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[Rp] Chapitre VI A l'abordage ...

Leg_dicesarini





C'est reparti !!!!!!!! a l'abordage !!!

_________________
Alinoe_de_chenot
Sur le bateau des ducs.

Voiles à bâbord ! Voiles à bâbord !

*Pourvu que ce ne soit pas des pirates*

La jeune duchesse sentit un angoisse lui étreindre le ventre.
Elle n'était pas en état de se battre, d'ailleurs elle avait du mal à marcher avec son ventre énorme qui pesait une tonne et de plus ça n'arrêtait pas de bouger la-dedans.
Alinoë se leva, il fallait qu'elle voit de plus près mais à peine debout qu'elle reçut un violent coup qui la plia en deux.. Pas vraiment en deux, son ventre était trop gros.

- AHHHHHHH ! Mais ça fait mal ! Yrvis !!!! Elektra !!

Elle se rassit essoufflée tout à coup se tenant le ventre, la douleur se calmait mais la gêne persistait puis elle sentit une nouvelle douleur fulgurante dans ses reins, Alinoë serra les dents, fermant les yeux. Elle s'accrocha au bras du fauteuil, un gémissement sourd sortant de ses lèvres. Cette fois, c'était plus sérieux. Ce n'était plus de simples coups de pied. Et si elle accouchait ? Un vent de panique souffla sur elle.
Dacien_de_chenot


Plus le temps passait et plus il commençait à se sentir drôlement à l'étroit.
Étirer une jambe était devenu impossible quant à se tourner il ne fallait plus y songer depuis de longues semaines.
Il sentait qu'il n'était pas seul dans le noir et cela l'avait longtemps rassuré mais celui qui se trouvait prêt de lui s'ingéniait maintenant à lui enfoncer un coude dans les côtes, un doigt dans l’œil, un genou dans... euh il préférait ne pas continuer : on a beau n'être qu'un chevalier en devenir on n'en garde pas moins un semblant de pudeur !

Le fœtus serra ses petits poings, gonfla les joues, tendit ses muscles et poussa de toutes ses forces pour marquer son territoire.
L'intrus se retrouva coincé, ce qui lui permit de coller rapidement son pouce dans sa bouche. Il savait le répit de courte durée car s'il était plus fort, il savait l'autre plus perfide. Il attendrait qu'il baisse la garde pour se couler dans le moindre interstice et lui reprendre toute la place, avec grâce et douceur, mais il le ferait, c'est sûr.

S'il avait su parler, sûr qu'il aurait hurlé : Mais sortez moi de là ! Je vais mourir étouffé ! Mais voilà... dans ce monde d'une tiédeur liquide, le moindre son était avorté avant même que d'être poussé.

Survivre devenait une gageure. Sans cesse il fallait se méfier de cette ficelle qui menaçait de s'enrouler à son cou tel un serpent mortel.
Parfois lui parvenait des bruits sourds venus d'un monde dont il ignorait tout mais qu'il avait hâte de conquérir.
Seule parvenait à réfréner son impatience une voix douce qu'il avait appris à reconnaitre et à aimer et qui semblait venir de l'intérieur. Il ignorait à qui elle appartenait mais il la différenciait d'une autre voix plus grave et plus sévère.
Il avait acquis la certitude qu'un jour, il se marierait avec la douce...

Et voilà ! Il le savait !!!! L'intrus lui colla ses fesses dans le dos, ce qui eut pour effet d'enfoncer son pouce jusqu'au palais et lui souleva le cœur.

Mais pousseeeeeeee toi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Au secours, au secours, sortez moi de làààààààààààààààààààààààààà.......

Avec un état proche de la terreur, il comprit que l'intrus n'était pas seul responsable de la compression qu'il venait de ressentir. Cela semblait venir des parois de leur nid.
Mais que se passait-il donc ?..
Instinctivement il se raidit, tendant les mains et les genoux autour de l'intrus envers lequel, quoi qu'il en dise, il se sentait responsable (allez savoir pourquoi !) afin de lui ménager un espace protecteur.
La tension diminua aussi vite qu'elle s'était produite.

