Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>

[Rp] Chapitre VI A l'abordage ...

Yrvis_de_chenot
Yrvis admirait ses enfants est son épouse, se trouvant dans un autre monde depuis que l'accouchement avait commencé, oubliant tout ce qui se passait derrière la porte de leur cabine. Le bateau pirate, les combats qui allaient s'engager, s'ils allaient réussir à les repousser, le danger et la mort qui s'approchait à grand pas avec son acolyte la faucheuse, venu happer les vivants d'un coup de lame.

Tout cela avait disparu de son esprit l'espace d'un moment de bonheur et de fierté, mais la réalité fait toujours surface à un moment donné et cela ne se fit pas attendre.
Un coup de canon, suivit de beaucoup d'autre firent trembler le bateau, ainsi que des explosions, des craquements de bois déchiquetés et le bruit de plein d'objet retombant un peu partout, sans oublier les cris de terreurs et de douleurs.

Revenu violemment à la réalité, Yrvis se leva et allait ouvrir la porte quand celle-ci le fut par une servante qui entrait, les yeux emprunts de terreur.


- Madame, Monsieur! des pirates nous attaquent !


- Mille milliards de mille millions de mille sabords, les pirates!!!!!

Yrvis pris son épée avec son ceinturon accroché à une parois, ainsi que sa dague et les fixa à sa taille. Il fallait défendre, défendre le bateau, ses amis, sa vie, mais surtout défendre et protéger sa famille qui venait à peine d'exister et de prendre vie sous ses yeux. Il se sentit soudainement pourvu d'une nouvelle mission qu'il comptait bien mener et cela lui donna une nouvelle force.

- Lisa! Occupez vous de la Duchesse et de nos enfants, Je vous donne toute autorité pour empêcher mon épouse de se lever et surtout de passer cette porte avant que tout danger en soit éloigné.

Massou! Une fois que je serais sortit, tu fermes cette porte et tu la condamne afin que personne ne puisse l’ouvrir. Je sais que tu portes des coutelas sous tes habits, utilises les si jamais cette porte devait être défoncée, je compte sur toi pour défendre à tout prix mes enfant, mon épouse et les personnes dans cette pièces.

Nous allons repousser ces moussaillon du diable à la mer.... Enfin je l'espère...


Sans plus rien ajouter, il embrassa ses enfant, espérant bien ne pas leur faire un adieu et embrassa son épouse.

- je t'aime...


Sans plus tarder, il sortit et la porte se referma et les bruits contre la porte qu'il entendit le rassura, Massou obéissait, en la condamnant.

rapidement il déboucha sur le pont ou il resta figé quelques secondes devant le spectacle ou plutôt devant la scène qui se déroulait devant ses yeux.
Partout des hommes en train de se battre au milieux des débris et des morts ou des blessés agonisants sur le sol. Des cris, des hurlements de douleurs et de peur, le bruit des épées qui s'entrechoquent, des râles, des injures, un bruit de fond à glacer les sens.

Yrvis se lança dans la mêlée et se trouva devant trois pirates qui lui tournait le dos, trop occupè à vouloir ensemble tuer un soldat qui se défendait avec toute son énergie. Dans ce genre de combat, seule survivre et tuer comptait et il n'y avait plus de loi ou de règle de chevalerie.

Yrvis donna un grand coup de pied dans l'entre-jambe d'un des trois pirates qui ne l'avait vu, s'affalant à cause de la douleur sur les genoux et un coup violent d'épée tenue à deux mains du Duc de Cuéno l’étêta.

Yrvis reprit son épée dans sa main droite et prit sa dague dans la main gauche et s'avança vers le deuxième pirate qui s'était retourné face à lui.


- Que le grand cric me croque et ne me fasse plus boire que de l'eau si nous n'arrivons pas à vous renvoyer dans l'enfer que vous n'auriez pas dû quitter!!!!

Attaque du malandrin contrée par l'épée d'Yrvis, suivit d'un coup de dague qui ne trouva que le vide suite à l'esquive du pirate. Le Duc de Cuèno se trouvait au milieu de la mêlée, tentant d'occire son adversaire, la survie du bateau et de tout ses membres se jouait en se moment.
_________________
--La.belle
La.Belle avait fait tonner le canon et les autres avaient répliqué.Elle hurlait ses ordres

- Remplissez !! Tirez !!

Le Sans Nom se rapprochait. Des flèches pleuvaient sur eux, quelques uns de ses hommes tombèrent d'autres se mirent à l'abri.

- Continuez !!

Et ceux qui reculaient se ruèrent en avant, tentant leur chance avec les flèches.

La Sans Nom était accosté, l'abordage pouvait commencé. Le Capitaine l'avait embrassé et il s'était rué sur la caraque sabre en avant. Elle La.Belle faisait toujours partie de la deuxième vague d'assaut. Il fallait si le Capitaine mourrait qu'elle puisse prendre la relevé. Salih et Belle Gueule avaient suivi leur chef. ils hurlaient, assoiffés de sang. Le carnage allait commencé.

