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[Rp] Chapitre VI A l'abordage ...

Sepa
Sepa en garde avec son bouclier,écouta l'homme se présenter. Il se dit qu'il portait bien un nom des mers, Roger? pouarf, un petit sourire s'afficha sur son visage puis il reprit son sérieux avant que celui ci n'attaque.
Roger l'attaqua lame en avant, cela ne fit qu'un tour au Von Strass, lui qui avait tant fait de duel durant ses longues années dans l'Ordre Royal de la Licorne en France, ce genre d'attaque, il l'appréciait, il se dit:"viens mon mignon, chez moi, la meilleure défense, c'est l'attaque".
Mettant son bouclier face à lui, il fonça sur l'arme, ce qui fit entrechoqué son bouclier contre la lame, une grosse résonance retenti. Le bouclier bien en main, le Borgne ne vacilla pas au moment du choc.


Alors qu'en penses tu? pas trop sonné. Allez esquive moi ça.

Laissant son bouclier de face pour ne pas se prendre de coup sur le plastron, Sepa donna un coup d'épée verticale, du haut vers le bas, espérant que son adversaire parte en arrière et soit déséquilibré au pire et au mieux, que son duelliste soit découpé en deux. Il n'était vraiment pas l'heure de jouer sur ce navire.
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Sepa dicte le Borgne Persérant,Maréchal de France du DR
Vicomte de Gérardmer,Baron de Beaurain,Seigneur de Haut Pont
Yrvis_de_chenot
Yrvis avait occis son premier pirate et regardait partout, c'était une vraie fourmilière, tout autour de lui, ce n'était que combat. Un coup paré ici, un coup donné là, parfois dans le vide et parfois touchant sa cible, il fallait éviter les coups et en donner, mais vu que cela bougeait tout le temps, la cible changeait souvent, tout comme les assaillants.

Un moment d'inattention et une douleur au bras en fut le résultat. Yrvis n'eut que le temps de parer l'attaque qui suivit et de repousser d'un coup d'épaule le pirate qui l'attaquait, plantant son épée dans le ventre du malandrin qui reculait en perte d'équilibre, en battant des bras en l'air.

Le duc de Cueno regarda son bras, ouf, ce n'était qu'un plaie peu profonde visiblement, à ce qu'il pu voir au travers de sa manche déchirée. Pas de temps pour la douleur, il fallait d'abord penser à tuer pour ne pas être tué, dure loi qui régissait tout les combats, ou qu'ils soient.

Au milieu de toute cette cohue, il vit une femme parmi les pirates arriver sur le pont à l'aide d'un filin et de suite poignarder un archer qu'il reconnut, Simona...

*Massou n'aura pas eu longtemps une aide contre son grès...*

Mais alors que la Belle allait achever la jeune fille, elle en fut empêché par l'arrivée de soldats qu'elle tua avec rapidité et dextérité alors qu'Yrvis s'approchait afin de tenter de mettre fin au carnage qu'elle avait commencé à faire.

De son épée, le jeune père stoppa celle de la Belle qui allait fendre en deux un autre soldat et profitant de l'effet de surprise, il la repoussa pour se mettre face à elle.


- Vous maniez admirablement l'épée, mais je préfèrerais vous voir manier aussi bien, louches et casseroles afin de nous prépare un bon festin pour fêter notre victoire.

Petite pique gratuite pour vexer l'adversaire et lui faire éventuellement perdre son sang-froid et commettre des erreurs.
Vu la rage avec laquelle la Belle l'attaqua, cela avait peut être fonctionné. Il s'en fallut de peu que le duc ne fut transpercé de part en part, il ne l'évita qu'en faisant un pas rapide de côté en ne présentant que son flanc. L'épée frôla son ventre et les cheveux de la Belle son visage, visage qu'il frappa d'un coup de tête, la touchant sur le côté de la tête, juste au dessus de l'oreille.

