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[RP] Une mariée et 10 tonneaux

Colhomban
Mouahaha, il avait enfin pu griller tout le monde et montrer de sa superbe au bras de sa fille. Le brun se pavanait tel un petit coq en pâte, content d'avoir un rôle de choix dans cette pièce de théâtre bizarre. Mahaut menait la danse d'une main d'acier, pourvue d'un gant de plomb, et sa voix portait sûrement à des lieues à la ronde. Colhomban jetta un oeil sur Cmyrille quand ce dernier mit plus de temps que nécessaire à répondre. Il n'allait pas planter Ork devant l'autel tout de même ? Il s'apprêtait à lui assener une claque sur la tête quand les mots franchirent enfin ses lèvres pourtant bien scellées. Chacun donna de son petit rot pour boucler l'oraison et la bière sembla pleuvoir du ciel.

Alors qu'il fouillait frénétiquement dans sa poche de gilet pour sortir le godet en fer qu'on les avait exhorté de prendre pour la cérémonie (il comprennait maintenant son utilité), il vit Sorianne fondre tel un aigle sur sa proie sur un Tiveg déconfit, et surtout saoul ! Par Aristote, il avait oublié de tenir à l'oeil les enfants... ! Il fit un sourire timide à sa mie avec un petit signe de main, tandis que cette dernière le démembrait gracieusement du regard. Oups...

Un pas, puis deux, et trois, il se retrouvait en simple quidam dans la foule d'assoiffés qui se penchait désormais sur les tonneaux avec bruit et fracas. Y allant de son godet le brun se trouva une place de choix sous un jet d'alcool. Tandis que Col retrouvait ses esprits à l'abri des foudres de sa belle il entreprit de détailler les gens l'entourant. Quelle foule disparate ! Il hocha la tête comme un demeuré tout à ses conclusions silencieuses et se dit qu'un peu d'air frais lui ferait du bien. Ouvrant la porte à la volée il tomba nez-à-nez avec le Sieur Valnor, époux de sa cousine Elayne, accompagnait d'un autre homme, tout cela rehaussé d'une caisse pleine de bouteilles.


On se joint à la petite sauterie messires ?
Gadzelle
On entendit une clameur:

Regardez, le CaC s'enfuit!
Là bas, laissez moi passer!
Gardez en un bout pour moi, je veux un souvenir sur ma cheminée...


A se demander si ils parlaient tous de la même chose...
Et là ce fut la débandade. Un lâcher de fauves. Elle frissonna pensant au mauvais quart d'heure qu'il allait passer.
Soulagée de ne pas avoir à gérer un débordement, elle se retourna vers la salle. Quel calme...Lotx pour échapper au molosse avait grimpé sur un tonneau, la mêlée avait disparue et tout le monde regardait les gros conteneurs du précieux liquide, s'épiant en chien de faïence pour être sur que les autres n'attaqueraient pas les premiers.

C'est là qu'elle entend
Grouiiii Grouiiiii!
Cherche des yeux la provenance du bruit, regarde vers le sol et fait un pas malheureux en arrière. Se prend les jambes dans une étrange matière rose et plus ou moins molle et tombe à terre, atterrissant sur les fesses dans un grand

Bam

Grimaçant de douleur, elle a beau être fournie de ce côté là, tomber de toute sa hauteur sur les fesses ce n'est jamais agréable, elle se retrouve nez à nez avec un groin. Louche dessus et voit que ce groin appartient bien à une grosse bête marron de boue et rose par endroit. Autour du cou un affreux noeud énorme et rose flouo retient une petite boîte.
L'animal sent mauvais, son regard est mauvais, il doit sentir en elle une concurrente potentielle qui aime se rouler par terre et boire dans les fonds de tonneaux. Ou l'inverse.

Elle recule, non pas de peur, mais plutôt de repli stratégique et crie:


J'ai trouvé le grouik! Venez vite le chercher il va me faire des noises, je crois qu'il ne m'aime pas trop.

Regard désespéré aux alentours, elle continue de reculer sur le sol froid et légèrement collant. Bute sur quelque chose. Lève les yeux et papillonne, un carré de lumière l'éblouit. Elle se relève difficilement et voit trois hommes, Nif nif, Naf Naf et Nouf Nouf?. Que nenni: un inconnu, un connu, et un très bien connu.

