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[RP] Cathédrale Saint Maximin d'Aix

Whaou74
le whaou74 revient tète base , car il vient de recevoir une mauvaise nouvelle .

il prit la parole .

mes amis , peuple de provence , dame ma marquise, ma comtesse et témoin pour mon mariage .
A cause d'un soucie logistique, les témoins de cissy, ne peuvent êtres présents a coter de nous , après discussion avec monseigneur , et ma dame , le mariage et reporter a une date ultérieur , et pour le confort des témoins de cissy , il va être déplacer ici >>

http://chateauapt.forumactif.net/chapelle-de-l-archange-saint-gabriel-f11/?sid=0643e125d98e5017de75734afa6f2843

mais malgré tout, ce jour et magnifique avec la fin de l'hiver. en cette période de trouble , je voudrais que chacun garde le moral en pensant a l histoire de ma dame cissy .
part amour elle et venue depuis tarbes en provence , traverser un pays en guerre en passant part arles la martyre , sont amour la fait voler au dessus des dangers , elle a un courage incroyable , et je l aime pour la vie .


merci a tous .
Nora
Nora regarda Whaou revenir, mine défaite.
Elle comprit rapidement que quelque chose n'allait pas comme prévu et grimaça en l'entendant.
Avec cette guerre...il fallait s'y attendre un peu.

La brunette s'approcha de lui.


ça va aller mon grand =)

Nora lui fit un bisou sur le front

A quand est-il reporté ?
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Alpins05
Alpins05 après avoir salué tout ce beau monde, s'approcha de son ami, et lui mis la main sur l'épaule pour lui dire :

On est toujours là et on sera toujours là ce n'est qu'un contre temps mais la fête se fera car vous êtez des gens bien et vous méritez ce bonheur, alors on attendra....

Puis montra à Whaou une petite bouteille d'italie qu'il avait ramener pour lui et lui dis:

Trinquons malgrè tout!

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Sofio
Un visage défait, des yeux rougis, par des larmes contenues, tant d'espoirs en son cœur, des paroles...ses paroles qui résonnent comme l'orage des soirs d'étés quand il vient fracasser sa colère sur ses montagnes d'Auvergne, cœur meurtris elle entre en la cathédrale, décors de pierres aux vitraux de couleurs, pas un regard pour la lumière, fini....

que l'ombre apparaisse, plus rien ne pourra être pareil..fini, déchirée, se souvient du texte de son baptême sombre histoire ou Aristote détruit tout , léger rictus, Aristote avait un sale caractère , il a du faire en sorte de laisser de lui partout.

Juste s'agenouiller un instant ployer ce genoux comme pour recevoir son fief, promettre et faire serment, une vision troublée mouillée, c'est vidée de son âme qu'elle veut rester ainsi de longues heures, jusqu'à ce que la mort nous sépare....ses paroles...elle trifouille nerveusement la bague passée a son doigt, hésite a la retirer, la laisse glisse au bout de son doigt, et la remet.

Qu'importe maintenant, plus rien n'a d'importance comme il pouvait en avoir, plus rien n'aura la gout la vie parait si fade.

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Cleeclee
Cleeclee s'agenouilla et pria pour que cette guerre s'arrete au plus vite et pour que quelqu'un guérisse aussi quelques part et il espere que cette personne ne ce sera pas assise dans cette campagne et fermé les yeux pour toujours
Mini.
Bien que baptisée et aristotélicienne de surcroit,ce n'était pas vraiment l'habitude de la petite brune de se rendre dans les lieux saints,sauf pour les mariages,enterrements et autres baptêmes mais...Là,les circonstances étaient différentes!Ici c'était la guerre...Ici,chaque jour qui passait,faisait de nouvelles victimes...La jeune infirmière trouva un coin d'ombre et prit place sur un banc!Puis elle se décida à prier pour tous ceux qui étaient chers à son coeur...Mini resta là un bon moment,ici au moins,tout était calme comme si ce qui se passait dehors n'existait pas...Pas d'épées s'entrechoquant,pas de boucliers se fendant...Rien que le silence!Juste ce dont elle avait besoin pour réfléchir sereinement.......
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Repeat after me:"It's just a game..." (©{Badger})C'est pas faux!
Madnight
Voilà, c'était fait. Elle avait adressé un message à chaque chef des armées.
Ce week end, avec la grace d'Aristote, elle pourrait à nouveau revoir son moulin et ses amis.
Mad posa un cierge sur l'hotel, s'agenouilla et pria comme elle ne l'avait encore jamais fait.
Marianne_dezyelinski
Alors que l'heure avançait et que la nuit recouvrait de ses ombres les remparts aixois, Marianne se rendit à la cathédrale. Elle prendrait bientôt son tour de garde et n'aurait plus guère de temps pour la prière.
Entrant d'un pas vif dans la cathédrale déserte, elle déposa son bâton et son bouclier à l'entrée, pour ne pas se présenter devant Dieu armée. Elle s'approcha de l'autel, alluma un cierge puis s'agenouilla.
Prenant dans sa main la médaille de Saint Tugdual prêtée par dame Bleizhmorgan avant son départ, elle récita ses prières plus entièrement et avec plus de ferveur que jamais.


Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant,
à tous les Saints,
et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution
et la rémission de tous nos péchés
.


Sentant que cette prière du pardon n'avait jamais été plus appropriée qu'à cette heure, la petite continua avec le credo, puis resta silencieuse un bon moment avant de rajouter dans un murmure:

- Biken ne Tremenint... Mar Kar Doue!

Elle se releva et partit sans se retourner, récupérant juste son équipement au passage, courant presque une fois dehors pour retrouver ses compagnons et ouvrir l'oeil.


A la demande des censeurs, traduction des mots bretons murmurés par Marianne: Ils ne passeront pas... S'il plaît à Dieu!

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Donotach
Donotach était sue la route du retour. Juste avant de partir il s'arrêta à la cathédrale pour prier un peu. Il entra, se signa et prit place à un ban tout en avant de l'église puis s'agenouilla

Il pria le Seigneur pour que les atrocités que ses yeux avaient vu ne se reproduise plus jamais.
Puis il pensa à sa cousine et à son oncle qui était sur les routes en ce moment et il lui demanda de veiller sur eux.
Et il lui demanda aussi de bien veiller sur sa promise, le mariage aurait lieu bientôt, devant dieu ils seraient uni pour la vie.
Puis il demanda pardon pour tout ces péchés


Puis il adressa sa prière au tout puissant:


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Ladoce
Un jour comme un autre, une guerre qui continue, des combats qui vont reprendre, et le courage, la volonté qui ne doivent pas faiblir.

Pourtant, un moment de fatigue et de doute, si inhabituels....Ladoce rentra dans la cathédrale, déposa ses armes à l'entrée, avança vers un banc et se laissa tomber sur ses genoux.

Ces derniers mois difficiles, la méchanceté des uns et la médiocrité des autres ... un peu de recul sur la vie ... un trouble qui s'installe, une faiblesse qui apparait.

Elle resta ici de longues minutes peut être même une heure, le temps n'existait plus en cet instant. Elle implora le Très Haut de tant de choses, vida son cœur et son âme, laissa même couler quelques larmes... puis se releva.

Elle alluma un cierge pour toutes ces âmes égarées qu'elle n'avait de cesse de croiser, puis repris le chemin du camp, en paix avec elle même.

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Zorane
Elle n'était pas habituée aux lieux saints...mais elle avait besoin de se recueillir...l'endroit semblait être désert...cela la rassura...Zorane longea les murs s'installa sur un banc...les yeux vers les vitraux...elle se perdit dans ses pensées...

machinalement, sans vraiment savoir ce qu'elle faisait...elle glissa sur les genoux, croisa ses mains et ferma les yeux...

Elle pria le Très-Haut de veiller sur son ange...son amour...qui se rétablissait certainement avec difficulté de ses blessures...dans un coin reculé d'Aix sous la bienveillance de quelques prêtres...
Elle implora le tout puissant de la préserver de cette guerre...de lui permettre de mener à bien sa grossesse malgré les combats...
Elle souhaita ardemment que ces conflits cessent...pour retrouver au plus vite famille et amis dans la douce ville de Marseille...

Doucement elle se releva...se dirigea lentement vers les cierges...elle en alluma un fébrilement...


bientôt mon ange...bientôt...

Zorane sortit de la cathédrale tout aussi discrètement qu'elle y était entrée...
Richelieu1


TE DEUM POUR LA VICTOIRE



Un scénario assez inhabituel se déroulait devant les portes de Saint Maximin d'Aix en Provence.

Depuis deux jours, la grand place d'Aix retentissait de coups de marteaux et d'interjections joyeuses.

Petit à petit les Aixois avaient vu s'édifier sur le côté de la place une estrade recouverte d'un dais et s'élever des gradins pouvant accueillir une foule nombreuse. Des hérauts s'étaient promenés depuis le début de la semaine dans toute la Provence appelant la population aixoise et celle des autres villages à venir célébrer la paix retrouvée.