Le coup de poignard donné sans grande force par la Belle un peu étourdie qu'Yrvis reçu en contre partie de son tête à tête, lui fit une nouvelle blessure et il se repositionna à distance respectable pour éviter un nouveau coup par surprise.


- Il y a trop d'ustensile dangereux en cuisine, je crois que tu serais mieux à la blanchisserie....
--Roger_jambe_de_bois
Roger se lançait à l'attaque, tout entier, il n'avait pas du tout envie de laisser la moindre chance à son adversaire. Même si au début il y allait doucement, un peu lentement, c'était plutôt pour jauger de celui qui se trouvait devant lui. Il se méfiait, il s'attendait à une réaction, à ce qu'il se défende, d'une manière ou d'une autre.

Evidemment, ce qui devait arriver, arriva. Son adversaire se défendit, il sembla même parer son coup d'épée sans le moindre soucis. C'était presque surprenant, son sabre buttant avec force sur le bouclier du borgne. Mais cet homme-là était rapide, vif et surtout ... Entraîné. Roger s'attendait à une réponse, à avoir quelqu'un à sa hauteur, au moins une fois. Et aujourd'hui, c'était enfin le cas, c'était cet homme-là qui était son adversaire, celui dont tout homme pouvait rêver d'avoir, un adversaire coriace, fier et talentueux.

Celui-ci venait en un éclair de repousser l'attaque du pirate et de contre-attaquer. Mais Roger était vif et malgré sa jambe de bois, pouvait se déplacer vite et bien. Il évita la lame qui descendait sur lui en la laissant passer à côté et il pivota sur sa jambe valide pour prendre de l'élan avec son épée et porter un coup de taille, dans un mouvement tournant, juste au niveau du bras qu'il lui avait semblé être libre de son adversaire.
--Yollande


Yollande encaissa le choc. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait plus combattu mais elle s'était toujours maintenue en forme et elle s'entrainait avec le maitre d'armes d'un des amis des ducs, Hector. C'était son amant secret. Tout le monde la croyait seule mais ce n'était pas le moment de penser à Hector et ses entrainements. Son regard croisa celui de son adversaire, rapidement avant que celui- ci se rejette en arrière. Elle y avait lu la sauvagerie et la détermination qu'elle voyait souvent dans le regard de ses compagnons à l'époque. Regard qu'elle devait elle-même avoir en ce temps-là.

Yollande avait perdue cette sauvagerie quand elle avait décidé de devenir une honnête servante, La sauvagerie c'était muée en quelque chose de plus solide. Elle était plus mature, plus réfléchie et maintenant ce n'était plus l'inconscience qui lui faisait risquer sa vie ni la bravache, c'était le désir de protéger. Protéger les deux êtres qui reposaient dans les bras de leur mère. Elle ne les avait pas vu, ils n'étaient pas les siens mais un sentiment nouveau l'emplissait. Le sentiment d'une appartenance. Elle appartenait à la maison des ducs de Cuneo. La duchesse lui avait fait confiance.

Le pirate feinta mais elle ne se laissa pas prendre. Elle n'allait pas croire qu'il était un chevalier. Elle savait qu'il userait de tous les coups qui étaient à sa disposition. Elle s'en servirait aussi. Elle para le coup et le repoussa de toutes ses forces. Yollande cachait se musculature, bien entendu, elle n'était pas assez forte par rapport à l'homme pour le déséquilibrer mais cela lui permit de reprendre son assise puis de reculer d'un pas pour saisir son poignard de la main gauche.
les pirates et soldats tombaient autour d'eux mais elle ne les voyaient plus. Elle jouait sa vie.

