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[RP] Cathédrale Saint Maximin d'Aix

Richelieu1


Miladyw, pat et Guyhom firent leur profession, et l'archevêque en fut satisfait. Il invita donc la pastorante à se pencher au-dessus des fonds baptismaux. A l'aide d'une coupelle, il versa de l'eau sur son visages en déclarant :

Par cette plongée dans l'eau, je vous purifie de vos fautes passées.
Miladyw, je vous baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très-Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.
Ainsi vous voilà purifié par la grâce du Tout-Puissant. Vos fautes sont pardonnées. Votre âme sera libérée des craintes de l'enfer lunaire, pour peu que votre vie soit vertueuse.






L'archevêque sourit puis la ramena vers l'autel afin de lui remettre certaines choses.



Par cette lumière que je vous confie au nom de la communauté aristotélicienne, je vous invite à suivre les préceptes de Christos et d'Aristote. Vous voici désormais éclairés par la Lumière du Très-Haut.
Restez sur le chemin de la vertu, servez Dieu ou vous retomberez dans l'obscurité, vulnérable aux tentations et aux vices. Cette lumière vous guideras sur le chemin de la vertu et éclairera votre cœur lorsque la créature sans nom tentera de l'assombrir.


Il lui passa ensuite un bijou autour du cou :



Voici la médaille des baptisés. Elle symbolise votre appartenance à notre Sainte Église ainsi que votre engagement dans notre Communauté. N'hésitez pas à la porter.

Il lui donna également son certificat.


[i]Un silence suivit, afin qu'ysarée qui semblait absente, perdue dans ses pensées prononce elle aussi les paroles tant attendues.

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Ludovi de Sabran, Comte d'Apt, Archevêque d'Aix en Provence
Seigneur de Rocbaron et de la Sainte Baume
Juge Suprême de la CSMAO
Ysaree
Désolée pour le retard


Des semaines qu’elle n’avait pu la voir. De longues semaines à grappiller des informations auprès de Guirre qui perdait ses couleurs à chaque fois qu’il essayait de la rassurer. Le Baron avait du mal à cacher son inquiétude pour sa femme. Puis les nouvelles ont été plus heureuses : La vie de celle qu’Ysarée considère depuis de longs mois déjà comme sa marraine n’était plus en danger. Elle ne l’avait pourtant pas revue, trop angoissée à l’idée de traverser les tentes d’infirmerie jonchées de corps mourants ou estropiés. Il lui aurait alors été impossible de retourner au combat avec ces images à l’esprit.

Les pas de la jeune femme sont nerveux, au fond de la cathédrale, en attendant qu’Ysabelle arrive et lorsque enfin elle la voit, elle ne peut s’empêcher de la scruter discrètement. Son teint, l’assurance de son pas, la vitesse de ses mouvements, tout est examiné alors que la Baronne la conduit, souriante, jusqu’aux premières places. Dans le silence respectueux de l’Église elle n’ose pourtant pas encore lui poser de questions.

La cérémonie commence alors que Guirre les rejoint. Les deux femmes lui font une place mais Ysarée reste concentrée sur les paroles de l’officiant. Tandis que l’autre baptisée répond, elle réfléchit à ses propres explications. Et lorsque le regard de l’Archevêque vient à elle, elle prend la parole :

C’est bien en toute liberté de conscience que j’ai souhaité faire partie de l’Église Aristotélicienne. Sans pression ni menace j’ai voulu recevoir le Sacrement du Baptême pour entrer, enfin, dans la communauté des Fidèles et je m’engage après cela à vivre selon les principes qui nous sont enseignés par Aristote et à servir ainsi le Très Haut et son Église en toutes circonstances.

Elle se tourne ensuite doucement vers Ysabelle pour écouter ses réponses et attend la suite de la cérémonie.
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Eralypse
Fallait-il vraiment qu'il réunisse lui-même dagues et couteaux pour se faire tailler en tranches de cette régularité agaçante? Un rôti,voilà.Plus jamais il ne se fera appeler Eralypse.
Désormais ce sera :le rôti. L'idiot peut-être. Le naïf,au fond.

Méritait-il vraiment mieux de toute façon?

Lové au creux d'un étau qui lui brise et les côtes et les reins,il se demande.
Comment ça faisait avant.
Sans les piques fichées dans son ventre,sans l'oubli qui le taillade,sans les fluides rognant la soif,sans les cailloux lui coupant l'appétit.


...Sao as águas de março fechando o verao...

Coule sans arrêt.
Cours sans t'arrêter.
Arrêtes en laissant suivre... son cours.

