Erandil
Troisième jours depuis l'engagement du nouveau servant, le régent n'en était pas au bout de ses peines, ce n'était sûrement qu'un début mais cette journée en réalité n'était là qu'un quotidien qui s'installait progressivement, qui mettrait sans arrêt la patience du futur régnant à la l'épreuve.
Endormi paisiblement dans son lit, ce fut tout d'abord ses oreilles qui prirent pour leurs grades.
Le régnant les yeux grand ouvert, ne voyait qu'à grande peine dans la grande chambre, il ne voyait qu'une silhouette près des fenêtres, il ne pouvait voir mais il reconnaissait l'homme entre mille, dieu qu'il commençait sérieusement à le haïr mais allait savoir pourquoi le blond le gardait à son service.
Les rideaux s'ouvrit soudainement, le régnant sentit ses yeux se brûlait au contact de la lumière
OH BON SANG COQUIN ! SALE
C'était désormais la vue qui fut mise à mal. Le régnant bondit de son lit et finit par se ramasser sur le sol sous un flot d'injure, le valet avait réussi la première parti de sa mission, next!
Vous voilà déjà pleinement bien réveillé votre grâce, quelle célérité ! Ô combien c'est admirable !
Les mots fut accompagné d'une respectueuse révérence, le régnant quant à lui rétorqua en grommelant et se leva péniblement.
Un bain plus tard, le régnant s'habilla d'une tenue très simple. Cotte de maille et braies, le tout recouvert en grande partie d'un long mantel noir.
Une telle tenue ne voulait dire qu'une chose, le régent allait être de sorti, il était convié au nord à une cérémonie à Vichy. Le Coquin lui avait souligné le fait qu'il ne rendait que trop rarement à ce type dévénement, alors que c'était souvent des connaissances, voir des amis qui était concerné. C'est face à cette triste constatation que le régnant avait décidé de rectifier ses erreurs et à se rendre sur place.
Le Coquin l'accompagnerait en soulignant le fait que c'était lui qui avait fait cette bonne remarque, grand hélas pour le futur régnant qui allait sûrement en baver encore.
C'est déterminé mais non sans une pointe d'inquiétude pour le blond, que les deux individus se mit en route vers le duché de Vichy.
Endormi paisiblement dans son lit, ce fut tout d'abord ses oreilles qui prirent pour leurs grades.
Le régnant les yeux grand ouvert, ne voyait qu'à grande peine dans la grande chambre, il ne voyait qu'une silhouette près des fenêtres, il ne pouvait voir mais il reconnaissait l'homme entre mille, dieu qu'il commençait sérieusement à le haïr mais allait savoir pourquoi le blond le gardait à son service.
Les rideaux s'ouvrit soudainement, le régnant sentit ses yeux se brûlait au contact de la lumière
OH BON SANG COQUIN ! SALE
C'était désormais la vue qui fut mise à mal. Le régnant bondit de son lit et finit par se ramasser sur le sol sous un flot d'injure, le valet avait réussi la première parti de sa mission, next!
Vous voilà déjà pleinement bien réveillé votre grâce, quelle célérité ! Ô combien c'est admirable !
Les mots fut accompagné d'une respectueuse révérence, le régnant quant à lui rétorqua en grommelant et se leva péniblement.
Un bain plus tard, le régnant s'habilla d'une tenue très simple. Cotte de maille et braies, le tout recouvert en grande partie d'un long mantel noir.
Une telle tenue ne voulait dire qu'une chose, le régent allait être de sorti, il était convié au nord à une cérémonie à Vichy. Le Coquin lui avait souligné le fait qu'il ne rendait que trop rarement à ce type dévénement, alors que c'était souvent des connaissances, voir des amis qui était concerné. C'est face à cette triste constatation que le régnant avait décidé de rectifier ses erreurs et à se rendre sur place.
Le Coquin l'accompagnerait en soulignant le fait que c'était lui qui avait fait cette bonne remarque, grand hélas pour le futur régnant qui allait sûrement en baver encore.
C'est déterminé mais non sans une pointe d'inquiétude pour le blond, que les deux individus se mit en route vers le duché de Vichy.