Yollande fonça.
--Theophraste
Paré. Son coup avait été paré par son adversaire. Avait-il sous-estimé la jeune femme ? Visiblement elle avait été initiée à l'usage des armes. Theophraste recula quand elle le repoussa. Forte. Elle était forte, plus qu'elle ne le montrait. Il fallait se méfier, ne pas perdre son sang-froid, se battre et être sans pitié, utiliser la moindre occasion pour la déstabiliser. Celle-ci s'était reculée, un poignard venait d'apparaître dans sa main gauche, éphémère éclair étincelant sorti de nulle part. Puis, rapide elle fonça sur lui. Le pirate eut un rictus qui déforma son visage, elle prenait l'avantage dans le combat, il devait à tous prix le reprendre et la tuer, rapidement, c'était essentiel.
Il décrivit un moulinet avec son épée et frappa la lame de la jeune femme pour envoyer le bras de son adversaire le plus loin possible sur la droite. Ce faisant il espérait la déséquilibrer et ouvrir une brèche dans sa garde. Mais Théophraste, pour donner un tel coup, devait nécessairement présenter son torse à son adversaire. Ce fut alors qu'il se rappela...le poignard, elle n'avait qu'à enfoncer la lame dans sa poitrine nue de toute défense. La panique monta en lui et, perdu, il jeta sa main gauche vers la lame du poignard, il la dévia mais au passage s'ouvrit la main. Il étouffa un cria et se recula de quelques pas, légèrement courbé, il serra le poing gauche fortement pour espérer faire arrêter le sang de couler. La lame avait causé une profonde entaille, le sang coulait le long de son poing, ensanglantant son bras. Il releva la tête, une lueur haineuse dans le regard. Mais comment avait-il pu être si stupide et si inattentif ? Il jura intérieurement et maudit son adversaire. Il inspira profondément. Mieux valait être prudent. Il avança, décrivant un cercle autour de son adversaire. Peut-être pourrait-il la déstabiliser par des paroles ? Toujours en marchant il dit, de sa voix mielleuse, précieuse, mais néanmoins hypnotique :


- Je reconnais en vous un adversaire de valeur. Vous n'avez pas l'air d'être un chevalier encore moins un soldat. Vos vêtements trahissent une condition de domestique. Vous êtes une femme de chambre ? Une servante ? Ou peut-être une quelconque domestique de bas étage ?
Néanmoins je vous reconnais un certain courage et une ardeur que je ne peux nier. Mais pourquoi mettre ce courage et cette ardeur au service d'un maître ou d'une maîtresse ? A leurs yeux vous n'êtes qu'un objet, un objet utile à leurs besoins. Pourquoi être loyal à ces gens ? Vous pensez peut-être qu'ils vous regardent, ou mieux qu'ils ont de la considération pour vous ? Vous vous trompez, vous n'êtes rien pour eux. Loyauté n'est-ce-pas ? La loyauté est un luxe que nous autres, petites gens, ne pouvons pas nous permettre.


Plus il parlait, plus il se rapprochait d'elle. Bientôt, il serait de nouveau à son hauteur et pourrait attaquer encore. Il continua à parler, toujours de sa voix mélodieuse et mielleuse.

- Moi je suis comme vous, je vous comprends. Tout deux nous sommes du même camp, nous sommes de ceux qui plient l'échine devant quelques obscurs dessins qu'ils - eux !- appellent blasons. Je vous fait une proposition, rejoignez-moi... et prenez ce qui vous appartient. Brisez les chaînes de la servitude et de la domesticité, je vous offre...la liberté !

Théophraste ne pensait pas un mot de son discours. Ce n'était qu'une ruse pour endormir son adversaire. Cela avait souvent fonctionné sur certains domestiques qui se targuaient de défendre leurs maîtres. Une vieille ruse, diablement efficace, mortellement efficace même. Ils étaient maintenant tout proches. Le pirate ramena sa lame et attendit la réaction de la jeune femme. S'il percevait le moindre doute, la moindre hésitation, s'il sentait que ses paroles ne l'avaient ne serait-ce qu'un peu touchées alors il frapperait, sans l'ombre d'une hésitation...
Helene.blackney
    [Planquée dans un coin]