Bonjour messire comte, comment allez vous? Elle faillit préciser tous les deux, elle en voyait deux, mais réussit à ne pas bégayer ni loucher. avise la caisse apparemment pleine de bouteilles et un petit carton sur le dessus.
Je vais vous délester de ceci, messire, il me semble que c'est votre cadeau de mariage. Je peux lire la petite carte?
Sort un bout de fusain de sa poche et rajoute très discrètement un : Gâdzz gribouillé et mal orthographié. Les mariés comprendraient. Au pire ils demanderaient de l'aide à Mahaut.

Se tourne vers le CaC et lui fait un immense sourire. L'inspecte de haut en bas, s'y reprend à deux fois, à cause des yeux pas en face des trous, et pour le plaisir des yeux aussi...
Vous n'avez rien! Tant mieux, la prévôté ne sera pas accusée.
Vous voulez boire quelque chose peut être?

Montre le premier tonneau qui passe, qui marche réellement! Enfin qui roule sur lui même poussé par un ivrogne surement.
Elle prit cavalièrement le CaC par le bras et entra dans la pièce pour féliciter les mariés.

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Douanière de Périgueux,
Missjones
Miss regardait d'un oeil torve tous ces gensses qui se ruaient sur les tonneaux, elle joua du coude pour essayer d'avoir sa part quand un pigeon se posa sur son épaule

Ben Zèph .. qu'est ce tu fais là ... les pigeons sont pas invités là !! Avisant une missive accroché à sa patte elle le prit tant bien que mal et y poser les yeux, les mots dansaient dans un flou artistique et elle du s'y reprendre à plusieurs fois pour comprendre et là !! ... surprise, elle regarda autour d'elle cherchant Orka du regard et quand enfin elle capta son regard, elle lui fit signe

Ma Orkounette, je dois partir dare-dare, j'le signe où le registre et ensuite je file puis tout bas à sa coupine, elle ajouta au creux de son oreille

J'ai été élue à la mairie, alors je file à l'angloise .. tu bisouilles Cap' pour moi et pis tout plein de baunneuuuureuuu à tous les deux
Lenanceendu25
Cela faisait maintenant deux jours que Len. était rentré à Angoulême. Bien sur, il connaissait cette relation qui liait Orkaange et Cmyrille mais ce mariage le ravissait. Longtemps éloigné de la ville, il n'avait été convié aux festivités mais Orka. n'avait manqué de l'invité à la fête qui s'en suivait . Honorant le dicton "Mieux vaut tard que jamais" Len. voulait féliciter comme il se devait les deux époux et ainsi leur souhaiter bonne chance pour leurs vies futures.

Il n'eut point de mal à trouver le lieu, le brouhaha auraient rameutés toute la Capitale... Tout en se dirigeant vers l'entrée, une dernière fois il passa ses doigts dans ses cheveux pour discipliner ceux-ci, puis un dernier coup d'oeil sur sa tenue , poussa la porte.
Ne sachant trop ce qui se déroulait, il prit le temps de dévisager quelques convives. Puis... ramassant une coupe se mit quelque peu à l'écart.
Isabel_de_mendoza
Ce mariage réunissait toutes les conditions pour être inoubliable…
Même les enfants trinquaient à la gloire du Grand Machin…
Ce petit aurait un grand avenir dans la confrérie trucmachinchosiste…
Les vœux des maries prononcés, Isabel témoigna…


Mua, Isabel, dite « La crevette », j’ai été temuan de l’union entre la baleine et Myrmille et j’attends avec impatience la naissance de ses quintuplés…

Isabel remarqua le regard un tantinet réprobateur du Barón…
Fallait bien faire…
Elle courut chercher une bouteille de liqueur et en la débouchant…


Glandons mes frères…

Bien sûr, tout cela dit en levant le petit doigt…
L’ivresse n’étant point incompatible avec la classe naturelle…
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Roland_deschain
[Domaine de Bunzac, le matin.]

"TCHAk"

La corde de l'arc vibra et les bras de l'enfant se contractèrent pour éviter de suivre le mouvement de l'arme. La flèche fila tout droit très vite, découpant l'air avec précision et dans un sifflement inaudible pour les deux archers. Le jeune Deschain angoissait à chaque tir qu'elle parte trop loin de la cible. Celle ci se planta dans l'épaule droite du mannequin. Au moins avait elle touché sa cible.


Non mon fils, ça ne va pas!!!

Ici, aucune pression de bataille ne risque de te faire perdre l'esprit alors tu ne dois pas toucher autre chose que les points choisis. Recommence.


Aucune pression de bataille non, en effet. Mais la pression de décevoir son père, elle, était présente même bien présente. Qui était la plus grande d'ailleurs, il l'ignorait, mais son cœur battait la chamade à tout rompre depuis le début de l'entrainement du matin.