Elle continua à donner ses ordres tout en se préparant à sauter sur la caraque à son tour. la fumée se dissipait lentement. Elle vit une femme qui portait un carquois sur le dos.


*Ah c'est toi qui lance des flèches ?*

Laissant son épée, au fourreau La.Belle prit son long poignard et sauta à l'aide d'un filin sur la caraque, la femme venait de tuer un des compagnons de la pirate, lui tournant le dos. La.Belle plongea son poignard dans le dos de Simona et le ressortit pour l'achever. Elle n'eut pas le temps de le faire que d'autres soldats se ruaient sur elle, écartant une épée avec son poignard, elle se saisit de la sienne et reculant, engagea le combat avec deux soldats qui n'avaient pas son expérience, elle s'en défit très vite et avança sur le pont.
Déjà gisaient pêle-mêle des soldats et des pirates. Les soldats étaient plus nombreux qu'elle ne l'aurait cru


*Cela va être plus dur que d'habitude*

Et la rage aqu ventre, elle se rua épée levée et poignard à la main

-Pas de quartier !

Elle allait se laver dans une mer de sang.

La.Belle décapita d'un coup d'épée un jeune soldat à peine sorti de l'enfance et elle levait haut son épée pour l'abattre sur une autre tête quand une autre épée stoppa la sienne
--Theophraste


Le Capitaine avait parlé, l'ordre avait été donné. Théophraste s'élança à l'abordage, suivant ses compagnons pirates. Il sourit, aborder un navire avait toujours cette grandeur qui sied d'ordinaire si bien aux grandes charges. Un abordage c'était avant tout un assaut, un élan irrésistible qui brise n'importe quelle ligne de défenseurs, emportant tout sur son passage, véritable ouragan de bravoure, de carnage et de mort.

Une fois sur le pont français, nôtre homme se retrouva face à un soldat, il se fendit sur sa gauche et aisément enfonça sa lame dans le corps de son adversaire. Facile pensa-t-il. Il n'avait pas fait trois pas qu'un autre adversaire, plus grand, plus fort se rua sur lui. Plus fort certes mais aussi plus lourd. Le pirate comptait bien se servir de cela pour compenser son manque de muscles. Ainsi Théophraste feinta de frapper sur la gauche de son antagoniste, le grand gaillard qui lui faisait face tomba dans le piège et leva son arme - une grande et large épée - pour parer sur sa gauche, découvrant ainsi son flanc droit. Alors Théophraste, avec rapidité, ramena sa lame sur la droite de son adversaire, lame qu'il enfonça dans l'aine de celui-ci. Ce dernier poussa un cri et tomba au sol, agonisant. Méprisant toute forme de pitié notre pirate acheva le soldat à terre qui mourut dans un râle roque.
Une douleur le fit alors vaciller. Portant la main à son côté droit, il compris qu'il avait été touché. Se retournant d'un bond il vit un jeune soldat face à lui, apeuré et tremblotant. Une leur haineuse s'alluma dans les yeux de Théophratse. Comment un avorton tel que celui-ci avait bien pu le blesser lui ? Un pirate de sa trempe ! Hargneux, notre homme se rua vers le pauvre soldat qui, effrayé, recula, les jambes tremblantes. Le pirate, d'un moulinet écarta la lame de son adversaire, remonta son bras et frappa à la gorge, ouvrant ainsi une large entaille chez le jeune homme qui s'écroula sans un bruit.
Théophraste s'écarta un instant du combat, examina rapidement sa blessure. Puis il regarda le pont du bateau. Plusieurs pirates avaient déjà engagé un combat singulier. Il chercha des yeux un adversaire de valeur pour un duel. Son regard s'étant posé sur une jeune femme, il se dirigea vers elle, l’épée haute, bien décidé à en finir.
--Lisa


Citation:
Lisa! Occupez vous de la Duchesse et de nos enfants, Je vous donne toute autorité pour empêcher mon épouse de se lever et surtout de passer cette porte avant que tout danger en soit éloigné.


Ah ben fallait pas le lui dire deux fois. La voila investi d'une mission quasi divine pour elle. Protéger sa duchesse et ses anges.
Dès le duc sorti, elle poussa tables, chaises et autres meubles trainant dans la pièce et non attaché devant la porte.


Massou , comme l'a dit le Duc , tu sors tes trucs qui piquent et tu te mets là.

Elle lui indiqua le devant de la porte juste aprés les meubles entassés.


Le premier qui tente de rentrer tu hurles à la mort et tu montres les dents. Rien que ça , ils auront déjà une peur bleue!

Elle retourna auprés de sa Duchesse qui ne manquerait pas de vouloir gigoter mais avec les deux nouveaux nés dans les bras elle aurait du mal et devrait rester calme.

Vous, ma Dame, vous rester tranquille comme l'a dit votre époux. Vous risqueriez de tomber en pâmoison ou pire encore et vos enfants ont besoin d'une mère en forme et capable de les nourrir. D'accord ?

