Lglvh
Si un jour on mavait dit quune ptain de maladie me foutrait a gnoux
.
La fièvre me ronge, comme si ma tête était un vulgaire gruyère grignotée par un rat affamé..Ca creuse et borde*l quelle douleur !
Y a le bruit aussi qui a repris..des mois que je ne lentendais plus. Javais fini par croire que la horde de cafards navaient finalement pas élu domicile dans la cavité orbitale vide de ma tronche damoché, faisant de mon crâne un immense lupanar a bestiole.
Et le ventre, déos..le ventre
On me sert les boyaux, on me les tord on me les arrache ?
Oh ! Cest les miens ! Rendez-les-moi !
Non mais après tout non, gardez-les..Dune façon ou dune autre, je les contrôle plus. Se qui rentre et qui ne finit pas expulsé par le clapet fini de toute façon en jet par le bas.
Jvais crever. Je le sens !
Je bataille avec un tortionnaire imaginaire, le front brûlant, profitez-en..Si vous avez envie dun uf au plat cest le moment.
Des gens autour de moi, en robe, le visage sévère.
Au bûcher ! Pervers ! Sodomite !
Non mais ca va pas si ? Comme si javais pas assez chaud *frisson* jai froid
Cest sûr le curton hein ! qucest mieux que dse palucher et troncher des nonettes en cachette ! Il voit ça ton Très-Haut ?
Arrière suppôt de satan je vais te gerber dssus !
Arbitre cocu, ta femme est à la rue..
Le match de soule est truqué moi jdis !
Lou..Louis ? Lest ou clui-là ?
Amour ! ne fait pas lenfant ! Ouvres la bouche et avale ta soupe de maïs, cest pour le bien de toi.
Reculez bandes de cinglés ? Zavez fait quoi de mon brun ?
Fatigué de batailler contre du vent, je me laisse aller sur les coussins, moite, grelottant, le teint encore plus blafard que dhabitude.
Arghhhh
Une crampe me plie en deux et jai juste le temps de me retourner essayant de viser le seau. Eu pas eu ? Jen sais rien.
A genoux sur la couche, je râle..
Maman ! Jai trop mal..ca doit être les baies du fond du jardin. Je sais que tu mas dit de pas en toucher que cétait pas bon..Mais depuis quand jsuis un pitit garçon sage et obéissant ?
Jai mal maman ! Promis !jtécoute la prochaine fois mais enlèves le bobo !
Ta mère est morte, Lestât ! Ton père a dû lachever ! Elle commettait des actes immondes !
Sorcière !
Ils mentent, mon Lest. Tu me crois, hein mon petit chéri ? Tu sais que je te mentirais jamais. Toi et moi cest pour la vie, je taime ma vie mon Sang mon Autre, mais restes caché la, je reviens très vite !
NooOOOooon ne me laisses pas ! Jten prie. Jai peur du noir !
Je magite sur ma couche, me roulant de douleur
Tu nes pas leur ami, Lest ! Je suis las de te répéter toujours les mêmes choses, mais je continuerais encore et encore. Je suis à tes côtés aujourd hui comme hier et comme demain.
Oui mais si tu pouvais allumer une chandelle, je vois plus rien
Tu mfais chier lfrangin avec lautre blond albinos et votre truc fusionnel..
Tu mas menti !
Arrêtes de me décoiffer Seth jte prie..ca commence à bien faire ! M*erde !
Khalou ! Enlèves moi ces macarons de sous le nez, lodeur me donne la gerbe !
Oh pis foutez moi la paix, tous ! Vous parlez trop fort jmentends plus penser
Prenant soudainement conscience dêtre seul, je fonds en larmes Ils sont tous partis.comme maman comme Tibère Louis, seth, Khalou, tous les autres..même Armand..tous partis !
Seul !
Jai la hantise de la solitude..labandon..
Délirant, je glisse la main sous la couche, là ou je garde toujours caché ma favorite..des fois quon me casserait les glaouis durant la nuit. Mes doigts parcourent le tranchant de la lame, sentaillent. Ma main finit par se refermer sur le manche. Je roule sur la couche, magrippant désespérément à ma dague Il faut que la douleur cesse.