    Ma main se portait à nouveau à mon ventre, quelle douleur atroce. Quand cela cessera-t-il? J'étais enfermée dans ma cabine, je ne supportais plus ce mal, jamais plus je ne pourrais mettre les pieds sur un bateau. Moi, Hélène Blackney Guérande, fille d'un amiral de France, nièce d'un grand navigateur breton, je n'avais aucunement le pied marin...Alors que j'étais penchée au dessus d'une vasque, un raisonnement fit vibrer la cabine, qu'est ce que c'est? Le ciel nous était tombé sur la tête? Une vague? Le bruit ressemblait fort au bourdonnement des bombardes de feu mon père. Bombardes que je connaissais bien pour avoir eu un enseignement auprès du chat à leurs propos comme "ne pas mettre les doigts dans la bouche". Je lâchais la vasque pour me précipiter dehors, le navire tanguait. Des hommes et des femmes, des dagues, des épées, nous étions attaqués. Nous étions en enfer et je n'avais rien pour me défendre. J'allais mourir au milieu de parfaits inconnus, sans avoir revu mon fils, pour une aventure qui n'était pas la mienne. Si mon mari m'avait bien appris une chose c'est la défense avec le corps comme en soule, il était capitaine de soule à la grande époque. Le vicomte se battait, je perdrais tout sens de l'honneur si je retournais me cacher sous le lit, rejetant toutes les valeurs de mon père, ce grand chevalier. L'instinct de mère me fit quand même reculer d'un pas avant de reprendre le dessus. Une femme (Anna) portant un large chapeau me frôla. Je me jetais dessus, épaules en avant, la soule ca vous forge une femme!

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Leonin
[Dans la cabine du capitaine pirate à fouiller]

Cette fois-ci il avait trouvé ce qu'il cherchait. Ses fidèles dagues, mais surtout son anneau, celui qui prouvait qu'il était bien le Vicomte. Dehors, du bruit, beaucoup de bruit. Une vraie guerre même qui semait un certain trouble dans l'esprit de Léonin. Alors, il en profita pour fouiller un peu plus, pour sortir une arme digne de ce nom pour se défendre. Ouvrant un coffre il tomba sur un véritable trésor. Des pierreries, des bijoux et surtout une épée ... Sublime. Mais absolument inutilisable, car trop lourde et si peu commode. Pourtant, il n'y avait qu'elle dans cet endroit. Il en profita pour se servir un peu, à quoi bon ? Autant tenter le diable jusqu'au bout. Un ou deux colliers (en fait, après les avoir mis il ressemblait plutôt à Barracuda dans une série américaine qui ne sortirait que dans "quelques" années), quelques anneaux aux doigts et un ou deux bracelets.

C'est ainsi qu'il referma le coffre et qu'il sortit, prêt à en découdre et surtout tenter d'une manière ou d'une autre à se faire reconnaitre comme étant un prisonnier qui s'échappait. C'était la première fois qu'il l'était et il n'avait pas conscience que ses attribut extérieurs de richesse qu'il arborait en cet instant pouvait prêter à confusion. Montant sur le pont, il rencontra un pirate, qui fut tellement surpris de le voir là, habillé d'une telle façon, que le Vicomte n'eut aucun mal pour lui enfoncer son épée en plein cœur. L'homme se tordit de douleur et s’affaissa par terre, lâchant un râle et surtout son sabre que le Vicomte récupéra prestement.

Sur le pont, c'était la débandade. Les pirates semblaient perdre du terrain, ce qui arrangeait un peu les affaires du blond. Il vit l'autre bateau, celui qui était attaqué et qui se défendait tant et si bien qu'aucun de ses anciens geôliers ne s'occupaient de leur plus précieux trésor : Léonin (et accessoirement les "quelques" petits trucs en or qu'il portait sur lui).