Tout n'était que contradiction,aigre et amère,douce et lumineuse,sombre et graveleuse,gourmande et dégoûtante...Un fouilli de couleurs,un parfum entêtant,des brûlures et puis.Plus rien.

Rien,ou presque.


Comment ça un baptême?

Le réveil n'avait pas été si douloureux que ça,juste cette sensation d'avoir la langue en corne et les pieds en glaise.
Parler,marcher?Hé,pourquoi faire?
Le carcasse se hisse,bouge,acquiesce,s'habille,s'en va.





[Capitale de la capitale,provence provençale,
aristotélique divagation...Cathédrale? Si tu veux.]

Traine-savate sur la venue,dans la rue,partout,nul part,en direction de l'endroit où il devrait déjà être.

Promis,demain,il ne se saoulera pas à la liqueur de son âme imbue ni à la bêtise de ses espérances déchues.Promis.
Pas même à la bière.Oui,oui,promis.

Chausses caressant les pavés maculés,de ci de là,de sang,d'ordures,de chiendents perçants,de crachats décoratifs et autre joyeusetés artistiques,l'homme avance,l'impression d'avoir cent ans dans le tourbillon de ses souvenirs qui s'entrechoquent.Le combat fait rage,donnant ce bourdonnement trop connu par les poivrots,moins par les dévots.Quoique.

Et voilà les portes,majestueuses,grandioses,risibles.Dressées par devant lui,l'obligeant à sortir de ses rêveries pour se muer dans l'atmosphère solennelle.Doucement,il reprend conscience.De lui.Du pourquoi de sa venue.
Un peu moins du reste.
Pas encore de toutes ces silhouettes et ces visages.Sauf la baptisée,il l'aperçoit en voguant de sa démarche assurée jusque sur un banc,au fond,sous cette voute les enveloppant comme les mâchoires entourent la proie,comme les mains caressent le visage,comme le pain autour du jambon...Quelles profondes pensées lui traversèrent l'esprit alors qu'il écoute et contemple!Oui,profondes.Le mot.

Il sort de lui-même et finit par reconnaitre,quelques traits,quelques voix.
Quelques mots,par ci,par là.

Les mèches brunes et le corps qui les supporte sont arrivés trop tard,la cérémonie semble toucher à sa fin.Il pense s'excuser,avec un sourire et un bouquet ça pourrait passer.
Sauf qu'il n'a pas de fleurs.Et que sourire lui semble étrangement déplacé.

Un pardon suffira peut-être.

Encore un.

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Richelieu1


Ysarée avait repris ces esprits, en même temps lors d'une cérémonie d'une telle importantce, cela arrivait ! Il l'invita donc après un sourire d'encouragement à se pencher au-dessus des fonds baptismaux. A l'aide d'une coupelle, il versa de l'eau sur son visages en déclarant :

Par cette plongée dans l'eau, je te purifie de tes fautes passées.
Ysarée, je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très-Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.
Ainsi te voilà purifié par la grâce du Tout-Puissant. Tes fautes sont pardonnées. Ton âme sera libérée des craintes de l'enfer lunaire, pour peu que ta vie soit vertueuse.






L'archevêque sourit puis la ramena vers l'autel afin de lui remettre certaines choses.



Par cette lumière que je te confie au nom de la communauté aristotélicienne, je t'invite à suivre les préceptes de Christos et d'Aristote. Te voici désormais éclairée par la Lumière du Très-Haut.
Reste sur le chemin de la vertu, sert Dieu ou tu retomberas dans l'obscurité, vulnérable aux tentations et aux vices. Cette lumière te guideras sur le chemin de la vertu et éclairera ton cœur lorsque la créature sans nom tentera de l'assombrir.


Il lui passa ensuite un bijou autour du cou :



Voici la médaille des baptisés. Elle symbolise ton appartenance à notre Sainte Église ainsi que ton engagement dans notre Communauté. N'hésite pas à la porter.

Il lui donna également son certificat.


Un silence suivit, afin que tout le monde soit félicité. L'archevêque pourrait ensuite clore la cérémonie.

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Ludovi de Sabran, Comte d'Apt, Archevêque d'Aix en Provence
Seigneur de Rocbaron et de la Sainte Baume
Juge Suprême de la CSMAO
Guirre
Guilhem se réjouissait de voir ces deux "enfants" prendre position parmi les voies qu'elles avaient choisie,
tenant la main de son épousée, il la serra doucement en lui adressant un petit sourire de fierté qu'elle devait partager aussi.

La cérémonie se déroulait au plaisir de tous les participants, une ambiance de sérénité s'en dégageait en ces temps troublés à l'extérieur.