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What does the fox say ?
La fièvre me ronge, comme si ma tête était un vulgaire gruyère grignotée par un rat affamé..Ca creuse et borde*l quelle douleur !
Y a le bruit aussi qui a repris..des mois que je ne lentendais plus. Javais fini par croire que la horde de cafards navaient finalement pas élu domicile dans la cavité orbitale vide de ma tronche damoché, faisant de mon crâne un immense lupanar a bestiole.
Et le ventre, déos..le ventre
On me sert les boyaux, on me les tord on me les arrache ?
Oh ! Cest les miens ! Rendez-les-moi !
Non mais après tout non, gardez-les..Dune façon ou dune autre, je les contrôle plus. Se qui rentre et qui ne finit pas expulsé par le clapet fini de toute façon en jet par le bas.
Jvais crever. Je le sens !
Je bataille avec un tortionnaire imaginaire, le front brûlant, profitez-en..Si vous avez envie dun uf au plat cest le moment.
Des gens autour de moi, en robe, le visage sévère.
Au bûcher ! Pervers ! Sodomite !
Non mais ca va pas si ? Comme si javais pas assez chaud *frisson* jai froid
Cest sûr le curton hein ! qucest mieux que dse palucher et troncher des nonettes en cachette ! Il voit ça ton Très-Haut ?
Arrière suppôt de satan je vais te gerber dssus !
Arbitre cocu, ta femme est à la rue..
Le match de soule est truqué moi jdis !
Lou..Louis ? Lest ou clui-là ?
Amour ! ne fait pas lenfant ! Ouvres la bouche et avale ta soupe de maïs, cest pour le bien de toi.
Reculez bandes de cinglés ? Zavez fait quoi de mon brun ?
Fatigué de batailler contre du vent, je me laisse aller sur les coussins, moite, grelottant, le teint encore plus blafard que dhabitude.
Arghhhh
Une crampe me plie en deux et jai juste le temps de me retourner essayant de viser le seau. Eu pas eu ? Jen sais rien.
A genoux sur la couche, je râle..
Maman ! Jai trop mal..ca doit être les baies du fond du jardin. Je sais que tu mas dit de pas en toucher que cétait pas bon..Mais depuis quand jsuis un pitit garçon sage et obéissant ?
Jai mal maman ! Promis !jtécoute la prochaine fois mais enlèves le bobo !
Ta mère est morte, Lestât ! Ton père a dû lachever ! Elle commettait des actes immondes !
Sorcière !
Ils mentent, mon Lest. Tu me crois, hein mon petit chéri ? Tu sais que je te mentirais jamais. Toi et moi cest pour la vie, je taime ma vie mon Sang mon Autre, mais restes caché la, je reviens très vite !
NooOOOooon ne me laisses pas ! Jten prie. Jai peur du noir !
Je magite sur ma couche, me roulant de douleur
Tu nes pas leur ami, Lest ! Je suis las de te répéter toujours les mêmes choses, mais je continuerais encore et encore. Je suis à tes côtés aujourd hui comme hier et comme demain.
Oui mais si tu pouvais allumer une chandelle, je vois plus rien
Tu mfais chier lfrangin avec lautre blond albinos et votre truc fusionnel..
Tu mas menti !
Arrêtes de me décoiffer Seth jte prie..ca commence à bien faire ! M*erde !
Khalou ! Enlèves moi ces macarons de sous le nez, lodeur me donne la gerbe !
Oh pis foutez moi la paix, tous ! Vous parlez trop fort jmentends plus penser
Prenant soudainement conscience dêtre seul, je fonds en larmes Ils sont tous partis.comme maman comme Tibère Louis, seth, Khalou, tous les autres..même Armand..tous partis !
Seul !
Jai la hantise de la solitude..labandon..
Délirant, je glisse la main sous la couche, là ou je garde toujours caché ma favorite..des fois quon me casserait les glaouis durant la nuit. Mes doigts parcourent le tranchant de la lame, sentaillent. Ma main finit par se refermer sur le manche. Je roule sur la couche, magrippant désespérément à ma dague Il faut que la douleur cesse.
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What does the fox say ?