Alvira
"Il y a des amours, sans réserve qui ne demandent aucune récompense, qui sont l'oeuvre d'un jour, et ce... Pour toujours..."
Proverbe Duranxien
Brassenx, 26 août 1463
C'est en Gascogne, dans le Baronnie de la désormais Labritoise, qu'un évènement se préparait et pas des moindres. Après avoir porté un attachement particulier à Wallerand de Beauharnais en devenant sa marraine, Alvira de la Duranxie, souhaitait anoblir le jeune homme méritant, il allait sans dire. Fière de lui, elle l'était. Chemin similaire, et surtout attachement hors du commun. Le filliot à sa marraine, était un amour, un soutien, un taquin, un tout. Peut-être que durant ces longs mois de doutes, et de douleurs amoureuses, Alvira avait pu traversé tout ça grâce à sa sagesse, et ce rattachement presque filiale qu'elle ressentait à son égard.
La veille, un tout autre homme cher à son coeur avait rejoint ses terres, le Vicomte d'Ecotay, avec qui elle avait pu passer une charmante soirée, discutant des futures joutes et de celle passé auxquels elle avait failli trépasser par un jolie coup d'épée, mais Aristote en avait voulu autrement et le savoir de Léanore fut mis en oeuvre pour remettre la Gasconne sur pieds. Chose faite, la Baronne mettait les petits plats dans les grands pour recevoir les différentes personnes afin que Wallerand ait une journée inoubliable.
Des oriflammes de Brassenx battaient au vent à l'extérieur, alors qu'à l'intérieur la décoration était désormais terminée. Une grand tenture annonçait la couleur. Aujourd'hui c'était la journée de Wallichouuuuuuuuuuu, le filliot chéri à sa marraiiiiiine. Alvira vint pour une dernière visite de contrôle, remerciant Floberte et Humbaud pour le travail effectué. Portant une robe magnifique, elle n'y était pas allé avec le dos de la cuillère la Monstralvinette, mais aujourd'hui, elle souhaitait briller aux yeux des deux hommes qui lui était si important. Et les convenances voulaient aussi qu'elle ne se trimballe pas avec les épaules dénudées. Vêtue de sa couleur préférée. Les cheveux disciplinés, noué en un chignon paré de dorure, elle avait une tenue des plus... Adapté à la solennité du moment qui se profilait.
Un coup d'oeil à la porte, un brin fébrile de voir débouler Goddefroy, elle jouait machinalement, avec les pétales d'une fleur issu d'un bouquet agrémentant la table de cérémonie dédiée à Rouergue qui était déjà surement en chemin. Bella et Wallerand ne mettraient pas non plus énormément de temps à arriver, ainsi que les autres convives. Que d'émotions !
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Proverbe Duranxien
Brassenx, 26 août 1463
C'est en Gascogne, dans le Baronnie de la désormais Labritoise, qu'un évènement se préparait et pas des moindres. Après avoir porté un attachement particulier à Wallerand de Beauharnais en devenant sa marraine, Alvira de la Duranxie, souhaitait anoblir le jeune homme méritant, il allait sans dire. Fière de lui, elle l'était. Chemin similaire, et surtout attachement hors du commun. Le filliot à sa marraine, était un amour, un soutien, un taquin, un tout. Peut-être que durant ces longs mois de doutes, et de douleurs amoureuses, Alvira avait pu traversé tout ça grâce à sa sagesse, et ce rattachement presque filiale qu'elle ressentait à son égard.
La veille, un tout autre homme cher à son coeur avait rejoint ses terres, le Vicomte d'Ecotay, avec qui elle avait pu passer une charmante soirée, discutant des futures joutes et de celle passé auxquels elle avait failli trépasser par un jolie coup d'épée, mais Aristote en avait voulu autrement et le savoir de Léanore fut mis en oeuvre pour remettre la Gasconne sur pieds. Chose faite, la Baronne mettait les petits plats dans les grands pour recevoir les différentes personnes afin que Wallerand ait une journée inoubliable.
Des oriflammes de Brassenx battaient au vent à l'extérieur, alors qu'à l'intérieur la décoration était désormais terminée. Une grand tenture annonçait la couleur. Aujourd'hui c'était la journée de Wallichouuuuuuuuuuu, le filliot chéri à sa marraiiiiiine. Alvira vint pour une dernière visite de contrôle, remerciant Floberte et Humbaud pour le travail effectué. Portant une robe magnifique, elle n'y était pas allé avec le dos de la cuillère la Monstralvinette, mais aujourd'hui, elle souhaitait briller aux yeux des deux hommes qui lui était si important. Et les convenances voulaient aussi qu'elle ne se trimballe pas avec les épaules dénudées. Vêtue de sa couleur préférée. Les cheveux disciplinés, noué en un chignon paré de dorure, elle avait une tenue des plus... Adapté à la solennité du moment qui se profilait.
Un coup d'oeil à la porte, un brin fébrile de voir débouler Goddefroy, elle jouait machinalement, avec les pétales d'une fleur issu d'un bouquet agrémentant la table de cérémonie dédiée à Rouergue qui était déjà surement en chemin. Bella et Wallerand ne mettraient pas non plus énormément de temps à arriver, ainsi que les autres convives. Que d'émotions !
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