Allez! Vide ton esprit et récite la leçon.


le jeune Deschain, attrape une flèche et l'encoche. Et tente de calmer sa respiration.


Je ne vise pas avec ma main, celui qui vise avec sa main a oublié le visage de son père.
je vise avec mon oeil.
Je ne tire pas avec ma main, celui qui tire avec sa main e a oublié le visage de son père.
je tire avec mon esprit.

Aussi incroyable que cela puisse paraitre, les mots avaient l'effet escompté, l'esprit s'ouvrait et le regard se faisait plus perçant. L'esprit se vidait et un froid glacial et bienfaiteur se répandait dans l'esprit du garçon. Il voyait la cible avec plus de discernement et banda complètement la corde. Il savait qu'il atteindrait le cou du mannequin.


Je ne tue pas avec mon arme, celui qui tue avec son arme a oublié le visage de son père.
Je tue avec mon cœur.


Et sur ses derniers mots il lâcha la corde et la flèche partit à une vitesse incroyable et vint se planter dans le cou du mannequin. Un sourire qu'il avait peine à dissimuler se dessina sur les lèvres de l'enfant.


Bien mon garçon, tu n'as pas oublié le visage de ton père. Allez on recommence.


Mais sur ces mots, une voix se fit entendre vers la maison. Les deux Deschain se tournèrent en même temps. C'est dans ces moments là qu'on ne pouvait nier leur lien de parenté.


Vicomte, Vicomte, Alain. Je vous trouve enfin. Ma Dame avait raison, entrain de vous entrainer.

Roland fronça les sourcils et fit le moulinet de la main qu'elle connaissait bien, lui signifiant d'aller droit au but.


Madame, Susannah et Anaïs vous attendent messires.


Pour quelle raison Constance, soyez plus précis, je n'intuite rien à vos dires.


La cérémonie de dame Orkaange et Cmyrill, vous y êtes attendu.
Hochement de tête du vicomte.

Très bien Constance, nous venons vite.
Mon fils range tout, nous reprendrons plus tard et active toi. Devant la maison le plus vite possible, habillé convenablement. Fais le je te prie.


Roland prit la route de la demeure et quelques instants plus tard, le fils et le père étaient devant l'attelage, prêt à prendre la route de Périgueux. On leur avait dit de venir au palais de Odoacre, mais il ne saisissait pas bien. S'installa dans l'attelage, le jeune salua convenablement sa mère et les demoiselles et Roland en fit de même.


Veuillez nous excusez pour le retard mes dames, nous avons oublié nos engagements par l'intérêt de notre entrainement.

Nous pouvons y aller désormais.


Le véhicule démarra en grinçant un peu.

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Meline_deschain
[Perigueux, quelques heures plus tard]

Le voyage fut long, l'attelage déambulait tandis que ses occupants devisaient sous le regard serieux d'Alain avide de tout connaître des responsabilités de ses parents. Les deux fillettes épuisée s'étaient endormies l'une contre l'autre, Méline les regardaient attendrie par le tableau qu'elles représentaient.

Dame Méline, Messire Roland nous arrivons à Périgueux, et il me semble que nous approchions du lieu de la cérémonie, il y a un tel barouf, ce ne peut être que ça.

Octave arrêta le carosse, et vint en ouvrir la portière.

Roland en descendit suivit par Alain, puis le premier tendit la main à son épouse afin de la guider. Octave se dépêcha d'aider les deux fillettes à descendre alors qu'elles sortaien à peine de leur sommeil.

Tournant la tête vers le lieu d'où provenait énormément de bruits, Meline sourit.

Nos amis nous attendent mon amour, allons-y.

La petite famille arriva enfin, en retard mais présente, Méline salua discrètement les personnes qu'elle connaissait attendant de pouvoir apercevoir le jeune couple.
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Rejoignez-nous... Ensemble Pour le Perigord Angoumois.
--Gnoufgnouf
[ce qui se passe dans le tête d'un cochon..]

Tiens y'a un truc qui coule de ces trucs en bois, (comprenez tonneaux), on dirais les même que sur le terrain où on joue à la balle avec la truc à deux pattes aux cheveux couleur de blé (comprenez Orkange en poésie porcine)...


Le porc lappa un peu de la vinasse coulée sur le sol.

Mmmm c'est bon ce truc là... c'est rouge, de la rougasse?

Des cris de personnes qui cherchent un cochon...

