killijo_de_denere
- Liz52 a écrit:
- Au calme dans son bureau, la Porte Parole cherchait des idées pour animer un peu la Bretagne en ses temps de repos estival. Elle était là à se creuser la tête depuis un bon moment déjà mais rien ne l'inspirait.
Faire sortir les Bretons de leur torpeur relevait du défis et elle aimait les relever. Mais là .. honnêtement, elle était dubitative. Repoussant la pile de dossiers devant elle, Liz s'adossa à son fauteuil et ferma les yeux un instant comme si cela allait l'aider à trouver l'inspiration. Que pourrait-elle proposer ?
L'énervement la gagnait car elle était en panne d'inspiration. Elle alla à la fenêtre de son bureau et ouvrit en grand pour respirer l'air frais. Déjà en temps normal il nétait pas chose aisée de divertir les compatriotes mais en période d'été cétait encore pire.
Au boulot !! Elle retourne s'asseoir sans avoir trouvé l'idée du moment.
- Killijo_de_denere a écrit:
- Les cours sont terminés... Aller enseigner ? Plus tard. Demander à enseigner uniquement à des dames, parce que les hommes, c'est ennuyeux, tout ça, le travail risque d'être compliqué pour le doyen, pour l'instant, il ne prodigue que de l'enseignement personnalisé et à domicile. Enfin, prodiguait. Il va se promener un peu en taverne, histoire de prendre un petit coup de chouchenn et de profiter de... Rien, personne n'y est. Il n'arrive même pas à ouvrir la cave malgré ses efforts et son couteau effilé qui ouvre toutes les serrures. Question de pratique. Il va donc aller déranger Liz. Il sait qu'elle travaille à son bureau, mais elle aura certainement un moment pour lui. Ou il pourrait aussi aller à la mine, ou faire quelques affaires au marché, ou... Aller voir sa douce. Il ne restera point. Juste un baiser.
Il se présente au chateau et réussit assez rapidement à trouver le bureau de la PP, puisqu'il est ouvert à tous. Il entre et la voit penchée sur un parchemin, visiblement concentrée. Elle doit certainement travailler sur un édit important.
Demat mon ange, je ne te dérange point ? J'ai juste besoin d'un petit quelque chose de primordial et je repars de suite.
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