Arrivant derrière ses anciens geôliers, il en remarqua un en particulier, qui avait pris un malin plaisir à humilier plus que les autre le Vicomte. Le blond se présenta devant lui, armé de son épée et du sabre et voila qu'un combat entre eux deux débute. Léonin n'est pas trop habitué aux combats en mer, c'est même la première fois que ça lui arrive. Il est même doublement désavantagé avec ses armes qu'il ne sait pas utiliser avec précision, le pirate réussit à lui donner un coup du tranchant de son sabre sur le torse du Vicomte. Mais, si en temps normal il aurait fallut préparer des obsèques pour un noble Franc-Comtois, les colliers qu'il avait gentiment empruntés aux pirates le protégèrent particulièrement efficacement. Son ennemi en fut tellement surpris que Léonin eut largement le temps de lui enfoncer la lame dans le ventre, terrassant du même coup son second ennemi.

Débarrassé de lui il s'approcha de plus en plus du navire attaqué ou attaquant, on ne savait plus trop pour le moment, se débarrassant de deux ou trois pirates qui ne s'attendaient pas à être attaqués à revers, il vit des marins qu'il ne connaissait pas. Qui pouvait t-ils être ?

Alors qu'un d'entre eux était aux prises avec Roger Jambe de Bois, et les autres avec les officiers pirates, lui, bien en vue de ses libérateurs, il s'approchait, se demandant si on le reconnaitrait comme tel ... Un nouveau pirate lui sauta dessus, mais celui-ci subit le même sort que les autres.

Espérons qu'il ne le prendront pas pour ce qu'il n'est pas ...

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--Le_capitaine


Ernest , le Capitaine pirate , commençait a douter de sa victoire.

Il apercevait ça et la de ses pirates qui blessé , qui mort !

Il chercha du regard sa Belle , mais dans la confusion , il ne put l'apercevoir.
Les pirates commençait a refluer en arrière , certains remontant sur leur navire.

Le Capitaine , pensa qu'il était temps de faire comme eux , et pris la décision de se carapater vers ses quartiers...

et il tomba sur le nobliau !

il sauta devant lui en l'apostrophant . Ernest voulait passer sa rage et son impuissance a ne pas gagner ce combat en trucidant ce morveux , qui ne verrait pas sa libération , le Capitaine voulant l'occire avant .


" NOBLIAU DE MES DEUX , tu n'aura pas la joie de voir la liberté !!!! "

et le Pirate de se lancer dans une attaque aussi folle que téméraire , se ruant sabre au clair , laissant sa poitrine découverte ,

" MEURT SALE POURCEAU DE NOBLIAU ........
--La.belle
- Vous maniez admirablement l'épée, mais je préfèrerais vous voir manier aussi bien, louches et casseroles afin de nous prépare un bon festin pour fêter notre victoire.

En voilà encore un de ces nobles suffisants et pompeux et bien entendu misogyne. La.Belle en avait rencontré des pelletées comme lui. Il était certain de gagner simplement parce qu'il était un homme, même s'il ne savait pas tenir une épée. En fait il l'a tenait bien son épée.
Normalement La.Belle se battait avec calme, étudiant son adversaire, s'adaptant, faisant fonctionner son intelligence mais là, elle se battait sans réfléchir, aveuglée par une puissante rage.

La pirate avait été surprise par la quantité de soldats qu'il y avait sur cette caraque de guerre surtout qu'on était en période de paix. Son œil exercé avait rapidement fait le point de la situation quand elle était arrivée sur le pont : ses compagnons étaient en difficulté, d'ailleurs certains rompaient déjà le combat. Il fallait qu'elle se débarrasse vite de ce nobliau pour reprendre le contrôle de ses hommes. Pas question de fuir !

Mais ce coup de tête l'avait surprise. Il ne se battait pas comme chevalier. Ça n'arrangeait pas les affaires de La.Belle. Souvent certains nobles perdaient parce qu'ils tenaient à suivre un code d'honneur et elle en profitait. Alors le noble réalisait que son code l'avait conduit de vie à trépas mais trop tard.

Son adversaire avait reculé continuant de la narguer, et juste derrière lui, un homme tomba qu'elle reconnu. C'était son ami Lulu. C'en était trop et la belle pirate perdit de sa lucidité. Elle fonça sur le nobliau en hurlant.