Son inquiétude pourtant, ne retomba pas. Il se passait quelque chose, il en était sûr, mais quoi ?!?...

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Gamalinas
Gamalinas était arrivé au Languedoc depuis quelques jours déjà. Il avait pu prendre ses marques dans la ville de Montpellier et profitait bien de ses vacances. Durant une belle matinée ensoleillée, il prit le temps de répondre à la Duchesse de Luserne.



Votre Grâce,

Me voici arrivé au bout de mon voyage d'été. Je me suis arrêté à Montpellier, où j'ai retrouvé votre Cousin Ulrika. Elle semble se plaire au Languedoc, même si elle m'avoue souffrir de la chaleur.

Hier j'ai pêché avec son futur mari, le comte Geoker. Même s'ils n'aiment pas parler trop vite sur cette idylle, le couple semble harmonieux.

Je pense que je vais reprendre la route de la Savoie sous peu. Des brigands sont en Bourgogne et la menace gronde. Cependant aucune attaque n'a encore eu lieu et mon Suzerain me laisse rester dans le sud.

J'espère que votre voyage en Sicile se déroule bien. J'y suis passé jadis, mais sans en voir plus que les ports.

Qu'Aristote vous garde

Gamalinas de Larche


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Lorina.shpata


*Je ne sais pas ce qui m'arrive. je suis de plus en plus serrée la-dedans. Je veux m'étaler. J'en ai assez d'être dans cette position ! Mais il n'y a pas assez de place. Il y a une personne avec moi. Elle doit être coincée aussi, je le sens. Elle me pousse tout le temps pourtant sa présence me rassure.*

La future fille des ducs de Chenot cherche à sortir. Elle pousse autant qu'elle peut son frère. Elle ne sait pas encore que c'est son frère. En fait, elle ne sait pas qui elle est ni quand même elle a commencer à prendre conscience. Tout ce qu'elle veut s'est étaler, s'étendre.

*Aïe ! Mais c'est qu'il m'enserre ! Non, c'est la...le...le truc qui m'entoure. C'est quoi au fait ? Le machin me presse. Je veux partir ! Je suis en danger !
Ah ! L'autre vient me défendre, Il pousse le truc qui nous presse. Je sens une douceur sur moi comme une caresse, cette caresse arrive souvent et elle s'accompagne d'une voix douce. La voix si douce m'apaise. Je ne sais pas à qui appartient cette voix mais je l'entends souvent, elle me fait du bien. L'autre voix aussi mais elle est plus forte plus grave. J'aime ces deux voix, j'en ai besoin. Je veux les entendre mieux.
Je me calme un instant mais je veux sortir d'ici, alors je pousse. Je pousse plus fort et le machin me resserre encore plus. J'ai peur !*
Yrvis_de_chenot
Yrvis était sur le pont curieux comme tous visiblement car pratiquement toutes les personnes du bateau étaient présentes à tenter comme lui de deviner quel navire se profilait à l'horizon. Il était encore bien loin, seules les voiles se dessinaient au loin, mais impossible de savoir encore, de quel embarcation il s'agissait. Selon les vents, aucune réponses ne sera donné à leur interrogation avec quelques heures.

Les yeux plissés, Yrvis continuait néanmoins a essayer de mieux voir quand...


- AHHHHHHH ! Mais ça fait mal ! Yrvis !!!! Elektra !!

Yrvis se retourna et se précipita vers son épouse.

- Mal? Que t'es-tu fait, tu t'es tordu la cheville?

La voyant pâle, le visage crispé et se tenant le ventre , il compris soudainement ce qui arrivait.

- Non??? C'est pour maintenant? C'est pas une complication? Vous ne vous êtes pas frappée au ventre? Que vous êtes pâle.... Amenez-lui de l'eau...Vite!!!

Il héla le domestique le plus proche.

- Et vous allez chercher Massou! Vous ne pouvez pas vous tromper, c'est le seul noir sur ce bateau, dites lui de nous retrouver dans notre cabine.....Et avec tout son matériel pour soigner!!!!

Il appela ensuite les deux soldats les plus proche.