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Whaou74
whaou74 et cissy37 rentrent a nouveau dans l' édifice et douceur pour pas dérangé la fin de la cérémonie du baptême .

le whaou74 accrocha un parchemin sur le tableau des publication des bancs.



ce recula doucement et ce dit


dans une semaine tu et pendu mon whaou !!!!
Cissy37
Cissy entra a la suite de Whaou dans la cathédrale, ils entrèrent silencieusement pour ne pas déranger la fin du baptême, et accrochèrent le parchemin de leur mariage.

Elle regarde le parchemin affichée,

et se dit:

Une semaine et c'est fini.
Alpins05
Alpins05 arriva dans l'église, il avait mis sa tenue d'apparat car c'était un jour qui devait rester dans les annales. Il cachait sous sa cape un cadeau pour les mariés. Il le mis dans un coin de l'église et attendit l'arrivés des mariés.....
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Whaou74
en ce premier jour de printemps , le whaou74 avais quitter çà cissy très tôt ce matin , tradition oblige pour pas la voir dans ça robe de marier .

entra dans la cathédrale encore bien calme et aperçu sont grand ami et fillot et parrain pour sont mariage avec ça douce .


mon ami !!! ça va ? c'est le grand jour !!!!

ce retourna et regarda en direction de la porte , pour voir les personnes qui vont ce présenter a lui , dans ça tenue , pour cette évènement unique dans une vie .



chutote a l oreille de sont ami

a tu croiser notre père ?
Nora
Nora, après une nouvelle nuit au front, n'oublia absolument pas, au lendemain matin le mariage de son fils adoptif....
Comment aurait-elle pu l'oublier ?

La voilà à peine entrée à l'hôtel, qu'elle quittait ses vêtements de combats....son uniforme, se lava pour revêtir sa houppelande qu'elle n'avait plus mis depuis bien longtemps....Depuis sa dernière journée avec Yu d'ailleurs....hmm...
Assurée qu'il ne lui restait aucun vestige physique de la nuit qui avait précédé, elle ressortit de l'hôtel....

Pour prendre la route de la Cathédrale. Le couple du jour avait attendu ce moment avec impatience. Et cette journée apporterait de la joie dans cette sombre et sanglante guerre.

De plus, elle attendait, complètement impatiente devant l'ediffice....Quelque jours avant, elle avait envoyé une missive à Ophéliane la nourrice, afin qu'elle profite du peu d'instant de calme qu'il y avait pour venir avec les enfants....

Nora avait prié...ce qui n'était pas du tout de son habitude....pour qu'ils arrivent tous saints et sauf pour assister au mariage de leur frère aîné.
Et c'est aisni qu'elle guettait les moindre recoins pour les voir apparaître au coin d'une rue...

C'est alors qu'elle entendit des cris et des rires au loins...voix qu'elle reconnu sans peine...
Les yeux ouverts, elle vit arriver en courant les plus grands...suivis des jumeaux...Torak et Camillle derrière eux...Ophéliane fermant la route.

En les voyant arriver, elle ne retint pas la première larme qui coula....Peu importe sa tenue et s'agenouilla au sol et prit ses anges dans ses bras....
Comment avait-elle pu passer autant de temps séparés d'eux....c'était eux qui illuminaient sa vie....et elle les avait laissé...

Relevée, elle souleva Torak et Camille, qu'elle prit dans ses bras et sourit à Ophéliane, qu'elle remercia pour tout ce qu'elle faisait depuis le mois de Novembre...

Ce jour...elle était plus heureuse que jamais....elle retrouvait ses enfants....et l'un d'eux se mariait...
Fièrement désormais et le sourire aux lèvres, elle entra dans la Cathédrale, où se trouvait déjà Whaou et Alpins.

Après que tout le petit monde se soit signé....comme elle leur avait apprit, elle reposa délicatement Torak et sa soeur au sol, puis les regarda partir voir leur frère...bien quelle leur demanda de ne pas courir...Ils étaient dans une cathédrale tout de même.

Tout sourire, elle s'avança vers Whaou, après que les petits lui aient sauté dessus.


Que tu es beau Whaou !!
Tu es magnifique tu sais !


Elle lui fit un doux bisou, puis emmena les enfants s'asseoir, essayant de les tenir calme...bien qu'elle comprenait qu'ils soient agités ce jour.
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Ledzeppelin
Led s'était préparée avec délice pour cette belle journée anonciatrice de printemps et celle qui couronne l'amour de deux jeunes personnes qui ont défié la guerre et les lois de la prudence.