-- Rhaaaaaaaaaaaaaaaaa !

Et.... Ressentit une douleur cuisante au ventre. Elle tomba sans avoir compris ce qui c'était passé. L'épée du noble lui traversait le corps de part en part. Elle sentait le sang lui monter à la bouche. Et la douleur était si intense

- Ernst...

Elle réussit à souffler le nom de son mari et elle s'éteignit les yeux ouverts. Les combats continuaient de faire rage mais La.Belle n'était plus.
Leonin
[Toujours sur le bateau pirate, mais plus pour longtemps]

Alors que la liberté chérie n'était qu'à quelques pas, voila la face affreuse du capitaine pirate qui apparait devant le visage de Léonin. Il hurle, il éructe des mots que le Vicomte n'entend pas, qu'il n'écoute même pas. Cet homme, il n'en a jamais eu peur et en cet instant, Léonin comprend aisément que la partie des pirates est presque perdue. Il voit autour de lui les marins inconnus prendre le dessus. Il voit des gens qui lui semblent être de noble descendance qui prennent le pas sur leur adversaire pirate avec plus ou moins de facilité.

Mais, revenant à son adversaire du moment, qui lance une attaque. Léonin, malgré qu'il ne soit pas à l'aise pour le combat sur l'eau, qu'il soit équipé d'une épée mal conçue et d'un sabre dont il savait à peine se servir, avait une chance avec lui : ses colliers qui créaient comme une une armure. Evidemment, pour la seconde fois consécutive, il dût son salut à cette armure improvisée. N'ayant pas pu parer le coup du capitaine pirate, la lame du sabre ennemi vint s'écraser contre l'or emprunté par le Vicomte.

Ce fut juste assez pour que Léonin profite de cet instant, ces quelques secondes pour sauter sur l'occasion et contre-attaquer en lançant son sabre dans un coup de taille, un mouvement de la gauche vers la droite au niveau du flanc de l'homme. Il savait que ce coup avait peu de chances d'être mortel, mais avec un peu de chance, il réussirait à lui faire prendre l'avantage.

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--Le_capitaine


Inconscient, le capitaine des pirate avait perdu toute notion du combat, la rage l'aveuglait , faisant retomber sa haine sur le nobliau ...

Son coup avait porté, mais mal , son sabre rebondit sur les colliers que portait l'homme.. et Ernest se reprit pour porter un nouveau coup, reculant d'un pas , pour mieux préparer sa nouvelle attaque , mais le nobliau qu'il avait humilié n’était pas manchot.... il profita de ce mouvement de retrait du Capitaine pour lui mettre un coup de taille, que le pirate ne pu éviter entièrement !

La lame du sabre glissa sur son flanc, lui entaillant le coté... Ernest sentit son sang chaud jaillir de sa plaie et souillée sa chemise ...

Il recula sous le coup et la brève douleur brulante .

Le pirate porta son crochet a son coté blessé par pur réflexe . Étourdi , il secoua la tête pour reprendre ses esprits, et il l'a vit, sa Belle ; allongée , baignant dans son sang ..

Ce n'était pas possible , pas elle, pas son amour .... Alors il se rua de nouveau vers le nobliau , les larmes de rage et de désespoir aveuglant son oeil valide, il se redressa , et porta une nouvelle attaque a son adversaire.

Mais la perte de son sang l'affaiblissait , et n'était plus en condition de réfléchir , son attaque était celle d'un débutant , fonçant devant lui , avançant son bras armé en une attaque d'estoc , qui n'avait aucune chance d'aboutir, il le savait ....

Sa Belle morte, il n'avait plus goût a poursuivre cette vie , il se lançait dans une attaque suicide, espérant que la faucheuse le prendrait vite , afin qu'il rejoigne au plus vite sa Belle pour l'éternité...