Ce n'était pas vraiment une question et elle la regardait en faisant les gros yeux en espérant impressionner un peu Alinoë.
La jeune Lisa espérait presque que les enfants allait se mettre à pleurer pour couvrir le bruit des combats qui se déroulaient non loin d'eux finalement et dont les bruits arrivaient jusqu'à eux de manière déformés.
Ils ne pouvaient qu'imaginer ce qui se passait et c'était assez angoissant de ne rien pouvoir voir. Les regards fixés sur la porte , ils attendaient ..


_________________
.massou


Massou un peu surpris par la tournure que prenais les événement, aida Lisa à bloquer la porte, coinçant du mieux qu'il pouvait tout les meubles et il contrôlait que la porte ne puisse pas s'ouvrir, quand la couturière lui parla. Il s'arrêta surpris et la regarda interloqué.

*Truc qui pique, truc qui pique, c'est pas des aiguille de couturière que j'ai ma petite et je suis pas un monstre pour faire peur rien qu'en criant, non mais...*

Il ouvrit sa chemise, mettant plus accessible, la ceinture qu'il portait en travers de son torse ou était accroché des coutelas et un couteau avec une lame longue et fine. C'est celle-ci qu'il prit et la tendant pointée en avant, se dirigeait vers Lisa qui était au côté d'Alinoë.


- T'uc qui pique comme toi di'e, pas êt'e pou' faire coutu'e, ça tuer comme ça....

Et d'un geste rapide, il avança sa main armée pour la poignarder, lâchant le couteau qui tomba au sol au dernier moment, ne la touchant à l'abdomen qu'avec son doigt. Tout en criant, la bouche grande ouverte, exhibant ses dents.

Aaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrrr!!

Il fixait Lisa des ses yeux grands ouverts, la regardant méchamment pendant plusieurs secondes, puis son visage redevint normal et un grand sourire moqueur se dessina sur sa figure.

- Moi devoi' fai'e comme ça mais sans lâcher couteau?

Puis il se mit à rire, tout en récupérant son arme au sol et en retournant vers la porte.

Ce que le bruit des combats n'avait pas réussit à faire, son cri et son rire, eux, y arrivèrent. Les deux bébés, calmes jusqu'à présent, surpris, se mirent à crier et pleurer ce qui fit oublier les combats qui se déroulaient sur le pont.
Alinoe_de_chenot
La duchesse regardait ses bébés qui s'étaient endormis pendant qu'elle les nourrissait. Elle était épuisée mais si fière et heureuse.
Bien sur, elle eut préférée avoir une nourrice mais elle ne pensait pas accoucher pendant le voyage et même, elle n'avait pas du tout songer à cette partie de la maternité. Prendre une nourrice ? Heu... Ben oui, la jeune duchesse n'avait pas de maman et ni d'amies pour la conseiller depuis qu'elle était partie.

Brusquement elle entendit tonner les canons, son premier réflexe fut de regarder si ses bébés s'étaient réveillés. Non, ils avaient tressailli, ils fronçaient les sourcils mais leurs yeux restaient résolument fermés. De véritables amours.

La porte s'ouvrit et la servant annonça l'attaque. Ainsi c'était bien
des pirates. Le duc Yrvis distribua tout de suite ses ordres, les embrassa, la duchesse et ses enfants et fila. Alinoë n'avait pas eu le temps de réagir. Elle était comme engourdie, accablée par la fatigue.
Comment aurait-elle pu se lever et en plus laisser ses bébés ? Bien entendu en temps normal, elle eut été parmi les premiers à recevoir cette engeance que sont les pirates. Elle était une guerrière mais là ? Elle n'était plus qu'une jeune accouchée sans force.

Yrvis avait donné à Lisa toute autorité pour l'empêcher de se lever. Elle aurait ri si la situation n'était pas si dangereuse. Lisa ? Lisa donnerait sa vie pour défendre sa duchesse et ses enfants et Lisa n'avait pas besoin de ce genre d'ordre pour la maintenir au lit.
Puis elle assista ahurie à la scène entre Massou et Lisa. La Duchesse de Cuneo se demandait si elle rêvait. Ses servants lui manquaient de respect en agissant de la sorte en sa présence.

Massou depuis qu'il l'avait soignée et sauvée et surtout depuis que son père le Duc Laclemanus était mort, se prenait pour son père. Il avait avec elle la familiarité d'un père, il la conseillait comme un père quoiqu'il avait oublié de la prévenir pour la nourrice.
Massou avait une autorité et une majesté naturelle. Il était un chef respecté dans son village, il possédait la science de la médecine, des plantes et il était un guerrier. Il avait été enlevé et revendu. Il avait atterri en esclave chez le Duc du Canavese. Quand la Duchesse eut son accident, Eddo le duc du Canavese qui était son meilleur ami, lui envoya Massou, les médicastres qui l'avaient soignée l'avaient condamnée à une mort certaine et au mieux à une paralysie définitive. Depuis, Massou ne l'avait plus quitté. Vivant chez la Duchesse de Luserne avec un statut bâtard, ni domestique, ni esclave, l'esclavage n'existait pas en Savoie, ni non plus médicastre reconnu. Il n'était que le médicastre de la Duchesse. Il ne dormait pas à l'étage des domestiques. Il avait un appartement à part. Sur le bateau, il avait une cabine mais une cabine sans porte. Oui, Massou était un homme à part.