- C'est bon, la cérémonie est finie, venez ici et rendez-utile en portant mon épouse jusqu'à notre cabine.

Regardant Leg.

- Félicitation au nouveau chevalier, nous devons quitter, une urgence, visiblement une paternité se profile.

C'est en suivant son épouse portée par deux soldats, qu'Yrvis arrivait à sa cabine, congédiant les soldats en les remerciant et faisant installer son épouse sur sa couche par ses dames.
Alinoe_de_chenot
Ouf ! La douleur se calma mais pour revenir quelques instants plus tard. Heureusement Yrvis accouru auprès de son épouse et prit les choses en main

- J'ai mal au ventre mais surtout dans les reins et....

La douleur lui vrilla les tympans et la fit se taire. Elle réalisa brusquement. Elole allait accoucher.
Mais ce n'était pas possible ! Pas maintenant ! Pas là dans ce bateau ! Non ! Elle ne voulait pas !
Pourtant les deux valets la prirent pour la descendre dans la cabine. Elle voyait les gens anxieux autour d'elle qui la regardaient avec commisération. Alinoë serra les dents.

Elle se souvint de ce que lui avait dit la nonne qui était chargée de l'instruire en science et sur l'anatomie humaine.
Elle lui avait dit que la naissance était la chose la plus merveilleuse pour une femme mais aussi la chose la plus dangereuse. Que beaucoup de femmes mourraient en enfant et que des bébés aussi disparaissaient à la naissance sans même avoir eu le temps de pousser un cri. La panique la saisit.
Elle s'accrocha plus aux valets qui ne devaient pas bien comprendre pourquoi elle avait enfoncé ses griffes dans leurs peaux, plutôt dans leur livrée. Ils firent une grimace mais continuèrent à la porter sans sourciller.
S'ils ne faisaient pas correctement leur travail, ils se feraient massacrer soit par le mari soit par le capitaine. Aucune des deux perspective n'était réjouissante, alors vaille que vaille ils intaillèrent la duchesse le plus confortablement possible dans son grand lit.

Tandis que l'on descendait la duchesse, une autre personne était parti en quête de Massou, Alinoë l'attendait avec impatience. Son visage c'était un peu détendu. La contraction était passé. Elle tendit la main à son époux.


- Yrvis, mon coeur, le bébé a décidé de venir. Il faut que je te dise que Massou m'a prévenu qu'il risquait d'en avoir deux. Il n'est pas le seul d'ailleurs à m'avoir dit cela. Les autres je ne les crois pas mais Massou, lui il dit la vérité. Tu crois que je vais pouvoir les mettre au monde sans dommage ?
Elektra.
L'adoubement était réussi, la fierté du nouveau chevalier faisait plaisir à voir, tout le monde se congratulait et promettait le prochain verre que l'on ne manquerait pas d'aller trinquer dans le salon.

Elektra devait absolument se rendre aux cabines, retrouver la gamine clandestine et lui mettre une bonne fois pour toutes les points sur les i.

C'est à ce moment que le bateau sembla osciller. Mais tout cela était dans la tête de la jeune femme, et ce fut déclenché d'abord par un cri qui se répercuta chez les hommes à bord qui semblèrent pris d'un accès soudain de mouvement. Puis elle porta ses mains à ses tempes en voyant à coté d'elle son amie qui paraissait se mettre à souffrir des joies de l'enfantement !
Il ne manquait plus que cela !!

Elle décida d'accompagner le couple ducal à l'intérieur du bateau, au cas où sait on jamais, puis elle s'occupa de son petit cours de discipline. Il lui fallait rapidement remonter auprès du capitaine, s'enquérir de ce que pouvait être le bateau aperçu au loin.
Laissant la duchesse aux bons soins de son "médecin" étranger et la gamine dans les cuisines avec interdiction d'en sortir avant qu'elle ne l'y autorise, Elektra ne prit qu'une seconde pour souffler et remonta toutes les marches menant à l'extérieur.

