mit à genoux, implorant le très haut par quelques larmes sur son visage durci et gémissant quelques mots imperceptibles :
... notre père ... prend soin ... ... de ton serviteur Darkbrice ... pensée pour sa famille ...
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