Lisa aussi était à part. Elle avait d'abord été la femme de chambre de la Duchesse, enfin plutot la femme de chambre en seconde, Lisa et la duchesse avaient presque le même âge, Lisaq avait juste deux ans de plus que Alinoë. Les deux jeunes femmes s^étaient liées, autant que puissent se liées une duchesse à sa femme de chambre puis Lisa était partie se marier mais le mariage fut un échec et elle revint auprès de la Duchesse. Sa place était prise mais Alinoë la garda comme couturière. Les deux femmes se rapprochèrent encore et leur complicité s'accentua tant et si bien que c'était Lisa qui était auprès d'Alinoë au lieu de Yollande. Yollande était la femme de chambre officielle de la duchesse.

Lisa et Massou se faisaient leur scène comme si Alinoë n'était pas là. Allait-elle réagir ? Alinoë n'avait ni l'envie ni la force de dire quoique ce soit et ses enfants vinrent à son secours. Ils se réveillèrent dans un bel ensemble se mirent à pleurer. le bruit et les cris avaient fini par les déranger.
Sepa
Au fur et à mesure que les bateaux avançaient, l’un vers l’autre, Sepa oubliait l’accouchement qui se trouvait dans les cabines, préparant son épée dans sa main droite, il se tourna vers son homme de main.

Va me chercher mon bouclier, cette fois, ça ne sera pas de l’entrainement, on sera sur le terrain de jeu de l’ennemi.

Se tournant vers ses autres hommes, le Vicomte attendit que son homme de main revienne puis gueula.

Cette fois, nous allons devoir combattre, finit l’amusement, mourrez pour sauver votre compatriote s’il le faut, pas de quartier et de sentiment ici lieu. Si une femme se pose devant vous, tuez là car elle n’hésitera pas à le faire à votre encontre, le sexe de l’autre ne compte pu durant ces duels. Préparez-vous, archers en place et attendant l’ordre avant de lancer vos flèches.


Sepa plaça correctement son bouclier au bras gauche, attendant l’accostage de l’ennemie, cela allait être rapide, têtes, bras et autres membres allaient voler sur le pont.
Le navire était de plus en plus proche, on pouvait voir les pirates se préparer et attendant ce moment avec impatience, quelques-uns étaient déjà tombé par les flèches mais ils étaient toujours nombreux sans doute, chacun aurait un adversaire, Sepa devrait aller assez vite pour donner un coup de main à ses alliés.
Le Von Strass faisait tournoyer son épée attendant qu’il s’approche, là il resterait sur la défensive pour une fois, examinant le moindre mouvement de l’ennemi. Ses gardes avaient engagés le combat, le sang giclé, un bruit important était là avec l’entrechoquement des lames.
N’aimant pas frapper par derrière, le Borgne avança et au loin vit un homme sans adversaire. Celui regardait, l’épée de Sepa alla de gauche à droite, en évitant de frapper un allié, pour se frayer un chemin. Voyant son adversaire, il vit que celui-ci avait une jambe de bois. Regardant ses arrières et ses flans avant de parler, il se mit en garde devant l’homme, un duel dans les règles de l’art.


Je vois que tu es un éclopé comme moi, je me présente Sepa Von Strass.

Frappant si un adversaire arrivait trop près, le Vicomte attendit que l’homme lui réponds.
_________________
Sepa dicte le Borgne Persérant,Maréchal de France du DR
Vicomte de Gérardmer,Baron de Beaurain,Seigneur de Haut Pont
Salih Reis, incarné par Elektra.


Un rire presque malsain s'échappa d'entre les lèvres de Salih. Décidément, cet homme méritait un minimum d'intérêt au combat. Il le prouva aussitot en relançant une attaque, l'oriental parant rapidement d'un mouvement du sabre avant de rajuster sa position. L'impérial esquivait, les coups de Salih fendaient l'air mais ne touchaient guère. Il aurait pu prendre plaisir à prolonger indéfiniment le duel si celui-ci en avait été un. Mais avec la bataille qui faisait rage autour d'eux, il se devait d'être encore plus vigilant. Il suffisait d'un soldat un peu trop zélé à défendre son supérieur et le pirate se retrouverait à terre. Il lui fallait garder ses yeux et ses oreilles en une attention constante.

Il ne fallait pas trop tarder non plus, le second bateau devait également être abordé et le temps était compté avant qu'il ne fuit. Les deux mains ancrées sur le pommeau du sabre, Salih poussa un cri et abattit son arme vers la tête de son adversaire. Décapiter était chose commune dans son pays, il plaisait de regarder la tête de son ennemi rouler au sol. Mais l'adresse de son vis à vis lui permit d'éviter de justesse le coup fatal et répliqua aussitot par une attaque sur le coté.

Salih tarda à contrer et il sentit la lame déchirer sa chemise pour venir entailler la peau juste sous ses dernières cotes. Il poussa un cri chargé d'injures dans sa langue natale envers l'impérial, repartant à la charge de plus belle, tentant de lui faire prendre un retranchement vers le gaillard avant. Le coincer contre une paroi le rendrait un peu plus à sa merci.