Tiens on parle de moi je crois, en fait je comprend rien, mais bon quand les trucs à 2 pattes sortent ce cri c'est souvent pour moi... je vais leur répondre alors GRUIIIKKKKK


C'est alors qu'une patte d'une truc à deux pattes (ca fait beaucoup de pates) lui recule dessus

Non mais elle fait quoi celle là, c'est ma flaque ! Elle veut me piquer ma rougasse...


Le porc s'avance l'air mauvais vers la deux pattes voleuse de territoire lorsque celle ci se retourna vers ce qu'elle appela "comte" , le cochon releva alors ses gros Yeux globbuleux

GOUINNNNNNRK! (COPAINNNNNNNNNN en langage porcin)


Il fonça donc vers sa grandeur et alla jouer comme à son habitude en faisant valdinguer Sinik les 4 fers en l'air.
Facetie
Face cherchais desespérément le Gnoufgnouf, il devait absolument apporter les alliences

C’est alors qu’elle entendit :


J'ai trouvé le grouik!

Elle se retourna et vit le cochon avancer vers la jeune femme qui avait crié… Elle avança et c’est alors qu’elle vit que son cher et tendre passait le pas de la porte, elle craint alors le pire…

Ce qui devait arriver arriva, messire le comte se retrouvait à lutter contre un cochon joueur… Comme ca il n’irait jamais donner les alliances comme il l’avait appris.

Il fallait réagir et vite. Facétie couru alors vers Orka.


Bon ma belle Lorsque je te ferais signe tu appelleras Gnoufie comme pour jouer à la soule d’accord ? Pour le reste laisse je gère la situation !

Elle couru vers son sac, pris les aliences et la balle de soule qui le quittait jamais son sac, elle chercha aussi son petit couteau et entailla la balle pour y glisser le alliences, allors elle se prepara à lancer comme Cap’ le lui avait appri

GNOUFF LA BALLE ALLEZ MON BEAU ATTRAPPE LA BALLE !
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--Gnoufgnouf
GNOUFF LA BALLE ALLEZ MON BEAU ATTRAPPE LA BALLE !

Le Cochon releva la tête , un seul mot pouvait lui faire oublier son « copain »

Ah bah ca je connais, « balle » ca veut dire que c’est le super jeu avec ma deux pattes (comprenez Facétie) et la deux pattes aux cheveux de paille… tien ma deux patte lance la baballe.. oh bah désolé compain mais la baballe c’est pas un jeu, c’est plus important…

C’est alors qu’on vit un cochon « sauter en l’air » pour attraper une balle, en défoncant tout sur son passage…

Bon ma partenaire deux pattes aux cheveux paille elle est ou ? il ne reconnut pas Orka toute bien parée en mariée.
Lotx
[De l'art ou du cochon?]

C'était un fait qu'il cherchait ardemment à cacher (et donc, par conséquent que tout le monde savait): Lotx avait une peur panique des chiens.
Et, en voyant ce molosse, lui avait pris l'envie subite d'escalader une table et de se protéger par tous les moyens. Allez savoir pourquoi!
C'est ainsi que se réveilla, à nouveau, en lui une fibre artistique. Architecturale plus précisément.
Le garçon attrapa un tonneau du bout des bras et le posa devant lui dans l'idée de bâtir une muraille protectrice. Bientôt il se retrouva entouré d'un véritable mur de fûts. Il entreprit alors de construire tours et remparts par pur esthétisme. Mais confronté au manque cruel de tonneaux, une seule tour put se dresser sur la table donnant à la sculpture l'air de dire "si tu m'touches je m'effondre".
Bah... au moins était-il en sécurité là... Le chien ne pourrait jamais traverser le bastion de tonneaux qu'il avait bâti... euh... où était-il ce chien d'ailleurs?
Le garçon essaya de passer un œil au travers des tonneaux mais le résultat ne fut pas très probant. Pas plus que lorsqu'il essaya d'ôter un maillon du mur ce qui provoqua un fort danger d'éboulement.
Ouais... il avait construit un château imprenable... vraiment imprenable...


Euh... quelqu'un peut m'aider à sortir siouplé?
_________________
Juste un... sioupléééééééé!
Orkaange7876
[Cochon qui s'en dédit ]

Bon les témoins avaient témouiné.. Les invités se soulaient... Les tonneaux tonnelaient.. Lotx muraillait... Tout allait bien.. sauf un détail.. les alliances
C'est sûr Gnoufie était là, on entendait ses cris percer le brouhaha ambiant de temps à autre


Grouiiik
mais vous allez le virer ce cochon?
Oh le comte est déjà soul?? il se traine par terre
LIBEREEZ NOS CAMARADES.
YODEAAA, TU LE VERRAS,
TA REFORME TA REFORME
YODEAA TU LE VERRA
TA REFORME ELLE PASSERA PAS
AUCUNE HESITATION
NON NON NON A TA REFORME BIDON
OUI OUI OUI A SON ANNULATION

GROUIIIK.. GROUIIIK...