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Leg_dicesarini


Leg , adoubé nouveau chevalier , le visage tourné vers les voiles du bateau qui petit a petit se rapprochait, fier comme bar-tabac ...euh non comme Artaban ...la main sur la garde de son épée , les jambes légèrement écartées pour mieux se tenir dans le roulis du bateau , allait demander une longue vue pour mieux voir quand son amie Alinoë poussa un beuglement de cochon égorgé.... bon un beuglement pour un cochon cela n'est pas courant , mais entendre Alinoë de la sorte , cela aussi n'était pas courant .

Il se retourne et vois l'ami Yrvis auprès de son épousele regarder et le féliciter , puis se mettre a ordonner a 2 soldats de porter son épouse dans son quartier.

Le jeune duc se gratte le derrière de la tête, et se doute a cet instant que son amie va enfanter. Il en a un frisson dans l'échine .... et d'un coup se sent mieux dans la peau d'un homme ...il n'aura jamais a subir cela !

Il voit aussi le Chevalier Elektra se diriger aussi a la suite du couple.

Il regarde les matelots qui sont comme figés par le cri de la duchesse.

Alors Leg se bouge , et va vers le Capitaine:


Faites reprendre les esprits a vos hommes, il y a un bateau qui approche et nous ne savons toujours pas ce qu'il en est . Je veux qu'ils se tiennent prêts a toute éventualité.


- Bien votre grace , je vais armé .

et le capitaine de pousser gueulante pour activer son monde , et comme pas magie , des armes sortent de nulle part , épées , dagues, arcs et carquois remplis.

De son coté, Leg se mets aussi a brailler pour les soldats de sa garde, afin qu'ils se repartissent sur les châteaux avant et arrière de la caraque.

Leg ne connait que peu ou prou les combats maritimes , mais il sait pour avoir lu des récits de combats navals que les bateaux s’amarrent l'un a l'autre pour combattre comme sur terres , et que la position stratégique sur les châteaux , surtout si le bateau est plus haut que celui de l'adversaire, est primordial pour les archers et les arquebusiers .

Leg a fait dans sa garde , des que l'arquebuse fut sortie il y a quelques années , une section d'arquebusiers a mèche , pour épauler ses archers.

De fait il ordonne donc a sa section de se diviser en deux , une moitié sur le château de proue, et l'autre moitie sur le château de poupe.


Il vaut mieux prévenir .

Le capitaine du bateau quand a lui , en vieux loup de mer et combattant de barbaresques et de pirate, est a son affaire , et fait mettre en place pour un combat éventuel une dizaine de cannons en fer de chaque bordée, pièces d'artillerie , que ne possède pas tous les navires a l'époque , et qui peut donner un avantage certains avant l'abordage.

Leg cherche son page Hadrian , pour lui signifier de rentrer dans son quartier, et cherche des yeux sa cousine Asphodelle , elle aussi habituée aux choses de la guerre.

Leg ne sait ce que veut ce bateau mais ....


" - Que tous les hommes en age de tenir une épée, se préparent a combattre et a soutenir les marins et les soldats, mais qu'ils restent a couvert , pour se protéger et pour créer un effet de surprise le moment venu...."

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--La.belle
[Sur le Sans Nom]

Si j'y tiens ... Et un noble blessé ne vaut plus rien ... Personne ne paiera pour moi si vous me blessez ... Je suis chef d'une famille et je possède des terres et un fabuleux trésor ... Du sel. Si vous me touchez, vous perdrez tout ça.

Et voila que le nobliau s'en sortait. Il avait du sel. Bien entendu, elle ne pouvait pas laisser passer l'occase. D'ailleurs, Ernest lui souleva la dague. Elle grimaça comme si eolle ne savait pas quoi faire, comme si elle allait mutiler un homme qui pouvait éventuellement posséder un trésor. Du sel ? Cela valait encore plus que de l'or. Avec le sel, on conservait les aliment, cela aidait à la survie et permettait de rester plus longtemps en mer, Cela aidait à la survie des hommes du désert qui donnait tout pour en avoir et voila que l'autre lui faisait la leçon. Des fois, son mari méritait des baffes. Même pas le temps de le remettre à se place que la vigie hurlait.