Le sabre tournoya de haut en bas, censé impressionner l'adversaire, puis fendit l'air pour venir faucher en direction du bras gauche de Zeiss. La lame courbe, aiguisée comme un rasoir, pouvait trancher un bras ou une jambe en un éclair. Il en ferait des rondelles de ce guerrier occidental.
--Roger_jambe_de_bois
Roger se retrouvait sur le navire, en plein milieu de la bataille. Il y avait devant lui un soldat, un vulgaire petit bonhomme si peu habitué à combattre sur l'eau. Lui, malgré sa guibolle en bois, il savait parfaitement se défendre et même se battre dans un tel endroit. L'homme tentait tant bien que mal de l'attaquer, mais le second du Capitaine Pirate était trop habitué, trop rapide. Les lames s'entre choquaient pour qu'enfin Roger trouve la faille dans la défense de son adversaire. La lame s'enfonça si loin dans le ventre du soldat que celui-ci s'effondra sur Roger.

Il était content, il adorait ce moment-là où il venait d'ôter la vie d'un ennemi. Et à peine ce fut fini avec un, qu'un suivant débarquait. Celui-là était plus à l'aise, plus costaud, plus grand. Cette fois-ci Roger avait plus de mal, il devait se défendre, il reculait un peu, mais c'était pour mieux attaquer ensuite et surtout pour se débarrasser de cet adversaire. Cette fois-ci il utilisa sa dague qu'il avait dans son autre main, celle que tout le monde croyait libre.

Et un second ennemi qui se retrouvait hors combat ... Définitivement.

Cette fois-ci, il était tranquille, pour le moment. Quand tout à coup, alors qu'il s'avançait tranquillement, un homme s'approcha et il se présenta. Roger lui rit au nez, comme si on se présentait chez les pirates.


Ah ! Très bien marin d'eau douce ! Moi j'suis Roger jambe de bois ! Mais méfies-toi ... Je ne suis pas si éclopé que ça ...

Il n'avait même pas fini sa phrase qu'il attaqua l'homme, celui qui s'appelait Sepa. Lame en avant, il se doutait que cet homme serait d'une autre trempe que les deux minables petits soldats qu'il avait combattus juste avant. Alors, il se retint, ne lui montrant pas encore son agilité et surtout, cachant la dague qu'il avait dans sa main libre.
Gueule d'ange, incarné par Yrvis_de_chenot



Premier arriver, premier servit avait-il dit et gueule d'ange comptait bien se servir en premier et ne pas avoir à grappiller les restes. Sitôt les bateaux se trouvant côte à côte, les canon ayant cessé leur travail destructeur, il se saisit d'un filin et se lança sur le bateau attaqué.

Il se retrouva au milieu de soldats courant en tout sens cherchant un adversaire à repousser. le bellâtre, l’adrénaline à son paroxysme, dégaina ses deux sabres et se mit à tuer en se battant comme une furie, peu importe la manière, seul le résultat compte et il comptait bien battre son record de victime aujourd'hui.

Un soldat se rua sur lui et il glissa sur sa gauche, laissant passer le militaire emporté par son élan qui n'alla pas plus loin que la longueur du bras de gueule d'ange qui s'était retourné et avait abattu avec violence son sabre sur la tête du soldat, fendant son casque et son crâne d’où sortit un flot de sang.
Et de un!annonça-t-il fièrement et en criant, la voix moqueuse et conquérante.

Une épée arriva sur lui, qu'il contra de son sabre tenu par la main gauche et il transperça le corps qui l'attaquait de son second sabre, Et de deux! Il maniait avec dextérité ses deux sabres, coupant une gorge ici, Trois! éventrant un maladroit qui ne l'avait vu arriver sur lui, Quatre! Le cinquième n'avait rien compris de ce qui lui arrivait au vu de son visage qui s'était figé dans une expression de surprise quand le sabre pénétra dans son crâne en entrant par dessous sa mâchoire, Cinq!...Six!...Sept!! Deux de plus à son effectif.

Le pont avait beau être grand, il paraissait petit au vu du nombre de soldats et de pirates qui se battaient, se retrouvant proche et entouré de plein de monde, difficile de voir ou se trouvait le danger, il était partout. C'est pourquoi Gueule d'ange sabrait partout, empêchant au maximum de se faire approcher et tuer, Huit! Sans cette promiscuité, il ne pourrait pas tuer autant de personne, malgré son expérience à faire passer de vie à trépas, Neuf! Il était dans son élément et après un nouveau combat, il cria fièrement, Dix!!!

A tuer tout ce qui se trouvait à sa portée, un trou, ou plutôt un espace libre s'était formé autour de lui. Le sang de ses victimes avait maculé ses vêtements et son visage, sa gueule d'ange ressemblait plus en ce moment à celle d'un démon et il se mit à invectiver ceux qui se trouvait en face de lui, moqueur.

Du sang!! Mes sabres réclames du sang pour se nourrir!