A partir de midi, les Provençaux commencèrent à se réunir...

L'estrade, sur laquelle avaient été déposés des fauteuils pour les officiels et deux trônes pour le Comte et la Marquise, ainsi que les gradins, étaient pavoisés aux couleurs de la Provence et du Marquisat, mais on y voyait aussi celles d'autres régions. Parmi les badauds on s'amusait à essayer de les reconnaître en faisant des suppositions, qui repérant celles de Catalogne si semblables à celles de Provence, qui celles de la Confédération helvétique en rouge et blanc, à moins que ce fussent celles de Gênes... Seules celles de la Bretagne n'offraient aucune possibilité d'hésitation.



Mais en face de toutes ces autorités se dressait, Saint Maximim, telle l'Éternelle. A croire que la Cathédrale, inviolée pendant la guerre même par les félon provençaux qui avaient prit le château n'avait pas vu passer de guerre. Et pourtant, elle avait accueillie l'Archevêque d'Aix de longues nuits, nuits ou il n'avait pas pu fermer l'œil, ou il avait fait venir les corps inanimés des Provençaux, ou il avait administrer les derniers sacrements, ou il avait pleuré, ou il avait eu peur ...

Mais aujourd'hui c'était jour de fête, jour de liberté, sous le regard bienveillant du Très Haut. Saint Maximin avait été pomponnée, briquée, lustrée, à tel point que toute la bâtisse semblait bénie. L'archevêque lui paraissait avoir prit dix ans, mais s'affairait de part et d'autre de la nef. Il avait fait venir des musiciens de tout les horizons, des chanteurs habitués au latin, et qui avait déjà participé à un Te Deum.




Tout était prêt, alors que les cloches sonnaient à tue-tête, l'archevêque fit ouvrir les portes de Saint Maximin afin que la foule entre à la suite des officiels.



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Ludovi de Sabran, Comte d'Apt, Archevêque d'Aix en Provence
Seigneur de Rocbaron et de la Sainte Baume
Juge Suprême de la CSMAO
Hersende
Le protocole eût voulu que la Marquise marchât juste devant le Comte au moment d'entrer dans la cathédrale, mais Hersende s'était trouvée seule à représenter les trônes comtal et marquisal.

Elle n'avait voulu alerter personne lors de la réception du billet du médecin personnel de l'Illustre, mais cette indisposition l'inquiétait : Enguerrand n'était pas homme à manquer des cérémonies aussi importantes et porteuses de sens pour le Comté et le Marquisat sans un motif sérieux... Elle se promit d'aller à son chevet dès qu'elle pourrait s'esquiver.

Au dehors les cloches résonnaient à toute volée, marquant le début de la célébration religieuse d'actions de grâces.

La cathédrale resplendissait, entièrement parée de fleurs blanches dont le parfum embaumait, tandis que sur les côtés chorales et musiciens étaient rangés dans un ordre parfait. Hersende s'y avança suivie des membres des conseils comtal et marquisal.

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Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Ladoce
La Marquise s'avançait seule vers la Cathédrale. Elle avait aperçut ce page qui lui avait remis un petit mot, et le Comte qui était absent. Était ce lié? lui était il arrivé quelque chose?

Cette idée la taraudait. Elle entra tout de même tout sourire avec les autres membres du Conseil pour assister au Te Deum.

La Cathédrale était magnifiquement garnies pour l'occasion et l'esprit festif de ces fêtes de libération raisonnait jusqu'à l'intérieur

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Gabcha
Gabcha de Cianfarano entra rapidement dans la Cathédrale de Riri et se dirigea au dernier rang, celui des SGPMES, soit "Super Gueux Pas Médaillé Espérant la Stèle".
Il était vêtu d'un chemise beige, de braies rouges. Autour de sa taille fine, une ceinture large en satin orange. Un mantel lavande, rebrodé de coquelicots en rubis et perles folles , complétait l'ensemble.
Il ne savait pas ce qu'était un "Te Deum". Sans doute une nouvelle tisane, mais accompagnée d' alcool délirant. Il soupira d'aise en voyant arriver la Marquise: toujours première pour assister aux guindailles, la Coquine. Et accompagnée de Ladoce,la fidèle ivrogne. En revanche,l'absence de l'Ours l'étonna: le Comte, constant pochtron devant l'Eternel, allait -il manquer la séance du Thé Amélioré?
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