" VOILES A TRIBORD..... VOILES A TRIBORD "

La.Belle regarda tout de suite. Des grands voiles. Ce n'étaient surement pas des pécheurs. Déjà Ernest donnait les ordres. Elle rangea sa dague. C'était à elle de reagir.
Leur machine était bien huilée. Chacun savait ce qu'il devait faire. Quand le Capitaine donnait l'ordre, on se préparait comme si c'était un caraque qu'on abordait. Cela leur avait souvent sauvé la vie. Ne pas attendre d'avoir identifié le bateau pour se préparer.

Elle fit volte-face, laissant les pirates ramener le prisonnier dans la cellule. La jeune pirate descendit prendre son sabre puis alla vérifier les canons, c'était son travail, Elle vérifiait tout scrupuleusement, elle avait le temps, elle savait que Salih et Anna Reis, exécuterait parfaitement leurs taches.

Un sourire jouait sur la bouche de La.Belle. Le temps de l'ennui était terminé. La batille était proche et elle allait se défouler. Les victimes souffriraient. Elle avait envie de sang.
Zeiss
Et tout s'activa, tous se préparaient au combat, avant même de savoir si ils auraient vraiment à combattre. Zeiss s'approcha des hommes qu'il avait sous son commandement.

Allons, sortez vos armes, on se dépêche! Comment ça, ton arme est sur ta couche? Tu vas leur balancer tes chaussures à la figure si ce sont des pirates? Va et fais vite!

Décidément, il aurait dû discuter plus longuement avec ces hommes.

Lesquels sont archers? Placez vous sur la dunette, abattez-en le plus possible de cette position, en priorité pour aider ceux qui sont en difficulté.

J'en veux cinq d'entre vous de chaque côté de la dunette, l'ennemi ne doit pas pouvoir atteindre les archers. Le reste, répartissez vous par petits groupes le long du bastingage. Sauf vous deux. Vous restez avec moi. Ah, te revoilà avec ton arme, toi! Reste donc avec moi également.


Ne restez plus qu'à attendre et observer. Zeiss n'avait jamais combattu sur un navire, il espérait avoir répartit ses hommes idéalement.
_________________
--Lisa


[Parceque la reprisure de chaussette ça en jette.. ]


Aiguille à la main , fort concentrée sur son ouvrage pour éviter à ses pensées de s'évader on ne sais où , Lisa reprisait et reprisait. A croire que sa vie en dépendait. Dans un sens oui et dans un autre non. Oui, car si elle laissait l'ennui l'envahir , son anges diabolique prendrait le dessus et elle ne donnerait pas cher de sa réputation ensuite. Trop de tentation dans un espace si petit et trop de privation du fait de cet espace si petit. Aucun moyen de se défouler si ce n'était de repriser. Alors , elle reprisait tout ce qu'elle trouvait.

Quand soudain la porte s’ouvrit à la volée :


Massou?!?!

Elle lève la tête et tempête

J'ai une tête de Massou peut être!??

Nan m'selle , mais la duchesse elle a besoin du grand noir qui fait peur !

D'un bon , elle fut sur ses pieds, une occasion de bouger et de changer d'activité ! Elle n'allait pas la rater.

Où est la Duchesse? s'enquit elle.

Dans sa cabine, parait qu'elle va accoucher!

Arrêt sur image d'une Lisa sidérée.

Non d'un bouquetin! et c'est maintenant que vous l'dites!! mais bordel allez chercher Massou!!!

Et la jeune couturière qui se met à tourner en rond dans la cabine à la recherche des draps mis de coté spécialement pour l'occasion et le cas zoù.

Oh mon Dieu! Oh mon dieu .. ma Duchesse va avoir son bébé
Pardonnez moi Cristos , mais Oh mon Dieu!


Enfin elle fini par trouver ce qu'elle cherchait et s'élance dans le couloir les bras chargés. Moultes idées en tête, elle se remémore ce qu'il faut faire , espère fortement que Massou arrive vite , tente de ne pas se ramasser en monter les quelques marches de l'escalier pour arriver sur le pont des maitres.