Venez, je vous promet une mort rapide, venez apprécier le tranchant de mes sabres... Qui est le suivant?

Un peu de courage, la mort est plus rapide et moins douloureuse que la vie!
Zeiss
Et une touche, une. Très légère, mais peut-être que cela suffirait à prendre l'avantage. Ceci eut pour effet d'énerver l'ottoman qui se jeta sur Zeiss. Et les esquives reprirent du côté du Commandeur. Il avait un peu plus de mal à s'écarter de la trajectoire meurtrière du sabre, mais pour sûr qu'il saurait tôt ou tard tirer profit de la précipitation du pirate.

Mais pour l'instant, il patientait, évitant les coups, parfois forcé de reculer d'un pas. Mais le moment viendrait, même si ce duel devait durer une heure.
De temps à autres, il déviait lui-même la lame courbée à l'aide de son épée afin de reprendre une position plus confortable, et reprenait les esquives.
Aussi, il portait quelques coups, même si il savait qu'ils ne toucheraient pas au but. Cela freinait le rythme de Salih.
En bref, Zeiss laissait la confiance grandir dans le coeur du pirate, afin de mieux frapper au moment opportun.

Et peut-être qu'il arrivait, ce moment. Salih fit quelques moulinets, puis tenta de trancher le bras de Zeiss.
Le Cavalier se décala sur la droite, préparant déjà sa contre-attaque. Le sabre toucha au but, mais ne fit que glisser sur la maille sous la tunique de l'impérial. La botte de celui-ci frappa le sol, stabilisant son appuie, et la pointe bâtarde se dirigea rapidement vers le torse de l'oriental.

_________________
--Yollande


    Yollande avait fini d'écrire la missive à Fluette. Elle avait tout expédié par le pigeon le plus véloce et le plus malin., Puis elle était retournée auprès de sa duchesse,. Enfin elle avait voulu y retourner mais mais un garde lui dit que Lisa avait laissé des consignes : Lisa avait dit qu'un ton sec et sans réplique qu'il y avait déjà suffisamment de monde dans la minuscule cabine de la Duchesse de Cuneo. De plus la porte était condamnée de l'intérieur et que Massou tuerait toux ceux qui tentaient d'y pénétrer.
    Yollande aurait volontiers serré la gorge de Lisa jusqu'à ce que mort s'ensuive mais Lisa bien préoccupée à autre chose, était à l'intérieur de la cabine et elle Yollande dans le couloir.

    Yollande haïsssait Lisa et plus le temps passait plus sa haine envers elle s'approfondissait. Seulement personne ne le remarquait. personne ne remarquait Yollande en fait.
    Pourtant elle n'était pas laide, on aurait même pu la qualifier de jolie si elle se mettait plus en valeur. Yollande n'avait pas la coquetterie de Lisa, elle n'avait pas sa finesse mais elle avait un corps robuste et souple. Le corps d'une personne qui avait beaucoup parcouru bois et forêts. Seulement Yollande se dissimulait. Elle n'avait pas toujours été femme de chambre. On dirait même qu'elle n'aurait jamais du se trouver dans un château, autre que pour le piller.
    Yollande était fille et sœur de mercenaires, femme mercenaire. Elle l'avait été elle-même, mercenaire. Seulement lors de l'attaque du'un château espagnol, toute sa compagnie avait été massacrées ou pendue. Elle n'avait eu la vie sauve que parce qu'elle avait été malade le jour de l'attaque et qu'elle n'avait pas pu y participer. Un diarrhée carabinée l'avait forcée à rester dans le camps. Quand les soldats espagnols vinrent l'interroger, elle joua à la stupide, disant qu'elle etait une femme de chambre et que les mercenaires l'avaient kidnappée pour jouer avec elle. Elle n'eut pas à leur faire un long dessin pour qu'ils comprennent.
    Yollande eut beaucoup de chance, le chef de l'escadron était un fervent aristotélicien, il décida de la libérer et l'envoya se soigner ailleurs.
    Yollande avait juré que si elle s'en sortait, elle rangerait dague épée et qu'elle ferait un travail honnête et elle devint femme de chambre.

    Seulement, elle n'avait pas au château la place qu'elle voulait, Lisa l'occupant largement, Une fille apeurée courait vers elle


    - Ils vont tous nous tuer ! - Ils vont tous nous tuer ! - Ils vont tous nous tuer !

    Elle était terrorisée, c'était une aide des cuisines, la fille la bouscula et s'enfonça dans le bateau surement vers les cales.

    Yolande prit alors sa décision. Fini pour l'instant la femme de chambre. Yol la rouge reprenait du service. Aussitôt sa décision prise, toute peur quitta son cœur. Elle s'était reprise. Elle fonça dans sa cabine et sortit du fond de sa malle, sa longue épée bâtarde et un poignard presque aussi long. Elle s'enfila une paire de gants et un plastron en cuir qui était aussi au fond de la cale. La femme n'avait jamais pu se débarrasser de ses armes. Elle changea sa jupe au profit de braies, se botta et armée jusqu'aux dents partit.