Face avait l'air paniquée, sentant que la situation lui échappait. A son signal, la blonde poussa le cri de ralliement soulesque habituel pour appeler Gnouf Gnouf


GNOUFIIIE.. VIENS VOIR MAMAAAANNN.. LA BABALLE RAMENE LUI...

Dans un magnifique mouvement tournant qui la laissa baba, Gnoufie attrappa la soule au vol et fonça comme elle lui avait appris droit au but, sans beaucoup faire attention aux détails qui lui bouchaient le passage, et notamment un mur de tonneaux que le cochon explosa à l'aise...


STRAAAÏÏÏQUE.. Gnoufie t'es le meilleur.. viens nous embrasser... et donner les alliances..allez fais le beau...


Elle se saisit de la panse de mouton et en sortit les alliances, se laissant prendre la main par Cmyrille en souriant. L'échange fait, ils se tournèrent vers la foule en délire pour déclarer la petite sauterie ouverte, pour s'aperçevoir que tout le monde avait déjà bien commencé. Lotx gisait au milieu de débris de tonneaux les quatre fers en l'air, Gadzelle, Zhara et Col étaient à la porte, accueillant Yodea, Valnor et les Deschains, Sorianne courait près Lysi qui distribuait les chopes, Len s'était discrétement mis dans un coin, Tef regardait tout ce bordel d'un air éberlué, Isa glandait avec beaucoup de conviction.. Berf tout allait bien, un mariage comme elle en avait toujours rêvé...La blonde grimpa alors sur un tonneau et de sa douce voix commença le discours traditionnel de la mariée trucmachinchosiste, une bouteille dans chaque main



Mes amis.. Après ce cocktail apéritif, nous vous invitons à rejoindre la salle d'à côté, ou vous pourrez graill.. Euh vous sustenter après toutes ces émotions... Installez vous et buvez.. Que les attouchements du grand machin vous mènent au bikini mes amis..


Elle sauta fort gracieusement du tonneau, c'est à dire sans se viander lamentablement au pied des invités, et se rapprocha de la porte pour accueillir les retardataires.


Mon Aristote Valnor, c'est pour nous?? Mais il fallait paaas.; tenez laissez moi vous débarasser...
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Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.
Forth_with
Juché sur son âne à l'entrée des festivités, Forth se tâtait encore. Allait-il y aller ou pas ? Allait-il rejoindre les autres ou rester là, stoïque, à refuser de participer aux reliquats de ce pseudo mariage ? En tout cas son animal lui adorait. Il broutait tranquillement, l'herbe au bord du chemin, bien heureux de cette halte inopinée.

Bien loin des tractations qui se passaient dans l'esprit du jeune prêtre. Les humains sont effectivement bien pesant et bien sot de s'ennuyer avec de pareils menus détails. Forth rongeait son frein.

Un instant il faillit repartir, tant pis s'il passait pour un rabat-joie, mais cette situation le gênait, le gênait dans ses principes. Et puis quelque chose le tirailla, le fit reculer. S'il n'y allait pas, certain que Cmyrille et Orkaange lui en voudrait, pas longtemps mais suffisamment pour ne pas le revoir avant leur départ. Alors finalement il donna des coups de talon dans le flanc de l'âne, qui rechigna, mais avant plusieurs coups de rênes en prime avança finalement mollement.

Il entrait sur le lieu de la fête.

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Cmyrille
C'était la foire d'empoigne! Tout le monde avait déjà commencé la grande pinterie et se roulait par terre. Le cochon faisait roulait les barriques, tant en bois qu'en chair. Il finit par amener les anneaux et ils se les échangèrent. Puis Ork annonça qu'on pouvait passer à table pour pico... Pour festoyer.
Il regarda la salle, tout à son bonheur, sourire niais et tout le toutim, et aperçut au loin les retardataires, dont Forth. Il se dirigea donc vers la porte d'entrée à la suite d'Ork.


Messire Valnor, Yodea... Ca me fait plaisir.

Hé Forth!! T'as fini par venir?!
Tu tombes bien, on allait commencer à festoyer, tu entres?
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"Bienheureux celui qui a appris à rire de lui-même : il n'a pas fini de s'amuser!"
Joseph Folliet

Membre de l'EPPA
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