Ma Dammmmeeee!!! s'exclame t'elle en entrant dans la cabine telle une furie paniquée. Comment allez vous? elle pose rapidement les draps sur la commode et se précipite vers Alinoë. Lui prends une main qu'elle serre doucement, lui touche le front et l'inonde de question . Vous avez mal ? vous sentez l'enfant bouger? vous avez perdu les eaux? vous voulez un coussin de plus? vous n'avez pas froid ? il faut vous changer , vous serez mieux qu'encombrer avec tout vos jupons. Vous voulez que je vous aide à vous relever ? vous avez soif? vous pourrez tenir debout ?

Elle se tourne soudain vers l'époux qui est non loin


Mon Duc!! mais où est Massou!!!!?????

Paniquée Lisa.. naaaann pas du tout..


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--Le_capitaine


[SUR LE SANS NOM]





Le capitaine est aux anges , il va pouvoir assouvir ses désirs de combat . Il sait que LaBelle est comme lui.
L'odeur de la poudre des canons , le sang qui coule, les hommes qui crient de douleur, les femmes qui apeurées les supplient de leur laisser la vie sauvent, les pirates qui sans vergogne les violent ...que du bon quoi !

Ernest va rejoindre son poste , et au passage enlace sa femme et lui dis yeux dans les yeux, le regard brillant de désir :

- Ce soir je te promet l'extase, après les combats.! Occupe toi de tes canons

Il lui plaque un baiser , et lui mets la main au panier pour prouver ses dires .

Puis le Capitaine remonte en claudiquant vers la barre , se grattant la joue avec son crochet , s’arrête un instant pour regarder a la longue vue le bateau qui s'approche , en bavant de plaisir , remets son bandeau sur son oeil mort et gueule.

" Que le Sans Nom nous mène a une autre victoire, qui ce soir verra nos coffres remplis, que vous ayez femmes dociles dans vos couches pour vous rassasier de votre manque d'amour, et que ce bateau contienne assez d'alcool pour nous enivrer jusqu' au matin.
Pas de quartier pour ceux qui nous résisteront!!!!!

Salih et Anna Reis, Belle Gueule , a vos postes , je veux que ce navire soit a nous au plus tôt....


et Ernest de tourner la barre pour prendre le vent au plus près , et ainsi aborder le bateau ennemi dans les meilleur condition , a flanc de sabord.....

Le Capitaine est tellement a son affaire et a son excitation qu'il en a oublié le nobliau !!!


.
.massou



Massou n'avait pas encore digéré le faite d'avoir une femme entre les pattes à s'occuper, même si elle lui plaisait beaucoup et qu'il n'avait rien contre de mieux la connaitre.
Dès qu'il avait quitté la cabine du capitaine, il avait laissé libre Simona et pour se détendre ainsi que pour se changer les idées en améliorant le menu, il avait décidé puisque l'on se trouvait sur un bateau, de pêcher.

Il alla dans la cuisine et demanda des déchets de viande sous les yeux surpris du cuisinier qui se demandait si le grand noir allait la manger ou faire une de ces potions qui avait été si performante à un soldat qui était devenu aussi connu que célèbre sur le bateau.

Le nubien avec sa poignée de déchet carné, passa dans sa cabine et pris un hameçon avec une grande ligne et se rendit dans l'étage des canons. Ceux-ci au repos était amarré en retrait des écoutilles et il en ouvrit une. Ensuite il mit un morceau de viande sur l'hameçon et laissa le fil trainet dans l'eau sur toute la longueur du fil, se couchant confortablement, donnant des à coup sur le fil, tout en regardant l'eau défiler devant ses yeux, se remémorant des souvenirs, trouvant calme et sérénité.

Cela marchait bien, ne voyant pas le temps passer, il avait déjà sorti deux beaux poisson et il était en train de tirer sur sa ligne pour sortir le troisième quand un grand remue ménage se fit entendre et que les soldats arrivaient en courant pour mettre les canons en batterie.

Massou eu le temps de sortir son poisson et de l'estourbir avec un bâton avant que les servants du canon ou il se trouvait se mettent en place et commence leur manœuvre. Il prit une ficelle qu'il passa de la bouche aux ouïes de chaque poisson, liant les deux bouts afin de les porter facilement et de retourner vers sa cabine, laissant les soldats à ce qu'il croyait être un exercice.

