Erwann.de.naueriels
Il s'était assis pour mettre ses bas, ses braies, et ses bottes, mettant de l'ordre dans sa vesture rapidement, rentrant sa chemise, terminant de la nouer debout, lorsqu'elle vient l'enlacer. Un léger sourire sur le visage du très jeune amant qui n'est décidemment pas informé de grand chose. Le sujet était tabou pour lui, et c'était la première fois qu'il l'abordait ainsi, si ouvertement. La fornication, il l'avait fuie, jusqu'à ce jour. Là, il voulait tout savoir, et qu'on cesse de se moquer de son ignorance. Si publiquement, il se contentait d'hausser les épaules, d'éviter le sujet, ou de changer de conversation, il en allait tout autrement devant celle qui avait presque fait de lui un homme, à savoir, avec qui il avait perdu son pucelage.
Une main dans les cheveux en guise de peigne, et il attrape sa veste qu'il conserve sur son bras, vérifiant au poids que sa bourse est bien là, alors qu'elle lui met la main sur le séant. Surpris, il sursaute, et l'observe, persuadé qu'elle lui raconte encore n'importe quoi mais visiblement, non, et il déglutit.
Tu veux dire que... Mais c'est... sale.
Choqué, il inspire profondément, et regarde vers la porte. Affronter le regard des gens maintenant, c'était vraiment pas ce qui le mettait en confiance. Il remet son masque de gamin hautain, comme certains le disent, préférant sans doute passer pour hautain plutôt que pour un ignorant, et tend son bras à sa maîtresse, portant sa veste sur l'autre.
Tu dis cela pour me faire fuir, ma belle ? Si ces... saignements sont signe de fécondité... Comment se fait-il que cela prenne autant de temps pour les femmes de sortir un bébé ? Il y reste presque un an, dans le ventre. et vous parlez de saignements mensuels...
Le ton était donné, il avait remis sa carapace, et bien qu'il se montre courtois, qu'un sourire se dessine, le jeune homme se penche vers le cou de sa maîtresse pour y déposer un baiser, effleurer l'épaule d'un souffle, et happer les lippes savoureuses, se redressant avant d'ouvrir la porte.
Allons-y, ma belle. Vous me feriez faire sottise et j'ai l'appétit en diable. J'ai l'impression que je pourrais avaler un buf. J'ose espérer que vous n'êtes pas de ces mijaurées qui grignotent du bout des doigts de peur de s'arrondir.
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http://bretagnerr.info/images/breizhmabro.htm
Servir et Protéger, ou périr.
A LA DECOUVERTE DE LA BRETAGNE
Une main dans les cheveux en guise de peigne, et il attrape sa veste qu'il conserve sur son bras, vérifiant au poids que sa bourse est bien là, alors qu'elle lui met la main sur le séant. Surpris, il sursaute, et l'observe, persuadé qu'elle lui raconte encore n'importe quoi mais visiblement, non, et il déglutit.
Tu veux dire que... Mais c'est... sale.
Choqué, il inspire profondément, et regarde vers la porte. Affronter le regard des gens maintenant, c'était vraiment pas ce qui le mettait en confiance. Il remet son masque de gamin hautain, comme certains le disent, préférant sans doute passer pour hautain plutôt que pour un ignorant, et tend son bras à sa maîtresse, portant sa veste sur l'autre.
Tu dis cela pour me faire fuir, ma belle ? Si ces... saignements sont signe de fécondité... Comment se fait-il que cela prenne autant de temps pour les femmes de sortir un bébé ? Il y reste presque un an, dans le ventre. et vous parlez de saignements mensuels...
Le ton était donné, il avait remis sa carapace, et bien qu'il se montre courtois, qu'un sourire se dessine, le jeune homme se penche vers le cou de sa maîtresse pour y déposer un baiser, effleurer l'épaule d'un souffle, et happer les lippes savoureuses, se redressant avant d'ouvrir la porte.
Allons-y, ma belle. Vous me feriez faire sottise et j'ai l'appétit en diable. J'ai l'impression que je pourrais avaler un buf. J'ose espérer que vous n'êtes pas de ces mijaurées qui grignotent du bout des doigts de peur de s'arrondir.
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Servir et Protéger, ou périr.
A LA DECOUVERTE DE LA BRETAGNE