" BELLLLLLLE, j'arrive!!!!!!!! "
Leonin
[La fin du combat sur le navire pirate]

Son coup avait porté, il s'en doutait un peu et évidemment, il n'avait réussi qu'à blesser son adversaire. Celui-ci avait reculé pour mieux attaquer le Vicomte. Léonin se souvenait de toutes les humiliations, toutes les insultes qu'il avait dû subir de la part de ce capitaine et de ses marins. Il ne réfléchissait plus, il n'y pensait pas. Là, en cet instant, il avait eu la chance de voir le coup d'épée de son ennemi détourné, mais il risquait de ne pas avoir de seconde chance. Alors, il était concentré, s'attendant à une contre-attaque puissante.

Seulement, sans trop savoir pour quelle raison, son adversaire se lança dans une attaque de débutant. Léonin en fut surpris, mais une suprise de courte durée. Parant avec son épée sans le moindre soucis le coup d'estoc du Capitaine pirate, il lança son sabre en plein coeur du borgne. Le combat serait bientôt fini et lui, libre.

Enfin ...

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--Le_capitaine
[Le voyage pour l'au dela ]



Le capitaine se planta carrément dans l'épée de son adversaire , il sentit la pointe de l'arme s'enfoncer en lui , puis un chaleur intense l'envahit, et le pirate revit sa vie se dérouler pendant que la faucheuse l'emportait vers l'ombre de la mort, vers le néant...

Sa petite enfance , dans le domaine familial, puis la déchéance de sa famille, avec la trahison d'un ami de son père noble , qu'il vengea en tuant l'homme , sa fuite , sa capture par des pirates ce qui révéla en lui sa vocation...et puis dans une ultime lueur , le capitaine vit le visage de sa Belle , qu'il était en train de rejoindre comme promis .

Le pirate s'affala et se recroquevilla sur lui même, et souriant , les yeux regardant déjà dans l'autre monde il murmura


Belle j'arrive mon amo.......
Sepa
[Devant Roger]

Sepa fût surpris que Roger soit si agile surtout vu son handicap. Enfin cela pimenterait le duel et pour la première fois, un sourire fût présent à son visage, ce qui ne fût le cas depuis de nombreuse année. Un duelliste à sa taille, normalement, mais bon, il devait en finir rapidement.

Roger se retrouva de côté avec son esquive, son flan étant libre, il fallait donc vite réagir et là un flash lui apparut, lui rappelant un entrainement à la Licorne, à ce moment, Sepa se battait toujours sans bouclier, trouvant cela inutile. Enfin à ce moment, il avait trop réfléchit et dans cette posture, il avait pris un coup de l’épée émoussée sur le crane, bonne leçon bien retenue.

Le Vicomte, revenu à la réalité, donna un coup horizontalement avec son épée vers le Pirate en dernier recourt, foutu pour foutu, il devait tenter un dernier coup. Dans son élan, il tournoya et ne vit pas s’il avait touché ou pas et l’adrénaline au plus haut point, il ne sentit même pas s’il était touché ou pas par son adversaire.

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Sepa dicte le Borgne Persérant,Maréchal de France du DR
Vicomte de Gérardmer,Baron de Beaurain,Seigneur de Haut Pont
--Roger_jambe_de_bois
[Devant Sepa]

Roger s'amusait, ce combat était largement au delà des espérances du pirate. Ce nobliau était d'une autre trempe que tout ceux qu'il avait pu rencontrer jusqu'à aujourd'hui. Il se défendait vaillamment et Roger se rendait compte que cette fois-ci, cette bataille n'était pas comme les autres. Il était toujours aussi rapide, aussi précis mais son adversaire parait chacune de ses attaques. Alors, il prenait des risques dans ses attaques.

Trop de risques ...

Une attaque lancée par le borgne que Roger ne put éviter ...

Et voila une douleur immense, son coeur qui se serre et tout à coup, son corps le lâche, il tombe à la renverse, un regard mêlé de surprise et de peur. Roger voit un tunnel, avec là-bas, tout au bout, une lumière qui l'attire. Plus rien ne le retient derrière lui, il ne retourne pas la tête et ce fut la fin ...
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