    Elle surgit sur le pont, armes au poings et évaluant la situation d'un oeil avertit, elle se jeta dans la bataille, tuant tout ce qu'elle pouvait. Elle retrouvait les sensations depuis longtemps délaissées, le sang lui battait les tempes. Elle était redevenue Yol la Rouge et le gout du sang ressurgit. Sa sauvagerie ensommeillée se réveilla. Elle ne savait plus combien d'hommes qu'elle avait tué et blesse. soudains elle s'immobilisa. son instinct l'avertissait. elle se retourna d'un bloc, marchant sur un agonisant et vit un homme se diriger résolument vers elle, lame haute.

    Repoussant le cadavre. (le blessé n'avait pas supporter les bottes dans sa blessure). elle rangea son poignard et levant sa lame à son tour, elle courut presque aux devant de lui.
    Le choc des deux lames fut rude.
--Theophraste



La jeune femme vers laquelle il se dirigeait l'avait vu. Elle força la pas dans sa direction, la lame haute. Théophraste sourit, la pauvre ne savait pas ce qui l'attendait. Elle semblait jeune, plutôt bien faite et son apparence n'avait rien de celle, chétive, de certaines jeunes femmes souvent plus habituées à manier l'aiguille que l'épée. La frénésie du combat, l'ardeur émanant de la bataille lui avaient fait oublier la douleur de sa blessure à l'aine.
Leur lame s'entrechoquèrent, rencontre entre deux éclairs étincelants, pourvoyeurs de mort. Autour d'eux la bataille continuait, les râles des blessés agonisants montaient, chant délicieux qui se répandait dans l'air. L'air justement, celui-ci s'emplissaient de l'odeur du sang, de la fumée et surtout de cette odeur de mort, cette odeur si tenace qui s'accroche partout et que rien ne parvient jamais à réellement enlever.
Maintenant qu'ils étaient proches, Théophraste put observer, de façon fugace, son adversaire. Oui elle était jeune, mais sa jeunesse ne devait pas amener notre pirate à la sous-estimer. Ce fut la seule chose qu'il put réellement observer car un duel ne permet aucune hésitation. Notre homme se recula d'un pas et lança à nouveau sa lame vers la jeune femme qui para le coup. Il feinta sur sa gauche pour mieux balancer son bras vers la droite, espérant frapper la jeune femme sur son épaule gauche. Une vieille feinte de pirate. Voyons si cela, elle pouvait le parer.
Leg_dicesarini
Leg, avait laissé son heaume rouler sur le pont quant il avait vu le bateau pirate venir a l'abordage , il était bien en tenue pour combattre ces malfrats, , et il ressortit son épée de son fourreau . Il se mit en peu en retrait du pont , supposant que les pirates allaient sauter par dessus les bastingage.

La suite lui prouva qu’il avait raison . telle une nuée de corbeaux , ils s'abattirent sur le pont criant, vociférant, les armes hautes.

Leg n'avait jamais combattu sur un bateau , mais avait déjà défendu châteaux , avec assaillants venus grimper sur les remparts... Et la le bateau était plus grand en largeur qu'un rempart... donc Leg prit vite ses marques, écu au bras gauche , et épée bien tenu en sa dextre.

Un homme , si on peut appeler cela un homme, en haillons, noir de crasse, les yeux injectés de sang , atterrit devant lui , et sans coup férir , lui porta attaque . Le duc esquiva de par sa droite, parant le coup de sabre de son épée dans un mouvement tournant, abaissant l'arme du pirate , et répondit par un coup de tranchant d'écu au visage de l'ignoble, dont la tête se fendit telle une poire trop mure.

Leg se remit d’aplomb et se dirigea vers un autre pirate , qui ayant vu le chevalier a l’œuvre , méfiant fit pas de coté en s'abaissant légèrement et en voutant les épaules. Leg le regarda commencer a faire un arc de cercle . Leg avançant d'un demi bon , fit début d'attaque en taille de 3/4 haut, voyant cela le pirate leva son sabre pour contrer , ce qu'attendait le jeune duc , qui arrêtant son coup revint en estoc vers l'abdomen de l'homme découvert . Son épée s'enfonça dans les chairs du pirate, qui le regard surprit , vit la faucheuse s’avancer vers lui , avant que de rendre souffle.

Leg continua d'avancer en parallèle du bastingage .. un homme voulu lui sauter dessus, mais Leg se jeta de coté , évitant la charge du pirate , qui alla s'affaler contre un tonneau , derrière lequel se tenait André le Garde , qui le transperça de sa bâtarde.André etait pas fute fute, mais il était vraiment homme de guerre , et savait se battre.

Il sourit a son maitre, et vint se placer a ses cotés.


" Mon Duc , j'gardion vos arrières.. si qu'en yen a un qui viendron vous titillez j'lui fron d'un coup avaler son bulletin de bapteme ...


Leg sourit et d'un petit geste de la main fit comprendre a André qu'il voulait avancer vers les chefs des pirates.

La , un pirate lui envoya une attaque de taille, Leg se baissa et faucha les jambes de son épée . L'homme , qui s'abattit en hurlant , pissait le sang. Leg sans aucun scrupule , l'acheva d'un coup dans la nuque .

