Killijo_de_denere
Bon... Quand faut y aller, faut y aller ! Le rôle de patriarche qu'il a accepté par logique, son âge, ses filles, l'habitude de veiller au bien-être de toutes... Sauf que dans cette mesnie, il n'y a pas qu'un coq. Il y a aussi un ours, un singe à dresser, une matriarche qui lui rappelle sa mère sur certains points. Il termine de se préparer comme il peut. Sans l'aide de Sashah, l'habillage devient tout de suite plus long. Les cheveux ? Ils resteront libres. Il n'arrive point à serrer le ruban comme elle le fait. Il descend et part à la recherche des jardins. Sa fille l'intendante lui a bien expliqué où tout se trouve, mais même près de l'endroit, il trouve le moyen de faire demi-tour et d'aller se perdre plus loin. Il a proposé une entrevue à la jeune compagne de l'insupportable. Que l'amour peut être aveugle parfois ! Que fait une jeune fille douce et réservée avec ce jeune galopin ? Il faudra aussi le rencontrer, celui-ci, en compagnie de sa mère, il sera certainement plus calme. Il a laissé un mot à Charles pour qu'il puisse venir les rejoindre lorsque son emploi du temps le lui permettra. Il arrive à la rencontre de la jeune fille avec un sourire engageant pour la rassurer.
- oh bordel, une rousse !
- non
- pourquoi ?
- on n'est pas bien avec Sashah ?
- oui mais...
- on n'a pas tout ce qu'on veut avec la douce Sashah ?
- si mais...
- on n'a pas trouvé la sérénité avec l'adorable Sashah
- oui, mais elle ne dira rien contre un petit 4 heures ! Vite fait dans les buissons là... À dada sur son coq...
- tu dois prendre des cours pour être aussi abruti.
- ben quoi ! Une rousse !
- le cerveau, c'est plus haut!
- pas mon domaine...
- ça, j'ai vu ! La ferme, laisse-moi faire
Il lui tend le bras.
- marchons un peu, voulez-vous, je vais me présenter si vous voulez, car entre ce qui se raconte et la réalité...
Il la regarde avec un air taquin
- je suis pire que ce que l'on raconte sur moi...
Avançant de quelques pas, il continue
- rassurez-vous, je n'officie point dans le cercle familial. Trop de conséquences. Il vaut mieux bien élargir son cercle à plusieurs lieues.
Il lui fait un clin d'il complice.
- maintenant que la glace est brisée... Je suis Killijo, le père d'Atthenais, la poulette dorée et des jumelles rousses. On m'appelle Killi ou le coq, c'est selon. Je suis le fils de Joffrey, une femme avec laquelle Charles a été secrètement marié.
Sa voix se brise un peu lorsqu'il continue.
- elle est morte récemment. Lâchement assassinée par des brigands qui le paieront. Enfin soit. Toutes mes filles sont illégitimes... Oui. J'ai mené très longtemps une vie de libertin et... Cela laisse parfois de jolis souvenirs. Que les dames ne m'offrent point toujours dès leur arrivée. Elles m'ont retrouvé récemment et... Avec elle aussi, j'ai une relation à établir. Comment intervenir dans la vie d'une jeune fille qui a toujours vécu sans père ? Et pourtant, je ne puis permettre que le premier inconscient venu ne l'approche. Enfin, ceci est valable pour toutes bien sûr. Même vous.
Il s'arrête et la regarde.
- je vois cette mesnie comme une famille dont je suis un père. Si vous deviez avoir le moindre problème, j'entends que vous veniez nous en parler, à Charles ou à moi.
Il lui sourit.
- je crois que j'ai brossé un tableau général, je ne vous ai point parlé de la douce femme qui partage ma vie depuis quelques temps, mais je la présenterais à chacun individuellement pour lui épargner la grosse réunion de famille où elle sera perdue et repartira en courant. Tout comme vous le feriez, n'est-ce pas ? Si d'aventure, vous deviez le faire, prenez-lui la main, vous pourrez ainsi passer le temps tranquillement entre vous.
Il lui sourit avec malice.
- Et vous alors, j'ai entendu dire que vous êtes une guerrière aux dames blanches ?
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Chez moi
- oh bordel, une rousse !
- non
- pourquoi ?
- on n'est pas bien avec Sashah ?
- oui mais...
- on n'a pas tout ce qu'on veut avec la douce Sashah ?
- si mais...
- on n'a pas trouvé la sérénité avec l'adorable Sashah
- oui, mais elle ne dira rien contre un petit 4 heures ! Vite fait dans les buissons là... À dada sur son coq...
- tu dois prendre des cours pour être aussi abruti.
- ben quoi ! Une rousse !
- le cerveau, c'est plus haut!
- pas mon domaine...
- ça, j'ai vu ! La ferme, laisse-moi faire
Il lui tend le bras.
- marchons un peu, voulez-vous, je vais me présenter si vous voulez, car entre ce qui se raconte et la réalité...
Il la regarde avec un air taquin
- je suis pire que ce que l'on raconte sur moi...
Avançant de quelques pas, il continue
- rassurez-vous, je n'officie point dans le cercle familial. Trop de conséquences. Il vaut mieux bien élargir son cercle à plusieurs lieues.
Il lui fait un clin d'il complice.
- maintenant que la glace est brisée... Je suis Killijo, le père d'Atthenais, la poulette dorée et des jumelles rousses. On m'appelle Killi ou le coq, c'est selon. Je suis le fils de Joffrey, une femme avec laquelle Charles a été secrètement marié.
Sa voix se brise un peu lorsqu'il continue.
- elle est morte récemment. Lâchement assassinée par des brigands qui le paieront. Enfin soit. Toutes mes filles sont illégitimes... Oui. J'ai mené très longtemps une vie de libertin et... Cela laisse parfois de jolis souvenirs. Que les dames ne m'offrent point toujours dès leur arrivée. Elles m'ont retrouvé récemment et... Avec elle aussi, j'ai une relation à établir. Comment intervenir dans la vie d'une jeune fille qui a toujours vécu sans père ? Et pourtant, je ne puis permettre que le premier inconscient venu ne l'approche. Enfin, ceci est valable pour toutes bien sûr. Même vous.
Il s'arrête et la regarde.
- je vois cette mesnie comme une famille dont je suis un père. Si vous deviez avoir le moindre problème, j'entends que vous veniez nous en parler, à Charles ou à moi.
Il lui sourit.
- je crois que j'ai brossé un tableau général, je ne vous ai point parlé de la douce femme qui partage ma vie depuis quelques temps, mais je la présenterais à chacun individuellement pour lui épargner la grosse réunion de famille où elle sera perdue et repartira en courant. Tout comme vous le feriez, n'est-ce pas ? Si d'aventure, vous deviez le faire, prenez-lui la main, vous pourrez ainsi passer le temps tranquillement entre vous.
Il lui sourit avec malice.
- Et vous alors, j'ai entendu dire que vous êtes une guerrière aux dames blanches ?
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Chez moi