Dans un couloir, il vit un homme qui visiblement cherchait quelque chose ou quelqu'un à son air de regarder partout et d'ouvrir les portes des cabines. Une fois devant lui, l'homme sembla content de le voir, ce qui était une surprise pour Massou.


C'est bien toi, Massou? Massou le guérisseur de la duchesse de Cueno? L'homme qui a une potion permettant d'honorer plusieurs femmes à la suite et durant plus d'une nuit?


Aaaaaah, c'était donc pour cela que cette homme était content de trouver Massou.

Oui, Massou êt'e le nom que pa'ent à moi avoi' donné et si toi vouloi' potion pou' satisfai'e femme demandeuse, moi te di'e que....

Ouais bon plus tard tes histoires de famille et il n'est pas question ici de la potion que tu as fourni à La proue....Quoi que un jour je serais.... On verra ça un autre jour!

Faut que tu prennes en vitesse tes affaires et que tu coures encore plus vite dans la cabine de la duchesse de Cueno....Elle va enfanter!


La petite Duchesse...Bébé...Maintenant?

Tient, ça cadeau pou' toi!


Tout en bousculant l'homme, il lui remis ses poissons dans les bras et s'élança dans sa cabine afin de prendre sa petite malle, sorte de trousse d'urgence ou le principal se trouvait, préparé par ses soins pour le jour ou cela devait arriver et ce jour était arrivé.

Il arriva devant la porte de la Duchesse et sans frapper vu l'urgence, entra au son de la voix plus aiguë qu'à l'accoutumée de Lisa.


Mon Duc!! mais où est Massou!!!!?????

Massou êt'e là....

Il alla de suite auprès d'Alinoë et tâta son ventre, trouvant la certitude à ses précédents contrôles qu'il avait fait, Il sentait bien en palpant au moins deux têtes et deux corps.
Il se releva, prit le Duc par le bras et ouvrit la porte de la cabine.


Enfants êt'e bien bas, la naissance êt'e pou' bientôt, ça plus êt'e place pou' toi, toi attend'e deho's.
Me'ci Lisa toi avoi' bien tout fait, moi avoi' besoin de toi, toi avoi' demander eau chaude?


Il ouvrit la petite malle qu'il avait posé sur un meuble et en sortit une petite fiole qu'il ouvrit et fit couler quelques gouttes de son opiacée entre les lèvre de la future maman.

Avec ça, toi avoi' moins mal, pas plus douleu's....Mais moins mal.

Le Duc sortit et la porte claqua, laissant le future père à son attente et à son angoisse.
Dacien_de_chenot


Les compressions de la paroi se multipliaient à tel point qu'il se sentait aspiré tandis que de l'autre côté, l'intrus continuait de le pousser.
Il sentait maintenant l'intrus contre ses jambes alors que sa tête avait glissé vers le bas. On aurait dit que leur nid avait renoncé à sa forme ovoïde pour s'étirer en longueur.
Ainsi donc, il se retrouvait en bas et l'intrus à l'étage supérieur.
Hors de question qu'il supporte une telle position, on a beau n'être qu'un fœtus, on n'en a pas moins sa fierté !
Mais que faire quand, poussé d'un côté, aspiré de l'autre, le choix se réduit à portion congrue... Il résiste autant qu'il peut en écartant les coudes.
Il faut dire qu'il n'est pas très rassuré. Qu'est ce qui l'attend s'il se laisse aspirer ? Il se sent comprimé et son crane lui semble sur le point d'éclater. Il sait qu'il ne résistera pas longtemps mais l'inconnu le terrorise.
Dans l'obscurité qui est son seul repère depuis 9 mois il aperçoit une lueur qui l'attire comme une phalène la lumière. La peur recule devant la curiosité mais il hésite encore.
C'est le moment de flottement que choisit l'intrus pour exercer une nouvelle poussée contre ses jambes. Alors il se décide.
Respirant un grand coup, il hurle en silence :

Attention là-haut : j'arriveeeeeeeeeeeee...

Et, les yeux grands ouverts, il se laisse aspirer.

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