C'est a ce moment , qu'une dague , vint se planter dans son dos , la lame se brisant sur sa cote de maille . Leg voulut se retourner, mais pris un coup de poing derrière l'oreille, qui lui fit voir des chandelles, ... il tomba sur les genoux , se reprit , mais comprenant que son écu était plus un handicap qu'une protection , le lança dans les genoux de son assaillant. La rotule craqua , et l'homme se retrouva dans la même position que lui . Leg lui assena alors un coup de la garde de son épée, ce qui fit éclater le nez de son adversaire, ui crachant du sang , voulu s'esquiver .... et tomba sous la pointe d'André qui le transperça.

Le chevalier se remit sur pied secoua la tête , et se redressa....

et la a quelques pieds de lui .... :


Du sang!! Mes sabres réclames du sang pour se nourrir!

Venez, je vous promet une mort rapide, venez apprécier le tranchant de mes sabres... Qui est le suivant?

Un peu de courage, la mort est plus rapide et moins douloureuse que la vie!



Le duc l'apostropha :

" Je suis ton homme , vient voir comment un savoyard sait affronter la mort , et ne craint pas de rejoindre le Trés Haut ....!
_________________
Lorina.shpata
Enfin j'étais née. La vie commençait pour moi. D'abord un bon bain. Dés que j'ai été mise dans l'eau j'ai cessé de hurler. La douleur dans mes poumons s'était calmée et puis l'eau chaude c'était bien bon. On m'a emportée, poudrée, enfin c'est plus tard que j'ai su que c'était de la poudre qu'on mettait sur tout mon corps. C'était doux et ça sentait bon.
Il y avait pleins d'odeurs, des odeurs que je ne connaissais pas. Une femme me mit dans les bras de ma mère. Ma mère. Je reconnus tout de suite son odeur, sa douce voix. Je l'aimais déjà ma mère.


- Yrvis, mon amour. Ils sont beaux n'est pas ? Voici notre splendide Daphnée Neottie Miranda de Chenot et le magnifique Dacien Laclemanus Julius de Chenot.

Je distinguais bien la voix de ma mère et mon père s'approcha et me caressa. Je savais que Yrvis était mon père. J'entendais souvent sa voix grave et douce qui parlait à ma mère et puis elle disait souvent "Votre papa".
Ainsi je m'appelais Daphnée Neottie Miranda. Comment je sais que c'est moi ? Ben parce qu'elle m'a soulevée quand elle m'a présentée. Daphnée c'est joli, J'aime ! Pourquoi Neottie Miranda ? Je lui demanderais quand je pourrais communiquer avec elle. Pour l'instant je ne sais pas parler. Chaque fois que j'ouvre la bouche, j'a mal et je pleure. Je n'ose même pas ouvrir les yeux.

Alors l'autre est né aussi et il s'appelle Dacien. J'aime aussi. C'est mon frère et je suis contente qu'il soit là avec moi. On est toujours ensembles et on le restera toujours j'en ai le pressentiment.

Je gardais donc les yeux fermés et j'étais bien dans les bras de ma maman mais cela ne dura pas longtemps j'avais comme une douleur dans le ventre, je me remis à pleurer et tout de suite ma mère me mit son téton dans la bouche. Je l'attrapais avec avidité. Je ne sais pas pourquoi mais j'étais certaine de ce qu'il fallait faire. Je savais qu'il me fallait téter et que mon mal de ventre cesserait. Je tirais de toutes mes forces et ce que j'eus dans la bouche me plus et je continuais de téter comme prévu mon mal de ventre cessa mais comme c'était fatiguant. Des que je n'eux plus mal, je lâcha le sein et je m'endormis tout de suite.
Je ne sais pas depuis combien de temps que je dormais quand un grand bruit me fit sursauter mais je n'ouvris pas les yeux : J'étais trop bien et j'avais trop sommeil. le bruit recommença. Les personnes parlaient et je sentis que ma mère n'était plus aussi clame que tout à l'heure. Elle était inquiète . Son cœur battait plus vite et cela ne dérangea. Je n'aimais pas ce que je ressentais d'elle. Puis il y eut vraiment beaucoup de bruits dans la chambre. Des choses qu'on bougeait. Si je pouvais je me serais encore plus blottie contre ma mère.
Mon père partit, oui je ne le sentais plus puis l'ami de maman qui c'était toujours occupé de nous. Pourquoi je dis occupé de nous ? Parce qu'il venait souvent tater le ventre de maman, nous écouter et il disait à maman ce qu'elle devait faire. Cet homme que j'aimais bien nous a aider à venir au monde. C'était quelqu'un en qui je pouvais avoir confiance. Je le croyais. Mais il se mit à hurler si fort que cela me fit mal à la tête et là je ne pouvais plus tolerer tout ce chaut qui m'empêchait de jouir du juste sommeil du nouveau-né. Je me mis à hurler.


- OUINNNNNNNNNNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!!!

Quasiment en même temps


-OUINNNNNNNNNNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!!!

Mon frère aussi en avait assez de tout ce capharnaüm.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)