Moera
[Vengeance grammaticale]
Il était une fois, une jeune fille rousse. Elle était à la recherche d'aventure et parcourait le royaume de France dans ce but. On lui avait dit au détour d'une taverne que les angevins étaient de grands et beaux aventuriers, riches et forts. Super ! Blandine alla donc jusqu'en Anjou. Le lendemain, elle rencontra un charmant jeune homme qui lui promit l'aventure. Elle tomba sous son charme, ça c'est super mal fini et maintenant, il est mort à ses yeux MAIS ! elle est restée pour l'aventure. Et dans son malheur, elle en avait de la chance, notre Blandine. Car peu de temps après son arrivée, on lui dit qu'une grosse aventure (qui est dont le mot du jour) se préparait. Et dans sa grande mansuétude, le Très-Haut lui permit d'être dans la plus classe des armées, celle d'Alessandro. Elle l'aimait bien Alessandro, elle aimait bien aussi sa femme. A Alessandro, pas à Blandine, elle n'en a pas encore de femme. Mais bientôt, qui sait ? Bref, elle les aimait bien et était RA-VIE de partir à l'aventure avec eux. Il y avait aussi son ami Lormet, son gourou Cool et d'autres qu'elle avait rencontrés.. Tout le monde était venu pour une fête mainoise. Même quelques mainois. Et faut dire que c'était pas gagné vu qu'ils sont environ quatre par village et que même les maires arrivent à se faire élire avec 0% des voix. Ils sont forts les mainois.
Enfin forts ... Pas tellement en orthographe. En arrivant, elle avait reçu un courrier du maire pour dire que bouuuuuh les vilains angevins sont là attation ils vont manger vos grands-mères et violer vos papys. Car tout le monde le sait, l'angevin aime bien les vieux. Mais le courrier avait été rédigé par une personne qui n'avait pas du avoir son certificat d'études. Les yeux de notre pauvre Blandine se mirent à saigner et s'il y a bien un truc qui l'agace, la Blandine, c'est de saigner des yeux. Elle aime pas ça, on ne va pas lui en vouloir quand même ! Alors qu'elle venait juste voir comment c'était le Maine, sans vouloir salir la belle épée offerte par Alessandro, le courrier lui avait fait changer d'avis. Elle allait taper les mainois à coups de bescherelle jusqu'à ce que mort s'en suive.
Le soir, Blandine suivit le reste de son armée. Un peu en retrait ne sachant pas trop quoi faire, elle rayonnait de sa lumière lanternienne et parée du chapeau bleu prêté par son gourou chapelier, elle trônait sur son petit poney. Elle adorait sa petite monture et alors que beaucoup s'en plaignait, elle le bichonnait. La bête lui rappelait une chanson qu'elle entendait durant son enfance.
Petit poney, petit poney
Tu es tout gris et tout petit
Petit poney, petit poney
Tu gambades dans les prés,
Sans te soucier du temps qui passe
Petit poney, petit poney
Un peu deau fraiche et dherbe grasse
Te voilà prêt pour la bataiiiiiiiillleeeeuh
La chantonnant à tue-tête, elle vit le reste de son groupe se regrouper, ce qui est bien pour un groupe que de se regrouper, et s'approcha prudemment. Haha ! Un sale mainois venait de croiser leurs chemins et Blandine ne donnait pas cher de sa peau vu qu'ils étaient environ 250 sur lui. Elle sauta de sa monture et la mit un peu en retrait pour le protéger d'un mauvais coup. S'approchant de l'homme à terre, elle balança vers lui des coups de pied (au moins trois, quelle déferlante de violence !) en hurlant :
Un adjectif s'accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte, saleté d'inculte !
Fallait pas rigoler avec la grammaire, bordel !