Cissy et Whaou allaient se marier devant le Tout-Puissant.

La Comtesse était heureuse elle venait de recevoir une longue lettre de la gouvernante de son enfant lui relatant les progrès et le développement de sa fille qu'elle avait si peu vue.

Un mois presque jour pour jour après sa naissance, les Français foulaient le sol de son pays et elle avait du éloigner l'enfant à son grand chagrin. La gouvernante lui contait les mille et un petits événements de la vie et avec une telle joie et participation que Led se réjouissait du bon choix d'avoir pris Gisèle pour s'occuper de sa petite Rosa.

En repensant à cela, sourire aux lèvres, la Comtesse vêtue d'une belle et somptueuse robe de velours rouge sombre remonte le nartex, regarde si son époux est là mais voit qu'il n'est pas arrivé encore. S'approchant de Whaou en compagnie de Nora elle les salue :


- Que tu es élégant cher ami en ce jour ! Nous avons plutôt l'habitude depuis deux mois de porter nos harnachements de guerre que cela parait étrange de se retrouver comme auparavant.
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plus jeune, plus fougueuse, plus dynamique, plus emportée aussi; son moteur est la passion, et "elle en a sous le capot" [Thranduill]
Hersende
Déposant pour la cérémonie son équipement militaire, Hersende avait passé quelques temps à sa toilette, revêtant une longue robe noir brodée de fils d'or au haut col de dentelle relevé. En dehors d'un teint plus pâle qu'à l'habitude, nul n'aurait pu déceler sur son visage les longues nuits de veilles ou de combats qui avaient marqué ces deux derniers mois.

A son entrée dans la cathédrale, elle vit son ami Whaou apparemment très nerveux, dans l'attente de sa douce fiancée, celle dont il lui parlait depuis bien longtemps et qu'Hersende n'avait pas encore rencontrée.


Whaou, quelle superbe tenue! Cissy ne va pas résister, c'est évident! Qu'en pensez-vous Mesdames? dit-elle en s'adressant en riant à Led et à Nora.
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Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Misslafan29
Miss avait changé de vêtement. Elle s'est vêtue d'une belle robe rouge mais en gardant une épée discrètement en le cachant sous sa robe. Le mariage...c'est pas en se baladant avec des vêtements de combat. Elle se changerait quand le mariage de son ami Whaou aurait terminé...
Quand elle fut prête, elle sortit son auberge où elle passait de temps en temps quand elle avait de la permission, bien que ses permissions sont trop rares depuis deux mois...
Elle se dirigea vers la cathédrale, vit déjà quelques personnes qui entrérent. Elle y entra à son tour,et apercut Whaou dans son splendeur habit et quelques dames autour de lui. Elle se dirigea vers eux et leur dit :

-Eh bien! Tu es magnifique, Whaou! Bonjour Hersende, Led, Nora!
Elle finit par saluer Agadir qu'elle avait rencontré quelques fois.
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Amoureuse de son beau Coquin et proclame au monde qu'elle l'aime, son Comte.
Nora
Nora sourit en voyant arriver la comtesse, puis la marquise.
hmm..Son fils savait amener le beau monde.

Elle les salua toutes les deux et les gratifia d'un sourire chaleureux.
Puis reposa son regard sur Whaou en entendant la remarque.


N'est-ce pas qu'il est beau ainsi !?
C'est sur que Cissy ne tiendra pas ^^


Amusée, elle jeta un oeil vers ses enfants qu'Ophéliane essayait de tenir tranquille, puis se retourna à nouveau vers le marié, la comtesse et la marquise.

ça va aller Whaou ?
Pas trop stressé ?


Misslafan fit son entrée, resplendissante dans sa robe rouge


Bonjour Miss !
Comment vas-tu ?

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Sebone06
seb entra doucement dans la grande cathédrale et vit tout le grand peuple de toute la Provence.
il vit whaou très bien habillé, lui fit un petit signe discret puis lui dit discrètement



je ne te souhaite pas bon courage car je sais que tu en a,
je ne te souhaite pas bonne chance car tu a bien plus que de la chance,
je ne te dit pas que tu a fait le bon choix car tu a fait le meilleur choix.
allé ca va bien se passé.


puis seb s'assit le plus prêt possible du devant pour ne pas en perdre un petit bout.
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maire de Draguignan, meunier et maraiché

ex marchand ambulant
ex tisserand
ex éleveur d'ovin
ex maire d'Espalion
ex conseiller d'espalion au près des tisserands et des éleveurs d'ovins.
ex CAC d'espaillon.
ex maréchal chef d'espalion
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