Il était une fois, une jeune fille rousse. Elle était à la recherche d'aventure et parcourait le royaume de France dans ce but. On lui avait dit au détour d'une taverne que les angevins étaient de grands et beaux aventuriers, riches et forts. Super ! Blandine alla donc jusqu'en Anjou. Le lendemain, elle rencontra un charmant jeune homme qui lui promit l'aventure. Elle tomba sous son charme, ça c'est super mal fini et maintenant, il est mort à ses yeux MAIS ! elle est restée pour l'aventure. Et dans son malheur, elle en avait de la chance, notre Blandine. Car peu de temps après son arrivée, on lui dit qu'une grosse aventure (qui est dont le mot du jour) se préparait. Et dans sa grande mansuétude, le Très-Haut lui permit d'être dans la plus classe des armées, celle d'Alessandro. Elle l'aimait bien Alessandro, elle aimait bien aussi sa femme. A Alessandro, pas à Blandine, elle n'en a pas encore de femme. Mais bientôt, qui sait ? Bref, elle les aimait bien et était RA-VIE de partir à l'aventure avec eux. Il y avait aussi son ami Lormet, son gourou Cool et d'autres qu'elle avait rencontrés.. Tout le monde était venu pour une fête mainoise. Même quelques mainois. Et faut dire que c'était pas gagné vu qu'ils sont environ quatre par village et que même les maires arrivent à se faire élire avec 0% des voix. Ils sont forts les mainois.
Enfin forts ... Pas tellement en orthographe. En arrivant, elle avait reçu un courrier du maire pour dire que bouuuuuh les vilains angevins sont là attation ils vont manger vos grands-mères et violer vos papys. Car tout le monde le sait, l'angevin aime bien les vieux. Mais le courrier avait été rédigé par une personne qui n'avait pas du avoir son certificat d'études. Les yeux de notre pauvre Blandine se mirent à saigner et s'il y a bien un truc qui l'agace, la Blandine, c'est de saigner des yeux. Elle aime pas ça, on ne va pas lui en vouloir quand même ! Alors qu'elle venait juste voir comment c'était le Maine, sans vouloir salir la belle épée offerte par Alessandro, le courrier lui avait fait changer d'avis. Elle allait taper les mainois à coups de bescherelle jusqu'à ce que mort s'en suive.
Le soir, Blandine suivit le reste de son armée. Un peu en retrait ne sachant pas trop quoi faire, elle rayonnait de sa lumière lanternienne et parée du chapeau bleu prêté par son gourou chapelier, elle trônait sur son petit poney. Elle adorait sa petite monture et alors que beaucoup s'en plaignait, elle le bichonnait. La bête lui rappelait une chanson qu'elle entendait durant son enfance.
Petit poney, petit poney
Tu es tout gris et tout petit
Petit poney, petit poney
Tu gambades dans les prés,
Sans te soucier du temps qui passe
Petit poney, petit poney
Un peu deau fraiche et dherbe grasse
Te voilà prêt pour la bataiiiiiiiillleeeeuh
La chantonnant à tue-tête, elle vit le reste de son groupe se regrouper, ce qui est bien pour un groupe que de se regrouper, et s'approcha prudemment. Haha ! Un sale mainois venait de croiser leurs chemins et Blandine ne donnait pas cher de sa peau vu qu'ils étaient environ 250 sur lui. Elle sauta de sa monture et la mit un peu en retrait pour le protéger d'un mauvais coup. S'approchant de l'homme à terre, elle balança vers lui des coups de pied (au moins trois, quelle déferlante de violence !) en hurlant :
Un adjectif s'accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte, saleté d'inculte !
Fallait pas rigoler avec la grammaire, bordel !
Citation:
5/09/1463 04:08 : Vous avez frappé Joseph_de_la_mole. Ce coup l'a probablement tué.
25/09/1463 04:08 : Vous avez frappé Joseph_de_la_mole. Ce coup l'a probablement tué.
25/09/1463 04:08 : Vous avez frappé Joseph_de_la_mole. Ce coup l'a probablement tué.
25/09/1463 04:08 : Vous avez engagé le combat contre Joseph_de_la_mole.
25/09/1463 04:08 : Vous avez frappé Joseph_de_la_mole. Ce coup l'a probablement tué.
25/09/1463 04:08 : Vous avez frappé Joseph_de_la_mole. Ce coup l'a probablement tué.
25/09/1463 04:08 : Vous avez engagé le combat contre Joseph_de_la_mole.